Contraception orale oestroprogestative et risque et risque de mélanome cutané (méta-analyse des études de cohorte et des études cas-témoins)

PARIS7-Xavier Bichat (751182101) / SudocSudocFranceF

Update on the management of endometriosis-associated pain in France

International audienceThe French National College of Obstetricians and Gynecologists (CNGOF) published guidelines for managing endometriosis-associated pain in 2018. Given the development of new pharmacological therapies and a review that was published in 2021, most national and international guidelines now suggest a new therapeutic approach. In addition, a novel validated screening method based on patient questionnaires and analysis of 109-miRNA saliva signatures, which combines biomarkers and artificial intelligence, opens up new avenues for overcoming diagnostic challenges in patients with pelvic pain and for avoiding laparoscopic surgery when sonography and MRI are not conclusive. Dienogest (DNG) 2 mg has been a reimbursable healthcare expense in France since 2020, and, according to recent studies, it is at least as effective as combined hormonal contraception (CHC) and can be used as an alternative to CHC for first-line treatment of endometriosis-associated pain. Since 2018, the literature concerning the use of DNG has grown considerably, and the French guidelines should be modified accordingly. The levonorgestrel intrauterine system (LNG IUS) and other available progestins per os, including DNG, or the subcutaneous implant, can be offered as first-line therapy, gonadotropin-releasing hormone (GnRH) agonists with add-back therapy (ABT) as second-line therapy. Oral GnRH antagonists are promising new medical treatments for women with endometriosis-associated pain. They competitively bind to GnRH receptors in the anterior pituitary, preventing native GnRH from binding to GnRH receptors and from stimulating the secretion of luteinizing hormone and follicle-stimulating hormone. Consequently, estradiol and progesterone production is reduced. Oral GnRH antagonists will soon be on the market in France. Given their mode of action, their efficacy is comparable to that of GnRH agonists, with the advantage of oral administration and rapid action with no flare-up effect. Combination therapy with ABT is likely to allow long-term treatment with minimal impact on bone mass. GnRH antagonists with ABT may thus be offered as second-line treatment as an alternative to GnRH agonists with ABT. This article presents an update on the management of endometriosis-associated pain in women who do not have an immediate desire for pregnancy

Examen pelvien en gynécologie et obstétrique : recommandations pour la pratique clinique du CNGOF

National audienc

Examen pelvien en gynécologie et obstétrique : recommandations pour la pratique clinique du CNGOF

National audienc

Pelvic exam in Gynecology and Obstetrics: French Guidelines for Clinical Practice

International audienc

Examen pelvien en gynécologie et obstétrique : recommandations pour la pratique clinique

ObjectifÉlaborer des recommandations pour l’examen clinique pelvien en gynécologie et obstétrique.Matériel et méthodesUn groupe de travail multidisciplinaire de 45 experts a été constitué, comprenant des représentants d’associations de patients et d’usagers du système de santé. L’ensemble du processus de ces recommandations a été mené indépendamment de tout financement. Il a été conseillé aux auteurs de suivre les règles du système GRADE® (Grading of Recommendations Assessment, Development and Evaluation) pour évaluer la qualité des preuves. Les limites potentielles de faire des recommandations fortes en présence de preuves de faible qualité ont été soulignées. Le comité a étudié 40 questions dans 4 domaines pour les femmes symptomatiques ou asymptomatiques (urgence, consultation gynécologique, maladies gynécologiques, obstétrique et grossesse). Chaque question a été formulée dans un format PICO (Patients, Intervention, Comparaison, Résultat) et les éléments de preuve ont été détaillés. La revue de la littérature et les recommandations ont été réalisées selon la méthodologie GRADE®.RésultatsLe travail de synthèse des experts et l’application de la méthode GRADE ont abouti à 27 recommandations. Parmi les recommandations formalisées, 17 présentaient un accord fort, 7 un accord faible et 3 un accord professionnel. Treize questions ont donné lieu à une absence de recommandation en raison du manque de preuves (pas de réponse dans la littérature).ConclusionsLes 27 recommandations ont permis de préciser quand un examen clinique est requis pour différentes situations cliniques gynécologiques et obstétricales. Ces recommandations intéressent tout professionnel impliqué dans la santé des femmes. La nécessité de réaliser un examen clinique chez certaines patientes dans certaines situations a été fondée sur des preuves scientifiques. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour étudier les avantages dans d’autres situations

Examen pelvien en gynécologie et obstétrique : recommandations pour la pratique clinique du CNGOF

National audienc