77 research outputs found
Scientific misinformation as a social problem in Brazil
Este projeto propõe analisar as dinâmicas de construção da temática da desinformação cientĂfica como um problema pĂşblico no Brasil. Busca-se analisar as operações de promoção, legitimação e visibilização desse objeto no espaço pĂşblico. A ideia Ă© explicar como uma situação recorrente na histĂłria do jornalismo e da ciĂŞncia passou a ser considerada, nos Ăşltimos anos, como um problema, que pode eventualmente levar ao desenvolvimento de polĂticas pĂşblicas
Healthcare professionals' intentions to use wiki-based reminders to promote best practices in trauma care: a survey protocol
<p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>Healthcare professionals are increasingly using wikis as collaborative tools to create, synthesize, share, and disseminate knowledge in healthcare. Because wikis depend on collaborators to keep content up-to-date, healthcare professionals who use wikis must adopt behaviors that foster this collaboration. This protocol describes the methods we will use to develop and test the metrological qualities of a questionnaire that will assess healthcare professionals' intentions and the determinants of those intentions to use wiki-based reminders that promote best practices in trauma care.</p> <p>Methods</p> <p>Using the Theory of Planned Behavior, we will conduct semi-structured interviews of healthcare professionals to identify salient beliefs that may affect their future use of wikis. These beliefs will inform our questionnaire on intended behavior. A test-retest of the survey will verify the questionnaire's stability over time. We will interview 50 healthcare professionals (25 physicians and 25 allied health professionals) working in the emergency departments of three trauma centers in Quebec, Canada. We will analyze the content of the interviews and construct and pilot a questionnaire. We will then test the revised questionnaire with 30 healthcare professionals (15 physicians and 15 allied health professionals) and retest it two weeks later. We will assess the internal consistency of the questionnaire constructs using Cronbach's alpha coefficients and determine their stability with the intra-class correlation (ICC).</p> <p>Discussion</p> <p>To our knowledge, this study will be the first to develop and test a theory-based survey that measures healthcare professionals' intentions to use a wiki-based intervention. This study will identify professionals' salient beliefs qualitatively and will quantify the psychometric capacities of the questionnaire based on those beliefs.</p
Les stratégies de légitimation de la société civile mobilisée sur des enjeux de gouvernance des communications
International audienc
Les intellectuels critiques de la globalisation
L'auteure est adjointe à la recherche au Centre d'études et de recherches sur le Brésil (CERB) de l'UQAM et co-organisatrice avec Gaëtan Tremblay (directeur du CERB) du colloque organisé par le CERB sur Le rôle et la place des intellectuels au Québec et au Brésil dans le cadre de l'ACFAS 2007. Ce texte est celui de la conférence prononcée au colloque. Le site sur lequel les actes de colloque avaient été déposés n'existe plus : http://www.unites.uqam.ca/bresil/Francais/indexFr.htmInternational audienceParmi les nombreuses définitions de l’intellectuel, souvent contradictoires, a été retenue dans le cadre de ce colloque celle de l’intellectuel abordé par sa fonction de contribution à la formation de l’opinion publique. Les intellectuels prennent position sur des enjeux sociaux ou politiques et font connaître leur opinion, espérant, sinon influencer le cours des choses, à tout le moins éclairer l’actualité. Or, l’actualité est en expansion. Elle dépasse souvent les contours nationaux, que ce soit via l’environnement qui doit désormais être étudié dans des cadres supranationaux, ou via les conséquences sur les modalités de gouvernance de l’adoption d’accords dits de libre-échange. Mais comment un intellectuel peut-il arriver à faire entendre son point de vue sur des enjeux «globaux» ? L’auteure s’est intéressée aux stratégies d’occupation de l’espace public déployées par des intellectuels critiques de la globalisation. Elle rendra compte ici des diverses problématisations de la globalisation formulées par les vingt intellectuels rencontrés pour sa recherche doctorale, problématisations déclinant en quelque sorte de nouveaux motifs d’engagement
LE DISCOURS D’OPPOSITION À LA GLOBALISATION DE L’ÉDUCATION
Il s'agit ici de la version soumise à la publication et non la version éditée par la maison d'édition (PUL). Il peut exister de légères différences entre les 2 versions.International audienceThe author has made a review of discourses opposed to globalisation of education published in Quebec and Canada. Her results suggest that the authors of her corpus are little worried about the role of ICTs in education but show more concern about the merchandization of education. Trying to find out if and how the texts she analysed are taking part in a civil societies' globalisation (unification) process, she was led to think about the functions of oppositional discourses and has identified some of them, like networking, positioning (taking stance), mobilization and vulgarization.L'auteure a effectué une première recension des discours d'opposition à la globalisation des marchés de l'éducation publiés au Québec et au Canada. Les résultats de ses analyses suggèrent que les auteurs de son échantillon sont peu préoccupés par le rôle que pourraient jouer les TICe mais inquiets en ce qui a trait à la « marchandisation de l'éducation ». Cherchant à savoir si et comment les textes de son échantillon s'inscrivaient dans la globalisation (unification) des sociétés civiles, elle a été amenée à réfléchir sur les fonctions des discours d'opposition et en a relevé un certain nombre, comme le réseautage, le positionnement, la mobilisation et la vulgarisation
Communautés autochtones et médias : Des attentes diversifiées
Ă€ partir des rĂ©sultats d’une recherche menĂ©e avec Éric George sur les mĂ©dias autochtones au Canada et sur diffĂ©rents travaux thĂ©oriques portant respectivement sur la sphère publique et le militantisme informationnel, l’auteure de cet article se penche sur le lien entre les communautĂ©s autochtones et les mĂ©dias. Cette recherche indique que certaines communautĂ©s ressentent d’abord le besoin d’un mĂ©dia communautaire, tournĂ© vers l’intĂ©rieur, plutĂ´t que vers la communautĂ© allochtone ; aussi ne souhaitent-elles pas Ă©largir l’espace public mais, au contraire, le limiter Ă leur propre communautĂ©. D’autres voix rĂ©clament plutĂ´t l’accès Ă l’espace public dominant. Des leaders autochtones du QuĂ©bec se sont appropriĂ© la conception « blanche » du dĂ©bat public et de la sociĂ©tĂ© civile. Ils estiment qu’afin d’inscrire leurs droits sociaux, Ă©conomiques et culturels Ă l’ordre du jour politique, ils doivent se joindre Ă d’autres contre-publics dans un mouvement globalisant revendiquant le droit d’être non seulement entendus mais pris en considĂ©ration.Based on research conducted with Éric George on Aboriginal media in Canada and on various theoretical works dealing with the public sphere and informational activism, the author addresses the issue of Aboriginal people and the media. This research shows that some Aboriginal communities express a need for community based media, and not white media, to reflect their own voices and culture. Their desire therefore is not to expand the public sphere but rather to confine it to their own community. Other voices are claiming access to the dominant public arena. Quebec Aboriginal leaders have appropriated the “white” conceptions of public debate and civil society. They feel that in order to add their social, economic and cultural rights to the current political agenda, the time has come to join other counterpublics in a globalized movement advocating the right not only to be heard but to be taken seriously.A partir de los resultados de una investigaciĂłn realizada con Éric George sobre los medios de comunicaciĂłn indĂgenas en Canadá y sobre diferentes trabajos teĂłricos acerca de la esfera pĂşblica y el militantismo informacional, este artĂculo examina el vĂnculo entre las comunidades indĂgenas y los medios de comunicaciĂłn. Dicha investigaciĂłn indica que ciertas comunidades sienten primero la necesidad de un medio de comunicaciĂłn comunitario, que mira hacia su interior más que hacia la comunidad no-indĂgena. Además, estas comunidades no buscan ampliar el espacio pĂşblico sino, por el contrario, limitarlo a su propia comunidad. Otras voces reclaman mas bien el acceso al espacio pĂşblico dominante. LĂderes indĂgenas de la provincia de Quebec se han apropiado de la concepciĂłn “blanca” del debate pĂşblico y de la sociedad civil. Ellos estiman que con el fin de inscribir en el orden del dĂa polĂtico sus derechos sociales, econĂłmicos y culturales, deben unirse a otros contra-pĂşblicos en un movimiento globalizante que reivindica el derecho de ser no solo escuchados, sino tenidos en cuenta
LA « NOUVELLE RÉSISTANCE » : STRATÉGIES DE PUBLICISATION DÉPLOYÉES PAR DES INTELLECTUELS CRITIQUES DE LA GLOBALISATION (1994-2005)
This research examines the strategies for occupying the public sphere (or publicization strategies) used by intellectuals critical of globalization. The epithet “critical of globalization” is used to refer to intellectuals who have expressed disapproval of current globalization at least once. Intellectuals have been defined as individuals who meet the following criteria: They have achieved a certain level of recognition; they speak publicly; on social or political issues; and they do so from an explicit ideological standpoint. Research methods included interviews and text analysis. A total of 20 people were interviewed: 13 Europeans and 7 Quebecers. Interviews took place between 2002 and 2004 in Montreal, Paris, Brussels and Toulouse. Analysis focused on texts published between 1994 and 2005. The strategies studied fall into three categories: organizational strategies, dissemination strategies and discursive strategies, which, integral to communication, take into account the context, the medium and the message. Conceptually, this study embraces three main dimensions: (1) intellectuals, drawing on research in history (Sirinelli, Lamonde, Ory, Charle, Kelly, Andrès…), sociology (Bourdieu, Rieffel…) and political science (Brooks and Gagnon…); (2) the public sphere, based on socio-political approaches (Habermas, Fraser, Miège, George, Raboy, Tremblay, Cardon, Granjon, Keane…); and (3) discursive strategies, drawing on works about utopia and grand narratives (Rouvillois, Anthony, Angenot…). Organizational strategies: sociabilities and social networks Interviewees all displayed diverse sociabilities: They are members of various circles, such as the university or publishing environments, but they do not all belong to social networks (Lemieux). “Free agents” actively participate in the activities of social networks that they have connections with by presenting papers or writing articles, but they do not wish to become “official” members of these networks. Moreover, the commitment of those interviewed is not always to their professional activities; therefore, they often assume dual roles, for instance that of high school teacher and education and GATS opponent. The objectives of social networks that seemed to best coincide with the interventions of interviewees were the dissemination of information and the monitoring of public policies. Dissemination strategies: the network of networks vs social networks Interviewees favour social networks over the “network of networks” (Internet). Although the majority use new technologies extensively for research or collaborative work, they hardly recognize their potential for publicization - i.e., their influence in shaping rational public opinion, as philosopher Jürgen Habermas defines it. The intellectuals interviewed still use relatively traditional dissemination platforms, such as public conferences and articles or short publications, as was common during the Dreyfus Affair in the late 19th century. Yet intellectuals are not just militants, they have various claims to fame and each one corresponds to specific symbolic capital (Bourdieu). Therefore they must meet the criteria of each type of symbolic capital, as reflected in presentations of self (Goffman) such as CVs and in the choice of publishers. The dissemination strategies are geared to the audience being addressed by the interviewees, particularly the primary target audience belonging to their social networks, and shape the civil society imagined by those interviewed. Discursive strategies: between an ideal world and a possible world Five characteristics served to analyze utopian ideology (utopianism) among interviewees: radical criticism, collective voluntarism, tabula rasa (or the revolutionary principle), total analysis and global solutions. While radical criticism yielded no surprises with regard to rules of utopian discourse, voluntarism and tabula rasa more often than not engendered accusing the other (“the utopians are the others.”). In terms of analysis, some interviewees contributed to alter-globalist counter-expertise (Granjon and Cardon) while others – with an academic bent, leaning on theory or research – proposed both a normative (grounded in values) and scientific (grounded in interdisciplinary analyses) assessment of globalization. The majority of solutions foster collective voluntarism and its application through political and legal institutionalization with the support of public opinion informed by counter-expertise. Whether it be by re-engaging visionaries, educating future citizens, or informing civil society, the solutions advocated target the minds not the structures.La présente recherche porte sur les stratégies d’occupation de l’espace public déployées par des intellectuels critiques de la globalisation. Par « critiques de la globalisation », l’auteure signifie que les intellectuels en question doivent avoir manifesté à au moins une occasion leur désapprobation de la globalisation en cours. Les intellectuels ont été définis comme des personnes répondant à quatre critères : elles sont dotées d’une certaine notoriété; elles interviennent publiquement; sur des questions d’ordre social ou politique; et à partir d’un positionnement idéologique explicite. Les techniques d’enquête utilisées ont été l’entretien et l’analyse de textes. Vingt personnes ont été rencontrées : treize Européens et sept Québécois. Les rencontres ont eu lieu à Montréal, Paris, Bruxelles et Toulouse entre 2002 et 2004. Les textes analysés ont été publiés entre 1994 et 2005. Les stratégies étudiées ont été distribuées en trois catégories : les stratégies organisationnelles, les stratégies de diffusion et les stratégies discursives de manière à répondre à la pratique communicationnelle, qui s’intéresse à la fois aux milieux, aux supports et au discours à transmettre. Sur le plan conceptuel, la recherche a documenté trois grands objets. Pour les intellectuels, elle s’est appuyée sur des travaux menés en histoire (Sirinelli, Lamonde, Ory, Charle, Kelly…), en sociologie (Bourdieu, Rieffel, Fortin…) et en sciences politiques (Brooks et Gagnon…). Pour l’espace public, elle a recouru à des approches socio-politiques (Habermas, Fraser, Miège, George, Raboy, Tremblay, Cardon, Granjon, Keane…). Enfin, pour analyser les stratégies discursives, la recherche a fait appel aux travaux menés sur l’utopie et sur les grands récits (Rouvillois, Anthony, Angenot…). Les stratégies organisationnelles : sociabilités et réseaux sociaux Les enquêtés ont tous témoigné de sociabilités diverses : ils fréquentent différents milieux, comme le milieu universitaire ou le milieu éditorial, mais tous ne font pas partie de réseaux sociaux (Lemieux). Les « électrons libres » collaborent très activement aux activités des réseaux sociaux dont ils sont proches en produisant des conférences ou en rédigeant des articles mais ils ne souhaitent pas devenir membres « officiels » de ces réseaux. Par ailleurs, l’engagement des enquêtés n’est pas toujours lié à leurs activités professionnelles, ce qui les amène à remplir une double fonction, par exemple professeur au secondaire et militant sur le dossier de l’éducation et l’AGCS. Parmi les objectifs des réseaux sociaux qui ont semblé le mieux correspondre aux interventions des enquêtés, on a noté la circulation de l’information et le contrôle des politiques publiques. Les stratégies de diffusion : le réseau des réseaux vs les réseaux sociaux Du « réseau des réseaux » (Internet) et des réseaux sociaux, ce sont les seconds qui remportent l’adhésion des enquêtés. S’ils font pour la plupart un grand usage des nouvelles technologies, comme outil de recherche ou de collaboration, ils n’en estiment guère le potentiel publicitaire, au sens où l’entend le philosophe Jürgen Habermas, c’est-à -dire auservice de la formation d’une opinion publique rationnelle. Les intellectuels rencontrés comptent en fait sur des supports de diffusion relativement traditionnels, comme les conférences publiques et la publication de petits ouvrages ou d’articles, tout comme au temps de l’Affaire Dreyfus à la fin du 19e siècle. Mais les intellectuels ne sont pas que des militants, ils sont également dotés de différentes notoriétés et pour chacune d’entre elles, il existe un capital symbolique particulier (Bourdieu). Ils sont donc tenus de satisfaire aux exigences de chaque espèce de capital symbolique, ce qui a été observé dans les présentations de soi (Goffman) que constituent les CV et dans le choix des maisons d’édition. Les stratégies de diffusion sont liées aux publics pressentis par les enquêtés, notamment les publics cibles primaires issus des réseaux sociaux auxquels ils appartiennent, et configurent la société civile imaginée par les enquêtés. Les stratégies discursives : entre le meilleur des mondes et un autre monde possible Cinq caractéristiques ont été retenues pour analyser l’idéologie de l’utopie (ou l’utopisme) chez les enquêtés : la critique radicale, le volontarisme collectif, la tabula rasa (ou principe révolutionnaire), l’analyse totale et la solution globale. Alors que le traitement de la critique radicale répond sans surprise aux lois du genre, celui du volontarisme et de la tabula rasa s’inscrit le plus souvent dans un renversement d’accusation (« l’utopiste, c’est l’autre »). En matière d’analyse, certains enquêtés participent au développement de la contre-expertise altermondialiste (Granjon et Cardon) alors que d’autres, plus investis dans une démarche universitaire – de chercheur ou de théoricien – proposent un devis de la globalisation à la fois normatif (reposant sur des valeurs) et scientifique (reposant sur des analyses interdisciplinaires). Quant aux solutions, elles visent presque toutes à insuffler le volontarisme collectif, puis à le mettre en oeuvre au moyen de la normalisation politique et juridique en comptant sur la pression de l’opinion publique éclairée par la contre-expertise. Que ce soit en réenchantant les imaginaires, en éduquant les futurs citoyens, ou en informant la société civile, les solutions préconisées visent les esprits plus que les structures
Habermas pour penser les pathologies sociales réellement existantes
Le texte, tiré d'une conférence, s’inspire en partie d’un ouvrage paru en 2016 aux PUQ sur les perspectives critiques en communication (Aubin et Rueff, dir.). J’y ai commis un petit chapitre sur Habermas et je reprends ici une partie de la section qui porte sur l’opérationnalisation de certains concepts en communication. Dans l’ouvrage, je m’étais limitée à proposer des pistes de recherche en lien avec l’espace public. Ici, j’intègre des réflexions liées à la théorie discursive de la morale, mieux connue sous le nom d’éthique de la discussion.International audienceEn gardant à l’idée que les concepts d'espace public et d'éthique de la discussion sont deux facettes de la même préoccupation de Habermas pour les modalités délibératives, je traiterai de l’espace public en ce qui a trait aux dispositifs sociotechniques de la discussion publique (ou débat public) ainsi qu’à leur régulation. Ces dispositifs s’inscrivent dans la « dimension structurelle » de l’espace public (Dahlgren, 2000). L’examen de ces dispositifs permet de vérifier la présence (ou non) des conditions nécessaires au bon fonctionnement de l’espace public. Ces conditions recoupent fort évidemment certaines de celles qu’avait examinées Habermas à la fin des années cinquante du siècle précédent, mais tiennent compte des mutations apportées à l’espace public depuis le début du 21e siècle. Je traiterai ensuite de l’éthique de la discussion que j’appréhende comme l’ensemble des dispositifs sociopolitiques afférents à la discussion publique dans les sociétés complexes. L’examen de ces dispositifs permet de vérifier la validité des normes élaborées dans l’espace public ou plus précisément, d’examiner la procédure de validation. Mon objectif sera de montrer comment ces deux ensembles conceptuels demeurent féconds pour explorer de nombreuses problématiques en sociologie de la communication
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