11 research outputs found

    Geographical and temporal distribution of SARS-CoV-2 clades in the WHO European Region, January to June 2020

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    We show the distribution of severe acute respiratory syndrome coronavirus-2 (SARS-CoV-2) genetic clades over time and between countries and outline potential genomic surveillance objectives. We applied three genomic nomenclature systems to all sequence data from the World Health Organization European Region available until 10 July 2020. We highlight the importance of real-time sequencing and data dissemination in a pandemic situation, compare the nomenclatures and lay a foundation for future European genomic surveillance of SARS-CoV-2

    Elaboration d une courbe de volumes placentaires mesurés par échographie 3D à 12, 16 et 22 SA2 (résultats d une étude pilote)

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    Introduction. Il est nĂ©cessaire de dĂ©pister les pathologies vasculo-placentaires (PVP) le plus tĂŽt possible pendant la grossesse afin d amĂ©liorer leur prise en charge. Elles entrainent une diminution du volume placentaire (VP), mesurable en Ă©chographie 3D dĂšs le premier trimestre. L objectif de cette Ă©tude est d Ă©tablir une courbe de rĂ©fĂ©rence de croissance du volume placentaire en fonction de l Ăąge gestationnel, aux 1er et au 2Ăšme trimestres. MatĂ©riel et mĂ©thode. Il s agit d une Ă©tude pilote prospective monocentrique de cohorte, rĂ©alisĂ©e au CHU de Saint-Etienne sur 131 patientes. Chaque patiente a eu au moins une mesure de VP, par deux Ă©chographistes, en 3 dimensions (Logiciel VOCAL), Ă  12, 16 ou 22 SA. Les VP ont Ă©tĂ© dĂ©crits en fonction de l Ăąge gestationnel grĂące au logiciel SAS-Windows version 9. Leur relation avec les PVP, les poids des enfants, la taille des parents, et le statut de fumeuse (coefficient de Pearson) a Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©e. La variabilitĂ© inter observateur a Ă©tĂ© Ă©valuĂ©e par la mĂ©thode de Bland et Altman. RĂ©sultats. 88 VP ont Ă©tĂ© mesurĂ©s Ă  12 SA, 72 Ă  16 SA et 64 Ă  22 SA. La moyenne des VP est de 56.5 cm3 Ă  12 SA [21.8-153 cm3], 127 cm3 Ă  16 SA [51.6-230 cm3], 242 cm3 Ă  22 SA [109-508 cm3]. Ils Ă©voluent en fonction de l Ăąge gestationnel selon une courbe croissante (R2=0.73). 2 patientes ayant prĂ©sentĂ© une prĂ©-Ă©clampsie sĂ©vĂšre avec RCIU associĂ© ont des VP diminuĂ©s Ă  12 et 16 SA. La variabilitĂ© inter observateur est infĂ©rieure Ă  8%. Aucune corrĂ©lation n a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ©e entre les VP et le poids de naissance, la taille des parents, le statut de fumeuse. Discussion. Nous avons ainsi confirmĂ© la corrĂ©lation entre VP et Ăąge gestationnel. GrĂące au logiciel VOCAL, la mesure du VP s effectue rapidement. Cette mesure est reproductible jusqu Ă  22 SA, terme oĂč les placentas deviennent trop grands pour ĂȘtre mesurĂ©s. Elle est plus fiable que la mesure en 2 dimensions. En cas de PVP sĂ©vĂšre, il a Ă©tĂ© montrĂ© dans la littĂ©rature que le placenta est plus petit Ă  12, 16, et 22 SA, ce que nous retrouvons dans nos rĂ©sultats. On sait que la sensibilitĂ© de cette mesure au premier et au deuxiĂšme trimestre pour dĂ©tecter un RCIU sĂ©vĂšre est d environ 50% et sa spĂ©cificitĂ© de 80% Ă  90%. Ces valeurs sont trop faibles pour en faire un test de dĂ©pistage mais en combinant VP, doppler utĂ©rin et PAPP-A leur pouvoir de prĂ©dictivitĂ© augmente. Conclusion. Cette Ă©tude pilote prouve l homogĂ©nĂ©itĂ© et la croissance des VP Ă  12, 16 et 22 SA. Il faut poursuivre l Ă©tude pour construire une courbe de rĂ©fĂ©rence des VP utilisable en pratique clinique.ST ETIENNE-BU MĂ©decine (422182102) / SudocSudocFranceF

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    Kingman-Tajima coalescent: theory and application

    Relationship between Plasma D-Dimer Concentration and Three-Dimensional Ultrasound Placental Volume in Women at Risk for Placental Vascular Diseases: A Monocentric Prospective Study

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    International audienceINTRODUCTION:The aim of this study was to correlate placental volumes deduced from three-dimensional ultrasound and virtual organ computer-aided analysis (VOCAL) software with systemic concentrations of D-dimer and soluble endothelial protein C receptor (sEPCR).METHODS:This was a monocentric experimental prospective study conducted from October 2008 to July 2009. Forty consecutive patients at risk of placental vascular pathology (PVP) recurrence or occurrence were included. Placental volumes were systematically measured three times (11-14, 16-18 and 20-22 weeks of gestation (WG)) by two independent sonographers. D-dimers and sEPCR plasma concentrations were measured using ELISA kits (Enzyme Linked ImmunoSorbent Assay).RESULTS:Eleven patients had a PVP. The plasma D-dimer level was positively correlated with placental volume (r = 0.45, p < 0.001). A smaller placental volume and placental quotient was evidenced in women who developed a PVP at the three gestational ages, and the difference was more pronounced during the third exam (20 WG). No obvious correlation could be demonstrated between the development of a PVP and the levels of D-dimer and sEPCR. There was no significant difference in the values of placental volumes measured by the two sonographers.CONCLUSION:The placenta growth could be a major determinant of the elevation of D-dimer during pregnancy. Consideration of placental volume could allow for modulation of the D-dimer concentrations for restoring their clinical interest

    Plasma D-dimer level was positively correlated with placental volume.

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    <p>Regression graphs obtained from Spearman's rank-order correlation in order to elucidate linkage between placental volume and D-dimer. A. All patients and all measurements. B. Only patients with no PVP. C. Only patients with PVP.</p

    Placental volumes were smaller in cases of PVP.

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    <p>Summary with box plots of the distribution of values according to gestational age and the occurrence or not of a PVP. (A) Placental volume at 12, 16 and 20 WG and comparison of data based on the occurrence or not of a PVP. (B) D-dimer concentrations at 12, 16 and 20 WG and comparison of data based on the occurrence or not of a PVP. (C) sEPCR concentrations at 12, 16 and 20 WG and comparison of data based on the occurrence or not of a PVP.</p

    No relation between sEPCR and placental volume was found.

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    <p>Regression graphs obtained from Spearman's rank-order correlation in order to elucidate linkage between placental volume and sEPCR.</p

    Valeurs de rĂ©fĂ©rence du valproate de sodium (CAS n°1069-66-5). Valeurs toxicologiques de rĂ©fĂ©rence par voie orale et inhalation, valeurs limites d’exposition professionnelle et valeurs biologiques: Avis de l’Anses. Rapport d’expertise collective

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    Le site de Sanofi situĂ© Ă  Mourenx, dans le bassin industriel de Lacq (64), produit un mĂ©dicament antiĂ©pileptique, la DĂ©pakineÂź, dont le principe actif est le valproate de sodium (VPS). Ce site est une installation classĂ©e pour la protection de l’environnement (ICPE) soumise Ă  autorisation au titre de l’article L.511-1 et suivants du Code de l’environnement. Les rejets dans l’environnement d’une telle installation sont encadrĂ©s par des limites Ă©tablies sur la base d’une Ă©valuation quantitative des risques sanitaires (EQRS). En 2017, Sanofi Chimie a rĂ©alisĂ© une Ă©valuation de l’impact sur la santĂ© et l’environnement des rejets atmosphĂ©riques de valproate, en utilisant des valeurs toxicologiques de rĂ©fĂ©rence (VTR) Ă  seuil par voie orale, cutanĂ©e et respiratoire proposĂ©es par le bureau d’étude CEHTRA (Consultancy for Environmental & Human Toxicology and Risk Assessment). Parmi les diffĂ©rentes VTR proposĂ©es par CEHTRA, Sanofi a utilisĂ© les VTR fondĂ©es sur des effets tĂ©ratogĂšnes. L’EQRS conduite par la sociĂ©tĂ© AECOM pour le compte de Sanofi, en vue d’estimer les risques pour les riverains et les professionnels travaillant Ă  proximitĂ© du site, a conclu que « les risques sanitaires liĂ©s aux rejets actuels et passĂ©s de valproate [Ă©taient] infĂ©rieurs aux valeurs de rĂ©fĂ©rence » proposĂ©es par CEHTRA. L’Anses a Ă©tĂ© saisie le 29 juin 2018 par la DGS et la DGPR afin de mener, en urgence, une analyse critique des VTR du valproate Ă©laborĂ©es pour le compte de Sanofi et utilisĂ©es dans le cadre de cette EQRS. Dans son avis du 12 juillet 2018, l’Anses n’a pas remis en cause le choix de construire une VTR Ă  seuil mais n’a pas retenu les VTR Ă©laborĂ©es par les deux bureaux d’études, EQUITOX (2015) et CEHTRA (2017), Ă  partir des donnĂ©es animales et/ou humaines car de nombreuses donnĂ©es chez l’Homme disponibles dans la littĂ©rature n’avaient pas Ă©tĂ© prises en compte (Anses, 2018). Dans ce contexte, et au titre de la sĂ©curitĂ© des professionnels exposĂ©s au valproate, une campagne de mesures de la concentration d’acide valproĂŻque (VPA) dans le sang des employĂ©s de l’usine a Ă©tĂ© organisĂ©e par le service de santĂ© au travail de l’entreprise du 27 novembre Ă  la mi-dĂ©cembre 2018. Le groupe d'alerte en santĂ© travail (GAST) de Nouvelle-Aquitaine a Ă©tĂ© associĂ© au suivi de cette campagne. Pour l’analyse de cette campagne de mesures, l’entreprise Sanofi s’est rĂ©fĂ©rĂ©e Ă  une valeur biologique repĂšre dans le sang de 5 mg.L-1. Ainsi, la DGT, la DGS et la DGPR ont saisi l’Anses, le 5 avril 2019, pour mener, en urgence, une analyse critique de la valeur biologique utilisĂ©e comme repĂšre par Sanofi pour Ă©valuer l’imprĂ©gnation de ses travailleurs. Au vu des donnĂ©es disponibles, le choix du dosage du valproate dans le sang n’a pas Ă©tĂ© remis en cause. NĂ©anmoins, au regard de la cinĂ©tique d’élimination plasmatique de cette substance et de l’existence de mĂ©tabolites urinaires, il n’a pas Ă©tĂ© exclu qu’un autre biomarqueur puisse ĂȘtre un meilleur tĂ©moin de l’exposition agrĂ©gĂ©e sur une pĂ©riode plus longue. Concernant le calcul de la valeur limite biologique (VLB), l’approche basĂ©e sur la dose thĂ©rapeutique est Ă  privilĂ©gier mais la dose thĂ©rapeutique de 1200 mg.j-1 retenue pour le calcul de la VLB est critiquable compte tenu des donnĂ©es actuellement disponibles. En effet, des effets indĂ©sirables, notamment reprotoxiques, pourraient ĂȘtre observĂ©s Ă  des doses infĂ©rieures Ă  1200 mg.j-1. Par ailleurs, plusieurs incohĂ©rences ou un manque de justification de certains choix ont Ă©tĂ© relevĂ©s lors du calcul de VLB, en particulier au niveau de l’application des facteurs d’incertitude/de protection. Par consĂ©quent, la VLB de 5 mg.L-1 utilisĂ©e par Sanofi n’a pas Ă©tĂ© retenue. Enfin, ne disposant pas de suffisamment d’informations, il n’a pas Ă©tĂ© possible d’apporter un regard critique et de se prononcer sur la mĂ©thode d’analyse et les modalitĂ©s de prĂ©lĂšvement. L’Anses a, par consĂ©quent, recommandĂ© : ‐ de rĂ©aliser une revue approfondie de la littĂ©rature prenant en compte les donnĂ©es les plus rĂ©centes, en particulier chez l’Homme ; ‐ d’évaluer de maniĂšre approfondie la possibilitĂ© de recommander des valeurs de rĂ©fĂ©rence pouvant ĂȘtre utilisĂ©es pour la surveillance biologique des expositions professionnelles au valproate (Anses, 2019). Au regard des diffĂ©rents Ă©lĂ©ments, l’Anses a Ă©tĂ© saisie le 28 septembre 2018 par la DGS et la DGPR pour Ă©laborer une VTR chronique par inhalation pour le valproate de sodium, puis en avril 2019 par la DGT, la DGS et la DGPR pour dĂ©finir des valeurs de rĂ©fĂ©rence pouvant ĂȘtre utilisĂ©es pour la surveillance des expositions professionnelles au valproate

    Valeurs de rĂ©fĂ©rence du valproate de sodium (CAS n°1069-66-5). Valeurs toxicologiques de rĂ©fĂ©rence par voie orale et inhalation, valeurs limites d’exposition professionnelle et valeurs biologiques: Avis de l’Anses. Rapport d’expertise collective

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    Objet de la saisine : Dans ce contexte, l’Anses a Ă©tĂ© saisie le 28 septembre 2018 par la DGS et la DGPR afin d’élaborer une VTR chronique par inhalation pour le valproate de sodium (VPS), puis le 5 avril 2019 par laDGT, la DGS et la DGPR pour dĂ©finir des valeurs de rĂ©fĂ©rence (VR) pouvant ĂȘtre utilisĂ©es pour la surveillance biologique des expositions professionnelles au valproate (Annexe 1).Le site de Sanofi situĂ© Ă  Mourenx, dans le bassin industriel de Lacq (64), produit un mĂ©dicament antiĂ©pileptique, la DĂ©pakineÂź, dont le principe actif est le valproate de sodium (VPS). Ce site est une installation classĂ©e pour la protection de l’environnement (ICPE) soumise Ă  autorisation au titre de l’article L.511-1 et suivants du Code de l’environnement. Les rejets dans l’environnement d’une telle installation sont encadrĂ©s par des limites Ă©tablies sur la base d’une Ă©valuation quantitative des risques sanitaires (EQRS). En 2017, Sanofi Chimie a rĂ©alisĂ© une Ă©valuation de l’impact sur la santĂ© et l’environnement des rejets atmosphĂ©riques de valproate, en utilisant des valeurs toxicologiques de rĂ©fĂ©rence (VTR) Ă  seuil par voie orale, cutanĂ©e et respiratoire proposĂ©es par le bureau d’étude CEHTRA (Consultancy for Environmental & Human Toxicology and Risk Assessment). Parmi les diffĂ©rentes VTR proposĂ©es par CEHTRA, Sanofi a utilisĂ© les VTR fondĂ©es sur des effets tĂ©ratogĂšnes. L’EQRS conduite par la sociĂ©tĂ© AECOM pour le compte de Sanofi, en vue d’estimer les risques pour les riverains et les professionnels travaillant Ă  proximitĂ© du site, a conclu que « les risques sanitaires liĂ©s aux rejets actuels et passĂ©s de valproate [Ă©taient] infĂ©rieurs aux valeurs de rĂ©fĂ©rence » proposĂ©es par CEHTRA. L’Anses a Ă©tĂ© saisie le 29 juin 2018 par la DGS et la DGPR afin de mener, en urgence, une analyse critique des VTR du valproate Ă©laborĂ©es pour le compte de Sanofi et utilisĂ©es dans le cadre de cette EQRS. Dans son avis du 12 juillet 2018, l’Anses n’a pas remis en cause le choix de construire une VTR Ă  seuil mais n’a pas retenu les VTR Ă©laborĂ©es par les deux bureaux d’études, EQUITOX (2015) et CEHTRA (2017), Ă  partir des donnĂ©es animales et/ou humaines car de nombreuses donnĂ©es chez l’Homme disponibles dans la littĂ©rature n’avaient pas Ă©tĂ© prises en compte (Anses, 2018). Dans ce contexte, et au titre de la sĂ©curitĂ© des professionnels exposĂ©s au valproate, une campagne de mesures de la concentration d’acide valproĂŻque (VPA) dans le sang des employĂ©s de l’usine a Ă©tĂ© organisĂ©e par le service de santĂ© au travail de l’entreprise du 27 novembre Ă  la mi-dĂ©cembre 2018. Le groupe d'alerte en santĂ© travail (GAST) de Nouvelle-Aquitaine a Ă©tĂ© associĂ© au suivi de cette campagne. Pour l’analyse de cette campagne de mesures, l’entreprise Sanofi s’est rĂ©fĂ©rĂ©e Ă  une valeur biologique repĂšre dans le sang de 5 mg.L-1. Ainsi, la DGT, la DGS et la DGPR ont saisi l’Anses, le 5 avril 2019, pour mener, en urgence, une analyse critique de la valeur biologique utilisĂ©e comme repĂšre par Sanofi pour Ă©valuer l’imprĂ©gnation de ses travailleurs. Au vu des donnĂ©es disponibles, le choix du dosage du valproate dans le sang n’a pas Ă©tĂ© remis en cause. NĂ©anmoins, au regard de la cinĂ©tique d’élimination plasmatique de cette substance et de l’existence de mĂ©tabolites urinaires, il n’a pas Ă©tĂ© exclu qu’un autre biomarqueur puisse ĂȘtre un meilleur tĂ©moin de l’exposition agrĂ©gĂ©e sur une pĂ©riode plus longue. Concernant le calcul de la valeur limite biologique (VLB), l’approche basĂ©e sur la dose thĂ©rapeutique est Ă  privilĂ©gier mais la dose thĂ©rapeutique de 1200 mg.j-1 retenue pour le calcul de la VLB est critiquable compte tenu des donnĂ©es actuellement disponibles. En effet, des effets indĂ©sirables, notamment reprotoxiques, pourraient ĂȘtre observĂ©s Ă  des doses infĂ©rieures Ă  1200 mg.j-1. Par ailleurs, plusieurs incohĂ©rences ou un manque de justification de certains choix ont Ă©tĂ© relevĂ©s lors du calcul de VLB, en particulier au niveau de l’application des facteurs d’incertitude/de protection. Par consĂ©quent, la VLB de 5 mg.L-1 utilisĂ©e par Sanofi n’a pas Ă©tĂ© retenue. Enfin, ne disposant pas de suffisamment d’informations, il n’a pas Ă©tĂ© possible d’apporter un regard critique et de se prononcer sur la mĂ©thode d’analyse et les modalitĂ©s de prĂ©lĂšvement. L’Anses a, par consĂ©quent, recommandĂ© : ‐ de rĂ©aliser une revue approfondie de la littĂ©rature prenant en compte les donnĂ©es les plus rĂ©centes, en particulier chez l’Homme ; ‐ d’évaluer de maniĂšre approfondie la possibilitĂ© de recommander des valeurs de rĂ©fĂ©rence pouvant ĂȘtre utilisĂ©es pour la surveillance biologique des expositions professionnelles au valproate (Anses, 2019). Au regard des diffĂ©rents Ă©lĂ©ments, l’Anses a Ă©tĂ© saisie le 28 septembre 2018 par la DGS et la DGPR pour Ă©laborer une VTR chronique par inhalation pour le valproate de sodium, puis en avril 2019 par la DGT, la DGS et la DGPR pour dĂ©finir des valeurs de rĂ©fĂ©rence pouvant ĂȘtre utilisĂ©es pour la surveillance des expositions professionnelles au valproate
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