42 research outputs found
Cricket community acoustics: a new tool to detect invasive ants.
RelatĂłrio curricular de mestrado (AnĂĄlises ClĂnicas), apresentado ĂĄ Faculdade de FarmĂĄcia da Universidade de CoimbraO presente trabalho apresenta as atividades desenvolvidas no Ăąmbito do estĂĄgio
curricular, inserido no Mestrado em AnĂĄlises ClĂnicas da Faculdade de FarmĂĄcia da
Universidade de Coimbra. O referido estĂĄgio realizou-se no LaboratĂłrio de AnĂĄlises ClĂnicas
do Centro de SaĂșde Militar de Coimbra, de Dezembro de 2014 a Maio de 2015, sob a
orientação do Dr. Mårio João Roque.
Neste relatório serão apresentados os métodos usados na execução das anålises, a
sua importĂąncia clĂnica, a organização diĂĄria e o sistema de gestĂŁo de qualidade
implementado no laboratĂłrio. SerĂŁo desenvolvidos de modo mais detalhado os sectores de
hematologia e bioquĂmicaThe present work exposes the activities developed in the internship within the
context, of the MasterÂŽs degree of Clinical Analysis, of the Faculty of Pharmacy, University of
Coimbra. The training was performed at the Clinical Analysis Laboratory of Centro de SaĂșde
Militar of Coimbra, from December to May 2015, under the supervision of Dr. Mario JoĂŁo
Roque.
In this report will be present the methods used in the execution of laboratorial
assays, the clinical interest of the laboratory test, the daily organization and quality
management system implemented in the laboratory. This report presents a more detailed
description of the hematology and biochemistry sector
Passive acoustic monitoring provides a fresh perspective on fundamental ecological questions
Passive acoustic monitoring (PAM) has emerged as a transformative tool for applied ecology, conservation and biodiversity monitoring, but its potential contribution to fundamental ecology is less often discussed, and fundamental PAM studies tend to be descriptive, rather than mechanistic. Here, we chart the most promising directions for ecologists wishing to use the suite of currently available acoustic methods to address long-standing fundamental questions in ecology and explore new avenues of research. In both terrestrial and aquatic habitats, PAM provides an opportunity to ask questions across multiple spatial scales and at fine temporal resolution, and to capture phenomena or species that are difficult to observe. In combination with traditional approaches to data collection, PAM could release ecologists from myriad limitations that have, at times, precluded mechanistic understanding. We discuss several case studies to demonstrate the potential contribution of PAM to biodiversity estimation, population trend analysis, assessing climate change impacts on phenology and distribution, and understanding disturbance and recovery dynamics. We also highlight what is on the horizon for PAM, in terms of near-future technological and methodological developments that have the potential to provide advances in coming years. Overall, we illustrate how ecologists can harness the power of PAM to address fundamental ecological questions in an era of ecology no longer characterised by data limitation
Invasive Predators Deplete Genetic Diversity of Island Lizards
Invasive species can dramatically impact natural populations, especially those living on islands. Though numerous examples illustrate the ecological impact of invasive predators, no study has examined the genetic consequences for native populations subject to invasion. Here we capitalize on a natural experiment in which a long-term study of the brown anole lizard (Anolis sagrei) was interrupted by rat invasion. An island population that was devastated by rats recovered numerically following rat extermination. However, population genetic analyses at six microsatellite loci suggested a possible loss of genetic diversity due to invasion when compared to an uninvaded island studied over the same time frame. Our results provide partial support for the hypothesis that invasive predators can impact the genetic diversity of resident island populations
Silent·Cities. Paysages sonores d'un monde confiné
Laboratoire ParallĂšle est nĂ© en mars 2020 du souhait de rassembler les contributions des auteurs et des amis du catalogue des Ă©ditions Premier ParallĂšle autour de la pandĂ©mie de Coronavirus.Le format du blog permet de penser en marchant, de maniĂšre trĂšs libre, parfois expĂ©rimentale. Câest cette dimension quâil nous a semblĂ© important de mettre en avant alors que la situation change dâun jour Ă lâautre et quâon ignore encore trĂšs largement les consĂ©quences des Ă©vĂ©nements qui paralysent presque la planĂšte entiĂšre.Depuis la mise en place, Ă travers le monde, de mesures plus ou moins strictes de confinement des populations et de distanciation sociale, nombreux ont Ă©tĂ© les articles de presse incitant les citadins Ă contempler ce que dâaucuns prĂ©sentent dĂ©jĂ comme une renaturation, voire un rĂ©-ensauvagement, des espaces urbanisĂ©s. Peut-ĂȘtre traduisent-elles simplement un besoin de ne pas se laisser emporter dans un tourbillon de nouvelles anxiogĂšnes sur le plan sanitaire et socio-Ă©conomique ? Quoiquâil en soit, il nâen reste pas moins vrai quâavec la mise en place de mesures de confinement, les oiseaux font Ă nouveau entendre leurs cris et leurs chants dans les rues de nos villes, et jusque dans les centres dâacier, de verre et de ciment des mĂ©gapoles. En rĂ©vĂ©lant la richesse des sons dâorigine animale jusquâalors occultĂ©e par une multitude de sons dâorigine humaine, la diminution soudaine des flux physiques urbains façonne des paysages sonores littĂ©ralement extraordinaires. Dans ce contexte et par le projet collaboratif Silent·Cities, un petit groupe de quatre chercheurs en gĂ©ographie environnementale, en biologie, en Ă©cologie et en intelligence artificielle sâest rapidement organisĂ© pour mettre sur pieds un projet collaboratif visant Ă documenter ces paysages sonores atypiques Ă lâaide de relevĂ©s acoustiques dans de nombreuses villes du monde
Silent·Cities. Paysages sonores d'un monde confiné
Laboratoire ParallĂšle est nĂ© en mars 2020 du souhait de rassembler les contributions des auteurs et des amis du catalogue des Ă©ditions Premier ParallĂšle autour de la pandĂ©mie de Coronavirus.Le format du blog permet de penser en marchant, de maniĂšre trĂšs libre, parfois expĂ©rimentale. Câest cette dimension quâil nous a semblĂ© important de mettre en avant alors que la situation change dâun jour Ă lâautre et quâon ignore encore trĂšs largement les consĂ©quences des Ă©vĂ©nements qui paralysent presque la planĂšte entiĂšre.Depuis la mise en place, Ă travers le monde, de mesures plus ou moins strictes de confinement des populations et de distanciation sociale, nombreux ont Ă©tĂ© les articles de presse incitant les citadins Ă contempler ce que dâaucuns prĂ©sentent dĂ©jĂ comme une renaturation, voire un rĂ©-ensauvagement, des espaces urbanisĂ©s. Peut-ĂȘtre traduisent-elles simplement un besoin de ne pas se laisser emporter dans un tourbillon de nouvelles anxiogĂšnes sur le plan sanitaire et socio-Ă©conomique ? Quoiquâil en soit, il nâen reste pas moins vrai quâavec la mise en place de mesures de confinement, les oiseaux font Ă nouveau entendre leurs cris et leurs chants dans les rues de nos villes, et jusque dans les centres dâacier, de verre et de ciment des mĂ©gapoles. En rĂ©vĂ©lant la richesse des sons dâorigine animale jusquâalors occultĂ©e par une multitude de sons dâorigine humaine, la diminution soudaine des flux physiques urbains façonne des paysages sonores littĂ©ralement extraordinaires. Dans ce contexte et par le projet collaboratif Silent·Cities, un petit groupe de quatre chercheurs en gĂ©ographie environnementale, en biologie, en Ă©cologie et en intelligence artificielle sâest rapidement organisĂ© pour mettre sur pieds un projet collaboratif visant Ă documenter ces paysages sonores atypiques Ă lâaide de relevĂ©s acoustiques dans de nombreuses villes du monde
Silent·Cities, un projet collaboratif pour lâexploration des paysages sonores dâun monde confinĂ©
International audienceLundi 16 mars 2020. Pour freiner la propagation de lâĂ©pidĂ©mie de Covid-19, le chef de lâĂtat français annonce la mise en Ćuvre de mesures strictes de confinement de la population applicables Ă lâensemble du territoire national dĂšs le lendemain midi. Les interdictions de dĂ©placement mettent alors les villes Ă lâarrĂȘt, ammenant certains chercheurs Ă parler dâanthropause pour qualifier cet Ă©vĂšnement [1]. En pleine survenue du printemps sous nos latitudes, ce premier confinement donne lâopportunitĂ© aux citadins de redĂ©couvrir certains sons biologiques qui, depuis longtemps dĂ©jĂ , nâoccupaient plus le devant de la scĂšne urbaine. Câest dans ce contexte que les auteurs de la prĂ©sente communication ont donnĂ© naissance au projet Silent·Cities [2]. Lâobjectif principal de ce projet est dâapporter une contribution originale Ă la connaissance et Ă la comprĂ©hension des transformations de nos environnements quotidiens par lâagir anthropocĂ©nique [3], et ce grĂące Ă lâexploration collaborative et interdisciplinaire des paysages sonores de villes confinĂ©es Ă travers le monde.Par cette communication, nous exposons tout dâabord la naissance du projet Silent·Cities â Ă savoir la dĂ©finition des questions de recherche, lâorganisation pratique et les difficultĂ©s liĂ©es aux temporalitĂ©s du projet et Ă sa structuration âchemin faisantâ. Nous prĂ©sentons ensuite le jeu de donnĂ©es rĂ©coltĂ© par un rĂ©seau international de participants et les dĂ©fis posĂ©s tant par son organisation (partage des collections, stockage) que par son exploitation (validation de donnĂ©es issues dâune pluralitĂ© de contributeurs). Nous discutons enfin des premiers rĂ©sultats obtenus ainsi que des pistes de travail associĂ©es Ă un tel jeu de donnĂ©es, notamment dans une perspective socioĂ©cologique qui fait du souci de la nature [4] en ville le moteur dâun dĂ©bat collectif plus large [5] visant Ă redĂ©finir lâespace de vie que nos sociĂ©tĂ©s acceptent de partager avec le vivant non humain parmi lequel elles Ă©voluent.â[1] Rutz C, Loretto MC, Bates AE, Davidson SC, Duarte CM, Jetz W, et al. (2020). COVID-19 lockdown allows researchers to quantify the effects of human activity on wildlife. Nature Ecology & Evolution. 4(9):1156-1159.[2] ChallĂ©at, S., Farrugia, N., Gasc, A., Froidevaux, J., Pajusco, N., ... & Galop, D. (2020). Silent·Cities.[3] Bonneuil, C., & Fressoz, J.-B. (2013). LâĂ©vĂ©nement anthropocĂšne. La terre, lâhistoire et nous. Paris, Le Seuil, collection âAnthropocĂšneâ, 304 p.[4] Fleury, C., & PrĂ©vot, A. C. (2017). Le souci de la nature. Apprendre, inventer, gouverner. Paris, CNRS Ăditions, 378 p.[5] Voir par exemple les diffĂ©rentes contributions au numĂ©ro thĂ©mathique de la revue Ethnologie française, 40(4), Quand la nature sâurbanise. Sous la dir. de Bonnin, P., & Clavel, M
Silent·Cities, un projet collaboratif pour lâexploration des paysages sonores dâun monde confinĂ©
International audienceLundi 16 mars 2020. Pour freiner la propagation de lâĂ©pidĂ©mie de Covid-19, le chef de lâĂtat français annonce la mise en Ćuvre de mesures strictes de confinement de la population applicables Ă lâensemble du territoire national dĂšs le lendemain midi. Les interdictions de dĂ©placement mettent alors les villes Ă lâarrĂȘt, ammenant certains chercheurs Ă parler dâanthropause pour qualifier cet Ă©vĂšnement [1]. En pleine survenue du printemps sous nos latitudes, ce premier confinement donne lâopportunitĂ© aux citadins de redĂ©couvrir certains sons biologiques qui, depuis longtemps dĂ©jĂ , nâoccupaient plus le devant de la scĂšne urbaine. Câest dans ce contexte que les auteurs de la prĂ©sente communication ont donnĂ© naissance au projet Silent·Cities [2]. Lâobjectif principal de ce projet est dâapporter une contribution originale Ă la connaissance et Ă la comprĂ©hension des transformations de nos environnements quotidiens par lâagir anthropocĂ©nique [3], et ce grĂące Ă lâexploration collaborative et interdisciplinaire des paysages sonores de villes confinĂ©es Ă travers le monde.Par cette communication, nous exposons tout dâabord la naissance du projet Silent·Cities â Ă savoir la dĂ©finition des questions de recherche, lâorganisation pratique et les difficultĂ©s liĂ©es aux temporalitĂ©s du projet et Ă sa structuration âchemin faisantâ. Nous prĂ©sentons ensuite le jeu de donnĂ©es rĂ©coltĂ© par un rĂ©seau international de participants et les dĂ©fis posĂ©s tant par son organisation (partage des collections, stockage) que par son exploitation (validation de donnĂ©es issues dâune pluralitĂ© de contributeurs). Nous discutons enfin des premiers rĂ©sultats obtenus ainsi que des pistes de travail associĂ©es Ă un tel jeu de donnĂ©es, notamment dans une perspective socioĂ©cologique qui fait du souci de la nature [4] en ville le moteur dâun dĂ©bat collectif plus large [5] visant Ă redĂ©finir lâespace de vie que nos sociĂ©tĂ©s acceptent de partager avec le vivant non humain parmi lequel elles Ă©voluent.â[1] Rutz C, Loretto MC, Bates AE, Davidson SC, Duarte CM, Jetz W, et al. (2020). COVID-19 lockdown allows researchers to quantify the effects of human activity on wildlife. Nature Ecology & Evolution. 4(9):1156-1159.[2] ChallĂ©at, S., Farrugia, N., Gasc, A., Froidevaux, J., Pajusco, N., ... & Galop, D. (2020). Silent·Cities.[3] Bonneuil, C., & Fressoz, J.-B. (2013). LâĂ©vĂ©nement anthropocĂšne. La terre, lâhistoire et nous. Paris, Le Seuil, collection âAnthropocĂšneâ, 304 p.[4] Fleury, C., & PrĂ©vot, A. C. (2017). Le souci de la nature. Apprendre, inventer, gouverner. Paris, CNRS Ăditions, 378 p.[5] Voir par exemple les diffĂ©rentes contributions au numĂ©ro thĂ©mathique de la revue Ethnologie française, 40(4), Quand la nature sâurbanise. Sous la dir. de Bonnin, P., & Clavel, M