303 research outputs found

    SIG ChAOS : Représentation (La) de l'environnement sonore urbain à l'aide d'un système d'information géographique, Tome 1 et 2

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    Cette recherche a pour but de développer la représentation qualitative des phénomènes sonores urbains dans le sens d'une exploitation opérationnelle, en explorant les possibilités d'un Système d'Information Géographique (SIG)

    Conception d'une légende interactive et forable pour le SOLAP

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    Afin de palier au manque d'efficacité des SIG en tant qu'outil d'aide à la décision (granularités multiples, rapidité, convivialité, temporalité), différentes saveurs d'outils SOLAP (Spatial OLAP) ont vu le jour dans les centres de recherche et fournisseurs de logiciels (CRG/Kheops/Syntell, SFU/DBMiner, Proclarity, Cognos, Microsoft, Beyond 20/20, ESRI, MapInfo, etc.). Combinant des fonctions SIG avec l'informatique décisionnelle (entrepôts de données, OLAP, data mining), le SOLAP est décrit comme un "logiciel de navigation rapide et facile dans les bases de données spatiales qui offre plusieurs niveaux de granularité d'information, plusieurs époques, plusieurs thèmes et plusieurs modes de visualisation synchronisés ou non: cartes, tableaux et graphiques statistiques (Bédard 2004). Le SOLAP facilite l'exploration volontaire des données spatiales pour aider l'utilisateur à détecter les corrélations d'informations, les regroupements potentiels, les tendances dissimulées dans un amas de données à référence spatiale, etc. Le tout se fait par simple sélection/click de souris (pas de langage SQL) et des opérations simples comme : le forage, le remontage ou le forage latéral. Il permet à l'utilisateur de se focaliser sur les résultats des opérations au lieu de l'analyse du processus de navigation. Le SOLAP étant amené à prendre de l'essor au niveau des fonctions qu'il propose, il devient important de proposer des améliorations à son interface à l'usager de manière à conserver sa facilité d'utilisation. Le développement d'une légende interactive et forable fut la première solution en ce genre proposée par Bédard (Bédard 1997). Nous avons donc retenu cette piste pour la présente recherche, étudié la sémiologie graphique et son applicabilité à l'analyse multidimensionnelle, analysé ce qui existait dans des domaines connexes, exploré différentes alternatives permettant de résoudre le problème causé par l'enrichissement des fonctions de navigation, construit un prototype, recueilli des commentaires d'utilisateurs SOLAP et proposé une solution. Tout au long de cette recherche, nous avons été confrontés à une absence de littérature portant explicitement sur le sujet (les SOLAP étant trop nouveaux), à des corpus théoriques qu'il fallait adapter (sémiologie, interface homme-machine, visualisation scientifique, cartographie dynamique) et à des besoins en maquettes et prototypes pour illustrer les solutions envisagées. Finalement, cette recherche propose une solution parmi plusieurs; cependant, son principal intérêt est davantage l'ensemble des réflexions et considérations mises de l'avant tout au long du mémoire pour arriver au résultat proposé que la solution proposée en elle-même. Ce sont ces réflexions théoriques et pratiques qui permettront d'améliorer l'interface à l'usager de tout outil SOLAP grâce au nouveau concept de légende interactive et forable

    De l’État au citoyen, redistribution des cartes : éléments d’une histoire de la cartographie

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    La carte, instrument visuel puissant connaît alors un fort engouement et dépasse très largement le cercle des experts avec les géographes et les cartographes professionnels. La profusion de cartes soulève des questionnements sur les usages de la carte mais également sur la formation des cartographes face aux nouveaux enjeux numériques et au développement de projets participatifs. Depuis la fin des années 1980, la cartographie participative est devenue un outil incontournable pour les programmes d'aide au développement. L'expression « cartographie participative » s'est développée ces dix dernières années et aujourd'hui, le terme de néocartographie est utilisé et reconnu par l’ACI (International Cartographic Association) pour qualifier ce processus de construction de carte.Ces cartes participatives matérialisent des réalités invisibles sur les cartes thématiques classiques ; localisent des lieux porteurs de sens pour les communautés (installations non permanentes, informelles) et ne se limitent pas à présenter des informations relatives aux caractéristiques géographiques. Elles illustrent des informations relatives à l’utilisation des terres, à la mythologie, aux usages locaux, aux savoir-faire, aux rites, souvent difficiles à intégrer et analyser dans une base de données géoréférencées.Maps are very powerful visual instruments which have caused strong enthusiasm way beyond the expert community with professional geographers and mapmakers. The profusion of maps raises questions on their use as well as on mapmakers’ training with regards to the new digital stakes and the development of participatory projects. Since the late 1980s, participatory mapping has become an essential tool for development assistance programs. The expression “participatory mapping” has developed over the last ten years and today the term “neocartography” is used and acknowledged by the ICA (International Cartographic Association) to qualify this mapmaking process. These participatory maps give tangible forms to invisible realities on traditional thematic maps; they locate places that are meaningful to communities (non-permanent and informal facilities) and are not limited to presenting information about geographic characteristics. They illustrate information about the use of land, the mythology, the local customs, the know-how, the rituals, often difficult to include and analyze in a geo-referenced database

    Les enjeux de transmission et de valorisation des patrimoines sonores en territoires : l\u27exemple du Centre des Musiques traditionnelles Rhône-Alpes

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    Mémoire de Master 2 Cultures de l\u27écrit et de l\u27image traitant des archives sonores du Centre des Musiques traditionnelles Rhône-Alpes et des enjeux de transmission et de valorisation de ces patrimoines

    Landscape Maps – Horizons to Share

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    peer reviewedLe paysage, entendu comme interface relationnelle entre les vivants et l’espace, est un potentiel activateur de nos puissances sensibles et politiques, portant notre attention sur ce qui fait sens dans les manières d’habiter la Terre. Le concept d’écosophie développé par Félix Guattari offre un outil complémentaire pour penser les relations entre l’individu, le groupe social et le monde. Il nous encourage à redonner de l’importance à l’approche sensible du sujet et à la manière dont chacun envisage ses relations aux autres et à l’environnement. Le changement de paradigme en cours nous invitant à trouver de nouvelles représentations de la Terre qui traduisent sa dimension vécue, partagée et habitée, c’est par les opérations cartographiques, à partir d’un recueil de témoignages singuliers, que nous proposons une tentative de restitution du caractère politique de l’expérience du paysage en territoire situé

    La sélénographie au XVIIe siècle : support des interrogations géographiques et espace de projection des enjeux politiques, intellectuels et institutionnels

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    Développée dans la première moitié du dix-septième siècle, la cartographie lunaire, dite sélénographie, a été conçue comme un instrument pour l’augmentation du savoir des longitudes par des méthodes astronomiques. Elle était en même temps une innovation technique et un objet de prestige dont la production et l’échange alimentait les pratiques de sociabilité de la culture du mécénat scientifique. La sélénographie a été aussi une pratique savante où se reconfiguraient des cadres conceptuels et pratiques de la géographie au moyen de l’analogie Terre-Lune, outil heuristique qui donnait une cohérence visuelle et conceptuelle à l’image du satellite reconstruite à travers la lunette. De même que la désignation de l’espace terrestre, l’établissement des nomenclatures lunaires a été un lieu d’enjeux intellectuels, confessionnels et politiques. Cet article analyse les trois nomenclatures lunaires connues du dix-septième siècle, lesquelles ont été publiées dans trois sélénographies des milieux culturels distincts : Plenilunni Lumina Austriaca Philippica de Michael Van Langren (Bruxelles, 1645), Selenographia de Johannes Hevelius (Gdansk, 1647) et l’Almagestum Novum de Giambattista Riccioli (Bologna, 1651).Maps of the Moon or selenographies were developed in the first half of the seventeenth century as instruments for perfecting the determination of longitude by astronomical methods. They were at the same time technical innovations and objects of prestige that played a part in the sociability of production and exchange of scientific patronage. Selenography was also an erudite practice in which conceptual and practical frameworks from geography were reconfigured through the Earth-Moon analogy, a heuristic tool that gave visual and conceptual coherence to the image inspected through the telescope. As with the naming of the terrestrial space, the establishment of lunar nomenclatures was a sphere of intellectual, confessional and political controversy. This article analyses the three known lunar nomenclatures of the seventeenth century, which were published in contrasting cultural contexts: Plenilunni Lumina Austriaca Philippica by Michael Van Langren (Bruxelles, 1645), Selenographia by Johannes Hevelius (Gdansk, 1647), and Almagestum Novum by Giambattista Riccioli (Bologna, 1651)

    L'image de Rhodes à la Renaissance : les enjeux d'une représentation

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    Les XVe et XVIe siècles sont les témoins de grands bouleversements au niveau des arts et de la science et sont traversés par des tensions politiques et religieuses extrêmes. L’Empire ottoman, alors en pleine expansion, s’avançait dangereusement vers l’Occident chrétien lui-même déchiré par d’innombrables conflits internes. Située à quelques kilomètres à peine des côtes anatoliennes, l’île de Rhodes représentait un obstacle aux conquêtes de la Sublime Porte et était vue par les Occidentaux comme le dernier bastion chrétien en Méditerranée orientale. Assiégée en 1480 et finalement prise par Suleyman le Magnifique en 1522, l’île occupait une place importante dans l’imagerie occidentale de l’époque comme symbole de la lutte contre l’Empire ottoman. Dans un contexte de découvertes où se développaient les connaissances sur la géographie et où l’on se questionnait sur l’espace et la manière de le représenter, les représentations chorographiques et géographiques de Rhodes se multipliaient. Ces images mettent en scène une vision occidentale des Ottomans ainsi que la réalité conflictuelle des rapports de pouvoir entre l’Orient et l’Occident à la Renaissance. Elles sont étudiées non pas uniquement comme forme d’expression artistique mais comme constructions culturelles porteuses de l’idéologie et des impératifs territoriaux des sociétés européennes. Ce mémoire, à travers l’étude d’un corpus d’images choisies, analyse ces représentations de manière à mettre en lumière leur lien intrinsèque avec la notion de pouvoir et l’idée de possession territoriale.The fifteenth and sixteenth centuries saw great breakthroughs in the arts and sciences and were traversed by extreme political and religious tensions. The Ottoman Empire, then in full expansion, advanced dangerously towards the Christian West, which was itself torn by innumerable internal conflicts. Located only a few kilometers from the Anatolian coast, the island of Rhodes represented an obstacle to the conquests of the Ottoman Porte, and was seen by the West as the last Christian stronghold in the eastern Mediterranean. Besieged in 1480 and finally taken by Suleyman the Magnificent in 1522, the island occupied an important place in the Western imagery of the time as a symbol of the struggle against the Ottoman Empire. In a context of discoveries and increasing knowledge about geography, and of questioning the space and the way to represent it, the geographical and chorographical representations of Rhodes multiplied. These images depict a Western vision of the Ottomans and the conflictual reality of power relationships between the East and the West during the Renaissance. They are studied not only as forms of artistic expression but as cultural constructions carrying the ideology and the territorial imperatives of the european societies. This dissertation, through the study of a corpus of chosen images, analyzes these representations in order to highlight their intrinsic link with the notion of power and the idea of territorial possession
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