63,589 research outputs found

    Valeur des bibliothèques pour la recherche et les chercheurs (La)

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    Ce document est la traduction d’un rapport publié en mars 2011 par le Research Information Network (RIN) et Research Libraries United Kingdom (RLUK) du Royaume-Uni. Ce rapport présente les conclusions d’une étude sur la valeur des services des bibliothèques aux chercheurs et à la recherche au Royaume-Uni. L’étude repose sur : -une analyse quantitative des données statistiques disponibles sur 67 institutions d’enseignement supérieur du Royaume-Uni pour déterminer s’il existe une corrélation entre l’activité de la bibliothèque et les performances en matière de recherche ; -une analyse qualitative menée auprès des bibliothécaires et chercheurs de neufs institutions d’enseignement supérieur du Royaume-Uni, aux caractéristiques variées, entre avril et septembre 2010, par le biais d’entrevues et de focus groups

    Conditional variances in UK regional house prices

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    The returns of house price indices for the 13 UK regions are modelled using time series processes, including conditional variances. The first conclusion is that the UK follows the USA, with some regions displaying time-varying variances and others with constant variances. Secondly, there is limited evidence of an asymmetric component in six of the seven regions displaying autoregressive conditional heteroskedasticity. Thirdly, the results suggest that there are three distinct housing markets in the UK, based on common structures within their mean and variance processes, and that South West England is the region driving the other time-varying variances. Variances conditionnelles dans les prix regionaux de l'immobilier au Royaume-Uni Resume Les resultats de l'indice des prix de l'immobilier pour les 13 regions du Royaume-Uni sont modelises ici au moyen de procedes de series chronologiques, y compris des variances conditionnelles. La premiere conclusion est que le Royaume-Uni suit les Etats-Unis, certaines regions presentant des variances temporelles, d'autres des variances constantes. Deuxiemement, on releve peu de traces d'un composant asymetrique dans six des sept regions presentant une heteroscedasticite conditionnelle autoregressive. Troisiemement, les resultats indiquent qu'il y aurait trois marches de l'immobilier distincts au Royaume-Uni, sur la base de structures communes dans le cadre de leurs procedes moyens et de variance, et que le sud-ouest de l'Angleterre est la region qui dynamise les autres variances temporelles. Varianzas condicionales en los precios regionales de la vivienda en el Reino Unido Extracto Las cifras de los indices de precios de la vivienda en 13 regiones del Reino Unido se modelan utilizando procesos de series temporales, incluyendo varianzas condicionales. La primera conclusion es que el Reino Unido sigue a los EE UU, con varias regiones que muestran varianzas fluctuantes con el tiempo y otras con varianzas constantes. En segundo lugar, existe evidencia limitada de un componente asimetrico en seis de las siete regiones que muestran una heteroesquedacidad condicional autorregresiva. En tercer lugar, los resultados sugieren que existen tres mercados distintivos de la vivienda en el Reino Unido, basados en estructuras comunes dentro de sus procesos de media y varianza, y que el sudoeste de Inglaterra es la region que dirige las otras varianzas fluctuantes con el tiemp

    Royaume-Uni : mission impossible

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    Le PIB britannique, qui n’avait cessé de baisser depuis le deuxième trimestre 2008, a enfin augmenté au dernier trimestre 2009, de 0,4 %. Le retour de la croissance est plus tardif qu’en France ou en Allemagne où la production a recommencé à croître dès le deuxième trimestre 2009. Dans la crise, le PIB aura chuté de 6,2 % au Royaume-Uni, nettement plus qu’en France (- 3,5 %) et dans l’ensemble de la zone euro (- 5,1 %), mais moins qu’en Allemagne (- 6,8 %). Au printemps 2010, le Royaume-Uni est dans une situation singulière par rapport à ses principaux voisins de l’Union européenne (UE) : alors que l’économie est clairement en sous-emploi, l’inflation est soutenue (3 % sur un an en février pour l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH), contre 0,9 % dans la zone euro), du fait de la dépréciation passée de la livre et du relèvement du taux de TVA en janvier dernier. Le taux de chômage a augmenté de 2 points pendant la crise, soit une hausse relativement modérée au regard de la chute de production, pour s’établir à 7,8 % (au sens du BIT) à la fin 2009, contre 9,9 % dans la zone euro. Le déficit public s’est creusé de 2,7 % du PIB en 2007 à 11,4 % en 2009, principalement sous l’effet de la chute des recettes. La dette publique au sens de Maastricht a atteint 68 % du PIB en 2009, contre 78 % dans la zone euro. Le gouvernement s’est donné l’objectif de réduire les déficits de moitié d’ici 2013-2014 1. Les Conservateurs souhaitent réduire plus rapidement encore les déficits s’ils gagnent les élections générales qui auront lieu en mai. Le prochain gouvernement, quel que soit le résultat des élections, se sera donné une mission impossible : réduire fortement les déficits alors que la croissance n’est pas encore suffisamment solide. [Premier paragraphe

    La "constitution financière" du Royaume-Uni

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    International audienceTraiter de la « constitution financière » du Royaume-Uni à l'occasion d'un colloque portant sur le « droit public britannique » pose deux problèmes préalables. Le premier tient au fait que les finances publiques ne sont pas un champ d'étude juridique au Royaume-Uni. Le deuxième est l'expression « constitution financière ». Elle est incertaine en France. Elle l'est encore plus au Royaume-Uni où la notion même de constitution a une résonance bien particulière. Si pour l’essentiel le cadre général des finances publiques britanniques est précisé dans des textes de loi ou codifié dans le règlement des Chambres du Parlement, de nombreuses règles proviennent d’abord de pratiques, de conventions et d’usages. Trois principes historiques du droit budgétaire britannique se sont imposés au sortir du XVIIème siècle (1.). Un grand nombre de règles organisent la procédure budgétaire britannique, qu’il s’agisse de l’examen séparé des dépenses et des recettes, des pouvoirs respectifs des deux Chambres du Parlement ou des prérogatives des parlementaires (2.). A une époque plus récente, de nouvelles règles sont apparues, telles la « règle de Barnett » pour répartir les dotations financières entre les différentes régions du Royaume-Uni ou encore la « règle d’or » des finances publiques que le gouvernement de coalition de David Cameron a mis en place en réaction à la crise économique de 2008 (3.). Enfin, le législateur a fixé avec précision les règles de la comptabilité publique ainsi que le cadre dans lequel s’exerce le contrôle de l’exécution budgétaire (4.)

    Royaume-Uni : vitesse limitée.

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    Cette publication n'a pas de résumé

    Royaume-Uni : virage dangereux

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    Depuis la fin 2009, l’économie britannique a retrouvé le chemin de la croissance : le PIB a augmenté de 1,2 % au deuxième trimestre 2010, après avoir enregistré une hausse de 0,4 % au premier trimestre comme au trimestre précédent. Ces trois trimestres consécutifs de croissance sont cependant loin d’avoir effacé l’impact de la crise sur l’activité : le PIB reste inférieur de 4,7 % à son niveau du premier trimestre 2008. Pour la première fois depuis le début de la crise, l’emploi a augmenté au deuxième trimestre 2010, soit de 0,6 %. Ceci s’est accompagné d’une baisse de 0,2 point du taux de chômage (mesuré selon le concept du BIT) à 7,8 %, alors qu’il était de 5,2 % au début 2008. [Premier paragraphe

    Royaume-Uni : mission impossible

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    Le PIB britannique, qui n’avait cessé de baisser depuis le deuxième trimestre 2008, a enfin augmenté au dernier trimestre 2009, de 0,4 %. Le retour de la croissance est plus tardif qu’en France ou en Allemagne où la production a recommencé à croître dès le deuxième trimestre 2009. Dans la crise, le PIB aura chuté de 6,2 % au Royaume-Uni, nettement plus qu’en France (- 3,5 %) et dans l’ensemble de la zone euro (- 5,1 %), mais moins qu’en Allemagne (- 6,8 %). Au printemps 2010, le Royaume-Uni est dans une situation singulière par rapport à ses principaux voisins de l’Union européenne (UE) : alors que l’économie est clairement en sous-emploi, l’inflation est soutenue (3 % sur un an en février pour l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH), contre 0,9 % dans la zone euro), du fait de la dépréciation passée de la livre et du relèvement du taux de TVA en janvier dernier. Le taux de chômage a augmenté de 2 points pendant la crise, soit une hausse relativement modérée au regard de la chute de production, pour s’établir à 7,8 % (au sens du BIT) à la fin 2009, contre 9,9 % dans la zone euro. Le déficit public s’est creusé de 2,7 % du PIB en 2007 à 11,4 % en 2009, principalement sous l’effet de la chute des recettes. La dette publique au sens de Maastricht a atteint 68 % du PIB en 2009, contre 78 % dans la zone euro. Le gouvernement s’est donné l’objectif de réduire les déficits de moitié d’ici 2013-2014 1. Les Conservateurs souhaitent réduire plus rapidement encore les déficits s’ils gagnent les élections générales qui auront lieu en mai. Le prochain gouvernement, quel que soit le résultat des élections, se sera donné une mission impossible : réduire fortement les déficits alors que la croissance n’est pas encore suffisamment solide. [Premier paragraphe

    Royaume-Uni : turbulences passagères ?

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    Le PIB britannique a augmenté de 3,1 % en glissement sur un an au deuxième trimestre 2007, comme au cours des deux trimestres précédents. Cette stabilité tranche avec le ralentissement amorcé aux États-Unis (1,6 % en glissement au deuxième trimestre, après 2,5 % lors des deux trimestres précédents) et dans la zone euro (2,9 % en glissement au deuxième trimestre après 3,5 % lors des deux trimestres précédents). De fait, la croissance britannique a fait preuve d’une stabilité inhabituelle depuis plusieurs années, que ce soit par rapport à celles des grandes économies industrielles et au regard du passé : l’économie britannique est entrée à l’été 2007 dans sa seizième année de croissance consécutive, un record. [Premier paragraphe

    Royaume-Uni : vitesse limitée

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    La croissance a fortement ralenti en 2005 en moyenne annuelle au Royaume-Uni, le PIB n’affichant plus qu’une hausse de 1,8 % après 3,1 % en 2004. L’écart de croissance s’est ainsi fortement réduit vis-à-vis de la zone euro (où la croissance s’est établie à 1,4 % en 2005 après 1,8 % en 2004). Sous l’effet du durcissement de la politique monétaire, la croissance britannique avait en fait ralenti dès le deuxième trimestre 2004 et a atteint un point bas au premier trimestre 2005 (0,2 % de croissance seulement) avant de retrouver une croissance voisine de 0,5 % par trimestre jusqu’à la fin 2005. À la fin mars 2006, les indicateurs conjoncturels suggèrent une accélération de la croissance au premier semestre. Mais à l’horizon 2007, la croissance serait bridée par une politique monétaire neutre et une politique budgétaire légèrement restrictive, par la poursuite de la reconstitution de l’épargne des ménages et par une demande extérieure toujours peu dynamique en provenance de la zone euro. La croissance serait voisine de 2,4 % chacune des deux années, soit légèrement en deçà de son rythme tendanciel estimé à 2,7 %. [Premier paragraphe
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