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    Entre permis forestier et permis minier, la diff icile Ă©mergence des forĂŞts communautaires au Gabon

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    A l’heure de l’attribution des premières forêts communautaires au Gabon, de multiples questions surgissent et attendent de manière urgente une réponse de la part de l’Etat. Le présent article se penche sur l’une d’entre elles, à savoir la superposition des permis d’exploitation (minier, forestier) avec l’espace utilisé traditionnellement par les communautés locales et candidates à l’obtention d’une forêt communautaire. Quelques situations rencontrées sur le terrain sont présentées et discutées. Il est urgent qu’un réel aménagement du territoire voie le jour au Gabon, qui détermine la place de chaque activité, hiérarchise l’affectation de l’espace et détermine le cas échéant les conditions de « cohabitation » de plusieurs permis.Projet Développement d'alternatives Communautaires à la Foresterie Illégale (DACEFI

    Etat des Lieux de L’architecture et de L’urbanisme Bioclimatique dans L’aménagement Urbain de la Ville de Lomé au Togo

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    La ville de LomĂ© connait depuis plus de quatre dĂ©cennies une urbanisation relativement galopante qui paralyse sa durabilitĂ©. Les pratiques de construction constituent un axe important de lecture de cette entrave Ă  la durabilitĂ©. En effet, l’on constate que la majoritĂ© des projets d’amĂ©nagement urbain de la ville de LomĂ© prennent des formes hĂ©tĂ©roclites avec un mimĂ©tisme Ă  outrance de l’amĂ©nagement urbain des villes europĂ©ennes et celles des autres continents. L’on se pose alors la question de savoir en quoi les pratiques architecturales et urbanistiques de construction qui ne sont pas forcĂ©ment endogènes peuvent entraver la durabilitĂ© urbaine. Pour apprĂ©hender la question, la posture mĂ©thodologique est transdisciplinaire et encrĂ© dans l’approche qualitative. Il ressort suivant une analyse chronologique que, avant et pendant la colonisation l’architecture et l’urbanisme de ces pĂ©riodes prennent en compte, l’amĂ©nagement bioclimatique. Toutefois, les pratiques de construction après les annĂ©es 1960 sont peut respectueuses de l’environnement et ne respectent pas les principes de l’urbanisme et de l’architecture bioclimatiques. Ces pratiques compromettent la durabilitĂ© urbaine dans la ville de LomĂ©.   The city of LomĂ© has been experiencing a rapid urbanization for more than four decades, which paralyzes its sustainability. Construction practices constitute an important axis for reading this obstacle to sustainability. Indeed, it is noted that the majority of urban development projects in the city of LomĂ© take heterogeneous forms with excessive mimicry of the urban development of European cities and those of other continents. The question then arises as to how architectural and urban construction practices that are not necessarily endogenous can hinder urban sustainability. In order to apprehend the question, the methodological posture is transdisciplinary and rooted in the qualitative approach. It emerges from a chronological analysis that, before and during colonization, the architecture and urban planning of these periods take into account bioclimatic planning. However, building practices after the 1960s are not environmentally friendly and do not respect the principles of bioclimatic urbanism and architecture. These practices compromise urban sustainability in the city of LomĂ©

    Etat des Lieux de L’architecture et de L’urbanisme Bioclimatique dans L’aménagement Urbain de la Ville de Lomé au Togo

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    La ville de LomĂ© connait depuis plus de quatre dĂ©cennies une urbanisation relativement galopante qui paralyse sa durabilitĂ©. Les pratiques de construction constituent un axe important de lecture de cette entrave Ă  la durabilitĂ©. En effet, l’on constate que la majoritĂ© des projets d’amĂ©nagement urbain de la ville de LomĂ© prennent des formes hĂ©tĂ©roclites avec un mimĂ©tisme Ă  outrance de l’amĂ©nagement urbain des villes europĂ©ennes et celles des autres continents. L’on se pose alors la question de savoir en quoi les pratiques architecturales et urbanistiques de construction qui ne sont pas forcĂ©ment endogènes peuvent entraver la durabilitĂ© urbaine. Pour apprĂ©hender la question, la posture mĂ©thodologique est transdisciplinaire et encrĂ© dans l’approche qualitative. Il ressort suivant une analyse chronologique que, avant et pendant la colonisation l’architecture et l’urbanisme de ces pĂ©riodes prennent en compte, l’amĂ©nagement bioclimatique. Toutefois, les pratiques de construction après les annĂ©es 1960 sont peut respectueuses de l’environnement et ne respectent pas les principes de l’urbanisme et de l’architecture bioclimatiques. Ces pratiques compromettent la durabilitĂ© urbaine dans la ville de LomĂ©.   The city of LomĂ© has been experiencing a rapid urbanization for more than four decades, which paralyzes its sustainability. Construction practices constitute an important axis for reading this obstacle to sustainability. Indeed, it is noted that the majority of urban development projects in the city of LomĂ© take heterogeneous forms with excessive mimicry of the urban development of European cities and those of other continents. The question then arises as to how architectural and urban construction practices that are not necessarily endogenous can hinder urban sustainability. In order to apprehend the question, the methodological posture is transdisciplinary and rooted in the qualitative approach. It emerges from a chronological analysis that, before and during colonization, the architecture and urban planning of these periods take into account bioclimatic planning. However, building practices after the 1960s are not environmentally friendly and do not respect the principles of bioclimatic urbanism and architecture. These practices compromise urban sustainability in the city of LomĂ©

    Projet DACEFI 2. Atlas cartographique. Présentation des outils d'analyse spatiale et d'aide à la décision.

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    Faisant suite à une première phase (2006-2008), le projet pilote Développement d’Alternatives Communautaires à l’Exploitation Forestière Illégale (DACEFI-2, de 2010 à 2014) s’est employé à tester au Gabon la mise en oeuvre des forêts communautaires, promues par le code forestier gabonais en 2001 (loi n°016/01). Pour cela, le projet a appuyé les communautés rurales désireuses de gérer elles-mêmes une portion de forêt et les a accompagnées tout au long du processus de création d’une forêt communautaire. Ce processus, adapté dans la mesure du possible aux communautés rurales, est jalonné de multiples étapes et peut paraitre parfois long et fastidieux. Présentant des méthodologies d’action et des cartes, cet atlas a été développé à la fin des 5 années d’exécution dans l’idée de capitaliser la démarche adoptée par le projet pour aboutir à la délimitation d’une forêt communautaire. Il vient également synthétiser pour le lecteur les travaux cartographiques réalisés dans les villages et regroupements de villages, que le projet a appuyés tout au long de sa mise en oeuvre. Par ailleurs, la loi indique qu’une « forêt communautaire est une portion du Domaine Forestier Rural (DFR) affectée à une communauté villageoise ». Dans le contexte local, lors du projet DACEFI-2, l’absence de définition précise du DFR a poussé l’équipe à mener une étude complémentaire pour déterminer l’espace nécessaire et l’espace disponible pour la mise en place de forêts communautaires. Cet atlas est donc également l’occasion de présenter cette synthèse.Développement d'Alternatives Communautaires à l'Exploitation Forestière Illégale (DACEFI, phase 2)Diverse

    Distribution spatio-temporelle des poissons Mugilidae dans la lagune de Grand-lahou (Côte d’ivoire)

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    Ce travail étudie la distribution des Mugilidae dans la lagune de Grand-lahou. Des échantillons, provenant de tous les secteurs lagunaires ont été analysés de septembre 2009 à août 2010. Six espèces de Mugilidae ont été identifiées. Mugil curema (40,75%) y domine, suivie de Liza falcipinnis (28,96%) et de Mugil cephalus (14,96%). Liza dumerili (7,42%), Mugil bananensis (5,61%) et Liza grandisquamis (2,30%) sont peu représentées. Mugil curema et Mugil bananensis sont plus abondants au niveau de la passe et secondairement autour de ce site. Cette distribution est inversée chez Liza dumerili et Liza grandisquamis. Mugil cephalus et Liza falcipinnis ont plutôt une répartition quasi-uniforme. Les spécimens sexuellement indifférenciés sont plus distribués dans les zones proches de la passe, excepté ceux de Mugil cephalus, largement distribués dans la partie océanique. Les individus de grandes tailles restent plutôt distribués dans tous les secteurs lagunaires. De mi-juillet à fin septembre, les eaux de la lagune sont dessalées, à l’exception de celles de la partie océanique et de la passe, fréquentées par les Mugilidae pendant cette période. Cette période coïncide avec la saison de la reproduction. La sex-ratio globale est en faveur des mâles chez Liza dumerili, Mugil cephalus et Liza grandisquamis. Chez Mugil bananensis, Liza falcipinnis et Mugil curema, elle est en faveur des femelles. Les tailles moyennes varient entre les espèces. Les femelles sont significativement plus grandes que les mâles, exceptés chez Liza grandisquamis. Pour un même sexe, elles sont plus ou moins variables sur différents sites au sein de la lagune

    Wavelet Menu : Adaptation des Marking Menus pour les Dispositifs Mobiles

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    National audienceL'exploration et la navigation dans les hiérarchies de données multimédia (photos, musiques, etc.) sont des tâches fréquentes sur dispositifs mobiles. Cependant, l'interaction peut s'en trouver dégradée du fait de la petite taille de l'écran et de l'absence de dispositifs d'entrée précis. Par conséquent, les techniques de menus innovantes conçues pour PC ne sont plus adaptées aux dispositifs mobiles pour naviguer efficacement. Dans cet article, nous présentons le Wavelet menu, l'adaptation du Wave menu pour la navigation dans des données multimédia sur iPhone. Grâce à une représentation inversée de la hiérarchie, il est particulièrement adapté aux dispositifs mobiles. En effet, il garantit que les sous-menus sont toujours affichés à l'écran et la prévisualisation des sous-menus permet une navigation efficace

    Analyse du fonctionnement des exploitations agricoles pour la gestion de la fertilité des sols

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    Au Mali-Sud, les exploitations agricoles issues de l’éclatement des grandes exploitations sont fragilisées sur le plan structurel, influençant ainsi sa composition en nombre de mains d’oeuvre, d’équipement agricole, de cheptel et ses modes de gestion de la fertilité des sols. Ce qui conduit certaines exploitations à une baisse de fertilité des sols et de faible rendement des cultures. Pour contribuer à l’amélioration de la gestion de la fertilité des sols, il était nécessaire de connaître les éléments caractéristiques du fonctionnement de ces exploitations agricoles et dans une large mesure, de comprendre les déterminants des modes de gestion de la fertilité de leurs sols. L’étude a consisté à mener une enquête diagnostic dans 45 exploitations de la zone de Koutiala, réparties entre les villages de N’Golonianasso, Sirakélé, et Zansoni. Les données ont été recueillies à l’aide des fiches de collectes de l’outil NUTMON, et ont porté sur les stratégies de gestion des contraintes des exploitations face au période de semis, d’entretien des cultures et sur les composantes structurelles de façon à comprendre le fonctionnement des exploitations dans la gestion de la fertilité des sols. Une analyse descriptive des données a permis de montrer, (i) quel que soit le type d’exploitation, le nombre d’actifs est de 30 %, inférieur au nombre total de la population de l’exploitation, (ii) la quantité de fumure organique produite dans les exploitations est non seulement dépendante du nombre de cheptels et plus particulièrement du nombre de bovins, mais aussi du nombre d’actifs que possède l’exploitation. Les entretiens ont montré, que lorsqu’il y’a coïncidence des travaux de semis et d’entretiens entre le coton, le maïs, le mil et le sorgho ; ceux concernant le mil et le sorgho sont retardés au profit du coton et du maïs

    LA REPONSE DE LA DECENTRALISATION FACE A LA DEMANDE SOCIALE : LE CAS DES INVESTISSEMENTS COMMUNAUX A TAABO DE 1995 A 2011 (CĂ´te d'Ivoire)

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    Since 1995, the elected representatives are the main actors of the local development to Taabo. The mayors who followed one another began (undertook) investments in diverse domains : town planning and housing environment, education public road network (garbage dump)and networks miscellaneous, health, purification and healthiness, the economic domain, etc. However, these investments are far from satisfying the population. The deficit of communication between elected representatives and population is the main cause. The consequences are thus enormous in the implementation of the decentralization to Taabo.Depuis 1995, les élus sont les principaux acteurs du développement local à Taabo. Les Maires qui se sont succédé ont entrepris des investissements dans divers domaines : urbanisme et habitat, éducation, voirie et réseaux divers, santé, assainissement et la salubrité, le domaine économique, etc. Toutefois, ces investissements sont loin de satisfaire la population. Le déficit de communication entre élus et population en est la principale cause. Les conséquences sont donc énormes dans la mise en œuvre de la décentralisation à Taabo.
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