2,179 research outputs found

    Evaluation pragmatique et sectorielle de différentes méthodes de diagnostique de business model engineering

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    De nos jours, les entreprises évoluent dans un nouveau contexte économique dans lequel l’expérience et les recettes du passé ne suffisent plus à assurer leur pérennité. Les dirigeants doivent désormais considérer avec une attention particulière les besoins des clients et favoriser davantage les stratégies à long terme. Pour cela, l’innovation est indispensable afin d’identifier de nouvelles sources de création de valeur. Cependant, dans le contexte actuel, l’innovation traditionnelle ne suffit plus à pérenniser et à diversifier une organisation. Une alternative serait l’innovation de business model qui semblerait plus adaptée aux différentes mutations de l’environnement. En effet, il est possible de constater que les entreprises qui réussissent le mieux aujourd’hui sont celles qui favorisent l’innovation de business model. Leurs entrepreneurs parviennent à créer davantage de valeur pour les clients, à identifier de nouvelles sources de revenus et ainsi à mieux se différencier de leurs concurrents. La nécessité d’innover de façon continue et de s’aventurer parfois dans l’inconnu ainsi que dans l’incertitude concerne toutes les entreprises, y compris les PME. Pourtant, la majorité des dirigeants de PME, par manque de temps ou de connaissances, se concentrent principalement sur les tâches opérationnelles de leur entreprise. C’est en considérant ces difficultés que l’IEM de la Hes-so Valais/Wallis désire apporter son soutien aux PME en les encadrant et en les coachant dans un processus d’innovation de business model. Ce travail de Bachelor s’inscrit dans le cadre de ce projet. Sa finalité est de permettre à l’Institut de disposer des bases nécessaires à une mise en oeuvre d’un processus de stockage et de co-création des meilleures pratiques en termes de business model engineering. Pour ce faire, la réalisation de ce travail de Bachelor s’est déroulée en plusieurs phases. Le point de départ fut de récolter suffisamment d’informations afin d’être en mesure de déterminer la signification du terme « business model ». Ensuite, il a fallu faire le point sur les meilleures méthodes existantes en matière de business model engineering. Selon les résultats des différentes analyses, la méthode qui permet de satisfaire au mieux les exigences en matière de business model engineering est celle d’Alexander Osterwalder. Cette méthode a donc fait l’objet de tests pragmatiques au sein de cinq entreprises. Ainsi, il a été possible de l’évaluer, de soumettre des propositions d’amélioration et finalement, de confirmer la pertinence d’un tel outil auprès de PME. Enfin, sur la base des discussions qui ont eu lieues avec les interlocuteurs de chaque entreprise, il a été possible de formuler des recommandations afin que l’IEM dispose des bases nécessaires pour solliciter et motiver les dirigeants de PME à utiliser une telle démarche stratégique ainsi qu’une plateforme informatique collaborative

    MADS: un modèle conceptuel pour des applicationsspatio-temporelles

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    Malgré les bienfaits reconnus de l'approche conceptuelle pour la modélisation d'applications, les modèles conceptuels spatio-temporels existants ne satisfont pas les besoins des concepteurs. Dans cet article nous identifions d'abord les objectifs d'un modèle conceptuel spatio-temporel et ensuite nous présentons le modèle MADS selon trois axes: concepts structu-rels, concepts spatiaux, concepts temporels. L'orthogonalité des concepts permet d'obtenir un modèle à la fois simple (puisque ces concepts sont indépendants) et puissant (puisque les con-cepts peuvent être combinés librement). Le modèle a été implanté et des traductions existent vers d'autres modèles opérationnels. L'article décrit brièvement les réalisations en cours ou prévues pour offrir aux utilisateurs une interface conceptuelle de définition et d'accès aux bases de données spatio-temporelles. Nous donnons également les résultats d'une expérience de mo-délisation qui a permis de vérifier les qualités du modèle

    Rôle du travailleur social dans le développement de l’économie sociale et solidaire dans le canton du Jura

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    Les problématiques sociales se complexifient, les réponses actuelles montrent leurs limitent et les coûts des services sociaux au sens large s’envolent, au point que la protection sociale garantie par la Constitution est remise en discussion. Il est donc nécessaire de trouver des alternatives. La fameuse crise de 2008 a démontré les limites de l’économie capitaliste et du profit à tout prix. Ce sont d’ailleurs les entreprises qui ont un statut de coopératives qui ont le mieux résisté à ce tsunami économique. L’économie sociale et solidaire (ESS) est une alternative réelle et crédible. Elle a fait ses preuves en France et représente 10% des emplois du pays. En Suisse également, la Chambre d’ESS genevoise (APRÈS-GE) a développé une structure qui promeut cette économie alternative dans la région. Actuellement, APRÈS-GE compte près de 300 organisations et représente 10% du PIB et 10% des emplois du canton de Genève

    Note de lecture de l'article d'Edward P Thompson, «Temps, travail et capitalisme», revue Libre n° 5, 1979

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    Dans le cadre du programme 4 du projet scientifique du LESTL'article paraît en 1967 à un moment où dans les Sciences Sociales - en sociologie principalement- aussi bien en Grande Bretagne qu'en France, la prise en compte du temps, en tant que catégorie sociale construite est encore peu fréquente. Le temps ne suscite pas une interrogation concernant sa construction dans nos sociétés. Il est considéré le plus souvent comme une évidente quantité homogène d'heures. Le temps de l'horloge ou temps-horloge qui sert à mesurer le salaire est conçu comme une donnée quasi universelle et stable. Faute d'être repensée dans son historicité et ses variations anthropologiques, la notion renvoie à un allant de soi, fortement ancrée dans le « temps de travail ». C'est aussi le moment où dans les sociétés industrielles émerge l'idée de loisirs, de « société des loisirs », qui ouvre au milieu des années 60, un nouveau champ de la sociologie, la sociologie des loisirs (cf. Dumazdier). Elle s'appuie sur deux phénomènes sociaux récents : l'importance matérielle et symbolique du temps libre, et une meilleure valorisation de la force de travail qui permet au travailleur d'accéder à une consommation dépassant les simples besoins élémentaires. On entre à la fois dans la société des loisirs et dans la société de consommation

    Note de lecture de l'article d'Edward P Thompson, «Temps, travail et capitalisme», revue Libre n° 5, 1979

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    Dans le cadre du programme 4 du projet scientifique du LESTL'article paraît en 1967 à un moment où dans les Sciences Sociales - en sociologie principalement- aussi bien en Grande Bretagne qu'en France, la prise en compte du temps, en tant que catégorie sociale construite est encore peu fréquente. Le temps ne suscite pas une interrogation concernant sa construction dans nos sociétés. Il est considéré le plus souvent comme une évidente quantité homogène d'heures. Le temps de l'horloge ou temps-horloge qui sert à mesurer le salaire est conçu comme une donnée quasi universelle et stable. Faute d'être repensée dans son historicité et ses variations anthropologiques, la notion renvoie à un allant de soi, fortement ancrée dans le « temps de travail ». C'est aussi le moment où dans les sociétés industrielles émerge l'idée de loisirs, de « société des loisirs », qui ouvre au milieu des années 60, un nouveau champ de la sociologie, la sociologie des loisirs (cf. Dumazdier). Elle s'appuie sur deux phénomènes sociaux récents : l'importance matérielle et symbolique du temps libre, et une meilleure valorisation de la force de travail qui permet au travailleur d'accéder à une consommation dépassant les simples besoins élémentaires. On entre à la fois dans la société des loisirs et dans la société de consommation

    Perturbation des profils épigénétiques suite à une perte temporaire du maintien de la méthylation de l’ADN dans les cellules embryonnaires

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    Chez l’embryon précoce, une vague de reprogrammation majeure survient et permet de réinitialiser les profils de méthylation d’ADN de l’ensemble du génome. Lors de cette reprogrammation, les régions différentiellement méthylées (DMRs) (i.e., gènes empreintes) doivent toutefois être protégées de la déméthylation par une action continue de DNMT1 (Méthyltransférase d’ADN 1) pour assurer le développement adéquat de l’épigénome du fœtus. Sachant que l’induction d’une perte temporaire d’expression de Dnmt1 dans un modèle de cellules souches embryonnaires de souris entraîne la perte permanente des patrons de méthylation d’ADN aux régions DMRs et DMR-like, mon projet de recherche vise à comprendre pourquoi ces régions sont incapables de retrouver leurs patrons de méthylation d’ADN initiaux. Notre hypothèse est qu’une adaptation épigénétique (i.e. réarrangement erroné de certaines modifications d’histones) survient aux régions régulatrices de l’expression des gènes (promoteurs et enhancers) et empêche directement ou indirectement le retour au paysage épigénétique initial aux régions affectées. L’objectif du projet est donc de précisément définir comment la perte temporaire de Dnmt1 remodèle le paysage épigénétique aux régions promotrices (H3K4me3, H3K27me3, H3K27ac, H3K4me1, H3K9me3, méthylation d’ADN) et comment les adaptations épigénétiques sont associées avec des changements de l’expression des gènes (ex : gènes des régions DMRs et DMRs-like).In early embryos, a major reprogramming wave occurs and permits to reset DNA methylation profiles genome-wide. During the reprogramming wave, differentially methylated regions (DMRs) (imprinted genes) must be protected from demethylation by the continuous action of DNMT1 (DNA Methyltransferase 1) to ensure the proper development of the foetal epigenome. As the induction of a temporary loss of Dnmt1 expression in a mouse embryonic stem cell model leads to permanent losses of DNA methylation at DMR and DMR-like regions, my project aims to understand why those regions are unable to re-establish their initial DNA methylation patterns. Our hypothesis is that an epigenetic adaptation (erroneous rearrangement of certain histone modifications) occurs at regulatory regions controlling gene expression (promoters and enhancers) and impede directly or indirectly the affected regions to return to their initial epigenetic landscape. The goal of this project is thus to define how the temporary loss of Dnmt1 remodels the epigenetic landscape at promoter regions (H3K4me3, H3K27me3, H3K27ac, H3K4me1, H3K9me3, DNA methylation) and how the epigenetic adaptations are associated with changes in gene expression (ex: genes in DMR and DMR-like regions)

    Gestion dynamique d'ontologies à partir de textes par systèmes multi-agents adaptatifs

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    Une ontologie est une représentation structurée des connaissances d'un domaine sous la forme d'un réseau conceptuel. Les ontologies sont considérées comme un support indispensable à la communication entre agents logiciels, à l'annotation des sites Web et des ressources documentaires dans une optique de recherche sémantique de l'information. Parce que les connaissances d'un domaine sont amenées à évoluer, une ontologie doit elle aussi évoluer pour rester en cohérence avec le domaine qu'elle modélise. Actuellement, la plupart des travaux traitant de l'évolution d'ontologies se préoccupent de la vérification et du maintien de la cohérence de l'ontologie modifiée. Ces travaux n'apportent pas de solutions concrètes à l'identification de nouvelles connaissances et à leur intégration dans une ontologie. Les travaux en ingénierie d'ontologies à partir de textes quant à eux traitent ce problème d'évolution comme un problème de reconstruction d'une nouvelle ontologie. Souvent, le résultat produit est complètement différent de l'ontologie à modifier. Par ailleurs, les logiciels d'évolution spécifiques à un domaine particulier rendent impossible leur utilisation dans d'autres domaines. Cette thèse propose une solution originale basée sur les systèmes multi-agents adaptatifs (AMAS) pour faire évoluer des ontologies à partir de textes. Chaque terme et concept sont représentés par un agent qui essaie de se situer au bon endroit dans l'organisation qui n'est autre que l'ontologie. Ce travail est concrétisé par un outil nommé DYNAMO. Un besoin d'évolution est déclenché par l'ajout de nouveaux textes dans un corpus de documents. DYNAMO utilise les résultats d'un extracteur de termes et de relations lexicales ainsi qu'un AMAS, nommé DYNAMO MAS, pour proposer une ontologie modifiée à un ontographe. Ce dernier interagit avec DYNAMO MAS via une interface graphique en modifiant l'ontologie proposée (déplacement, ajout, modification de concepts, de termes et/ou de relations), produisant ainsi des contraintes auxquelles l'AMAS doit s'adapter. Cette "coévolution" entre l'AMAS et l'ontographe cesse lorsque l'ontographe juge que l'ontologie modifiée est cohérente avec le nouveau corpus.An ontology is a structured representation of domain knowledge based on a conceptual network. Ontologies are considered as an essential support for the communication between software agents, the annotation of Web sites and textual resources to carry out semantic information retieval. Because domain knowledge can evolve, an ontology must also evolve to remain consistent with the domain that it models. Currently, studies on ontologies evolution are focusing on checking and maintaining the consistency of the evolved ontology. These works do not provide concrete solutions to the identification of new knowledge and its integration into an ontology. Ontology engineering from texts considers evolution as a problem of ontology reconstruction. The result produced by this kind of software is often completely different from the initial ontology. Moreover, it is almost impossible to reuse software designed only for a particular domain. This PhD thesis proposes an original solution based on adaptive multi-agent systems (AMAS) to evolve ontologies from texts. Each term and each concept are agentified and try to find its own right place in the AMAS organization that is the ontology. This work is implemented in a software called DYNAMO. An ontology evolution requirement is triggered by the addition of new texts in a corpus of documents. DYNAMO uses the results of a term extractor and a lexical relation extractor. These results are the input data of an AMAS, called DYNAMO MAS, that evolves an ontology and proposes it to an ontologist. Then, the ontologist interacts with DYNAMO MAS via a graphical interface by modifying the proposed ontology (moving, addition, suppression of concepts, terms and / or relationships). The ontologist's actions are feedback used by the AMAS to adapt the evolved ontology. This "coevolution" process between the AMAS and the ontologist ends when the ontologist judges that the modified ontology is consistent with the new corpus
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