18,292 research outputs found

    Book Review

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    Des procédures d’ingénierie didactique spécifiques aux QSV : l’exemple de l’EDD

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    Les compétences attendues des enseignants ne sont pas seulement disciplinaires, il s’agit de définir des projets d’enseignement où sont articulés les programmes disciplinaires avec une approche « codisciplinaire », avec des actions concrètes sur l’établissement et le territoire. L’analyse de pratiques didactiques des QSV et des compétences qui y sont associées a conduit à différents angles d’analyse : épistémologie, stratégies didactiques – notamment les débats –, valeurs et éthique, représentations-connaissances..

    Atheists and Believers: Worst Friends or Best Enemies?

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    This article examines the question of whether the atheist and the believer can understand each other, to the point of being friends intellectually. The answer is no. The atheist and the believer can be best enemies, but their epistemic disagreement is definitely radical. For it is not a disagreement on religious belief itself, but about what allows the believer to believe. The article examines some aspects of John Greco’s concept of ”friendly theism’, the discussion of conciliationism and anti-conciliatonism, and the epistemic role of the Holy Spirit

    Think about language dialogically – Understand action dialogically

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    Asking for the possibility of a dialogical approach to spoken as well as to written language on the basis of the founding text by Jakubinskij Über die dialogische Rede (On Dialogical Speech), (1923)

    L'épistémologie juridique

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    International audienceL'épistémologie juridique, une branche de la recherche juridiqu

    L'importance de l'épistémologie pour la recherche en droit

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    International audience1. ÉPISTÉMOLOGIE(S) : ESSAIS DE DÉFINITIONSa. Épistémologie et épistémologiesb. Épistémologie des sciences du droit : définition liminaire2. LA RELATION COGNITIVE, PRÉMICES DE LA CONNAISSANCE JURIDIQUEa. La relation sujet connaissant-objet connub. La relation sujet-projet : la construction de l’objet de la connaissance juridique3. QUELQUES RÉFLEXIONS SOUS-JACENTES À L’ÉLABORATION DE LA CONNAISSANCE JURIDIQUEa. Ôter le masque de l’auteur : l’impossible objectivité en science du droit ?b. L’identification de la « matrice disciplinaire »c. L’écriture de la science du droit : entre récit et modèle4. LA MISE À L’ÉPREUVE DE LA CONNAISSANCE JURIDIQUE PRODUITEa. La mise à l’épreuve de la connaissance juridique : le retour méthodologiqueb. Les boucles de la mise à l’épreuve : vigilance épistémologique, auto-référence, falsifiabilité, controverses5. L’ÉPISTÉMOLOGIE DES SCIENCES DU DROIT ? POUR QUOI FAIRE ?a. L’épistémologie des sciences du droit ne sert à rien !b. Se faire « un théâtre de sa propre pensée »c. L’explicitation épistémologique comme démarche de légitimatio

    L'autonymie dans la tradition grammaticale sanskrite pāṇinéenne

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    International audienceSeveral discussions show that Indian grammarians of the Paninian tradition had clearly identified autonymy. Most of the reflections of these grammarians are linked with the interpretation of the famous Paninian sutra I.1.68 "An expression denotes itself unless it is the name of a linguistic technical term", with the resolution of the problem of total reflexivity as a main preoccupation. This paper attempts to give an overall view of the different solutions that have been proposed during almost 1000 years : some grammarians have resorted to 1) the context criterion or language level which opposes the word in the grammatical rule to the word meant for usage, 2) generality which opposes the occurrence to the type, 3) totality which opposes the part to the whole or 4) the power of the word which can be means of cognition or object of cognition. Moreover, one of the consequences of the rule I.1.68 is to submit autonymous words to common syntax. Through several examples, this paper gives a general idea of nominalisation effects in the grammar of Panini.Plusieurs discussions attestent le fait que les grammairiens indiens de tradition paninéenne avaient clairement identifié le phénomène autonymique. L'essentiel des réflexions menées par ces grammairiens est lié à l'interprétation du célèbre sutra paninéen I.1.68 " Une expression se dénote elle-même à moins qu'elle ne soit le nom d'un terme technique linguistique ", avec, comme préoccupation majeure, la résolution du problème posé par la réflexivité totale (problème du signe " qui se désigne lui-même "). Le présent article tente de donner une vue globale des différentes thèses qui ont été défendues pendant près de mille ans : des grammairiens ont recouru 1) au critère du contexte ou niveau de langage, qui oppose le mot figurant dans la règle grammaticale au mot qui est destiné à l'usage, 2) à celui de la généralité, qui oppose l'occurrence au type, 3) à celui de la totalité, qui oppose la partie au tout, ou encore 4) à celui du pouvoir du mot, qui peut être moyen de compréhension ou objet de compréhension. Par ailleurs, l'une des conséquences de la règle I.1.68 est de soumettre les autonymes à la syntaxe usuelle. À travers plusieurs exemples, cet article donne un aperçu des effets de la nominalisation dans la grammaire de Panin
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