735 research outputs found

    Quasifolds, Diffeology and Noncommutative Geometry

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    After embedding the objects quasifolds into the category {Diffeology}, we associate a C*-agebra with every atlas of any quasifold, and show how different atlases give Morita equivalent algebras. This builds a new bridge between diffeology and noncommutative geometry (beginning with the today classical example of the irrational torus) which associates a Morita class of C*-algebras with a diffeomorphic class of quasifolds.Comment: 21 pages, 3 figures, final version to appear in J. Noncommut. Geom., notes added in introductio

    Primary Spaces, Mackey's Obstruction, and the Generalized Barycentric Decomposition

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    We call a hamiltonian N-space \emph{primary} if its moment map is onto a single coadjoint orbit. The question has long been open whether such spaces always split as (homogeneous) x (trivial), as an analogy with representation theory might suggest. For instance, Souriau's \emph{barycentric decomposition theorem} asserts just this when N is a Heisenberg group. For general N, we give explicit examples which do not split, and show instead that primary spaces are always flat bundles over the coadjoint orbit. This provides the missing piece for a full "Mackey theory" of hamiltonian G-spaces, where G is an overgroup in which N is normal.Comment: 23 pages, 1 figure. Final preprint version, to appear in Journal of Symplectic Geometr

    Tolkien in the Land of Arthur: the Old Forest Episode from \u3ci\u3eThe Lord of the Rings\u3c/i\u3e

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    A study of Arthurian and other medieval romance motifs in the Old Forest episode, relying heavily on the linguistic features of this chapter

    Diffeological, Fr\"{o}licher, and Differential Spaces

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    Differential calculus on Euclidean spaces has many generalisations. In particular, on a set XX, a diffeological structure is given by maps from open subsets of Euclidean spaces to XX, a differential structure is given by maps from XX to R\mathbb{R}, and a Fr\"{o}licher structure is given by maps from R\mathbb{R} to XX as well as maps from XX to R\mathbb{R}. We illustrate the relations between these structures through examples.Comment: 21 page

    What shapes the generosity of short- and long-term benefits? A political economy approach

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    URL des Documents de travail : http://ces.univ-paris1.fr/cesdp/cesdp2013.htmlDocuments de travail du Centre d'Economie de la Sorbonne 2013.27 - ISSN : 1955-611XDegressivity of unemployment benefits is a major feature of social protection in most industrialised countries: the replacement rate (the ratio between the level of welfare benefits and the previous income) typically declines with the length of the unemployment spell. Moreover degressivity of unemployment benefits has significant distributive effects as the risk of long-term unemployment varies from one individual to another. This paper proposes a formal model of political support for unemployment insurance that takes into account the decrease in the level of benefits over time. A discount factor is introduced that diminishes the level of benefits for long-term unemployed. The main predictions of our model are the following: i) Unemployment insurance size negatively depends on both the average level and the heterogeneity of unemployment risk ii) The degressivity increases with the average level and the heterogeneity in the individual level of employability defined as the probability of finding a job when unemployed. These predictions are then tested using a dataset of 24 OECD countries. Empirical results are consistent with the model.Le caractère dégressif de l'assurance chômage est un trait commun de nombreux pays industrialisés : le taux de remplacement décline au cours de la période de chômage. De plus, le degré de dégressivité a des conséquences distributives importantes dans la mesure où le risque de chômage de longue durée n'est pas uniforme. Cet article propose un modèle d'économie politique dans lequel la demande d'assurance chômage prend en compte la distinction entre chômage de courte et de longue durée et la possibilité de prestations dégressives. Les principales prédictions du modèle sont les suivantes : i) le taux de remplacement moyen des prestations chômage dépend négativement du chômage moyen et de l'hétérogénéité du risque de chômage dans la population. ii) la dégressivité des prestations est d'autant plus forte que l'employabilité moyenne est plus faible et que le niveau d'employabilité des salariés est hétérogène. Ces prédictions sont testées sur des données OCDE concernant 24 pays. Les résultats obtenus sont cohérents avec le modèle

    Primary Spaces, Mackey\u27s Obstruction, and the Generalized Barycentric Decomposition

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    We call a hamiltonian N-space primary if its moment map is onto a single coadjoint orbit. The question has long been open whether such spaces always split as (homogeneous) x (trivial), as an analogy with representation theory might suggest. For instance, Souriau\u27s barycentric decomposition theorem asserts just this when N is a Heisenberg group. For general N, we give explicit examples which do not split, and show instead that primary spaces are always flat bundles over the coadjoint orbit. This provides the missing piece for a full Mackey theory of hamiltonian G-spaces, where G is an overgroup in which N is normal

    Les quatre leviers de la redistribution

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    Les systèmes de taxes et transferts permettent de réduire les inégalités de revenus à travers quatre leviers : taux d'imposition, progressivité de l'impôt, taux de transferts sociaux et degré de ciblage des transferts. Nous étudions les différentes configurations combinant ces quatre leviers dans 22 pays de l'OCDE. La progressivité de l'impôt est mesurée par un indice de Kakwani qui évalue la surconcentration de la fiscalité sur les revenus élevés; le ciblage des transferts est mesuré par un indice symétrique; la réduction des inégalités de revenu est mesurée par la variation des indices de Gini avant et après redistribution. Nous utilisons les micro-données du Luxembourg Income Study sur le revenu des ménages, que nous complétons par l'imputation de données fiscales non observées (en particulier les cotisations employeur). L'étude porte sur 67 observations entre 1999 et 2013. Nous montrons que la plupart des pays utilisent davantage les prélèvements obligatoires que les prestations en espèces (hors pensions de retraite) afin de redistribuer les revenus. Par ailleurs, l'effet plus ou moins redistributif des transferts sociaux dépend davantage de leur niveau moyen que d'une différence dans leur degré de ciblage. En revanche, c'est à la fois le taux de prélèvements et la progressivité qui expliquent l'effet redistributif du système fiscal. Enfin, nous observons une incompatibilité entre forte progressivité et haut niveau de prélèvements obligatoires

    Exonérations ou investissement social ? Une évaluation du coût d'opportunité de la stratégie française pour l'emploi

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    La France est l’un des pays où les politiques d’exemptions fiscales et d’exonérations de cotisations sociales sont les plus développées. Le coût budgétaire des dispositifs mis en place dans le seul domaine de la protection sociale et de l’emploi dépasse les 90 milliards d’euros (hors CICE). Après un examen systématique des travaux universitaires sur ces politiques, nous évaluons l’efficacité de deux de ces programmes, parmi les plus coûteux et les mieux connus, visant spécifiquement à faire baisser le coût du travail des emplois peu qualifiés. Sur les 27 milliards consacrés aux exonérations générales de cotisations employeur et aux dispositifs concernant l’emploi de salariés à domicile, plus de 6 milliards d’euros sont consacrés à des poli-tiques dont le coût est supérieur à 62 500 € par an et par emploi créé, dont 1,9 milliard d’euros à des politiques dont le coût est supérieur à 160 000 € par an et par emploi créé. Nous examinons la possibilité de remplacer une partie de ces dépenses fiscales par le financement direct par l’État d’emplois « de qualité » (publics ou privés) répondant à des besoins sociaux spécifiques. Nous examinons les conditions dans lesquelles des résultats au moins comparables en termes d’emploi (ainsi que d’éventuelles externalités positives économiques ou sociales) pourraient être obtenus par une telle politique. Nous montrons que le basculement du budget actuellement consacré à la part la moins efficace des dépenses fiscales (celles qui visent les plus hauts salaires ou les ménages aux revenus les plus élevés) vers le financement public des services sociaux n’aurait pas d’effet néfaste pour l’emploi à court terme. Nous tenons compte du risque d’éviction d’emplois privés par la subvention publique ainsi que des caractéristiques propres aux emplois du secteur des services sociaux
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