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    Sobre las primeras fuentes de los términos “andaluz” y “Andalucía”: cum aliis multis indeluciis y Alandaluf, unas ocurrencias documentales y cronísticas a mediados del siglo XII

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    When it comes to assessing the relations between the Christian kingdoms of the Peninsula and the neighbouring Andalusian territories, the vocabulary which each used to refer to the other takes on a political, and even ideological, dimension. In that sense, the discovery of Arabic denominations for the south of the Peninsula and its inhabitants, in Christian material dated from the middle of the twelfth century, might open up new perspectives for investigation. Indeed, the statement, so often made by historians, that the discourse of Christian authorities rejected the socio-political realities of Al Andalus should thereby be qualified."A la hora de juzgar las relaciones que mantenían los reinos cristianos de la península con sus vecinos andalusíes, el vocabulario con el cual cada parte designaba a la otra adquiere una dimensión política, o más bien ideológica. En este sentido, el descubrimiento en fuentes cristianas, fechadas de mediados del siglo XII, de ocurrencias de la denominación árabe del sur de la península así como de sus habitantes puede abrir nuevas pistas de reflexión. Se debería así matizar las afirmaciones tantas veces repetidas por los historiadores, según las cuales el discurso de las autoridades cristianas rechaza totalmente las realidades político-sociales de al-Andalus

    La guerra contra los musulmanes en los diplomas castellanoleoneses (siglo xi-1126)

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    Nuestro trabajo pretende aportar una pequeña contribución relativa al estudio de la guerra santa, adhiriéndonos a la idea que presidió la celebración del coloquio, origen de esta publicación: volver a un estudio riguroso y sistemático de las fuentes para constituir un corpus de datos que permita explorar lo que dicen estas, y lo que callan también, acerca de la guerra santa. Condicionadas por esta meta, las páginas que proponemos surgen de un doble punto de partida. Primero, tienen sus raíces..

    Chapitre VIII. Le système impérial alphonsin (1135-1157)

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    S’attachant à dégager la cohérence idéologique qui ressort de l’ensemble des œuvres composées par Lucas de Tuy durant les premières décennies du XIIIe siècle — Chronicon Mundi, Miracula sancti Isidori et De altera vita —, Patrick Henriet affirme qu’on a là l’expression d’un « système de pensée » sciemment et ingénieusement élaboré, mis au service de la démonstration de « la sacralité particulière de l’Hispania et la ville de León ». Or cette notion de système, que l’on définira comme un ensem..

    Conclusion. Idéologie et pragmatisme

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    Au terme de cette première partie, l’« idée impériale léonaise », telle que l’avaient forgée Menéndez Pidal, Sánchez Candeira ou encore Sánchez-Albornoz, est bel est bien déconstruite. Des premières mentions de l'imperium des rois asturiens, quelques décennies avant la fin du IXe siècle, jusqu’à l’attribution à Ferdinand Ier du qualificatif d’imperator au milieu du XIe siècle, les sources ne nous permettent en aucun cas de conclure à l’existence d’une idéologie impériale qui aurait uni les ro..

    Conclusion générale

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    Nous voudrions avec ce livre avoir ouvert de nouvelles perspectives sur le phénomène, à bien des égards étonnant, que constitue l’imperium hispanique médiéval. Au moment de dresser le bilan des hypothèses et conclusions avancées dans cet essai, rappelons qu’il s’agissait d’y aborder le phénomène impérial selon deux lignes directrices. À partir d’un retour sur les thèses traditionnellement avancées, un premier objectif visait à la construction systématique d’une synthèse sur le sujet. Dans le ..

    Chapitre VII. Vers la (re)constitution d’un empire hispanique (1126-1135)

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    Contrairement à son grand-père Alphonse VI, Alphonse VII use du titre impérial dans ses diplômes — sans presque aucune variante comme on le verra — du début à la fin de son règne. Ceci laisse entendre au premier abord que l’idéologie impériale qu’il a remise en vigueur, si efficacement que cette démarche lui a valu d’être dans la mémoire collective l’empereur hispanique par excellence, fut univoque de 1126 à 1157. Et pourtant, la Chronica Adefonsi Imperatoris, chronique officielle de son règn..

    Conclusion. Idéologie et mémoire

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    Certains auteurs ont voulu voir dans le règne d’Alphonse VII le point culminant du phénomène impérial hispanique. À l’appui de cette opinion, la cérémonie de mai 1135 venait couronner selon eux l’évolution attestée par les sources, d’un phénomène balbutiant à l’époque asturo-léonaise jusqu’à la mise en œuvre d’un véritable empire, institutionnalisé par la reconnaissance de son détenteur comme empereur de toute l’Espagne. D’autres, au regard de cette même innovation et du caractère « féodal » ..

    Conclusion. Idéologie et versatilité

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    Premiers essais… La mémoire collective ne fait pas honneur à ces souverains qui, les premiers, assumèrent en propre le titre d’empereur — impératrice — de toute l’Hispania. De l’expérience impériale d’Alphonse VI, minutieusement élaborée par les notaires royaux à la faveur de l’extraordinaire suprématie péninsulaire obtenue par le fils puîné de Ferdinand Ier, les sources contemporaines attestent certes l’existence. Rapidement, toutefois, elle sombre dans un large oubli. La rareté de la désign..

    Imperator Hispaniae

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    L'histoire impériale de l'Espagne a commencé bien avant le règne de Charles Quint. Elle trouve ses origines dans le petit royaume astur-léonais du xe au xie siècle, dont quelques rois furent désignés imperatores. Elle connaît son développement le plus étonnant au cours de la période qui va du règne d'Alphonse VI de Castille-León (1065-1109) à celui de son petit-fils Alphonse VII (1126-1157). Ces deux souverains n'hésitèrent pas à s'autoproclamer « empereurs des Espagnes » et à revendiquer une..

    Mª del Pilar Calzado Sobrino, Tumbo Menor de Castilla (siglo xiii). Estudio Histórico, Codicológico, Diplomático y Edición | Ead., Tumbo Menor de León (siglo xiii). Estudio histórico, codicólogico, diplomático y edición

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    Créé en 1170, l’ordre militaire de Saint-Jacques se vit rapidement doté de possessions prestigieuses. Dès 1174, Alphonse VIII de Castille lui faisait don de la forteresse frontalière d’Uclés. Dans le royaume de León, Alexandre III confirmait en 1179 la donation du couvent de San Marcos. Ces deux établissements furent amenés à devenir chacun la maison principale de l’Ordre dans leurs royaumes respectifs, avant que la réunion de la Castille et du León en 1230..
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