32 research outputs found

    AVIS de l'ANSES relatif à " l'évaluation du rapport bénéfice risque des pratiques de lutte anti-vectorielle habituellement mises en oeuvre pour lutter contre la dengue, dans le contexte actuel de confinement global "

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    Dans le contexte de la gestion de crise liĂ©e Ă  l'Ă©pidĂ©mie de Covid-19 en France, l'Anses a Ă©tĂ© saisie en urgence le 14 avril 2020 par la Direction GĂ©nĂ©rale de la SantĂ© pour rĂ©aliser l'expertise suivante : " Évaluation du rapport bĂ©nĂ©fice-risque des pratiques de lutte anti-vectorielle habituellement mises en oeuvre pour lutter contre la dengue, dans le contexte actuel de confinement global "

    Comparing the Performance of Three Models Incorporating Weather Data to Forecast Dengue Epidemics in Reunion Island, 2018-2019

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    We developed mathematical models to analyze a large dengue virus (DENV) epidemic in Reunion Island in 2018-2019. Our models captured major drivers of uncertainty including the complex relationship between climate and DENV transmission, temperature trends, and underreporting. Early assessment correctly concluded that persistence of DENV transmission during the austral winter 2018 was likely and that the second epidemic wave would be larger than the first one. From November 2018, the detection probability was estimated at 10%-20% and, for this range of values, our projections were found to be remarkably accurate. Overall, we estimated that 8% and 18% of the population were infected during the first and second wave, respectively. Out of the 3 models considered, the best-fitting one was calibrated to laboratory entomological data, and accounted for temperature but not precipitation. This study showcases the contribution of modeling to strengthen risk assessments and planning of national and local authorities

    Avis de l'Anses relatif Ă  l'Ă©valuation du rapport bĂ©nĂ©fice risque des pratiques de lutte anti-vectorielle habituellement mises en Ɠuvre pour lutter contre la dengue, dans le contexte actuel de confinement global

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    En janvier 2020, un nouveau virus Ă©mergent Ă©tait identifiĂ© en Chine, suite Ă  l’identification de cas groupĂ©s de pneumopathies apparues en dĂ©cembre 2019 dans la ville de Wuhan (province du Hubei). Ce nouveau coronavirus a Ă©tĂ© dĂ©signĂ© officiellement par l’Organisation Mondiale de la SantĂ© (OMS) SARS-CoV-2, pour coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sĂ©vĂšre, agent responsable de la nouvelle maladie infectieuse respiratoire appelĂ©e Covid-191 (Coronavirus disease). Au vu de son ampleur, le 30 janvier 2020, l’OMS a dĂ©clarĂ© que l’épidĂ©mie de Covid-19 constituait une Urgence de SantĂ© Publique de PortĂ©e Internationale (USPPI), puis le 11 mars 2020, une pandĂ©mie. AprĂšs l’apparition des premiers cas sur le sol français, le 24 janvier 2020, le volet Orsan REB3 du plan Orsan (Organisation de la rĂ©ponse du systĂšme de santĂ© en situations sanitaires exceptionnelles) Ă©tait dĂ©clenchĂ© le 23 fĂ©vrier par le ministre des SolidaritĂ©s et de la SantĂ©. Le 1er mars, alors que le stade 2 venait d’ĂȘtre dĂ©clenchĂ© (le 29 fĂ©vrier), les premiers cas Ă©taient diagnostiquĂ©s en Outre-Mer.Depuis le 14 mars 2020, la France est en stade 3 de l’épidĂ©mie de Covid-19. Le 16 mars 2020, le PrĂ©sident de la RĂ©publique française, Monsieur Emmanuel Macron, a dĂ©cidĂ© la mise en place d’un dispositif de confinement (mesure sanitaire qui dĂ©signe l’ensemble des restrictions de contacts humains et de dĂ©placements) sur l’ensemble du territoire Ă  compter du mardi 17 mars Ă  12h00, pour quinze jours minimum. Le 27 mars, le Premier ministre a prolongĂ© une premiĂšre fois le confinement national jusqu’au 15 avril. Le 13 avril, le PrĂ©sident de la RĂ©publique, l’a Ă  nouveau prolongĂ© jusqu’au 11 mai, avec une possible levĂ©e progressive Ă  partir de cette date. Or, depuis le dĂ©but de l’annĂ©e 2020, l’ensemble des territoires français d’Outre-Mer sont en stade Ă©pidĂ©mique ou prĂ©-Ă©pidĂ©mique de dengue, conduisant les autoritĂ©s Ă  considĂ©rer la poursuite des activitĂ©s de lutte anti-vectorielle (LAV) habituellement mises en Ɠuvre pour lutter contre la denguedans ces territoires, ainsi que contre le paludisme6 (Ă  Mayotte et en Guyane), comme essentielle durant cette pĂ©riode

    Avis de l'Anses relatif Ă  l'Ă©valuation du rapport bĂ©nĂ©fice risque des pratiques de lutte anti-vectorielle habituellement mises en Ɠuvre pour lutter contre la dengue, dans le contexte actuel de confinement global

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    En janvier 2020, un nouveau virus Ă©mergent Ă©tait identifiĂ© en Chine, suite Ă  l’identification de cas groupĂ©s de pneumopathies apparues en dĂ©cembre 2019 dans la ville de Wuhan (province du Hubei). Ce nouveau coronavirus a Ă©tĂ© dĂ©signĂ© officiellement par l’Organisation Mondiale de la SantĂ© (OMS) SARS-CoV-2, pour coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sĂ©vĂšre, agent responsable de la nouvelle maladie infectieuse respiratoire appelĂ©e Covid-191 (Coronavirus disease). Au vu de son ampleur, le 30 janvier 2020, l’OMS a dĂ©clarĂ© que l’épidĂ©mie de Covid-19 constituait une Urgence de SantĂ© Publique de PortĂ©e Internationale (USPPI), puis le 11 mars 2020, une pandĂ©mie. AprĂšs l’apparition des premiers cas sur le sol français, le 24 janvier 2020, le volet Orsan REB3 du plan Orsan (Organisation de la rĂ©ponse du systĂšme de santĂ© en situations sanitaires exceptionnelles) Ă©tait dĂ©clenchĂ© le 23 fĂ©vrier par le ministre des SolidaritĂ©s et de la SantĂ©. Le 1er mars, alors que le stade 2 venait d’ĂȘtre dĂ©clenchĂ© (le 29 fĂ©vrier), les premiers cas Ă©taient diagnostiquĂ©s en Outre-Mer.Depuis le 14 mars 2020, la France est en stade 3 de l’épidĂ©mie de Covid-19. Le 16 mars 2020, le PrĂ©sident de la RĂ©publique française, Monsieur Emmanuel Macron, a dĂ©cidĂ© la mise en place d’un dispositif de confinement (mesure sanitaire qui dĂ©signe l’ensemble des restrictions de contacts humains et de dĂ©placements) sur l’ensemble du territoire Ă  compter du mardi 17 mars Ă  12h00, pour quinze jours minimum. Le 27 mars, le Premier ministre a prolongĂ© une premiĂšre fois le confinement national jusqu’au 15 avril. Le 13 avril, le PrĂ©sident de la RĂ©publique, l’a Ă  nouveau prolongĂ© jusqu’au 11 mai, avec une possible levĂ©e progressive Ă  partir de cette date. Or, depuis le dĂ©but de l’annĂ©e 2020, l’ensemble des territoires français d’Outre-Mer sont en stade Ă©pidĂ©mique ou prĂ©-Ă©pidĂ©mique de dengue, conduisant les autoritĂ©s Ă  considĂ©rer la poursuite des activitĂ©s de lutte anti-vectorielle (LAV) habituellement mises en Ɠuvre pour lutter contre la denguedans ces territoires, ainsi que contre le paludisme6 (Ă  Mayotte et en Guyane), comme essentielle durant cette pĂ©riode

    Avis de l'Anses relatif Ă  l'Ă©valuation du rapport bĂ©nĂ©fice risque des pratiques de lutte anti-vectorielle habituellement mises en Ɠuvre pour lutter contre la dengue, dans le contexte actuel de confinement global

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    En janvier 2020, un nouveau virus Ă©mergent Ă©tait identifiĂ© en Chine, suite Ă  l’identification de cas groupĂ©s de pneumopathies apparues en dĂ©cembre 2019 dans la ville de Wuhan (province du Hubei). Ce nouveau coronavirus a Ă©tĂ© dĂ©signĂ© officiellement par l’Organisation Mondiale de la SantĂ© (OMS) SARS-CoV-2, pour coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sĂ©vĂšre, agent responsable de la nouvelle maladie infectieuse respiratoire appelĂ©e Covid-191 (Coronavirus disease). Au vu de son ampleur, le 30 janvier 2020, l’OMS a dĂ©clarĂ© que l’épidĂ©mie de Covid-19 constituait une Urgence de SantĂ© Publique de PortĂ©e Internationale (USPPI), puis le 11 mars 2020, une pandĂ©mie. AprĂšs l’apparition des premiers cas sur le sol français, le 24 janvier 2020, le volet Orsan REB3 du plan Orsan (Organisation de la rĂ©ponse du systĂšme de santĂ© en situations sanitaires exceptionnelles) Ă©tait dĂ©clenchĂ© le 23 fĂ©vrier par le ministre des SolidaritĂ©s et de la SantĂ©. Le 1er mars, alors que le stade 2 venait d’ĂȘtre dĂ©clenchĂ© (le 29 fĂ©vrier), les premiers cas Ă©taient diagnostiquĂ©s en Outre-Mer.Depuis le 14 mars 2020, la France est en stade 3 de l’épidĂ©mie de Covid-19. Le 16 mars 2020, le PrĂ©sident de la RĂ©publique française, Monsieur Emmanuel Macron, a dĂ©cidĂ© la mise en place d’un dispositif de confinement (mesure sanitaire qui dĂ©signe l’ensemble des restrictions de contacts humains et de dĂ©placements) sur l’ensemble du territoire Ă  compter du mardi 17 mars Ă  12h00, pour quinze jours minimum. Le 27 mars, le Premier ministre a prolongĂ© une premiĂšre fois le confinement national jusqu’au 15 avril. Le 13 avril, le PrĂ©sident de la RĂ©publique, l’a Ă  nouveau prolongĂ© jusqu’au 11 mai, avec une possible levĂ©e progressive Ă  partir de cette date. Or, depuis le dĂ©but de l’annĂ©e 2020, l’ensemble des territoires français d’Outre-Mer sont en stade Ă©pidĂ©mique ou prĂ©-Ă©pidĂ©mique de dengue, conduisant les autoritĂ©s Ă  considĂ©rer la poursuite des activitĂ©s de lutte anti-vectorielle (LAV) habituellement mises en Ɠuvre pour lutter contre la denguedans ces territoires, ainsi que contre le paludisme6 (Ă  Mayotte et en Guyane), comme essentielle durant cette pĂ©riode

    The COVID-19 pandemic should not jeopardize dengue control

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    This assessment was conducted by a multidisciplinary task force of experts, “Emergency Collective Expertise Group—Impact of the COVID-19 pandemic and lockdown on dengue surveillance and vector control interventions” of the French Agency for Food, Environmental and Occupational Health & Safety (ANSES).International audienceThe concurrent circulation of dengue and coronavirus disease 2019 (COVID-19) may produce many unfavourable outcomes-such as co-infections; delays in diagnosis, treatment, and mitigation measures; overwhelming of the healthcare system; underreporting of cases; deterioration in surveillance and control interventions; and exacerbation of social inequalities. Indeed, lockdown is greatly compromising the effectiveness of vector control, especially social mobilization campaigns and preventive insecticide spraying in private spaces (indoor and peridomestic spraying). Thus, failure to appropriately implement the full range of vector control interventions can lead to a reduction in their overall effectiveness and an increasing risk of vector-borne diseases circulating. Consequently, the health community and policy makers should develop proactive policies and allocate adequate resources to prevent and manage the resurgence of dengue and other vector-borne diseases in the new era of COVID-19

    : Research methods in psychology

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    National audienceCet ouvrage décrit les différentes méthodes spécifiques aux branches de la psychologie : différentielle, sociale, développementale, clinique et pathologique.L'approche expérimentale en psychologie s'est particuliÚrement développée durant les cinquante derniÚres années. Cet essor a été marqué par la différenciation des objets de recherche et par l'élaboration de méthodes spécifiques. Ainsi, les auteurs décrivent, à partir d'exemples concrets, les méthodes utilisées en psychophysiologie, les paradigmes expérimentaux employés en psychologie du développement ou encore les stratégies d'analyse en psychologie différentielle ou en psychologie sociale. Ensuite, l'ouvrage présente les méthodes liées à l'utilisation de systÚmes de simulation qui jouent un rÎle de plus en plus important dans l'évolution de la recherche. Conçu notamment pour les étudiants de second cycle en psychologie, cet ouvrage offre une aide à la compréhension des publications scientifiques et à l'élaboration de nouvelles méthodes

    Imported chikungunya cases in an area newly colonised by Aedes albopictus : mathematical assessment of the best public health strategy

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    International audienceWe aimed to identify the optimal strategy that should be used by public health authorities against transmission of chikungunya virus in mainland France. The theoretical model we developed, which mimics the current surveillance system, predicted that without vector control (VC), the probability of local transmission after introduction of viraemic patients was around 2%, and the number of autochthonous cases between five and 15 persons per hectare, depending on the number of imported cases. Compared with this baseline, we considered different strategies (VC after clinical suspicion of a case or after laboratory confirmation, for imported or autochthonous cases): Awaiting laboratory confirmation for suspected imported cases to implement VC had no significant impact on the epidemiological outcomes analysed, mainly because of the delay before entering into the surveillance system. However, waiting for laboratory confirmation of autochthonous cases before implementing VC resulted in more frequent outbreaks. After analysing the economic cost of such strategies, our study suggested implementing VC immediately after the notification of a suspected autochthonous case as the most efficient strategy in settings where local transmission has been proven. Nevertheless, we identified that decreasing reporting time for imported cases should remain a priority

    From importation to autochthonous transmission: Drivers of chikungunya and dengue emergence in a temperate area.

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    BACKGROUND:The global spread of Aedes albopictus has exposed new geographical areas to the risk of dengue and chikungunya virus transmission. Several autochthonous transmission events have occurred in recent decades in Southern Europe and many indicators suggest that it will become more frequent in this region in the future. Environmental, socioeconomic and climatic factors are generally considered to trigger the emergence of these viruses. Accordingly, a greater knowledge of the determinants of this emergence in a European context is necessary to develop adapted surveillance and control strategies, and public health interventions. METHODOLOGY/PRINCIPAL FINDINGS:Using French surveillance data collected from between 2010 and 2018 in areas of Southern France where Ae. albopictus is already established, we assessed factors associated with the autochthonous transmission of dengue and chikungunya. Cases leading to autochthonous transmission were compared with those without subsequent transmission using binomial regression. We identified a long reporting delay (≄ 21 days) of imported cases to local health authorities as the main driver for autochthonous transmission of dengue and chikungunya in Southern France. The presence of wooded areas around the cases' place of residence and the accumulation of heat during the season also increased the risk of autochthonous arbovirus transmission. CONCLUSIONS:Our findings could inform policy-makers when developing strategies to the emerging threats of dengue and chikungunya in Southern Europe and can be extrapolated in this area to other viruses such as Zika and yellow fever, which share the same vector. Furthermore, our results allow a more accurate characterization of the environments most at risk, and highlight the importance of implementing surveillance systems which ensure the timely reporting and of imported cases and swift interventions
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