101 research outputs found

    Automatic sleep staging from ventilator signals in non-invasive ventilation

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    AbstractNon-invasive ventilation (NIV), a recognized treatment for chronic hypercapnic respiratory failure, is predominantly applied at night. Nevertheless, the quality of sleep is rarely evaluated due to the required technological complexity. A new technique for automatic sleep staging is here proposed for patients treated by NIV. This new technique only requires signals (airflow and hemoglobin oxygen saturation) available in domiciliary ventilators plus a photo-plethysmogram, a signal already managed by some ventilators. Consequently, electroencephalogram, electrooculogram, electromyogram, and electrocardiogram recordings are not needed. Cardiorespiratory features are extracted from the three selected signals and used as input to a Support Vector Machine (SVM) multi-class classifier. Two different types of sleep scoring were investigated: the first type was used to distinguish three stages (wake, REM sleep and nonREM sleep), and the second type was used to evaluate five stages (wake, REM sleep, N1, N2 and N3 stages). Patient-dependent and patient-independent classifiers were tested comparing the resulting hypnograms with those obtained from visual/manual scoring by a sleep specialist. An average accuracy of 91% (84%) was obtained with three-stage (five-stage) patient-dependent classifiers. With patient-independent classifiers, an average accuracy of 78% (62%) was obtained when three (five) sleep stages were scored. Also if the PPG-based and flow features are left out, a reduction of 4.5% (resp. 5%) in accuracy is observed for the three-stage (resp. five-stage) cases. Our results suggest that long-term sleep evaluation and nocturnal monitoring at home is feasible in patients treated by NIV. Our technique could even be integrated into ventilators

    TRY plant trait database – enhanced coverage and open access

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    Plant traits - the morphological, anatomical, physiological, biochemical and phenological characteristics of plants - determine how plants respond to environmental factors, affect other trophic levels, and influence ecosystem properties and their benefits and detriments to people. Plant trait data thus represent the basis for a vast area of research spanning from evolutionary biology, community and functional ecology, to biodiversity conservation, ecosystem and landscape management, restoration, biogeography and earth system modelling. Since its foundation in 2007, the TRY database of plant traits has grown continuously. It now provides unprecedented data coverage under an open access data policy and is the main plant trait database used by the research community worldwide. Increasingly, the TRY database also supports new frontiers of trait‐based plant research, including the identification of data gaps and the subsequent mobilization or measurement of new data. To support this development, in this article we evaluate the extent of the trait data compiled in TRY and analyse emerging patterns of data coverage and representativeness. Best species coverage is achieved for categorical traits - almost complete coverage for ‘plant growth form’. However, most traits relevant for ecology and vegetation modelling are characterized by continuous intraspecific variation and trait–environmental relationships. These traits have to be measured on individual plants in their respective environment. Despite unprecedented data coverage, we observe a humbling lack of completeness and representativeness of these continuous traits in many aspects. We, therefore, conclude that reducing data gaps and biases in the TRY database remains a key challenge and requires a coordinated approach to data mobilization and trait measurements. This can only be achieved in collaboration with other initiatives

    Embolies pulmonaires graves (Ă  propos de 10 cas)

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    Ce travail a pour objectif de dĂ©finir l'embolie pulmonaire grave, de proposer une mĂ©thode diagnostique devant une suspicion d'embolie pulmonaire grave, et de revoir les indications des agents thrombolytiques, qui constituent le traitement spĂ©cifique de ces embolies. MĂ©thode : Dix cas d'embolies pulmonaires traitĂ©es par fibrinolyse ont Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©s rĂ©trospectivement et comparĂ©s aux rĂ©sultats de la littĂ©rature. Les signes de gravitĂ© prĂ©sents Ă  l'admission, et les examens rĂ©alisĂ©s pour parvenir au diagnostic ont Ă©tĂ© analysĂ©s en particulier. L'efficacitĂ© des fibrinolytiques (sur des signes cliniques, biologiques, et radiologiques) et leurs complications ont Ă©tĂ© Ă©valuĂ©es. RĂ©sultats : Les embolies pulmonaires fibrinolysĂ©es dans notre Ă©tude prĂ©sentent toutes des signes de gravitĂ© sans instabilitĂ© hĂ©modynamique, pour une obstruction artĂ©rielle pulmonaire de 40 Ă  60 %. L'angioscanner spiralĂ© pulmonaire ou l'angiographie pulmonaire permettent le diagnostic dans tous les cas. Globalement il existe une amĂ©lioration clinique dans tous les cas et radiologique dans 7 cas sur 10 aprĂšs traitement par rt-PA. Il n'y a pas de dĂ©cĂšs. Un Ă©pisode d'hĂ©morragie mineure survient dans tous les cas. Il y a 20 % d'hĂ©morragies graves. Les embolies pulmonaires graves peuvent ainsi ĂȘtre dĂ©finies par une instabilitĂ© hĂ©modynamique oĂč l'existence d'un ou plusieurs des signes suivants : syncope, tachycardie >100/min, tachypnĂ©e >25/min, signes d'insuffisance cardiaque droite, hypoxĂ©mie <60 mmHg, signes droits francs Ă  l'Ă©lectrocardiogramme, signes Ă©chocardiographiques de coeur pulmonaire aigu. Devant une suspicion d'embolie pulmonaire grave le diagnostic doit ĂȘtre rapide et, si elle est disponible, l'Ă©chographie cardiaque est Ă  rĂ©aliser en parallĂšle avec l'angioscanner spiralĂ©, l'angiographie pulmonaire Ă©tant rĂ©servĂ©e aux cas litigieux. Le traitement thrombolytique a prouvĂ© son efficacitĂ© dans le traitement des embolies pulmonaires massives, ses indications pourraient ĂȘtre Ă©largies Ă  toutes les embolies pulmonaires graves.ROUEN-BU MĂ©decine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Ventilation non invasive (VNI) à long terme (Etude rétrospective sur 446 patients pris en charge par le service de pneumologie du Pr Muir et par ADIR ASSISTANCE)

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    Cette étude rétrospective a permis de suivre l'évolution de 446 patients bénéficiant d'une VNI à long terme sur une période de 15 ans (1997-2012).Ces patients ont bénéficié d'une prise en charge homogÚne puisqu'ils ont tous été suivis par le service de pneumologie et l'USIR du Pr MUIR (CH de ROUEN), pionniÚre dans le développement de la VNI à domicile, et par ADIR Assistance qui assure l'appareillage ainsi que le suivi médico-technique. Les informations ont été collectées grùce à la base de données que constitue le fichier de patients de l'AMR Assistance. La majorité des patients sont des hommes (61%) et plus de 30% des patients ont plus de 65 ans au début de leur prise en charge. Les étiologies les plus souvent rencontrées sont la BPCO, le syndrome obésité-hypoventilation, les maladies neuromusculaires et dans une moindre mesure la cyphoscoliose. Le nombre de patients pris en charge chaque année augmente (+30%) au cours de la période d'étude car le nombre de patients obÚses et maladies neuromusculaires augmente alors que les autres étiologies paraissent stables. L'interface /a plus utilisée est le masque nasal (81%) puis le masque facial (18%) et les canules nasales (5%). Le choix de l'interface est primordial pour la tolérance de la VNI et sa poursuite à long terme. Les ventilateurs barométriques sont les plus utilisés (84%) parce qu'ils sont mieux tolérés par les patients et permettent la gestion des fuites. L'observance de la VNI est majoritairement bonne (61%) ; elle est meilleure dans le groupe restrictif (64%) que dans le groupe obstructif (56%). Les hospitalisations sont peu fréquentes, 75 % des patients sont hospitalisés au moins une fois durant leur prise en charge, la fréquence des hospitalisations étant de 0.65/an. Le risque d'hospitalisation augmente avec la durée de la prise en charge.La médiane de survie (MS) est de 6.8 ans ; la survie à 1 an est de 90% et la survie à 10 ans est de 30%.Les meilleurs résultats sont obtenus pour les étiologies obésité (0.47 hospitalisation/an, MS-8.2 ans) et cyphoscoliose (0.58 hospitalisation/an, MS-7.7 ans). Le bénéfice semble plus court, mais réel, pour les patients BPCO (0.75 hospitalisation/an, MS 6.4 ans). Ces résultats sont conformes aux données de la littérature auxquels ils ont été confrontés.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    Prise en charge non pharmacologique de l'insuffisance respiratoire chronique obstructive grave

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    La bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) qui conduit à l'insuffisance respiratoire chronique est la 5Úme cause de décÚs en Europe. Dans cette thÚse, nous avons étudié : 1) la régulation du gÚne d'une métalloprotéinase (MMP-12) impliquée dans la physiopathologie de la BPCO ; 2) la mise au point d'un dosage ELISA de l'inter-alpha trypsine inhibiteur ; 3) la répartition des allÚles de l'alpha-1 antitrypsine chez des patients atteints de bronchectasies ; 4) l'impact d'une valve économiseuse sur les paramÚtres objectifs de la qualité du sommeil ; 5) l'efficacité d'un systÚme de remplissage au domicile de cylindres d'oxygÚne gazeux ; 6) les bénéfices de la ventilation non invasive (VNI) sur la survie au long cours ; 7) les indications d'une VNI à domicile au décours immédiat d'une insuffisance respiratoire aiguë ; 8) les avantages/limites de la capnographie transcutanée lors des réglages de la VNI ; 9) l'efficacité d'un masque à espace mort élévé pour la VNI chez les patients BPCO.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUP (751062107) / SudocSudocFranceF

    Mise en place du traitement par pression positive continue chez les patients pésentant un syndrome d'apnées hypopnées obstructives du sommeil par la méthode d'autotitration par PPC autopilotée à domicile

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    Le syndrome d'apnĂ©es hypopnĂ©es obstructives du sommeil (SAHOS) a une prĂ©valence Ă©levĂ©e. Cette maladie a des rĂ©percussions sociales, professionnelles et mĂ©dicales qui nĂ©cessitent une prise en charge rapide et adaptĂ©e Ă  la demande. Une fois le diagnostic Ă©tabli, le traitement par pression positive continue (PPC) ne peut ĂȘtre dĂ©butĂ© qu'apres la rĂ©alisation d'une titration dont le but est de fixer le niveau de pression efficace. La mĂ©thode de rĂ©fĂ©rence est la titration manuelle en laboratoire. Celle-ci a comme principale inconvĂ©nient sa faible disponibilitĂ© responsable de longue liste d'attente. D'autres mĂ©thodes de titration sont toutefois disponibles. La titration par machine autopilotĂ©e ou autotitration en fait partie et son efficacitĂ© a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© dĂ©montrĂ©e. La gĂ©nĂ©ralisation de l'utilisation de l'autotitration au domicile en pratique courante est toutefois relativement rĂ©cente. Le but de notre Ă©tude est d'Ă©valuer cette mĂ©thode en pratique quotidienne et de rechercher d'Ă©ventuels facteurs prĂ©dictifs de succĂšs de la mĂ©thode. Pour cela, nous avons repris de façon rĂ©trospective le suivi de 206 patients traitĂ©s par pression positive au long cours et dont le niveau de pression efficace avait Ă©tĂ© titrĂ© par une machine autopilotĂ©e entre mai 2004 et mai 2006. Les rĂ©sultats confirment l'efficacitĂ© de la mĂ©thode d'autotitration avec une observance moyenne Ă  un an de 5h20 +/- 2h21 par nuit. Le taux de poursuite du traitement est de 83,1 % au terme du suivi. Pour la recherche de facteurs prĂ©dictifs de bonne observance, nous avons dĂ©fini le succĂšs par une observance supĂ©rieure Ă  4 heures par nuit au terme du suivi et par l'absence de recours Ă  une titration manuelle. Les facteurs pronostiques de succĂšs sont la sĂ©vĂ©ritĂ© du SAHOS, la bonne observance de la PPC autopilotĂ©e pendant la pĂ©riode de titration au domicile et l'absence de survenue d'effets secondaires. L'utilisation de l'autotitration en pratique courante est donc adaptĂ©e Ă  la prise en charge du SAHOS. Elle a dĂ©jĂ  pris une place importante dans la gestion du nombre important de patients nĂ©cessitant un traitement. Les principaux avantages de cette mĂ©thode sont sa grande disponibilitĂ©, permettant une initiation rapide du traitement, l'Ă©valuation du niveau de pression efficace sur plusieurs nuits et Ă  priori son faible coĂ»t par rapport Ă  la titration en laboratoire. Cette mĂ©thode n'est toutefois pas adaptĂ©e pour l'ensemble des patients et la titration manuelle en laboratoire garde une place importante dans la prise en charge du SAHOS. Au terme du suivi, aucune diffĂ©rence en terme de succĂšs n'est observĂ©e entre les patients traitĂ©s par PPC fixe et ceux conservant leur autoPPC.ROUEN-BU MĂ©decine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Place du dépistage du syndrome des apnées du sommeil avant une chirurgie bariatrique (incidence sur la prise en charge péri-opératoire)

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    L'obĂ©sitĂ©, dĂ©finie par un indice de masse corporelle supĂ©rieur (IMC) Ă  30 kg/m2, est devenue un problĂšme de santĂ© publique. En France 15 % de la population est obĂšse et 1,1 % est porteuse d'une obĂ©sitĂ© massive. Le retentissement mĂ©dico-Ă©conomique est important en termes d'arrĂȘts maladies, de comorbiditĂ©s et de mortalitĂ© induites. La chirurgie bariatrique est le traitement qui s'est rĂ©vĂ©lĂ© ĂȘtre le plus efficace sur la perte de poids notable et durable. Elle est indiquĂ©e par la Haute AutoritĂ© de SantĂ© pour un IMC supĂ©rieur Ă  40 kg/m2 ou Ă  35 kg/m2 en cas de comorbiditĂ©s associĂ©es. La pratique de la chirurgie bariatrique pose la question du bĂ©nĂ©fice-risque intĂ©grant la prise en charge des comorbiditĂ©s. Le syndrome des apnĂ©es hypopnĂ©es obstructives du sommeil (SAROS), dont le premier facteur de risque est l'obĂ©sitĂ©, doit ĂȘtre recherchĂ© et pris en charge avant la chirurgie au risque d'augmenter les complications pĂ©ri-opĂ©ratoires. En revanche il n'existe pas de consensus national ou international quand aux moyens de dĂ©pistage et de diagnostic du SAHOS, qu'il s'agisse des scores cliniques ou du type d'exploration polygraphique. Objectifs de l'Ă©tude : Nous avons Ă©tudiĂ© la prĂ©valence du SAHOS dans la population bariatrique du CHU de Rouen. Puis nous avons recherchĂ© des facteurs prĂ©dictifs cliniques, gazomĂ©triques et fonctionnels respiratoires du SAHOS sĂ©vĂšre. Enfin nous avons Ă©tudiĂ© les rĂ©percussions de la perte de poids consĂ©cutive de la chirurgie bariatrique sur le SAHOS. MĂ©thodes : Dans cette Ă©tude monocentrique rĂ©trospective de cohorte, nous avons rĂ©alisĂ© un score d'Epworth, des mesures morphomĂ©triques, une impĂ©dancemĂ©trie et une polygraphie ventilatoire chez les patients qui ont consultĂ© de mai 2009 Ă  mai 2010 en pneumologie pour le bilan prĂ©opĂ©ratoire d'une chirurgie bariatrique. Nous avons ensuite suivi les patients pendant 18 mois. RĂ©sultats : 198 patients ont Ă©tĂ© inclus dans l'Ă©tude. Les patients avaient en moyenne 37 ans, un IMC de 45 kg/m2, une obĂ©sitĂ© de type androĂŻde et 92 % Ă©taient des femmes. Les explorations fonctionnelles respiratoires et les gaz du sang Ă©taient majoritairement normaux. Le score d'Epworth moyen Ă©tait de 6/24 et 55 % des polygraphies ventilatoires Ă©taient anormales. Dans 14,6 % des cas un SAHOS sĂ©vĂšre a Ă©tĂ© retrouvĂ© dont 89 % nouvellement diagnostiquĂ©. Nous avons dĂ©veloppĂ© un score clinique, le score EPAIS, prĂ©dictif du SAHOS sĂ©vĂšre basĂ© sur le sexe masculin, le pĂ©rimĂštre ombilical > 133 cm, l'Ăąge > 37 ans, le score d'Epworth > 10/24, l'iMC > 47 kg/m2. Un score > 2/5 Ă©tait prĂ©dictif d'un SAHOS sĂ©vĂšre (sensibilitĂ© - 84%; spĂ©cificitĂ© = 71%). A 7 mois de la chirurgie, 81 % des patients porteurs d'un SAHOS ventilĂ© ont pu ĂȘtre dĂ©sappareillĂ©. La perte d'excĂšs de poids Ă©tait alors de 49 % et l'index apnĂ©es hypopnĂ©es (IAH) mĂ©dian de 4/h. Discussion et conclusion: La recherche d'un SAHOS est indispensable avant une chirurgie bariatrique. Un score clinique EPAIS > 2/5 pourrait permettre de dĂ©tecter les patients Ă  haut risque de SAHOS sĂ©vĂšre et de sursoir Ă  l'oxymĂ©trie nocturne. La polygraphie ventilatoire reste nĂ©cessaire en cas de score [PAIS > 2/5 ou d'oxymĂ©trie nocturne pathologique. La perte de poids induite par la chirurgie bariatrique est associĂ©e Ă  une rĂ©duction significative de l'IAH et permet de guĂ©rir dans la majoritĂ© des cas un SAHOS sĂ©vĂšre 6 mois aprĂšs la chirurgie.ROUEN-BU MĂ©decine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF
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