Impact of deforestation on solid and dissolved organic matter characteristics of tropical peat forests: implications for carbon release

This study compares the organic chemistry of peat beneath one of last remaining pristine tropical peat forests in Southeast Asia with a neighbouring peat dome that has been deforested, but not intentionally drained, in the Belait district of Brunei Darussalam, Borneo. We characterized the solid and dissolved organic matter collected from the two domes, through a combination of methods including elemental analysis, phenolic content and Fourier transform infrared spectroscopy (FTIR) investigation of solid peat, as well as optical characterisation (absorbance, fluorescence) of dissolved organic matter (DOM). The peat had a high content of lignin, consistent with its origin from the Shorea albida trees on the domes. Dissolved organic carbon (DOC) concentration in the pore water was significantly greater in the deforested site (79.9 ± 5.5 mg l[superscript −1]) than the pristine site (62.2 ± 2.2 mg l[superscript −1]). The dissolved organic matter was richer in nitrogen and phenolics in the deforested site. The optical properties (Fluorescence Index) indicated a modification of DOM cycling in the deforested site (enhanced decomposition of the peat and fresh litter). Comparison of the solid peat composition between the two sites also suggests effects of deforestation: sulphur, nitrogen and phenolic contents were higher in the deforested site. Taken together, these observations are consistent with peat enhanced decomposition in the deforested site, even without engineered drainage.Singapore-MIT Alliance for Research and Technology. Center for Environmental Sensing and Modelin

La technologie de la réduction en vase-four, en contexte campaniforme sur la façade atlantique française, mise en évidence par les analyses p-XRF couplées à l’observation pétrologique

International audienceLa technologie de la réduction en vase-four, en contexte campaniforme sur la façade atlantique française, mise en évidence par les analyses p-XRF couplées à l'observation pétrologique En France, les éléments permettant de mettre en évidence des travaux métallurgiques sur les sites datant du Campaniforme sont extrêmement rares, et correspondent à des résidus cuivreux, collés ou non à des céramiques, sous forme de nodules voire de scorie. Le site de Talmont Saint Hilaire (Vendée) fouillé à nouveau en 2014, après les opérations de 1988 et 1990 qui avaient permis la découverte de résidus cuivreux, a livré un fragment de céramique commune présentant un résidu cuivreux sur la face interne. Les analyses au MEB-EDS sur les billes de métal emprisonnées ont montré la présence d'un métal hétérogène, en cuivre quasiment pur ou allié avec As (1.5 à 40.4%), Ni (1.8 à 32%), Sb (1.5 à 2.5 %) et Fe (0.5 à 4.2 %). L'analyse par p-XRF a de plus montré la présence du soufre indiquant l'introduction de la matière première sous forme de minerai dans le vase-four qui correspond à une céramique commune, et un enrichissement en phosphore indiquant la présence de charbon. La céramique autour du résidu cuivreux présente un aspect poreux ou presque vitrifié, indiquant une chauffe à haute température. L'analyse par p-XRF, d'autres fragments de céramiques, sans résidu cuivreux mais plus ou moins dégradées sur la face interne, a montré la présence nette du cuivre (406 à 1319 ppm) et de l'arsenic (157 à 257 ppm), éléments absents de la pâte céramique intacte. Ces tessons correspondent à de la céramique commune réemployée en métallurgie. Hors secteurs miniers de production, cette métallurgie a pu être mise en oeuvre en contexte domestique. Sans trace évidente de résidus cuivreux, elle passe alors totalement inaperçue. Ainsi, cette première métallurgie, considérée comme très rare en France, pourrait être plus présente que la connaissance que nous avons actuellement. L'analyse par p-XRF de nombreux tessons de céramiques communes campaniformes permettra ainsi de mieux en évaluer l'ampleur

Est-ce que l'hétérogénéité des vestiges de charbonnières impacte les invertébrés du sol ?

International audienc

A−2A^{-}2 production in π−p\pi^{-}p interactions at 3.9 GeV/c

The reaction pi /sup -/p to A/sub 2//sup -/p at 3.9 GeV/c incident momentum is studied using data corresponding to the rho /sup 0/ pi /sup -/, eta pi /sup -/ and K/sub S//sup 0/K/sup -/ decay modes of the A/sub 2//sup -/. Unnatural parity exchange is found to be important at this energy. The natural parity exchange component of the differential cross section exhibits structure at t' approximately=1 GeV/sup 2/. (17 refs)