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    Tour d'horizon du potentiel de développement de l'aquaponie en France : présentation et regard critique sur cette voie de développement alternative pour les productions piscicoles et horticoles

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    L'aquaponie repose sur l'intégration de process de production aquacole et hydroponique permettant le recyclage et la valorisation des nutriments émis par l'élevage aquacole par des cultures végétales. Cette démarche innovante attire à la fois les filiÚres aquacoles, car la co-production permet de réutiliser l'eau en permanence pour l'élevage ; mais également les filiÚres horticoles en réduisant l'emploi d'intrants chimiques dans la conduite de production végétale. Le projet APIVAŸ (Aquaponie Innovation Végétale et Aquaculture) vise à développer et caractériser des pilotes aquaponiques fonctionnels, d'étudier leur faisabilité économique, leur impact environnemental et la qualité des produits obtenus, tout en modélisant les flux se produisant entre les compartiments (bassins d'élevage, surfaces de culture, filtre biologique). AprÚs une rapide présentation de l'origine de l'aquaponie, cet article vise à définir les avantages et inconvénients de cette pratique innovante, les différentes formes qu'elle peut prendre, les diverses modalités de conception envisageables, ainsi que les aspects techniques à appréhender. En France, trÚs peu de systÚmes d'aquaponie commerciale sont actifs, mais beaucoup de projets émergent depuis quelques années, notamment en milieu urbain. Des exemples d'entreprises d'aquaponie commerciale à l'international sont présentés, avant de définir une typologie des porteurs de projet français. (Résumé d'auteur

    Aquaponics system, a solution to limit nutrient release by fish farming ?

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    Aquaponics system, a solution to limit nutrient release by fish farming ?. 20th N Workshop and Side even

    Potentiel de dĂ©veloppement de l’aquaponie en France : Le programme APIVA Âź « Aquaponie Innovation VĂ©gĂ©tale et Aquaculture ».

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    Ce volume regroupe les textes issus du programme Casdar "Innovation et Partenariat" et "Recherche finalisĂ©e et innovation" de 2013. Le colloque de restitution s’est dĂ©roulĂ© le 6 fĂ©vrier 2019 sous l’égide du GIS Relance AgronomiqueNational audienceAquaponics is based on the integration of aquaculture and hydroponics production process making it possible the recycling and recovery of nutrients rejected by fish farming through vegetable production. This innovative approach is attractive for the aquaculture sectors as this co-production facilitates the recirculation of water with a minimal opening rate of the system, but also for the horticulture sector as it reduces totally or partially the needs of chemical inputs in soilless plant production. APIVA¼’s project (“Aquaponics: Plant Innovation and Aquaculture”) aims to develop functional aquaponic pilot systems and to study the economic feasibility of such systems, but also their impact on the environment and on the quality of products, while modelling the flow occurring between the different compartments (fish farming, soilless culture, biological filter).After a brief presentation of the origin of aquaponics, this article aims to identify advantages and drawbacks of this innovative practice, but also the different forms it can take and the possible design methods and technical aspects to apprehend. In France, very few commercial aquaponics systems are already in activity, but many projects have been emerging in recent years, especially in urban areas. Some examples of commercial aquaponics companies abroad are presented before giving a typology of French project holdersL’aquaponie repose sur l’intĂ©gration de process de production aquacole et hydroponique permettant le recyclage et la valorisation des nutriments Ă©mis par l’élevage aquacole par des cultures vĂ©gĂ©tales. Cette dĂ©marche innovante attire Ă  la fois les filiĂšres aquacoles, car la co-production permet de rĂ©utiliser l’eau en permanence pour l’élevage ; mais Ă©galement les filiĂšres horticoles en rĂ©duisant l’emploi d’intrants chimiques dans la conduite de production vĂ©gĂ©tale. Le projet APIVAÂź (Aquaponie Innovation VĂ©gĂ©tale et Aquaculture) a permis de dĂ©velopper et de caractĂ©riser des pilotes aquaponiques fonctionnels, d’étudier leur faisabilitĂ© Ă©conomique, leur impact environnemental et la qualitĂ© des produits obtenus, tout en modĂ©lisant les flux se produisant entre les compartiments (bassins d’élevage, surfaces de culture, filtre biologique). AprĂšs une rapide prĂ©sentation de l’origine de l’aquaponie, cet article vise Ă  dĂ©finir les avantages et les inconvĂ©nients de cette pratique innovante, les diffĂ©rentes formes qu’elle peut prendre, les diverses modalitĂ©s de conception envisageables, ainsi que les aspects techniques Ă  apprĂ©hender. En France, trĂšs peu de systĂšmes d’aquaponie commerciale sont actifs, mais beaucoup de projets Ă©mergent depuis quelques annĂ©es, notamment en milieu urbain. Des exemples d’entreprises d’aquaponie commerciale Ă  l’international sont prĂ©sentĂ©s, avant de dĂ©finir une typologie des porteurs de projet françai

    Risk factors of mortality among patients hospitalised with COVID-19 in a critical care or hospital care unit: analysis of the French national medicoadministrative database

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    International audienceObjective To explore mortality risk factors for patients hospitalised with COVID-19 in a critical care unit (CCU) or a hospital care unit (HCU). Design Retrospective cohort analysis using the French national (Programme de mĂ©dicalisation des systĂšmes d'information) database. Setting Any public or private hospital in France. Participants 98 366 patients admitted with COVID-19 for more than 1 day during the first semester of 2020 were included. The underlying conditions were retrieved for all contiguous stays. Main outcome measures In-hospital mortality and associated risk factors were assessed using frailty Cox models. Results Among the 98 366 patients included, 25 765 (26%) were admitted to a CCU. The median age was 66 (IQR: 55-76) years in CCUs and 74 (IQR: 57-85) years in HCUs. Age was the main risk factor of death in both CCUs and HCUs, with adjusted HRs (aHRs) in CCUs increasing from 1.60 (95% CI 1.35 to 1.88) for 46 to 65 years to 8.17 (95% CI 6.86 to 9.72) for ≄85 years. In HCUs, the aHR associated with age was more than two times higher. The gender was not significantly associated with death, aHR 1.03 (95% CI 0.98 to 1.09, p=0.2693) in CCUs. Most of the underlying chronic conditions were risk factors for death, including malignant neoplasm (CCU: 1.34 (95% CI 1.25 to 1.43); HCU: 1.41 (95% CI 1.35 to 1.47)), cirrhosis without transplant (1.41 (95% CI 1.22 to 1.64); 1.27 (95% CI 1.12 to 1.45)) and dementia (1.30 (95% CI 1.16 to 1.46); 1.07 (95% CI 1.03 to 1.12)). Conclusion This analysis confirms the role of age as the major risk factor of death in patients with COVID-19 irrespective to admission to critical care and therefore supports the current vaccination policies targeting older individuals. copyright

    Rev Epidemiol Sante Publique

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    Introduction : La France a Ă©tĂ© fortement touchĂ©e par la pandĂ©mie de COVID-19, et aucune Ă©tude n'a dĂ©crit de maniĂšre exhaustive son impact sur les hospitalisations. Notre objectif Ă©tait de dĂ©crire la distribution gĂ©ographique et l’évolution temporelle des hospitalisations liĂ©es Ă  la COVID-19 et la mortalitĂ© intrahospitaliĂšre en France durant la premiĂšre vague, de janvier Ă  juin 2020. MĂ©thodes : Cette Ă©tude de cohorte rĂ©trospective est basĂ©e sur les donnĂ©es de la base nationale du PMSI. Les hospitalisations contiguĂ«s ont Ă©tĂ© rassemblĂ©es en « sĂ©quences de soins » afin de limiter les biais lors des calculs d'incidence et de mortalitĂ©. Les taux d'incidence et leur Ă©volution, la mortalitĂ© et le taux de lĂ©talitĂ© ont Ă©tĂ© comparĂ©s selon diffĂ©rents niveaux gĂ©ographiques. Les corrĂ©lations entre incidence, mortalitĂ© et taux de lĂ©talitĂ© ont Ă©tĂ© analysĂ©es. RĂ©sultats : Durant la premiĂšre vague Ă©pidĂ©mique, nous avons dĂ©nombrĂ© 98 366 patients hospitalisĂ©s en France (taux d'incidence 146,7/100 000 habitants), parmi lesquels 18,8 % sont dĂ©cĂ©dĂ©s. L’ñge mĂ©dian Ă©tait de 71 ans, le ratio homme/femme de 1,16 et 26,2 % des patients ont nĂ©cessitĂ© des soins intensifs. L’Île-de-France et le Grand Est ont Ă©tĂ© les rĂ©gions touchĂ©es les plus prĂ©cocement et les plus sĂ©vĂšrement. Une rapide augmentation de l'incidence et de la mortalitĂ© sur 4 semaines a Ă©tĂ© suivie par une lente diminution durant 10 semaines. Le taux de lĂ©talitĂ© a progressivement diminuĂ© durant cette pĂ©riode et Ă©tait corrĂ©lĂ© positivement avec l'incidence et la mortalitĂ©. Discussions : La description gĂ©ographique et temporelle de cette premiĂšre vague Ă©pidĂ©mique de COVID-19 en France montre d'importantes variations rĂ©gionales et dĂ©partementales, qu'une analyse globale n'aurait pas pu mettre en Ă©vidence. La prĂ©cision apportĂ©e par ces analyses peut aider Ă  mieux comprendre la dynamique de futures vagues Ă©pidĂ©miques.INTRODUCTION: Even though France was severely hit by the COVID-19 pandemic, few studies have addressed the dynamics of the first wave on an exhaustive, nationwide basis. We aimed to describe the geographic and temporal distribution of COVID-19 hospitalisations and in-hospital mortality in France during the first epidemic wave, from January to June 2020. METHODS: This retrospective cohort study used the French national database for all acute care hospital admissions (PMSI). Contiguous stays were assembled into "care sequences" for analysis so as to limit bias when estimating incidence and mortality. The incidence rate and its evolution, mortality and hospitalized case fatality rates (HCFR) were compared between geographic areas. Correlations between incidence, mortality, and HCFR were analyzed. RESULTS: During the first epidemic wave, 98,366 COVID-19 patients were hospitalized (incidence rate of 146.7/100,000 inhabitants), of whom 18.8% died. The median age was 71 years, the male/female ratio was 1.16, and 26.2% of patients required critical care. The Paris area and the North-East region were the first and most severely hit areas. A rapid increase of incidence and mortality within 4 weeks was followed by a slow decrease over 10 weeks. HCFRs decreased during the study period, and correlated positively with incidence and mortality rates. DISCUSSION: By detailing the geographical and temporal evolution of the COVID-19 epidemic in France, this study revealed major interregional differences, which were otherwise undetectable in global analyses. The precision afforded should help to understand the dynamics of future epidemic waves
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