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    Les Mammites Infectieuses, Obstacles à L’amélioration de la Santé Animale et à la Production de Lait et du Fromage

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    Les mammites infectieuses sont des inflammations de la mamelle provoquées principalement par des bactéries. Elles représentent un problème majeur en élevage car elles entraînent d’importantes pertes économiques pour la filière lait et produits laitiers. En effet, elles vont toujours de pair avec une baisse de la production laitière des quartiers touchés de la mamelle. Cette baisse est la plus nette en cas de mammites cliniques. Les infections mammaires cachées ou mammites subcliniques réduisent également la productivité jusqu’à 40% (Schaeren, 2006) et les durées de vie des vaches concernées deviennent plus courtes. Par ailleurs, à noter l’augmentation des frais vétérinaires et de médicaments ainsi que des pertes au niveau de la quantité du lait livré dues aux traitements de ces infections mammaires. Pour toutes ces raisons, la rentabilité de l’exploitation laitière est généralement touchée. De plus, les défenses intrinsèques de la mamelle et les défenses immunitaires ne sont pas suffisantes pour éviter les infections intramammaires. C’est pourquoi, des mamelles saines constituent un facteur important pour une production laitière rentable. Infectious mastitis is an inflammation of the udder caused mainly by bacteria. They represent a major problem in breeding because they lead to significant economic losses for dairy ruminants. They are always in tandem with a decline in milk production in the affected neighbourhoods of udder. This decrease is mostly marked in the case of clinical mastitis. Sub-clinical hidden or mastitis infections also reduce productivity by up to 40% (Schaeren, 2006). As a result, the lives of the affected cows become shorter. On the other hand, there is a need to note the increase in veterinary and medicinal costs as well as losses in the quantity of milk delivered due to the induced breast treatments. Due to the above reasons, the profitability of the dairy farm is generally affected. In addition, the intrinsic defenses of udder and immune defenses are not sufficient to prevent intra-mammary infections. Therefore, healthy udders are important factor for a profitable milk production

    Croissance et valeur alimentaire des larves de Oryctes monoceros

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    La production d’insectes comestibles mobilise beaucoup d’attention dans les pays en développement pour faire face à la demande sans cesse croissante en protéines nobles destinées à l’alimentation humaine et animale, et réduire les pressions sur les ressources naturelles. C’est dans le but de mettre en exergue l’importance des insectes comestibles que cette étude sur la croissance et la valeur alimentaire des larves de Oryctes monoceros a été conduite à la Faculté des Sciences Agronomiques de l’Université d’Abomey Calavi au Bénin. A cet effet, les larves collectées dans des stipes pourris de palmiers à huile (Elaeis guineensis) ont été rapportées avec leur substrat sur le site d’expérimentation, puis réparties dans des bacs en 12 lots de 15 individus/lot, de poids (P), de longueur du corps (LC) et de diamètre de la parie distale (DPD) homogènes. Elles ont été suivies pendant 35 jours (J35) et hebdomadairement, les mensurations de P, de la LC et du DPD ont été relevés. A J35, toutes les larves ont été soumises à la dessiccation pour déterminer leur valeur alimentaire. Les résultats ont montré que les différentes mensurations (P, LC, DPD) ont connu une évolution constante avant de chuter à partir de la 5ème mensuration. Les équations polygonales d’ordre 2 et la régression de DPD ou de la LC sur le P, ont montré des coefficients de détermination (R2) moyens et élevés. L’analyse de la valeur alimentaire des larves de Oryctes monoceros a permis de déterminer la teneur en matière sèche, protéine brute, matière grasse et les cendres des larves, comparée à celle d’autres insectes comestibles et produit carné. Au regard des résultats obtenus, les larves de Oryctes monoceros contiennent des nutriments qui peuvent être valorisés en alimentation humaine ou animale.Mots clés : Insectes comestibles, aliment, entomophage, élevage d’insecte, développement corporel

    Fecundity of the Lagune Cow in Benin. Age at first calving and Calving Intervals

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    Data collected from 1987 to 2003 at the Samiondji farm in Benin were used to study the age at first calving (n = 200) and calving intervals (n = 805) in the Lagune cow. The age at first calving was 1373 ± 180 days (4 ± 0.5 years) and calving intervals were 426 ± 85 days (14 ± 2.8 months). The year of calving, season of calving and lactation rank significantly influenced calving intervals, whereas only the birth year had a significant effect on the age at first calving

    Prevalence trypanosomienne chez des moutons djallonké eleves pres et en retrait des zones tampon du parc national du w au benin

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    D’août à novembre 2007, la prévalence trypanosomienne a été évaluée sur 503 ovins mâles et femelles de race Djallonké, élevés dans les villages proches de la zone tampon du Parc National du W et des réserves forestières dans la commune de Kandi (n = 293) et dans des villages situés à l’Est de la commune de Gogounou en retrait des zones tampon dudit parc (n = 210). L’examen des frottis et des gouttes épaisses a révélé une prévalence trypanosomienne de 9,54 % chez l’ensemble des ovins échantillonnés. Ce taux est de 12,28 % chez les moutons Djallonké proches des zones tampon du parc et de 5,71 % chez les moutons de Gogounou. Les sujets examinés ne présentaient aucun signe clinique de la maladie. Ces taux indiquent la trypanotolérance des moutons Djallonké et font penser au rôle éventuel des animaux trypanotolérants domestiques dans la pérennité des affections trypanosomiennes. La prévalence due aux Trypanosoma vivax, Trypanosoma congolense et Trypanosoma brucei est diversement représentée. Toutefois, Trypanosoma vivax et Trypanosoma congolense ont été les deux espèces responsables de la plupart des trypanosomoses ovines dans la zone d’étude.Mots clés : Trypanosomoses, moutons, Djallonké, zones, tampon, Parc National, Bénin

    Comparison of non-linear growth models to describe the growth curve in West African Dwarf Sheep

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    peer reviewedThe objectives of this study were to compare the goodness of fit of four non-linear growth models, i.e. Brody, Gompertz, Logistic and Von Bertalanffy, in West African Dwarf (WAD) sheep. A total of 5274 monthly weight records from birth up to 180 days of age from 889 lambs, collected during 2001 to 2004 in Betecoucou breeding farm in Benin were used. In the preliminary analysis, the General Linear Model Procedure of the Statistical Analysis Systems Institute was applied to the dataset to identify the significant effects of the sex of lamb (male and female), type of birth (single and twin), season of birth (rainy season and dry season), parity of dam (1, 2 and 3) and year of birth (2001, 2002, 2003 and 2004) on the observed birth weight and monthly weight up to 6 months of age. The models parameters (A, B and k), coefficient of determination (R2), mean square error (MSE) were calculated using language of technical computing package Matlab R , 2006. The mean values of A, B and k were substituted into each model to calculate the corresponding Akaike’s Information Criterion (AIC). Among the four growth functions, the Brody model has been selected for its accuracy of fit according to the higher R2, lower MSE and AIC. Finally, the parameters A, B and k were adjusted in Matlab R , 2006 for the sex of lamb, year of birth, season of birth, birth type and the parity of ewe, providing a specific slope of the Brody growth curve. The results of this study suggest that Brody model can be useful for WAD sheep breeding in Betecoucou farm conditions through growth monitoring
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