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    Improvement of computerized mass detection on mammograms: Fusion of twoĂą view information

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    Peer Reviewedhttp://deepblue.lib.umich.edu/bitstream/2027.42/135080/1/mp6098.pd

    Assessment of Radiologist Performance in the Detection of Lung Nodules

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    RATIONALE AND OBJECTIVES: Studies that evaluate the lung-nodule-detection performance of radiologists or computerized methods depend on an initial inventory of the nodules within the thoracic images (the “truth”). The purpose of this study was to analyze (1) variability in the “truth” defined by different combinations of experienced thoracic radiologists and (2) variability in the performance of other experienced thoracic radiologists based on these definitions of “truth” in the context of lung nodule detection on computed tomography (CT) scans. MATERIALS AND METHODS: Twenty-five thoracic CT scans were reviewed by four thoracic radiologists, who independently marked lesions they considered to be nodules ≄ 3 mm in maximum diameter. Panel “truth” sets of nodules then were derived from the nodules marked by different combinations of two and three of these four radiologists. The nodule-detection performance of the other radiologists was evaluated based on these panel “truth” sets. RESULTS: The number of “true” nodules in the different panel “truth” sets ranged from 15–89 (mean: 49.8±25.6). The mean radiologist nodule-detection sensitivities across radiologists and panel “truth” sets for different panel “truth” conditions ranged from 51.0–83.2%; mean false-positive rates ranged from 0.33–1.39 per case. CONCLUSION: Substantial variability exists across radiologists in the task of lung nodule identification in CT scans. The definition of “truth” on which lung nodule detection studies are based must be carefully considered, since even experienced thoracic radiologists may not perform well when measured against the “truth” established by other experienced thoracic radiologists

    Restitution du relief à partir d'images radar par radarclinométrie

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    La disponibilité des images radar à ouverture synthétique ouvre la possibilité de cartographier des zones du globe difficilement accessibles, et généralement peu visibles par les systÚmes satellitaires optiques du fait d'une couverture nuageuse souvent importante. C'est le cas des régions tropicales et équatoriales, régions du globe qui sont aussi trÚs mal cartographiées. L'objectif de la thÚse est de proposer un procéde de reconstruction à partir d'images radar donnant accÚs à des informations altimétriques des surfaces terrestres. Face au succÚs de deux grandes méthodes de reconstruction du relief, l'interférométrie et la radargrammetrie, nous exploitons en détails dans nos travaux une troisiÚme méthode, la radarclinométrie. Son principal avantage est de permettre le calcul de données altimétriques à partir d'une seule et unique image SAR. Notre procédé de restitution développé comporte deux phases principales, une phase d'intégration suivie d'une phase dite corrective qui consiste en une restauration markovienne, permettant de vérifier la condition de continuité des surfaces du terrain. Les reliefs résultant de ce procédé sont ensuite largement évaluées qualitativement et quantitativement, par des moyens trÚs divers fonction des données de référence utilisées. La derniÚre étape du travail porte sur la vérification de deux principales hypothÚses, portant l'une sur le modÚle de rétrodiffusion choisi et l'autre sur la connaissance de la radiométrie d'un sol de référence. Cette vérification donne alors lieu au développement de plusieurs méthodes d'estimation. La thÚse a permis d'apporter des solutions originales pour le développement de la radarclinométrie. Elle permet d'obtenir, au prix de coûts humains et informatiques modestes, des reliefs de bonne qualité visuelle, sur des régions du globes, telles que la Guyane française, pour lesquelles les deux autres méthodes de restitution se soldent souvent par un échec
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