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Antifungal susceptibility profiles and risk factors of vaginal candidiasis amongst female university students in southwest region, Cameroon
Vaginal candidiasis (VC) is second to bacterial vaginitis, as the most common opportunistic mucosal infection that affects large numbers of otherwise healthy women of childbearing age. The incidence of VC is significantly modified by dressing patterns and aberrant health-care practices. Contemporary young women often shift their preference from skirt to trousers and leggingswhich also coincides with a rise in auto-medication and over-the-counter drugs phenomena in our communities. These could result in increased occurrence of vaginal candidiasis infection and antifungal drug resistance. This was a cross-sectional study conducted between March 2011 and August 2011 among150 female students(aged 17-29 years) of the University of Buea. Socio-demographics information, risk factors and clinical symptoms were gotten through a standard questionnaire. Vaginal swabs were collected from each participant and cultured on Sabouraud'sdextrose agar supplemented with chloramphenicol (SDA-CAF). Identification and antifungal susceptibility testing was performed following standard microbiological procedures. Of the 150 participants who submitted vaginal swabs, yeasts was isolated in 98 (65.3%). Of the 98 yeasts isolates, 73.5% were Candida species, mainly C. albicans (65.3%). Overhalf (64.7%) ofstudyparticipantshadapreferencefortrousers,however, this attitude was not significantly associated (p = 0.559) with candidiasis.Previous episodes of vaginal infection and treatment for candidiasis were significantly associated with VC (p = 0.004). Antifungal susceptibility results showed a high resistance to fluconazole (82.0%), nystatin (80.0%) and ketoconazole (72.0%), while clotrimazole (50.0%) was the most activeantifungal drug. There was a high prevalence of VC in this study population with previous vaginal infectionbeing important risk factor for reoccurrence. Clotrimazole was the drug of choice in the treatment of VC in this population.Key words: vaginal candidiasis, risk factors, antifungal susceptibility profilesFrench AbstractLa candidose vaginale (CV) est la deuxiĂšme infection opportuniste de la muqueuse la plus frĂ©quente (aprĂšs la vaginite bactĂ©rienne) qui affecte un grand nombre de femmes en Ăąge de procrĂ©er. L'incidence de la CV est affectĂ©e de façon significative par certaines habitudes vestimentaires et pratiques de soins de santĂ© « aberrante »s. Chez les jeunes femmes contemporaines, les pantalons et leggings sont de plus en plus prĂ©fĂ©rĂ©s aux jupes, ce qui coĂŻncide aussi avec une augmentation du phĂ©nomĂšne d'automĂ©dication dans nos communautĂ©s. Ces deux facteurs pourraient entraĂźner une augmentation de la prĂ©valence de l'infection Ă Candida vaginale et la rĂ©sistance aux antifongiques. La prĂ©sente Ă©tude transversale a Ă©tĂ© menĂ©e entre Mars et AoĂ»t 2011 portait sur 150 Ă©tudiantes ĂągĂ©es de 17 Ă 29 ans, Ă l'UniversitĂ© de Buea (Cameroun). Elle avait pour objectifs majeurs dâĂ©valuer les profils de sensibilitĂ© aux antifongiques ainsi que les facteurs de risque de candidose vaginale chez les Ă©tudiantes universitaires. Les donnĂ©es sociodĂ©mographiques, informations sur les facteurs de risque et les symptĂŽmes cliniques ont Ă©tĂ© explores Ă lâaide dâun questionnaire semi-structurĂ©. Des spĂ©cimens vaginaux ont Ă©tĂ© prĂ©levĂ©s dans chaque participante et soumis Ă une culture sur le dextrose gĂ©lose de Sabouraud supplĂ©mentĂ© par le chloramphĂ©nicol (SDA-CAF). Les tests d'identification et de sensibilitĂ© antifongique ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s suivant des procĂ©dures microbiologiques standard. Parmi les 150 participants qui ont soumis des prĂ©lĂšvements vaginaux, des levures ont Ă©tĂ© isolĂ©es de 98 personnes (65,3%). Sur les 98 levures isolĂ©es, 73,5% Ă©taient des espĂšces de Candida, principalement C. albicans(65,3%). Plus de la moitiĂ© des participants (64.7%) ont exprimĂ© des prĂ©fĂ©rences pour les pantalons et autres styles vestimentaires Ă©mergents. Cependant, de telles attitudes nâont pas paru statistiquement associĂ©es Ă lâoccurrence des candidoses au sein de la population ciblĂ©e (p = 0.559). Des prĂ©cĂ©dents Ă©pisodes d'infection vaginale et le traitement de la candidose reportĂ©s par les participantes Ă©taient significativement associĂ©s Ă CV (p = 0,004). Les rĂ©sultats de sensibilitĂ© antifongiques ont montrĂ© une grande rĂ©sistance au Fluconazole (82,0%), Nystatine (80,0%) et KĂ©toconazole (72,0%), tandis que le Clotrimazole (50,0%) Ă©tait le mĂ©dicament antifongique le plus actif. Il y avait une forte prĂ©valence de CV dans cette population d'Ă©tude avec infection vaginale prĂ©cĂ©dente Ă©tant facteur de risque important pour la rĂ©pĂ©tition. Le Clotrimazole sâest avĂ©rĂ© comme Ă©tant le mĂ©dicament de choix dans le traitement des CV dans cette population, malgrĂ© la forte rĂ©sistance.Mots clĂ©s: Candidose Vaginale, facteurs de risque, les profils de sensibilitĂ© aux antifongique
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