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    Glueballs vs. Gluinoballs: Fluctuation Spectra in Non-AdS/Non-CFT

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    Building on earlier results on holographic bulk dynamics in confining gauge theories, we compute the spin-0 and spin-2 spectra of gauge theories dual to the non-singular Maldacena-Nunez and Klebanov-Strassler supergravity backgrounds. We construct and apply a numerical recipe for computing mass spectra from certain determinants. In the Klebanov-Strassler case, states containing the glueball and gluinoball obey "quadratic confinement", i.e. their mass-squareds depend on consecutive number as m^2 ~ n^2 for large n, with a universal proportionality constant. The hardwall approximation appears to work poorly when compared to the unique spectra we find in the full theory with a smooth cap-off in the infrared.Comment: 50 pages, 6 figures. v2: corrected typos, added reference

    Zwischen Vogesen und Schwarzwald: die Region um Brisiacum/Breisach und Argentovaria/Oedenburg in der Spätantike

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    Après l’abandon des provinces de la rive droite du Rhin, le fleuve redevient pour plusieurs générations une zone militaire : les premières constructions datent du iiie siècle, l’époque de Valentinien I connaît des programmes de travaux de grande envergure, et les dernières constructions datent de la fin de l’administration romaine, vers le milieu de ve siècle. Dans le secteur du Kaiserstuhl, on observe une concentration apparente de fortifications datant de l’Antiquité tardive: une protection renforcée de la frontière s’est imposée car cette région était un carrefour et deux provinces romaines voisinaient ici avec le Barbaricum. Depuis 1998, cette région est la cible des recherches de l’Institut d’Archéologie Romaine de la Albert-Ludwigs-Universität de Fribourg-en-Brisgau.La plus grande et la plus ancienne de ces fortifications se situait sur le Münsterberg à Breisach, qui était devenu depuis le iiie siècle le nouveau centre important près du Kaiserstuhl. Caractérisée par un praetorium et une enceinte qui dans un premier temps engloba toute la montagne, elle joua un rôle important dans la région. De l’autre côté du Rhin, des bâtiments publics furent construits sous le règne de Constantin ou ses fils, dans le secteur d’Oedenburg/Argentovaria, grande agglomération de l’époque impériale: le praetorium de Westergass I était couvert de tuiles aux insignes de la legio I Martiorum. Il servait de logement aux fonctionnaires en déplacement et remplaça le prétoire abandonné de Westergass II. Au lieu-dit Altkirch, une fortification particulièrement importante s’étend sur plus d’un hectare, dès la période valentinienne: certains détails de sa construction indiquent qu’elle a été conçue par un architecte de l’entourage de la cour impériale de Trèves. Le fait que le bâtiment était relié à la voierie, un probable raccordement à la voie fluviale, ainsi que la cour intérieure multifonctionnelle sont autant d’indices montrant que cet établissement remplissait de multiples rôles.Les recherches archéologiques ont complété les connaissances sur la région du Kaiserstuhl au Bas-Empire; elles montrent en outre une concentration de fortifications que l’empereur Valentinien Ier inspecta personnellement au cours de l’été 369. Ces recherches ont soulevé de nouvelles questions qui réclameront un important travail d’approfondissement.After the abandonment of the provinces on the right bank of the Rhine, for several generations the river once more became a military zone: the first constructions date from the third century, large-scale building programmes were undertaken during the reign of Valentian I, and the last constructions date from the end of the Roman administration, around the middle of the fifth century. An apparent concentration of fortifications dating from Late Antiquity can be seen in the Kaiserstuhl sector: reinforced protection of the frontier became imperative as the region was a crossroads and two Roman provinces lay next to Barbaricum. Since 1998 this region has been the focus of the research projects carried out by the Institut d’Archéologie Romaine at Albert-Ludwigs-Universität in Freiburg im Breisgau.The largest and earliest of these fortifications stands on the Münsterberg in Breisach, which, since the third century, had become the new important centre near the Kaiserstuhl. Featuring a praetorium and an enclosure that had originally encircled the whole mount, it played an important role in the region. Public buildings were built during the reign of Constantine or his sons in the Oedenburg/ Argentovaria sector on the other bank of the Rhine, a large agglomeration during the imperial age: the praetorium in Westergass I was covered with tiles marked with the insignia of the legio I Martiorum. It was used for accommodation by officials travelling for purposes of administration and replaced the abandoned praetorium in Westergass II. A particularly large fortification in the locality known as Altkirch was constructed during the Valentinian period and covers more than a hectare. Certain details in its construction indicate that it was designed by an architect from the entourage of the imperial court in Trier. Given that the building was connected to the street system that was probably a link with the riverway, and that the internal courtyard was multifunctional demonstrate that this establishment played many roles.Archaeological research has added to our knowledge of the Kaiserstuhl region during the late Roman Empire and has revealed a concentration of fortifications that the emperor Valentinian I inspected personally during summer 369. This research has raised new questions that will require a great deal of work to answer in depth.Nach der Aufgabe der Provinzgebiete rechts des Rheins wird der Flusslauf über mehrere Generationen wieder zur Militärzone: Von ersten Maßnahmen noch im 3. Jahrhundert über groß angelegte Bauprogramme unter Valentinianus I., bis hin zum Ende römischer Verwaltung um die Mitte des 5. Jahrhunderts. Im Bereich des Kaiserstuhls begegnet eine auffällige Konzentration spätrömischer Festungen: Die Gegend war Verkehrsknotenpunkt und zwei römische Provinzen stießen hier an den Grenzbereich zum Barbaricum, weswegen eine besondere Sicherung notwendig wurde. Seit 1998 steht diese im Fokus provinzialrömischer Forschungen der Albert-Ludwigs-Universität Freiburg.Die größte und früheste der betreffenden Anlagen befand sich auf dem Breisacher Münsterberg, seit dem späten 3. Jahrhundert das neue Zentrum am Kaiserstuhl. Gekennzeichnet durch ein Praetorium und eine Wehrmauer, die zunächst den ganzen Berg umschloss, übernahm es die führende Rolle in der Umgebung. Auf der gegenüberliegenden Rheinseite entstehen im Bereich der großen kaiserzeitlichen Zivilsiedlung von Oedenburg/Argentovaria seit der Zeit des Konstantin oder seiner Söhne wichtige Neubauten von öffentlicher Hand: Das Praetorium von Westergass I war mit Ziegelmaterial der legio I Martiorum gedeckt. Es gewährleistet die Unterbringung reisender Staatsfunktionäre und übernimmt damit die Funktion des älteren, aufgegebenen Praetoriums von Westergass II. Besonders markant ist die 1 Hektar große Festung, die sich ab valentinianischer Zeit auf der Flur Altkirch erstreckt: Bauliche Details weisen auf einen Architekten aus dem Umfeld der Trierer Kaiserresidenz. Straßenbezug, wahrscheinliche Anbindung an den Wasserweg und der multifunktionale offene Innenhof sprechen für ein breites Aufgabenspektrum dieser Anlage.Die archäologischen Forschungen brachten neue Erkenntnisse zur spätantiken Situation am Kaiserstuhl, einer Festungskonzentration, die im Sommer 369 sogar von Kaiser Valentinianus I. persönlich in Augenschein genommen wurde. Gleichzeitig wurden neue Fragen aufgeworfen, die zu klären noch viel Detailarbeit erforderlich macht

    L’Antiquité tardive dans l’Est de la Gaule, I

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    Les actes de la rencontre internationale « L’Antiquité tardive dans l’Est de la Gaule, I », qui s’est tenue à Strasbourg en novembre 2008, rassemblent 14 articles portant sur l’Archéologie et l’Histoire de l’Antiquité tardive dans l’Est de la Gaule. Ils rendent compte du dynamisme de la recherche sur une période encore peu connue dans cette région. Ces communications, qui concernent un espace couvrant les provinces romaines tardives de Lyonnaise I, de Belgique I et II, de Séquanaise et de Germanie I, en France et en Allemagne, présentent des travaux récents et le plus souvent inédits sur des sites urbains et ruraux de l’Antiquité tardive. Les communications traitant de sites urbains et/ou militaires (Autun, Metz, Strasbourg, Biesheim, Breisach) s’interrogent sur l’évolution de la parure monumentale et de la topographie, la société, l’économie et la fonction des villes et agglomérations au cours de l’Antiquité tardive. Une série de communications étudie quant à elle plusieurs sites des campagnes tardives, avec différentes approches méthodologiques et typologiques. Les résultats illustrent la profonde transformation de l’aspect et de l’organisation des villes et des campagnes à la fin de l’Antiquité, mais aussi le maintien de leur intégration dans une économie ouverte aux réseaux d’échange à longue distance. Dans ce cadre, plusieurs communications s’interrogent sur l’impact de l’État et de l’armée, notamment celui des troupes fédérées.Die Akten der internationalen Tagung „L’Antiquité tardive dans l’Est de la Gaule, I“, die im November 2008 in Straßburg stattfand, bieten 14 Beiträge zur Archäologie und Geschichte über die Spätantike im östlichen Gallien. Sie zeugen von dem Bestreben, die in dieser Region noch wenig bekannte Epoche verstärkt zu erforschen. Die Beiträge betreffen die französischen und deutschen Teile der spätrömischen Provinzen Lugdunensis I, Belgica I, Belgica II, Sequania und Germania I und präsentieren neue und zum Teil unveröffentlichte Arbeiten zu städtischen und ländlichen Siedlungen der Spätantike. Die Aufsätze, die Städte und/oder militärische Siedlungen vorstellen (Autun, Metz, Straßburg, Biesheim, Breisach), behandeln deren Entwicklung in Bezug auf Topographie und monumentale Architektur sowie auf Veränderungen in Gesellschaft, Wirtschaft und Funktion. Ein Teil der Beiträge untersucht mit verschiedenen methodischen und typologischen Ansätzen ländliche Siedlungen. Die Ergebnisse illustrieren zum einen die tiefgreifenden Veränderungen, die sich im städtischen und ländlichen Raum vollziehen, und zum anderen das Fortbestehen der Wirtschaftsstrukturen spätantiker Siedlungen, insbesondere deren Einbindung in das überregionale Handelnetz. In diesem Rahmen widmen sich mehrere Studien dem staatlichen und militärischem Einfluss, besonders dem der verbündeten Truppen (foederati)
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