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A 60 GHz CMOS Power Amplifier for Wireless Communications
This paper presents a 60 GHz power amplifier (PA) suitable for wireless communications. The two-stage wideband PA is fabricated in 55 nm CMOS. Measurement results show that the PA obtains a peak gain of 16 dB over a -3 dB bandwidth from 57 GHz to 67 GHz. It archives an output 1 dB compression point (OP1dB) of 4 dbm and a peak power added efficiency (PAE) of 12.6%. The PA consumes a total DC power of 38.3 mW from a 1.2 V supply voltage while its core occupies a chip area of 0.45 mm2
Asymptotic behavior of the two-dimensional Vlasov-Poisson-Fokker-Planck equation with a strong external magnetic field
The subject matter of the paper concerns the Vlasov-Poisson-Fokker-Planck
(VPFP) equations in the context of magnetic confinement. We study the long-time
behavior of the VPFP system with an intense external magnetic field, when
neglecting the curvature of the magnetic lines. When the intensity of the
magnetic field tends to infinity, the long-time behavior of the particle
concentration is described by a first-order nonlinear hyperbolic equation of
the Euler type for fluid mechanics. More exactly, when the magnetic field is
uniform, we find the vorticity formulation of the incompressible Euler
equations in two-dimensional space. Our proofs rely on the modulated energy
method
A 300 GHz CMOS Transmitter Front-End for Ultrahigh-Speed Wireless Communications
This paper presents a 300 GHz transmitter front-end suitable for ultrahigh-speed wireless communications. The transmitter front-end realized in TSMC 40 nm CMOS consists of a common-source (CS) based doubler driven by a two-way D-band power amplifier (PA). Simulation results show that the two-way D-band PA obtains a peak gain of 21.6 dB over a -3 dB bandwidth from 132 GHz to 159 GHz. It exhibits a saturated power of 7.2 dBm and a power added efficiency (PAE) of 2.3%, all at 150 GHz. The CS based doubler results in an output power of 0.5 mW at 300 GHz. The transmitter front-end consumes a DC power of 205.8 mW from a 0.9 V supply voltage while it occupies an area of 2.1 mm2
Long time behavior for collisional strongly magnetized plasma in three space dimensions
We consider the long time evolution of a population of charged particles,
under strong magnetic fields and collision mechanisms. We derive a fluid model
and justify the asymptotic behavior toward smooth solutions of this regime. In
three space dimensions, a constraint ocurs along the parallel direction. For
eliminating the corresponding Lagrange multiplier, we average along the
magnetic lines
Recherche de particules supersymétriques dans les canaux dimuons avec le détecteur D0 au TeVatron
Le Modèle Standard de la physique des particules décrit les particules élémentaires et leurs interactions fondamentales. Malgré tous ses succès expérimentaux, ce modèle ne peut être la théorie ultime du domaine. La supersymétrie offre une possibilité attirante pour élargir le Modèle Standard. La théorie de la supersymétrie prédit l'existence de nouvelles particules dites supersymétriques qui n'ont pas encore été découvertes. Le sujet de cette thèse est la recherche de certaines d'entre elles, appellées les squarks et gluinos, dans le détecteur D0 au collisionneur TeVatron. La désintégration en cascade de ces particules peut conduire à deux muons dans l'état final. Elle est également caractérisée par la présence d'au moins deux jets de hadrons et de l'énergie transverse manquante. C'est la signature retenue dans cette thèse. L'analyse a été effectuée sur un premier lot de données prises au Run II. J'ai étudié les propriétés des événements de différentes topologies et les ai comparées entre les données réelles et simulées, en particulier pour une paire de muons venant du boson Z, une source de bruit de fond majeure. Une autre source, la contribution dite QCD, est estimée directement à partir des données réelles. Pour maximiser la séparation entre signal physique et bruit de fond, j'ai utilisé des variables discriminantes comme la masse invariante de la paire de muons, l'énergie transverse manquante et la somme scalaire de l'énergie transverse des jets dans l'événement. Les coupures sur ces variables sont optimisées en minimisant la limite attendue sur la section efficace du signal. Avec 170 pb-1 de luminosité accumulée par l'expérience D0, aucune indication de production de squarks ou de glumes n'a été détectée. Une nouvelle limite inférieure sur La masse de ces objets est ainsi obtenue. Une étude préliminaire sur le taux de jets mal identifiés comme électrons a été également faite. Cette étude peut être considérée comme la préparation à la recherche de squarks et gluinos dans les canaux dileptoniques avec au moins un électron présent, qui permettrait d'étendre la sensibilité de l'analyse.NI
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