19 research outputs found

    Quelle place pour les adventices dans l’épidémiosurveillance ? Rapport au Comité National d’Epidémiosurveillance

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    La gestion des adventices est à juste titre considérée comme un frein majeur à l’adoption deméthodes intégrées de conduite des cultures peu dépendantes en produits phytosanitaires.Leur dynamique d’infestation se construisant sur plusieurs saisons culturales du fait du stock desemences dans le sol, les plantes adventices ne peuvent être gérées comme le seraient d’autresravageurs dépendant des seuls paramètres saisonniers pour déclencher leur épidémie. Pourautant notre groupe conclut que l’épidémiosurveillance des adventices peut être utile à unerationalisation des moyens de lutte. Elle peut permettre, sur le pas de temps court, d’optimiseren saison le choix tactique et le timing des interventions de tout ordre ayant un impact sur lesadventices et doit pour cela apparaître clairement dans les Bulletins de Santé du Végétal (BSV).Sa compilation sur plusieurs saisons permettra de mieux saisir l’évolution de la flore et depointer du doigt les facteurs responsables sous-jacents. Ceux-ci constituent autant d’éléments àintégrer dans l’analyse du risque et les préconisations stratégiques qui peuvent en découler. (...

    L’agglomération fortifiée de hauteur de la fin du Premier âge du Fer de Mervent (Vendée), le rempart du Chêne Tord

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    The hillfort of Mervent dated of the Early Iron Age extends over 33,5 hectares. He is localised in a meander formed by two rivers which is blocked by two ramparts. That of Chêne Tord, builds wooden was set on fire, what allowed a good preservation of its architecture. Measures of the radiocarbon in lines of defence have been realised. Finally, perspectives are proposed to pursue the research in the more general frame of the whole forest massif of Mervent.L’agglomération fortifiée de hauteur du premier âge du Fer de Mervent s’étend sur 33,5 ha. Elle est située dans un méandre formé par deux rivières qui est barré par deux remparts. Celui du Chêne Tord, construit en bois a été incendié, ce qui a permis une bonne conservation de son architecture. Des mesures du radiocarbone dans les lignes de défense ont été réalisées. Des perspectives sont aussi proposées pour poursuivre la recherche dans le cadre plus général de l’ensemble du massif forestier de Mervent.Nillesse Olivier, Arthuis Rémy, Poirier Philippe, Vissac Carole. L’agglomération fortifiée de hauteur de la fin du Premier âge du Fer de Mervent (Vendée), le rempart du Chêne Tord. In: Aquitania : une revue inter-régionale d'archéologie, tome 33, 2017. pp. 7-34

    Chacé, les Rogelins : un site des débuts de La Tène en Anjou

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    National audienc

    L’agglomération fortifiée de hauteur de la fin du premier âge du Fer de Mervent (Vendée), le rempart du Chêne Tord

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    International audienceThe hillfort of Mervent dated of the Early Iron Age extends over 33,5 hectares. He is localised in a meander formed by two rivers which is blocked by two ramparts. That of Chêne Tord, builds wooden was set on fire, what allowed a good preservation of its architecture. Measures of the radiocarbon in lines of defence have been realised. Finally, perspectives are proposed to pursue the research in the more general frame of the whole forest massif of Mervent.L’agglomération fortifiée de hauteur du premier âge du Fer de Mervent s’étend sur 33,5 ha. Elle est située dans un méandre formé par deux rivières qui est barré par deux remparts. Celui du Chêne Tord, construit en bois a été incendié, ce qui a permis une bonne conservation de son architecture. Des mesures du radiocarbone dans les lignes de défense ont été réalisées. Des perspectives sont aussi proposées pour poursuivre la recherche dans le cadre plus général de l’ensemble du massif forestier de Mervent

    Conduite de changement pour préparer l'avenir

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    National audienceProject management favours the adaptation to different situations which arise. A training-action programme was created based on real-life problems and which responds to strategies to professionalize healthcare managers and bring nursing training up to degree level. It provides a new perspective for the professionalization of healthcare managers, in initial as well as continuing trainingLa conduite de projet favorise l’adaptation aux situations rencontrées. Une formation-action a été construite à partir de problématiques issues du terrain répondant à la fois aux logiques de la professionnalisation et de l’universitarisation. Elle donne une nouvelle perspective pourla professionnalisation des cadres de santé, en formation initiale et continue

    La fouille du 13bis rue des Ponts-Chartrains : contribution à l'étude de la formation du quartier Blois Vienne

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    La fouille du 13 bis rue des Ponts Chartrains localisée à la marge du faubourg de Blois-Vienne a révélé une occupation des premier et second Moyen Âge, inédite. Réalisée durant l’automne-hiver 2014-2015 préalablement à la construction de logements sociaux, elle a porté sur une superficie de 3413 m². Elle fait suite à une étude de bâti réalisée en 2013 par V. Mataouchek (Inrap) et à un diagnostic mené par F. Capron (Inrap) en 2014. Si quelques observations indiquent une fréquentation du terrain à la Préhistoire et à la Protohistoire, l’emprise n’a pas livré de vestiges gaulois et antique. Concentrées dans la moitié nord-est du terrain, les structuresrattachées à l’occupation qui se développe entre les Ve-VIe et le VIIIe s. caractérisent un secteur spécialisé consacré au stockage et à l’extraction. Il pourrait sans doutese rapporter à une occupation agropastorale plus importante encore mal définie et traduire des micro-déplacements des pôles d’occupation sur un territoire en lien avec les points de franchissement de la Loire. La présence du fleuve est prégnante sur ce territoire et des apports de sédiment vont se succéder sans interruption. L’emprise semble par la suite jusqu’à la fin du XVe-début XVIe s. exploitée à des fins agricoles. La fouille a également permis de suivre assez précisément la mise en place du bâti sur ces parcelles et leur évolution jusqu’à nos jours. À la fin du XVe s. et au début du XVIe s., une propriété protégée par un solide mur de clôture marque une phase d’expansion de l’urbanisation en Vienne. Elle se compose d’un ensemble de bâtiments juxtaposés dont un pigeonnier et un grand logis Renaissance remarquable dont les modénatures des fenêtres imitent celles de l’aile Louis XII du château de Blois. Dans la cave, un commerce, peut-être de vin ou de vinaigre, se développe pour un temps. À côté de cet hôtel périurbain protégé par sa clôture qui émerge de la plaine inondable, le reste du terrain semble toujours soumis aux crues de la Loire. Un chemin aménagé au fond d’une boire est colmaté par un important dépôt sableux et le bâti qui prend place ensuite en bordure de la rue des Ponts Chatrains est détruit par des crues importantes. L’organisation des premiers bâtiments suggère un lotissement plutôt lâche et irrégulier laissant de grands espaces non bâtis en coeur d’îlot qui ont pu être mis en culture par intermittence. Le bâti actuel du quartier estdirectement hérité de ces transformations qui n’ont pas totalement effacé les projets initiaux. Les derniers bâtiments encore en élévation en 2013, prennent appui sur les quelques tronçons de mur rescapés. Les crues très fréquentes dans le faubourg de Vienne, et particulièrement bien attestées par les textes à partir de la fin du XVIe s., vont persister avec une relative fréquence jusqu’au XIXes. malgré toutes les tentatives de protection tels qu’un canal de dérivation des eaux, des levées, etc. Ces résultats s’intègrent dans la réflexion collective menée par l’équipe du projet collectif de recherche intitulé « Blois ville et territoire ligérien depuis les premières installations humaines jusqu’à nos jours » dirigé par D. Josset (Inrap) qui assure la coordination des recherches menées sur la fabrique urbaine

    La fouille du 13bis rue des Ponts-Chartrains : contribution à l'étude de la formation du quartier Blois Vienne

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    La fouille du 13 bis rue des Ponts Chartrains localisée à la marge du faubourg de Blois-Vienne a révélé une occupation des premier et second Moyen Âge, inédite. Réalisée durant l’automne-hiver 2014-2015 préalablement à la construction de logements sociaux, elle a porté sur une superficie de 3413 m². Elle fait suite à une étude de bâti réalisée en 2013 par V. Mataouchek (Inrap) et à un diagnostic mené par F. Capron (Inrap) en 2014. Si quelques observations indiquent une fréquentation du terrain à la Préhistoire et à la Protohistoire, l’emprise n’a pas livré de vestiges gaulois et antique. Concentrées dans la moitié nord-est du terrain, les structuresrattachées à l’occupation qui se développe entre les Ve-VIe et le VIIIe s. caractérisent un secteur spécialisé consacré au stockage et à l’extraction. Il pourrait sans doutese rapporter à une occupation agropastorale plus importante encore mal définie et traduire des micro-déplacements des pôles d’occupation sur un territoire en lien avec les points de franchissement de la Loire. La présence du fleuve est prégnante sur ce territoire et des apports de sédiment vont se succéder sans interruption. L’emprise semble par la suite jusqu’à la fin du XVe-début XVIe s. exploitée à des fins agricoles. La fouille a également permis de suivre assez précisément la mise en place du bâti sur ces parcelles et leur évolution jusqu’à nos jours. À la fin du XVe s. et au début du XVIe s., une propriété protégée par un solide mur de clôture marque une phase d’expansion de l’urbanisation en Vienne. Elle se compose d’un ensemble de bâtiments juxtaposés dont un pigeonnier et un grand logis Renaissance remarquable dont les modénatures des fenêtres imitent celles de l’aile Louis XII du château de Blois. Dans la cave, un commerce, peut-être de vin ou de vinaigre, se développe pour un temps. À côté de cet hôtel périurbain protégé par sa clôture qui émerge de la plaine inondable, le reste du terrain semble toujours soumis aux crues de la Loire. Un chemin aménagé au fond d’une boire est colmaté par un important dépôt sableux et le bâti qui prend place ensuite en bordure de la rue des Ponts Chatrains est détruit par des crues importantes. L’organisation des premiers bâtiments suggère un lotissement plutôt lâche et irrégulier laissant de grands espaces non bâtis en coeur d’îlot qui ont pu être mis en culture par intermittence. Le bâti actuel du quartier estdirectement hérité de ces transformations qui n’ont pas totalement effacé les projets initiaux. Les derniers bâtiments encore en élévation en 2013, prennent appui sur les quelques tronçons de mur rescapés. Les crues très fréquentes dans le faubourg de Vienne, et particulièrement bien attestées par les textes à partir de la fin du XVIe s., vont persister avec une relative fréquence jusqu’au XIXes. malgré toutes les tentatives de protection tels qu’un canal de dérivation des eaux, des levées, etc. Ces résultats s’intègrent dans la réflexion collective menée par l’équipe du projet collectif de recherche intitulé « Blois ville et territoire ligérien depuis les premières installations humaines jusqu’à nos jours » dirigé par D. Josset (Inrap) qui assure la coordination des recherches menées sur la fabrique urbaine
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