29 research outputs found

    Promoting optimal parenting and children’s mental health : a preliminary evaluation of the How-to Parenting Program

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    Parenting quality is widely accepted as a primary predictor of children’s mental health. The present study examined the effectiveness of a parenting program in fostering optimal parenting and child mental health. The selected program was How to talk so kids will listen & listen so kids will talk (How-to Parenting Program). This program was selected because its content corresponds closely to what the parenting style literature suggests is optimal parenting (i.e., includes structure, affiliation and autonomy support). Eleven groups of six to twelve parents were conducted in 7 local grade schools. The program, offered by two trained leaders, consisted of eight weekly sessions and taught a total of 30 skills. A total of 82 parents completed questionnaires both prior to and after the program. Participants’ children between eight and 12 years old (N = 44) completed questionnaires at school, at both assessment points. Repeated measures ANOVAs using parent reports indicated that structure, affiliation and autonomy support were increased after the program, compared to baseline. The level of child internalizing and externalizing problems also decreased significantly. Importantly, children reports confirmed that parental autonomy support increased from pre to post-test and child-reported well-being improved as well. The preliminary evidence from this pre-test versus post-test repeated measures design suggests that the How-to Parenting Program is effective in improving parenting style and in promoting children’s mental health and that future evaluation research examining the potential of this program is warranted

    Les établissements de santé et de services sociaux et l'expérience de la démocratie : une etude de cas dans la region du Saguenay-Lac-Saint-Jean

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    Ce document résulte d'une démarche de recherche que nous avons amorcé dans les jours qui ont suivi la première élection publique des membres des conseils d'administration en mars 1992, suite à la réforme du ministre Marc-Yvan Côté. Depuis juin 1992, avec le soutien financier de la Fondation de l'Université du Québec à Chicoutimi, qui nous a permis de démarrer la démarche par l'engagement d'un auxiliaire de recherche, nous avons pu consolider le projet avec une contribution financière du ministère de la Santé et des Services sociaux et le support des professionnels de l'Université. Un professeur régulier et un chargé de cours, tous deux de l'UQAC, et l'auxiliaire de recherche, devenu par la suite chercheur bénévole, ont constitué cette équipe de recherche qui a cherché à évaluer sur le terrain la promesse de démocratie annoncée par le projet de Loi 120. Le premier chapitre présente l'ensemble de notre démarche, sa problématique et sa méthodologie. Le second chapitre est consacré à l'organisation du vote pour la population. Combien et quels établissements étaient en élection? Quelles ont été les modalités du scrutin? Que faut-il penser de l'accessibilité du scrutin? Les résultats sont-ils fiables

    Marseille (13). 19 rue Henri Barbusse. Rapport de diagnostic archéologique

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    Le diagnostic mené au 19 rue Henri Barbusse/rue Jean-Baptiste Pétré à Marseille a montré que ce secteur de la ville avait été fortement affecté par les importants travaux de terrassement réalisés dans la seconde moitié du XIXe siècle, notamment lors du percement de la rue Colbert. Le terrain naturel, sous la forme de marnes argileuse stampiennes, affleure sur toute la surface de la tranchée. Il est recoupé à l’extrémité occidentale du diagnostic par une fosse aux parois verticales. Le comblement de ce vaste creusement est chargé en charbons, nodules d’argile rubéfiée et fragments de fours; plusieurs moutons et surcuits de céramiques à pâte claire et à pâte micacée (amphores et mortiers) montrent que cette fosse a été utilisée pour rejeter des résidus d’un atelier de potiers qui devait se situer à proximité. Sa fouille partielle a permis de recueillir près de 1750 fragments de céramiques et d’amphores, datant de façon homogène de la seconde moitié du IVe siècle avant notre ère et illustrant la diversité des productions marseillaises. Outre cette fosse grecque, deux fondations de murs ont également été mis au jour. D’axe nord-sud, ils appartiennent selon toute vraisemblance au couvent des Prêcheurs construit à partir de 1526 et démoli au début du XXe siècle

    Marseille (13). 19 rue Henri Barbusse. Rapport de diagnostic archéologique

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    Le diagnostic mené au 19 rue Henri Barbusse/rue Jean-Baptiste Pétré à Marseille a montré que ce secteur de la ville avait été fortement affecté par les importants travaux de terrassement réalisés dans la seconde moitié du XIXe siècle, notamment lors du percement de la rue Colbert. Le terrain naturel, sous la forme de marnes argileuse stampiennes, affleure sur toute la surface de la tranchée. Il est recoupé à l’extrémité occidentale du diagnostic par une fosse aux parois verticales. Le comblement de ce vaste creusement est chargé en charbons, nodules d’argile rubéfiée et fragments de fours; plusieurs moutons et surcuits de céramiques à pâte claire et à pâte micacée (amphores et mortiers) montrent que cette fosse a été utilisée pour rejeter des résidus d’un atelier de potiers qui devait se situer à proximité. Sa fouille partielle a permis de recueillir près de 1750 fragments de céramiques et d’amphores, datant de façon homogène de la seconde moitié du IVe siècle avant notre ère et illustrant la diversité des productions marseillaises. Outre cette fosse grecque, deux fondations de murs ont également été mis au jour. D’axe nord-sud, ils appartiennent selon toute vraisemblance au couvent des Prêcheurs construit à partir de 1526 et démoli au début du XXe siècle

    Marseille (13), 11 place des Moulins, impasse Colombani. Rapport de diagnostic archéologique

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    Ce diagnostic archéologique, prescrit suite au dépôt d'un permis de démolir sur du bâti mitoyen d'un moulin sur la place du même nom, a permis d'effectuer différentes observations ponctuelles sur cet édifice emblématique de Marseille médiévale et moderne. Cette place se situe au sommet de la butte des Moulins, qui constitue le point le plus haut du centre ancien de Marseille. Toutes les représentations gravées ou peintes depuis le XVe s. montrent des moulins à vent situés sur les hauteurs, qui permettent de reconnaître la ville, au même titre que la calanque ou la chaîne barrant l'accès au port. L'élévation du moulin, visible sur une hauteur de 8,83 m, a été en partie décroutée à sa base, laissant apparaître un appareil régulier de moellons calcaires apparemment médiéval. Un remblai appuyé contre cette maçonnerie a livré du mobilier céramique appartenant au XV ou XVIe s., confirmant cette datation médiévale des maçonneries. Une parcelle mitoyenne au moulin et située en contrebas laisse apparaître la base de la construction. Les fondations maçonnées, qui avaient fait l'objet d'une reconnaissance géotechnique, semblent présenter un fruit marqué sur une hauteur de 1 m environ et reposent sur les marnes stampiennes à 36,30 m NGF. Elles sont surmontées de 3 m de maçonnerie apparente en moellons calcaires taillés assisés, ce qui confère à l'ouvrage une hauteur totale de près de 13,10 m, dont au moins 5 m d'appareil médiéval. La partie haute du moulin, comme ses aménagements intérieurs, ont été repris à l'époque moderne

    Marseille (13), 11 place des Moulins, impasse Colombani. Rapport de diagnostic archéologique

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    Ce diagnostic archéologique, prescrit suite au dépôt d'un permis de démolir sur du bâti mitoyen d'un moulin sur la place du même nom, a permis d'effectuer différentes observations ponctuelles sur cet édifice emblématique de Marseille médiévale et moderne. Cette place se situe au sommet de la butte des Moulins, qui constitue le point le plus haut du centre ancien de Marseille. Toutes les représentations gravées ou peintes depuis le XVe s. montrent des moulins à vent situés sur les hauteurs, qui permettent de reconnaître la ville, au même titre que la calanque ou la chaîne barrant l'accès au port. L'élévation du moulin, visible sur une hauteur de 8,83 m, a été en partie décroutée à sa base, laissant apparaître un appareil régulier de moellons calcaires apparemment médiéval. Un remblai appuyé contre cette maçonnerie a livré du mobilier céramique appartenant au XV ou XVIe s., confirmant cette datation médiévale des maçonneries. Une parcelle mitoyenne au moulin et située en contrebas laisse apparaître la base de la construction. Les fondations maçonnées, qui avaient fait l'objet d'une reconnaissance géotechnique, semblent présenter un fruit marqué sur une hauteur de 1 m environ et reposent sur les marnes stampiennes à 36,30 m NGF. Elles sont surmontées de 3 m de maçonnerie apparente en moellons calcaires taillés assisés, ce qui confère à l'ouvrage une hauteur totale de près de 13,10 m, dont au moins 5 m d'appareil médiéval. La partie haute du moulin, comme ses aménagements intérieurs, ont été repris à l'époque moderne

    7 avenue André Aune : Sénas, Bouches-du-Rhône (13), Provence-alpes-Côte d'Azur : rapport de diagnostic

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    Le diagnostic archéologique concerne le presbytère adossé à l’église St Amand, sa cour et une bande de terrain en retrait. Pour des raisons de sécurité, le bâtiment a été démoli peu avant l’opération et le diagnostic s’est donc concentré sur ses substructures. Une douzaine de tombes ont été détectées sous les derniers sols du presbytère, attestées par l’empreinte du creusement ou des dalles de couverture de pierre. Une seule a été fouillée, en coffre de pierre rudimentaire. Quelques tessons de céramique associés remontent au début du Moyen-âge (au plus tard XIIe siècle). Posé à même ce cimetière, certains murs recoupant des tombes, sur un terrain apparemment vierge de constructions, le presbytère, ne semble pas avoir été établi avant le XVIe siècle. Plusieurs états sont identifiables, les derniers sols conservés datent du XVIIIe siècle. Une élévation conservée sur un mur mitoyen présente un bel exemple d’utilisation du pisé, et ce sur une hauteur de 6,50 m. Enfin, un examen sommaire de l’élévation de l’église mise au jour par démolition du presbytère qui lui était adossé, révèle une multitude de phases constructives qui témoignent de l’histoire du bâtiment qu’il n’a pas été possible de documenter dans le cadre du diagnostic

    7 avenue André Aune : Sénas, Bouches-du-Rhône (13), Provence-alpes-Côte d'Azur : rapport de diagnostic

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    Le diagnostic archéologique concerne le presbytère adossé à l’église St Amand, sa cour et une bande de terrain en retrait. Pour des raisons de sécurité, le bâtiment a été démoli peu avant l’opération et le diagnostic s’est donc concentré sur ses substructures. Une douzaine de tombes ont été détectées sous les derniers sols du presbytère, attestées par l’empreinte du creusement ou des dalles de couverture de pierre. Une seule a été fouillée, en coffre de pierre rudimentaire. Quelques tessons de céramique associés remontent au début du Moyen-âge (au plus tard XIIe siècle). Posé à même ce cimetière, certains murs recoupant des tombes, sur un terrain apparemment vierge de constructions, le presbytère, ne semble pas avoir été établi avant le XVIe siècle. Plusieurs états sont identifiables, les derniers sols conservés datent du XVIIIe siècle. Une élévation conservée sur un mur mitoyen présente un bel exemple d’utilisation du pisé, et ce sur une hauteur de 6,50 m. Enfin, un examen sommaire de l’élévation de l’église mise au jour par démolition du presbytère qui lui était adossé, révèle une multitude de phases constructives qui témoignent de l’histoire du bâtiment qu’il n’a pas été possible de documenter dans le cadre du diagnostic

    5 chemin des écoles : Tranche 1 : rapport de diagnostic : Barbentane, Bouches-du-Rhône, Provence-Alpes-Côte d'Azur

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    Le diagnostic archéologique intervient au sein de l’ancien couvent de l’Observance. Situé à quelques centaines de mètres au nord du village de Barbentane, et édifié en 1680 autour d’une chapelle d’origine médiévale, il doit faire l’objet de travaux afin de le transformer en habitation privé. Le diagnostic archéologique comprend deux tranches, la première, objet du présent rapport, concerne le sous-sol, la seconde le bâti. Confirmant l’historiographie, du mobilier antique et antique tardif atteste d’une occupation précoce du site. Un puits et surtout un beau mur en pierre de taille pourraient être tardo-antiques, sans pouvoir pousser davantage les investigations. Le début du Moyen-âge est largement représenté par des tombes en coffre de pierre, retrouvées aussi bien à l’est qu’au sud de la chapelle. Contemporaines du premier édifice, alors sous le vocable de Saint-Etienne, elles attestent de l’ancienneté du lieu de culte
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