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    Ireland’s criminal conversations

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    Criminal conversation, the legal action whereby a husband could bring a case for monetary damages against a man his wife had committed adultery with, was more widely discussed in 1970s-80s Ireland than at any other time in its three-century history. Popularly known as crim. con., the short-hand for criminal conversation meaning adultery, this process was based on trespass and, as women were legally seen as the property of their husbands, was only available to men. Crim. con. was abolished in the Republic of Ireland in 1981 and the campaign for its reform was headed by an amalgam of second-wave feminists. This article seeks to reinstate a forgotten victory to the Irish feminist movement and assess the relevance of the tactics deployed in crim. con.’s abolition for feminism in 21st-century Ireland.La « criminal conversation », action en justice en vertu de laquelle un mari pouvait demander des dommages et intérêts à l’homme avec lequel sa femme avait commis l’adultère, a fait l’objet de davantage d’attention en Irlande dans les années 1970 et 1980 qu’à tout autre moment de l’histoire du pays. La « crim. con. », plus communément connue sous le nom d’adultère, était basée sur la notion de violation de propriété, compte tenu que les femmes étaient considérées, sur le plan légal, comme étant la propriété de leur mari, et était un privilège exclusivement masculin. Elle fut abolie en République d’Irlande en 1981 et la campagne qui accompagna cette réforme fut conduite par un amalgame de féministes de la deuxième vague. Cet article propose de rétablir une victoire oubliée du mouvement féministe irlandais et d’évaluer la pertinence des techniques utilisées pour l’abolition de la « crim. con» pour le mouvement féministe du XXIe siècle en Irlande

    ‘Women’s unionism in Co. Antrim’

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    Irish Divorce: A History

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