120 research outputs found

    Social heterogeneity in self-reported health status and measurement of inequalities in health

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    This study aims to analyse the impact of the measurement of health status on socioeconomic inequalities in health. A MIMIC model with structural equations is used to create a latent variable of health status from four health indicators: self-assessed health, report of chronic diseases, report of activity limitations and mental health. Then, we disentangle the impact of sociodemographic characteristics on latent health from their direct impact on each heath indicator and discuss their effects on the assessment of socioeconomic inequalities in health. This study emphasises differences in inequalities in health according to latent health. In addition, it suggests the existence of reporting heterogeneity biases. For a given latent health status, women and old people are more likely to report chronic diseases. Mental health problems are over-reported by women and isolated people and under-reported by the oldest people. Active and retired people as well as non manual workers in the top of the social hierarchy more often report activity limitations. Finally, highly educated and socially advantaged people more often report chronic diseases whereas less educated people under-report a poor self-assessed health. To conclude, the four health indicators suffer from reporting heterogeneity biases and the report of chronic diseases is the indicator which biases the most the measurement of socioeconomic inequalities in health.inequalities in health - MIMIC - reporting bias - structural equations

    The prediction and monitoring of toxicity associated with long-term systemic glucocorticoid therapy

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    Glucocorticoids are often required for adequate control of inflammation in many serious inflammatory diseases; common indications for long-term treatment include polymyalgia rheumatica, giant cell arteritis, asthma and chronic obstructive pulmonary disease. Long-term glucocorticoid therapy is, however, associated with many adverse effects involving skin, gastro-intestinal, eye, skeletal muscle, bone, adrenal, cardio-metabolic and neuropsychiatric systems. This balance between benefits and risks of glucocorticoids is important for clinical practice and glucocorticoid-related adverse effects can significantly impair health-related quality of life. Understanding the nature and mechanisms of glucocorticoid-related adverse effects may inform how patients are monitored for toxicity and identify those groups, such as older people, that may need closer monitoring. For clinical trials in diseases commonly treated with glucocorticoids, standardised measurement of glucocorticoid-related adverse effects would facilitate future evidence synthesis and meta-analysis

    La santé des seniors selon leur origine sociale et la longévité de leurs parents.

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    Les descendants des cadres dirigeants et professions intellectuelles ont-ils une meilleure santĂ© que les descendants d’ouvriers ? Est-ce que la longĂ©vitĂ© des parents infl uence l’état de santĂ© Ă  l’ñge adulte ? Ces deux questions interrogent l’existence d’inĂ©galitĂ©s des chances en santĂ©. La premiĂšre question a dĂ©jĂ  fait l’objet de travaux de recherche : l’infl uence du milieu social d’origine rĂ©sulterait Ă  la fois d’un effet direct des conditions de vie dans l’enfance sur la santĂ© Ă  l’ñge adulte et d’un effet indirect passant par l’infl uence du milieu d’origine sur le statut socioĂ©conomique du descendant. La seconde, qui concerne une transmission de la santĂ© entre les gĂ©nĂ©rations a Ă©tĂ© peu explorĂ©e. Cependant, une infl uence directe de l’état de santĂ© des parents sur celui de leurs enfants devenus adultes peut ĂȘtre envisagĂ©e du fait non seulement d’un patrimoine gĂ©nĂ©tique commun mais aussi de prĂ©fĂ©rences similaires pour la santĂ© et d’une reproduction des comportements liĂ©s Ă  la santĂ©. À partir des donnĂ©es de l’enquĂȘte Share, cette recherche Ă©tudie, pour la premiĂšre fois en France, le rĂŽle de la profession des deux parents et de leur Ă©tat de santĂ©, sur celui de leurs descendants Ă  l’ñge adulte, en contrĂŽlant pour les caractĂ©ristiques socioĂ©conomiques de ceux-ci. La comparaison des distributions de santĂ© des seniors selon le milieu social d’origine et la longĂ©vitĂ© des ascendants directs tĂ©moignent de l’existence d’inĂ©galitĂ©s des chances en santĂ© chez les seniors. Au-delĂ  de son association avec la situation sociale actuelle de l’individu, l’état de santĂ© Ă  l’ñge adulte est directement infl uencĂ© par le statut socioĂ©conomique de la mĂšre, le statut socioĂ©conomique du pĂšre ayant au contraire une infl uence indirecte passant par la dĂ©termination du statut socioĂ©conomique de l’enfant. Une transmission intergĂ©nĂ©rationnelle de la santĂ© est Ă©galement observĂ©e : la longĂ©vitĂ© relative du pĂšre et en particulier son statut vital infl uence la santĂ© Ă  l’ñge adulte.Intergenerational transmission; Economie de la santĂ©; Seniors; Origine sociale; Statistiques;

    Numéro 154 - décembre 2019

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    Le 16 dĂ©cembre 2019, l’Europe fĂȘte le vingtiĂšme anniversaire de l’adoption de la rĂšglementation sur les mĂ©dicaments orphelins qui encourageait les industriels Ă  plus de recherche pour les maladies rares. Cette rĂšglementation a conduit Ă  une augmentation du nombre d'essais cliniques et de publications scientifiques concernant les maladies rares. Cependant, cette hausse n’a pas bĂ©nĂ©ficiĂ© Ă©quitablement Ă  toutes les maladies rares. Les investissements en recherche et dĂ©veloppement ciblent tout particuliĂšrement les maladies rares les plus frĂ©quentes dans la population; celles qui surviennent Ă  l’ñge adulte; celles qui sont caractĂ©risĂ©es par un Ăąge au dĂ©cĂšs prĂ©maturĂ© chez les adultes. Ainsi, ce sont les maladies qui touchent la petite enfance qui reçoivent les plus faibles investissements alors mĂȘme qu’une maladie rare sur deux touche des enfants. De plus, s’il y a effectivement de plus en plus de mĂ©dicaments orphelins qui arrivent sur le marchĂ© europĂ©en, les prix demandĂ©s par les firmes pharmaceutiques sont trĂšs Ă©levĂ©s et sont un obstacle Ă  l'accĂšs des patients. Pourquoi ces mĂ©dicaments sont-ils si chers ? Le taux de succĂšs moyen des thĂ©rapies en dĂ©veloppement, des prĂ©mices de la recherche clinique jusqu’à l’autorisation de mise sur le marchĂ© d’un nouveau mĂ©dicament, est faible. Ainsi les industriels compensent leur investissement avec un prix Ă©levĂ©. A cela s’ajoute la dĂ©termination du prix selon le principe du «value based pricing». Un fabricant dĂ©finit le prix d'un bien qu'il produit en prenant en compte le bĂ©nĂ©fice que tirera l'utilisateur de ce bien. Pour les maladies rares, la mise sur le marchĂ© d'un nouveau traitement alors qu’il n’en existe aucun jusqu’alors, constitue une innovation dont la valeur thĂ©rapeutique est majeure. Les industriels justifient alors un prix fort par les propriĂ©tĂ©s supĂ©rieures voire uniques du mĂ©dicament. NĂ©anmoins, nous dĂ©fendons l’idĂ©e qu’il est possible de maitriser la perpĂ©tuelle hausse observĂ©e dans le prix des mĂ©dicaments orphelins et formulons trois recommandations. PremiĂšrement, il faut poursuivre les efforts de la plupart des pays europĂ©ens Ă  Ă©tablir des registres nationaux recensant les patients avec des maladies rares. La mise en commun de ces bases de donnĂ©es permettra de produire plus efficacement des connaissances sur les maladies rares. Elle permettra surtout de connaĂźtre prĂ©cisĂ©ment et en temps rĂ©el le nombre de patients concernĂ©s par un mĂ©dicament orphelin. Ainsi, on pourra Ă©valuer le vĂ©ritable impact budgĂ©taire d’une dĂ©cision de remboursement de tel ou tel autre traitement sur le budget total de la santĂ© au niveau national comme europĂ©en. DeuxiĂšmement, il faut accroitre le pouvoir de nĂ©gociation des dĂ©cideurs politiques avec les industriels. Ce pouvoir peut prendre la forme d’un partage du risque qu’un mĂ©dicament ne soit pas efficace pour certains patients. Il peut Ă©galement provenir d’une plus grande coordination des pays europĂ©ens pour rĂ©aliser une nĂ©gociation de prix commune. Enfin, il faut accroitre la transparence des coĂ»ts de recherche et de dĂ©veloppement et celle des nĂ©gociations portant sur les prix des mĂ©dicaments de maniĂšre Ă  tendre vers des prix plus Ă©quitables. Que reprĂ©sentent les financements publics ou les contributions d'associations dans la recherche et le dĂ©veloppement de chaque mĂ©dicament ? Comment le gain de progrĂšs thĂ©rapeutique est-il estimĂ© et valorisĂ© monĂ©tairement ? Les firmes pharmaceutiques poursuivant un objectif de profit, une façon de contenir l’impact de cet objectif dans la fixation des prix serait d'introduire des dĂ©fenseurs de l’intĂ©rĂȘt des patients et du bien commun de la sociĂ©tĂ© dans le conseil d’administration de ces firmes.&nbsp

    Numéro 162 - avril 2021

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    La moyenne hebdomadaire des nouvelles admissions COVID des derniĂšres semaines a conduit le SPF SantĂ© Publique Ă  suggĂ©rer un passage Ă  la phase 1B du plan de Surge Capacity le 22 mars 2021. Selon cette phase 1B, les hĂŽpitaux doivent reporter des soins non urgents afin de disposer d’une capacitĂ© hospitaliĂšre suffisante pour fournir les soins nĂ©cessaires aux patients COVID comme aux patients non-COVID. Le report et/ou le renoncement Ă  des soins mĂ©dicaux depuis le dĂ©but de la crise sanitaire est devenu plus frĂ©quent dans la population. Qu’il s’agisse d’un report de rendez-vous par les professionnels de santĂ© ou un renoncement aux soins par les patients par crainte de contracter le coronavirus, ces soins mĂ©dicaux non satisfaits pourraient conduire Ă  une dĂ©gradation ultĂ©rieure de l’état de santĂ© et donc directement ou indirectement Ă  une surmortalitĂ©. Ce numĂ©ro de Regards Ă©conomiques rĂ©alise un premier Ă©tat des lieux de l’ampleur du renoncement aux soins durant le premier confinement Ă  partir des donnĂ©es d’une enquĂȘte en ligne menĂ©e auprĂšs de la population en Belgique au printemps 2020. L’analyse montre un important renoncement Ă  des soins spĂ©cialistes et des examens mĂ©dicaux dans la plupart des cas pour des raisons qui relĂšvent de l’offre de soins, notamment le fait que les hĂŽpitaux ou les Ă©tablissements de soins ont annulĂ© ou reportĂ© les rendez-vous mĂ©dicaux ou que les professionnels de santĂ© avaient fermĂ© leur cabinet. Puisqu’ils sont nĂ©cessairement de plus grands utilisateurs de soins, ce sont les plus malades qui ont particuliĂšrement renoncĂ© Ă  des soins mĂ©dicaux. En revanche, dans le cas des soins dentaires, des disparitĂ©s dans le renoncement s’observent majoritairement au dĂ©triment des plus pauvres. Une dĂ©tĂ©rioration de l’état de santĂ© de la population est donc Ă  craindre du fait du renoncement Ă  des soins mĂ©dicaux durant le confinement et au-delĂ  puisqu’une proportion non nĂ©gligeable de personnes rapportent ne pas envisager d’aller consulter lors d’un futur besoin de soins. A partir de ces premiers rĂ©sultats chiffrĂ©s de l’ampleur et les raisons du renoncement aux soins durant le premier confinement, nous formulons plusieurs points d’attention pour les dĂ©cideurs politiques. Bien que nous ne soyons pas en mesure de comparer l’ampleur du renoncement aux soins au cours des confinements successifs, le maintien de l’offre de soins dans les confinements plus rĂ©cents devrait permettre de limiter les externalitĂ©s nĂ©gatives sur les autres malades que les malades COVID-19. Le report de soins mĂȘme jugĂ©s non urgents devrait ĂȘtre Ă©vitĂ© autant que possible. Alors que le profil des rĂ©pondants Ă  l’enquĂȘte est socialement plus avantagĂ© que la population gĂ©nĂ©rale, nous avançons que ces rĂ©sultats sont une borne infĂ©rieure de l’ampleur du renoncement aux soins dans la population belge et des consĂ©quences futures sur la santĂ© de la population. Les consĂ©quences de soins mĂ©dicaux non satisfaits sont susceptibles d’ĂȘtre encore plus importantes dans des sous-groupes de la population qui cumuleront non seulement un renoncement aux soins mĂ©dicaux dĂ» au confinement mais aussi un renoncement pour raisons financiĂšres s’ils subissent des pertes d’emploi ou de revenu accrues en raison de la COVID-19. Ces obstacles Ă  l'accĂšs aux soins de santĂ© et les besoins insatisfaits ont mis en Ă©vidence la difficultĂ© du systĂšme de santĂ© Ă  ĂȘtre suffisamment rĂ©silient pour absorber le choc d’une pandĂ©mie. Il sera donc important que les dĂ©cideurs politiques envisagent des plans nationaux de santĂ© publique de grande ampleur qui «ramĂšnent» les patients vers les soins. Il s’agira non seulement d’encourager les patients dont le suivi s’est interrompu Ă  reprendre leur traitement et Ă  Ă©valuer la dĂ©tĂ©rioration de leur Ă©tat de santĂ© mais aussi d’encourager tous les patients qui ont manquĂ© une opportunitĂ© de dĂ©pistage de ne pas perdre plus de temps dans l’identification potentielle de problĂšmes de santĂ© sĂ©vĂšres

    Origine sociale et Ă©tat de santĂ© des parents : Quelle influence sur l’état de santĂ© Ă  l’ñge adulte ?.

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    Parmi les facteurs explicatifs proposĂ©s pour expliquer les inĂ©galitĂ©s sociales de santĂ©, la littĂ©rature Ă©pidĂ©miologique a rĂ©cemment mis en avant l’influence du milieu social d’origine sur l’état de santĂ© Ă  l’ñge adulte, cette influence rĂ©sultant Ă  la fois d’un effet direct des conditions de vie dans l’enfance sur la santĂ© (latency model) et d’un effet indirect passant par l’influence du milieu d’origine sur le statut socioĂ©conomique de l’enfant (pathway model). Par ailleurs, on peut supposer une influence directe de l’état de santĂ© des parents sur celui des enfants, s’expliquant non seulement par un patrimoine gĂ©nĂ©tique commun mais aussi par une transmission des comportements liĂ©s Ă  la santĂ©. A partir d’une exploitation de l‘enquĂȘte SHARE, cette recherche propose d’explorer ces trois modĂšles, pour la premiĂšre fois en France, en Ă©tudiant le rĂŽle de la profession des deux parents et de leur Ă©tat de santĂ©, sur l’état de santĂ© d’un individu Ă  l’ñge adulte, contrĂŽlĂ© par son statut socioĂ©conomique. Les rĂ©sultats montrent que l’état de santĂ© Ă  l’ñge adulte, au-delĂ  de son association avec la situation sociale actuelle de l’individu, n’est pas indĂ©pendant de l’origine sociale ni de l’état de santĂ© des parents. La santĂ© Ă  l’ñge adulte semble ĂȘtre directement influencĂ©e par le statut socioĂ©conomique de la mĂšre et l’état de santĂ© des deux parents, le statut socioĂ©conomique du pĂšre ayant au contraire une influence indirecte passant par la dĂ©termination du statut socioĂ©conomique de l’enfant. Ces rĂ©sultats suggĂšrent ainsi l’existence en France d’une inĂ©galitĂ© des chances en matiĂšre de santĂ©.EgalitĂ©s des chances; inĂ©galitĂ©s de santĂ©; transmission intergĂ©nĂ©rationnelle; early life hypothesis;

    Parental health spillover in cost-effectiveness analysis: evidence from self-harming adolescents in England

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    Objective: This article presents alternative parental health spillover quantification methods in the context of a randomised controlled trial comparing family therapy with treatment as usual as an intervention for self-harming adolescents, and discusses the practical limitations of those methods. Methods: The trial followed a sample of 754 participants aged 11–17 years. Health utilities are measured using answers to the EuroQoL 5 Dimensions 3 Levels (EQ-5D-3L) for the adolescent and the Health Utility Index (HUI2) for one parent at baseline, 6 and 12 months. We use regression analyses to evaluate the association between the parent’s and adolescent’s health utilities as part of an explanatory regression model including health-related and demographic characteristics of both the adolescent and the parent. We then measure cost-effectiveness over a 12-month period as mean incremental cost-effectiveness ratios using various spillover quantification methods. We propose an original quantification based on the use of a household welfare function along with an equivalence scale to generate a health gain within the family to be added to the adolescent’s quality-adjusted life-year gain. Results: We find that the parent’s health utility increased over the duration of the trial and is significantly and positively associated with adolescent’s health utility at 6 and 12 months but not at baseline. When considering the adolescent’s health gain only, the incremental cost-effectiveness ratio is £40,453 per quality-adjusted life-year. When including the health spillover to one parent, the incremental cost-effectiveness ratio estimates range from £27,167 per quality-adjusted life-year to £40,838 per quality-adjusted life-year and can be a dominated option depending on the quantification method used. Conclusion: According to the health spillover quantification method considered, the incremental cost-effectiveness ratios vary from within the National Institute for Health and Care Excellence (NICE) cost-effectiveness threshold range to not being cost-effective

    Liaison psychiatry—measurement and evaluation of service types, referral patterns and outcomes (LP-MAESTRO): a protocol

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    Introduction: We describe the protocol for a project that will use linkage of routinely collected NHS data to answer a question about the nature and effectiveness of liaison psychiatry services in acute hospitals in England. Methods and analysis: The project will use three data sources: (1) Hospital Episode Statistics (HES), a database controlled by NHS Digital that contains patient data relating to emergency department (ED), inpatient and outpatient episodes at hospitals in England; (2) ResearchOne, a research database controlled by The Phoenix Partnership (TPP) that contains patient data relating to primary care provided by organisations using the SystmOne clinical information system and (3) clinical databases controlled by mental health trusts that contain patient data relating to care provided by liaison psychiatry services. We will link patient data from these sources to construct care pathways for patients who have been admitted to a particular hospital and determine those patients who have been seen by a liaison psychiatry service during their admission. Patient care pathways will form the basis of a matched cohort design to test the effectiveness of liaison intervention. We will combine healthcare utilisation within care pathways using cost figures from national databases. We will compare the cost of each care pathway and the impact of a broad set of health-related outcomes to obtain preliminary estimates of cost-effectiveness for liaison psychiatry services. We will carry out an exploratory incremental cost-effectiveness analysis from a whole system perspective. Ethics and dissemination: Individual patient consent will not be feasible for this study. Favourable ethical opinion has been obtained from the NHS Research Ethics Committee (North of Scotland) (REF: 16/NS/0025) for Work Stream 2 (phase 1) of the Liaison psychiatry—measurement and evaluation of service types, referral patterns and outcomes study. The Confidentiality Advisory Group at the Health Research Authority determined that Section 251 approval under Regulation 5 of the Health Service (Control of Patient Information) Regulations 2002 was not required for the study ‘on the basis that there is no disclosure of patient identifiable data without consent’ (REF: 16/CAG/0037). Results of the study will be published in academic journals in health services research and mental health. Details of the study methodology will also be published in an academic journal. Discussion papers will be authored for health service commissioners
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