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    MAPPING THE DISTRIBUTION AND ABUNDANCE OF WESTERN LARCH (LARIX OCCIDENTALIS NUTT.) WITH MULTI-TEMPORAL SATELLITE IMAGERY AND GRADIENT MODELING

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    Western larch (Larix occidentalis Nutt.) is one of three native North American larch species, it occupies the mountainous regions of northwestern North America, and it is a deciduous conifer. Western larch is among the most ecologically and economically important conifer tree species in the northern Rockies region. This study explores the viability of mapping western larch via the analysis of multi-temporal Landsat imagery and gradient modeling. Larch presence and abundance data from 300 field plots correlated with Normalized Difference Vegetation Index seasonal change (NDVIsc) explains 46% of the variability in larch basal area. Multivariate models built with NDVIsc and additional climatic and topographic variables only slightly improved the models. These satellite imagery based models suggest that western larch tends to occur primarily on shaded, north-facing slopes within the study area. This analysis was contrasted with a gradient modeling approach using data from 4800 Forest Inventory and Analysis plots and a suite of fine scale (30-60 m) topographic and climatic data as predictors. These models correctly predicted larch presence with error rates of less than 20%. Presence or absence of western larch was found to be strongly dependent on minimum temperature and water balance variables (soil moisture deficit and actual evapotranspiration). Probability prediction rasters produced with these data also showed a noticeable northern aspect tendency. The accuracy of the remote sensing based models suggest that the method may be applied to other areas, and the output from both model types points to a strong relationship between larch presence and fine scale topographic and climatic factors, especially as they interact to affect soil moisture

    Non-normal Recurrent Neural Network (nnRNN): learning long time dependencies while improving expressivity with transient dynamics

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    A recent strategy to circumvent the exploding and vanishing gradient problem in RNNs, and to allow the stable propagation of signals over long time scales, is to constrain recurrent connectivity matrices to be orthogonal or unitary. This ensures eigenvalues with unit norm and thus stable dynamics and training. However this comes at the cost of reduced expressivity due to the limited variety of orthogonal transformations. We propose a novel connectivity structure based on the Schur decomposition and a splitting of the Schur form into normal and non-normal parts. This allows to parametrize matrices with unit-norm eigenspectra without orthogonality constraints on eigenbases. The resulting architecture ensures access to a larger space of spectrally constrained matrices, of which orthogonal matrices are a subset. This crucial difference retains the stability advantages and training speed of orthogonal RNNs while enhancing expressivity, especially on tasks that require computations over ongoing input sequences

    Intégration de données in vitro sur la biodisponibilité des contaminants associés aux poussiÚres dans les analyses de risques pour la santé humaine dans un contexte minier

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    L’objectif de cet essai est de proposer une façon d’intĂ©grer des donnĂ©es in vitro sur la biodisponibilitĂ© de contaminants associĂ©s aux poussiĂšres dans les analyses de risques pour la santĂ© humaine, et ce dans un contexte minier. L’industrie miniĂšre a parfois mauvaise presse et fait face Ă  de nombreux dĂ©fis environnementaux. Un de ces dĂ©fis est l’acceptation sociale en ce qui a trait aux Ă©missions de poussiĂšres de diffĂ©rents projets miniers. Dans le cadre d’évaluation des impacts, les compagnies miniĂšres doivent procĂ©der Ă  des analyses des risques toxicologiques afin d’estimer l’effet des poussiĂšres (qui sont ou seront Ă©mises dans le cadre de projets actuels ou futurs) sur la santĂ© des populations qui seront exposĂ©es Ă  celles-ci. L’industrie miniĂšre quĂ©bĂ©coise est assujettie Ă  plusieurs lois et rĂšglements, dont la Loi sur la QualitĂ© de l’environnement (LQE). Dans le cas des projets assujettis, une Ă©tude d’impact environnemental doit ĂȘtre fournie. Il est parfois nĂ©cessaire, dans le cadre de cette Ă©tude, d’évaluer les risques encourus par la population en ce qui concerne les poussiĂšres atmosphĂ©riques. Afin de comprendre comment se comportent les poussiĂšres dans l’atmosphĂšre et chez l’humain, il est important de bien dĂ©finir les propriĂ©tĂ©s physico-chimiques de celles-ci (granulomĂ©trie, composition chimique, durĂ©e de suspension, etc.). Les diffĂ©rentes propriĂ©tĂ©s des matiĂšres particulaires permettront de prĂ©voir comment celles-ci vont se comporter dans l’atmosphĂšre et au sein du corps humain. De plus, les propriĂ©tĂ©s des particules Ă©mises dans le cadre d’un projet minier vont varier selon l’étape du cycle minier du projet. Il est donc important de comprendre comment le projet Ă©voluera dans le temps afin d’évaluer l’impact du projet Ă  court et long terme. Il existe trois voies d’exposition par lesquelles un contaminant peut pĂ©nĂ©trer le corps humain : (1) par ingestion, (2) par inhalation et (3) par contact dermique. Cet essai se penche plus spĂ©cifiquement sur l’exposition aux matiĂšres particulaires par inhalation. Des protocoles de laboratoire ont Ă©tĂ© Ă©tablis pour Ă©valuer la bioaccessibilitĂ© des contaminants suite Ă  l’ingestion de poussiĂšres, mais beaucoup d’incertitude demeure en ce qui concerne l’inhalation. La taille des particules influe directement sur l’endroit au sein du systĂšme respiratoire oĂč celles-ci vont se dĂ©poser. Les particules de plus grande taille vont se dĂ©poser dans la partie supĂ©rieure du systĂšme respiratoire (voies aĂ©riennes supĂ©rieures) tandis que les particules de plus petite traille vont pĂ©nĂ©trer plus profondĂ©ment (voies aĂ©riennes infĂ©rieures). Les particules vont donc ĂȘtre exposĂ©es Ă  des conditions diffĂ©rentes au sein du systĂšme respiratoire. Plusieurs approches sont actuellement utilisĂ©es en laboratoire pour estimer la dose de contaminants Ă  laquelle la population est exposĂ©e. Ces approches permettent d’estimer quelle fraction de chaque contaminant sera transfĂ©rĂ©e au sein des diffĂ©rents fluides et des diffĂ©rents organes humains, aussi appelĂ©e la fraction biodisponible. Les essais in vivo sont toutefois coĂ»teux et demandent de grandes ressources. Une des alternatives aux tests sur les animaux sont les tests in vitro. Dans le cadre de ces tests, des conditions simulant l’environnement physico-chimique des poumons humains sont crĂ©Ă©es en laboratoire pour estimer la quantitĂ© de contaminants solubilisables dans des fluides pulmonaires et donc potentiellement absorbĂ©s par cette voie. La fraction dissoute dans ces fluides synthĂ©tiques Ă©quivaut Ă  la fraction bioaccessible pulmonaire. Il n’y a pour l’instant pas de consensus au sein de la communautĂ© scientifique en ce qui concerne le protocole pour Ă©tablir la fraction bioaccessible des diffĂ©rents composĂ©s. DiffĂ©rents paramĂštres trĂšs importants tels que la mĂ©thode d’échantillonnage, la taille des particules Ă©tudiĂ©es, la composition des fluides, la durĂ©e de l’extraction, le ratio solide/liquide, la tempĂ©rature et l’agitation entre autres varient d’une Ă©tude Ă  l’autre. L’Institut national de santĂ© publique du QuĂ©bec (INSPQ) propose des lignes directrices en ce qui a trait aux analyses de risques toxicologiques au QuĂ©bec. La procĂ©dure comprend quatre grandes Ă©tapes soit : 1. Identification du danger; 2. CaractĂ©risation toxicologique; 3. Estimation de l’exposition; 4. Estimation du risque. DiffĂ©rentes Ă©quations permettent d’estimer la dose d’exposition de chaque contaminant. Dans le cadre de cet essai, une Ă©quation est prĂ©sentĂ©e afin de combiner les fractions bioaccessibles pour diffĂ©rentes tailles de particules. Au lieu d’utiliser la concentration totale d’un contaminant dans l’atmosphĂšre tel que recommandĂ© afin d’utiliser une approche de type « pire scĂ©nario », il serait appropriĂ© d’estimer la bioaccessibilitĂ© de ce contaminant chez l’humain. Pour ce faire, des essais en laboratoire pourraient ĂȘtre effectuĂ©s sur diffĂ©rents groupes de tailles de particules. Des fractions bioaccessibles pourraient ĂȘtre dĂ©finies pour les diffĂ©rents groupes de tailles. L’équation suivante permettrait d’estimer une concentration bioaccessible totale pour un contaminant (Ci) pouvant ĂȘtre intĂ©grĂ©e dans les calculs d’estimation de la dose d’exposition proposĂ©s par l’INSPQ. Ci=ÎŁMPMi x CPMi x BFi / MTOTAL BFi = BioaccessibilitĂ© du contaminant Ă©valuĂ© pour une fraction i(%) CPMi = Concentration du contaminant de la fraction granulomĂ©trique i dans l’air Ă©chantillonnĂ© (”g/m3) MPMi= Masse de la fraction i au sein de l’échantillon analysĂ© (mg) Mtotal = Masse totale de l’échantillon analysĂ© (mg) En intĂ©grant les valeurs de bioaccessibilitĂ© dans le cadre d’analyse de risque toxicologique, le risque estimĂ© sera plus prĂšs de la rĂ©alitĂ©. Le raffinement des approches en matiĂšre d’inhalation de poussiĂšres permettra aux dĂ©cideurs d’avoir un instrument de mesure plus prĂ©cis, leur permettant de faire des choix plus Ă©clairĂ©s

    Inferring the immune response from repertoire sequencing

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    High-throughput sequencing of B- and T-cell receptors makes it possible to track immune repertoires across time, in different tissues, and in acute and chronic diseases or in healthy individuals. However, quantitative comparison between repertoires is confounded by variability in the read count of each receptor clonotype due to sampling, library preparation, and expression noise. Here, we present a general Bayesian approach to disentangle repertoire variations from these stochastic effects. Using replicate experiments, we first show how to learn the natural variability of read counts by inferring the distributions of clone sizes as well as an explicit noise model relating true frequencies of clones to their read count. We then use that null model as a baseline to infer a model of clonal expansion from two repertoire time points taken before and after an immune challenge. Applying our approach to yellow fever vaccination as a model of acute infection in humans, we identify candidate clones participating in the response

    Trophic relationships between Saccharomyces cerevisiae and Lactobacillus plantarum and their metabolism of glucose and citrate

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    Glucose and citrate are two major carbon sources in fruits or fruit juices such as orange juice. Their metabolism and the microorganisms involved in their degradation were studied by inoculating with an aliquot of fermented orange juice a synthetic model medium containing glucose and citrate. At pH 3.6, their degradation led, first, to the formation of ethanol due to the activity of yeasts fermenting glucose and, eventually, to the formation of acetate resulting from the activity of lactobacilli. The yeast population always outcompeted the lactobacilli even when the fermented orange juice used as inoculum was mixed with fermented beet leaves containing a wider variety of lactic acid bacteria. The evolution of the medium remained similar between pH 3.3 and 5.0. At pH 3.0 or below, the fermentation of citrate was totally inhibited. Saccharomyces cerevisiae and Lactobacillus plantarum were identified as the only dominant microorganisms. The evolution of the model medium with the complex microbial community was successfully reconstituted with a defined coculture of S. cerevisiae and L. plantarum. The study of the fermentation of the defined model medium with a reconstituted microbial community allows us to better understand the behavior not only of fermented orange juice but also of many other fruit fermentations utilized for the production of alcoholic beverages
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