60 research outputs found

    Exploration of Recovery Trajectories in Sexually Abused Adolescents

    Get PDF
    This study documents recovery status and symptom changes in a one-year follow-up of sexually abused (SA) adolescent girls in child protection services in the province of Québec, Canada. Sixteen French-speaking participants were interviewed using the Multidimensional Trauma Recovery and Resiliency Interview (MTRR-I), which was in turn rated by interviewers using the companion rating scale, the MTRR, and completed questionnaires assessing symptoms, types of maltreatment endured and services received. Participants were between the ages of 13 and 17 years (M = 15.2 years) when first interviewed and had experienced severe sexual abuses. Analyses of one-year follow-up data revealed statistically significant changes towards better functioning on multiple domains and less symptomatology for a majority of the girls interviewed. The recovery status of a minority of research participants seems to have worsened in the interval. The discussion considers these findings and addresses relevancy of the MTRR measures in cases of SA adolescents

    Child maltreatment and intimate partner violence

    Get PDF
    Abstract : This study aimed to 1) evaluate the prevalence of intimate partner violence (IPV) and revictimization among a representative sample of 1,001 women living in Quebec, Canada; 2) examine whether IPV was predicted by experiences of child maltreatment; and 3) explore the role of polyvictimization on IPV beyond the effect of any type of exposure. Results indicate the prevalence rates of lifetime IPV (10.5%), IPV over the last year (2.5%), and revictimization (7.2%). All forms of child maltreatment predicted an increased risk of IPV victimization, yet polyvictimization was related to IPV beyond the effects of the specific forms of child maltreatment

    Facteurs associés à la décision de recourir au Tribunal de la jeunesse lors de l’orientation des mesures de prise en charge

    Get PDF
    Parmi les décisions que les intervenants de la protection de la jeunesse ont à prendre, le recours au Tribunal de la jeunesse afin d’imposer à la famille des mesures de prise en charge représente une décision importante et lourde de conséquences tant pour l’intervenant que pour la famille. Dans ce contexte, la présente étude vise à déterminer les facteurs associés à la décision de recourir au Tribunal de la jeunesse dans les cas où la sécurité ou le développement de l’enfant ont été jugés compromis. L’échantillon comprend 2264 enfants dont les faits signalés ont été jugés fondés et la sécurité ou le développement compromis. Les variables examinées concernent les caractéristiques des enfants, des parents, de la famille, des mauvais traitements et des services reçus. Les résultats de l’analyse de régression multiple par blocs hiérarchiques montrent que la coopération des parents, la chronicité des situations (prise en charge antérieure au cours des cinq dernières années et durée des mauvais traitements/troubles de comportement), la vulnérabilité de l’enfant (jeune âge et nombre de besoins de services), la gravité des situations (abandon de l’enfant, présence de mesures d’urgence et de poursuites criminelles) de même que certains facteurs de risque familiaux (aide sociale et déménagements fréquents) sont fortement associés à la décision de recommander le recours au Tribunal de la jeunesse.Resorting to Youth Court in order to impose youth protection services on a family is one of the most important and consequential decisions that child protection workers must take. This study sought to determine the factors associated with this decision in cases where the security and development of a child are considered endangered. The sample used in the analyses comprised 2264 children for whom the events reported were considered substantiated and whose security and development were considered endangered. The variables investigated concern characteristics of the child, the parents, the family, the maltreatment suffered, and the services received. Results of hierarchical multiple regression analysis show that parental cooperation, chronicity of situations (prior use of youth protection services in past five years and duration of maltreatment/behavioural problems), child’s vulnerability (young age and number of service needs), severity of situations (abandonment of child, presence of emergency measures and criminal charges), and certain familial risk factors (social welfare and frequent changes of residence) proved strongly associated with the decision to recommend recourse to Youth Court

    Recommandation de placement de l’enfant dans le contexte de la protection de la jeunesse : facteurs associés = Recommendation of placement into foster care : associated factors

    Get PDF
    La décision de retirer un enfant de son milieu familial représente l’une des décisions les plus difficiles pour les intervenants sociaux. Cette étude vise à explorer les caractéristiques des enfants, des parents, des familles et des problématiques du signalement qui sont associées à la recommandation du placement de l’enfant lors de la prise en charge de ce dernier par la protection de la jeunesse. L’étude a été réalisée à partir d’un échantillon représentatif de 2230 enfants pris en charge par les services de protection de la jeunesse au Québec, tiré de l’Étude d’Incidence Québécoise (ÉIQ). Les analyses de régression logistique montrent que treize caractéristiques sont associées à la recommandation du placement de l’enfant. Ces variables associées sont liées : 1) aux caractéristiques des figures parentales (une coopération parentale inadéquate, un nombre de problèmes connus du parent plus élevé et la présence d’un adulte significatif dans la vie de l’enfant autre que les figures parentales), 2) aux caractéristiques des familles (une structure familiale non traditionnelle : recomposée ou monoparentale, un seul enfant de la famille a été signalé et un logement jugé non sécuritaire), 3) aux caractéristiques des enfants (enfant de moins de 2 ans ou de plus de 14 ans et un nombre élevé de besoins pour l’enfant), et 4) aux caractéristiques des problématiques (plus d’une problématique signalée, un signalement pour abandon, un signalement qui ne concerne pas une situation « autre » de mauvais traitements, un nombre élevé d’atteintes à la santé mentale et un signalement provenant d’une membre de la famille). La discussion porte sur la pertinence de ces caractéristiques dans les discussions cliniques impliquant une décision de placer un enfant. Recommending placement into foster care is one of the most difficult decisions for a child welfare worker to make. The aim of this study is to explore child, parent, family and maltreatment characteristics associated with placement recommendation in the representative sample of the Quebec youth protection agency clientele (N = 2230 children) from the Quebec Incidence Study (QIS). Logistic regression reveals 13 characteristics associated with recommending placement: three parent characteristics (inadequate parental cooperation, higher number of parental problems, presence of significant adult in child’s life other than parental figures); three family characteristics (reconstituted/single-parent family, only one child in family reported to youth protection agency and non-secure home); two child characteristics (under 2 or over 14 years of age and high number of child needs); and five maltreatment characteristics (more than one problem reported to youth protection agency, child reported abandoned, report does not involve “other” maltreatment type, high number of mental health sequelae and report by family member). The discussion focuses on the pertinence of these characteristics in clinical discussions involving the decision to place a child

    Incidence de l abus et la négligence envers les enfants : recension des écrits

    No full text
    Les mauvais traitements envers les enfants représentent une préoccupation importante dans notre société. Les sévices que subissent les enfants peuvent prendre différentes formes dont celles de l'abus sexuel, l'abus physique, l'abus émotionnel et la négligence. Les études portant sur l'incidence des mauvais traitements envers les enfants s'avèrent un moyen indispensable pour documenter non seulement l'ampleur du phénomène, mais aussi la nature des diverses formes de mauvais traitements, les caractéristiques des victimes, des personnes qui maltraitent et de leur milieu de vie. Ces connaissances sont essentielles au développement des politiques sociales, à l'organisation des services et au développement d'interventions et de pratiques cliniques adaptées aux besoins des familles touchées par ce problème.Cet article a pour but de faire le point sur les connaissances actuelles concernant l'incidence des mauvais traitements envers les enfants. Plus spécifiquement, il vise : 1) à déterminer les taux d'incidence des diverses formes de mauvais traitements envers les enfants; 2) à examiner l'évolution des taux de mauvais traitements au cours des dernières années; et 3) à cerner les principales limites méthodologiques de ce champ d'études de manière à identifier les défis à relever pour parvenir à une mesure fiable de l'incidence des mauvais traitements envers les enfants.Quatre méthodes de repérage ont été utilisées pour localiser les publications présentant des taux d'incidence, soit : une recherche bibliographique auprès des principales banques de données informatisées, l'utilisation de recensions d'écrits existantes, une recherche sur le site Web de certains organismes pertinents et finalement, des contacts personnels auprès de chercheurs impliqués dans ce champ d'études. Des critères d'inclusion ont été utilisés afin de sélectionner les publications, ce qui a conduit à l'identification de 24 publications dont un certain nombre présentait des taux d'incidence provenant de banques de données couvrant plusieurs années.Les résultats montrent une variation importante des taux d'incidence, et ce, tant pour les taux de mauvais traitements signalés (avant évaluation par les services de protection de l'enfance) que pour les taux de mauvais traitements jugés fondés après évaluation. Les taux d'enfants signalés varient de 5 à 72 pour 1000 enfants de la communauté alors que les taux d'enfants victimes varient de 0,2 à 110 pour 1000. La négligence représente plus de la moitié des cas de mauvais traitements, suivie des abus physiques (environ 20 % des situations), des abus sexuels (environ 10 %) et des abus émotionnels (environ 6 %).L'examen des taux par région montre des différences importantes. De façon générale, les taux d'incidence d'enfants signalés et les taux de signalements fondés aux États-Unis sont de deux à trois fois plus élevés qu'en Australie ou au Québec, mais seulement légèrement plus élevés qu'en Ontario. Les taux de négligence, d'abus sexuel et d'abus physique suivent la même tendance, mais non les taux d'abus émotionnel. Ces variations s'expliquent d'une part par des différences régionales, mais d'autre part par les caractéristiques méthodologiques des études. Les études réalisées à partir des données des agences de protection rapportent des taux beaucoup moins élevés que les études réalisées à partir de données colligées auprès des professionnels de la communauté.Finalement, les taux d'incidence d'enfants signalés pour mauvais traitements et de signalements jugés fondés ont augmenté de façon importante dans les vingt dernières années. Depuis le début des années 1990, les taux semblent se stabiliser lorsqu'on examine les données provenant des services de protection. Par contre, les taux de mauvais traitements provenant des professionnels de la communauté augmentent durant cette période, et ce, quelle que soit la forme de mauvais traitements considérée.La discussion des résultats porte sur trois aspects : 1) les facteurs susceptibles d'expliquer la variation importante des taux ; 2) la stabilité des taux d'incidence provenant des études réalisées à partir des données des services de protection comparée à l'augmentation constante des taux d'incidence d'enfants maltraités établis à partir des données recueillies auprès des professionnels de la communauté ; et 3) les limites méthodologiques actuelles et les améliorations à apporter dans les recherches futures.The mistreatment of children has become a major social concern. The suffering of children occurs in a variety of forms: sexual, physical or emotional abuse, and negligence. Studies that examine the incidence of child mistreatment have become an indispensable tool in documenting its extent, as well as its diverse forms, the characteristics of its victims and their abusers, and their environments. Such knowledge is essential to forming social policies, organizing services, and developing interventions and clinical practices adapted to the needs of families affected by this problem.The purpose of this article is to update current knowledge with regard to the incidence of child mistreatment. Specifically, it intends to determine rates of specific forms of mistreatment, to examine the evolution of such rates in recent years, and to identify important methodological shortcomings of studies in this area in order to identify challenges that must be met to obtain a reliable measurement of the extent of child mistreatment.Four methods of data collection were used to locate publications presenting rates of incidence: a bibliographical search among major data banks, a review of current literature, research among the web-sites of relevant organizations, and personal contacts with researchers working in this field. Literature was selected according to specific criteria for inclusion; 24 relevant publications were identified, a number of which present incidence rates based on a number of data banks and covering several years.The results demonstrate a significant variation in incidence rates, not only the rates of reported mistreatment (prior to investigation by child protection services) but also the rates of confirmed mistreatment following assessment. Reporting rates varied from 5 to 72 children per 1000 in the community; the child victim rates varied from 2 to 110 children per 1000. More than half of the situations of mistreatment consisted of negligence, followed by physical abuse (about 20 %), sexual abuse (about 10 %) and emotional abuse (about 6 %).An examination of regional rates also demonstrated significant differences. In general, the rates of reported as well as confirmed incidents in the United States were two to three times higher than those in Australia or Quebec, but only minimally higher than rates in Ontario. Rates of negligence and sexual or physical abuse followed the same pattern, while rates of emotional abuse were divergent. Differences among rates may to some extent be explained by regional differences, but methodological differences among studies are also important. Studies based on data from child protection agencies report much lower rates than studies based on data collected from professionals working with abused children in the community.Finally, rates of reported incidents of child mistreatment and rates of confirmed reports have increased significantly during the last twenty years. According to child protection services' data, rates seem to have stabilized since the beginning of the 1990s. According to data provided by community professionals however, the rate of child mistreatment has increased consistently during this period, whatever the form of abuse considered.The discussion of results examines three aspects: first, factors that may explain significant rate variations; second, the stability of rates reported by child protection services compared with the consistent rate increase reported by community professionals; and finally, current methodological shortcomings and means of improving future research.El maltrato infantil constituye una preocupación de primer orden en nuestra sociedad. Las sevicias sufridas por los menores pueden presentar diversas formas, entre ellas el abuso sexual, el abuso físico, el abuso emocional y la negligencia. Los estudios sobre la incidencia de este problema en los niños pasa a ser un recurso indispensable para documentar no sólo la amplitud del fenómeno, sino también la naturaleza de sus diversas modalidades, las características de las víctimas, las de las personas que maltratan y el entorno de sus vidas. Estos conocimientos resultan esenciales cuando se piensa en el desarrollo de las políticas sociales, en la organización de los servicios y en el desarrollo de las intervenciones y las prácticas clínicas acordes con las necesidades de las familias afectadas por el problema.El presente artículo tiene por finalidad precisar el estado actual de los conocimientos en lo que respecta a la incidencia del maltrato infantil. Más claramente, el intenta : 1) determinar las tasas de incidencia de las diversas formas de maltrato infantil; 2) examinar la evolución de las tasas de este tipo de maltrato en el curso de los últimos años; 3) identificar las principales limitaciones metodológicas presentes en este campo, para hacer frente a los desafíos futuros, de manera que pueda lograrse una medición confiable de la incidencia de este tipo de maltrato en la sociedad.El autor utiliza cuatro métodos de búsqueda para localizar las publicaciones que contienen datos sobre tasas de incidencia, es decir: una investigación bibliográfica entre los principales bancos de datos informatizados, el uso de recensiones de escritos existentes, la búsqueda en los sitios web de algunos organismos pertinentes, y, finalmente, el contacto personal con diversos investigadores que trabajan este tema. Algunos criterios de inclusión han sido aplicados a fin de seleccionar las publicaciones, lo que le ha permitido identificar 24 publicaciones, algunas de las cuales contienen tasas de incidencia provenientes de bancos de datos a lo largo de varios años.Los resultados muestran una variación importante de las tasas de incidencia, y ello, tanto en lo que se refiere a las tasas de maltratos denunciados (con anterioridad a la evaluación hecha por los servicios de protección de la infancia) como a las tasas de maltratos considerados como fundados, luego de esta evaluación. Las tasas del primer tipo oscilan entre 5 y 72 por 1000 niños en la comunidad, mientras que las tasas del segundo tipo varían entre .2 y 110 por 1000. La negligencia en particular representa más de la mitad de las situaciones de maltrato, seguida por los abusos físicos (cerca del 20% de las situaciones), de los abusos sexuales (alrededor del 10 %) y de los abusos de orden emocional (aproximadamente 6 %).El examen de las tasas por región muestra asimismo diferencias importantes. De manera general, las tasas de incidencia por denuncia y las tasas de denuncias fundadas son en Estados Unidos de dos a tres veces más altas que en Australia o en Québec, pero ligeramente superiores a las de Ontario. Las tasas de negligencia, de abuso sexual y de abuso físico parecen seguir la misma tendencia, mientras que las tasas en cuanto al abuso emocional constituyen una excepción. Tales variaciones se explicarían, por una parte, en razón de las diferencias regionales, y por otra, debido a las características metodológicas de los distintos estudios. Los estudios llevados a cabo a partir de datos suministrados por las agencias de protección de la infancia reportan generalmente tasas mucho más bajas que los estudios realizados a partir de los datos obtenidos por profesionales en la comunidad.Por último, las tasas de incidencia de casos denunciados por razón de maltrato y las que corresponden a denuncias de este tipo consideradas con fundamento, han regis- trado un importante aumento en el curso de los últimos 20 años. Desde comienzos de la década de los '90', las tasas parecen estabilizarse cuando se analizan los datos provenientes de las agencias de protección. En cambio, las tasas de maltrato suministradas por los profesionales que trabajan en la comunidad han aumentado durante el mismo periodo, independientemente de la forma o del tipo de maltrato.La discusión de los resultados engloba tres aspectos : 1) los factores susceptibles de explicar las variaciones de las diversas tasas; 2) la estabilidad de las tasas de incidencia en estudios hechos a partir de datos suministrados por los servicios de protección infantil, comparada al aumento constante de las tasas de incidencia del maltrato, tal como se observa a partir de los datos recolectados por los profesionales de la comunidad; 3) las limitaciones metodológicas actuales y los perfeccionamientos posibles en este orden, con vistas a futuras investigaciones en el campo

    Facteurs associés à la décision d’entreprendre des poursuites criminelles à la suite d’un signalement pour abus sexuel ou physique envers un enfant

    No full text
    L'Étude ontarienne sur l'incidence des mauvais traitements (ÉOI) est une des premières études examinant en détails les caractéristiques des cas d'abus physique (N = 1 003) et d'abus sexuel (N = 577) signalés aux services de protection de l'enfance. Les abus sexuels se caractérisent par le fait que 16 % concernent des relations sexuelles ou des tentatives et 56 % des attouchements sexuels. Les principaux agresseurs présumés sont une figure paternelle (34 %), un membre de la famille autre que le parent (24 %) ou une connaissance de la famille (23 %). Près des deux tiers des situations d'abus physique concernent des problèmes de discipline (65 %), des blessures physiques sont notées dans 27 % des cas, et les figures parentales représentent la très grande majorité des agresseurs présumés (92 %). Des poursuites criminelles ont été entamées dans 15 % des cas d'abus sexuel et dans 5 % des cas d'abus physique. Quatre facteurs se sont avérés associés aux décisions d'entamer des poursuites pénales dans les cas d'abus sexuel : la nature des abus sexuels (les cas de relations sexuelles ayant la plus grande probabilité de mener à des poursuites), la nature des séquelles, l'âge de l'enfant signalé (les poursuites étant plus probables pour les victimes plus âgées) et la source du signalement. Trois facteurs étaient associés aux décisions d'engager des poursuites pénales à la suite d'évaluations d'abus physique : la présence de blessures, la source du signalement et la région de la province où s'est déroulée l'enquête.The Ontario Incidence Study of Reported Child Abuse and Neglect (OIS) is one of the first studies to examine in detail the characteristics of physical abuse (N = 1003) and sexual abuse (N = 577) cases reported to child protection authorities. Sixteen per cent of sexual abuse cases involved intercourse or attempted intercourse and 56% involved fondling. The alleged perpertrators were most often fathers or step- fathers (34%), relatives (24%) or family acquaintances (23%). Sixty-five per cent of physical abuse cases involved corporal punishemnt or incidents arising from a disciplinary action, physical injuries were noted in 27% of cases, and parents were most often the alleged perpertrators (92%). Criminal charges had been laid in 15% of sexual abuse cases and in 5% of physical abuse cases. Four variables were significantly associated with the decision to lay charges in sexual abuse cases: the level of intrusiveness of the abuse (cases involving intercourse or attempted intercourse were more likely to lead to charges), the nature of documented harm, the age of the reported child (charges were laid more often in cases involving older children) and the source of the report. Three variables were significantly associated with the decision to lay charges in physical abuse cases: the presence of an injury, the source of the report, and the region of the province in which the investigation was conducted

    Évaluation d’un partenariat dans le cadre de la mise en place de services intersectoriels pour des enfants victimes d’agressions sexuelles

    No full text
    Cet article vise à dégager les facteurs ayant facilité ou non le développement d’un partenariat dans le cadre de la mise en place des services intersectoriels pour les enfants victimes d’agressions sexuelles. Les résultats présentés sont issus d’entrevues individuelles et de groupe réalisées auprès du personnel des organismes partenaires impliqués dans la dispensation de services cliniques (n=57). Cette étude évaluative identifie les facteurs de réussite et les embûches rencontrés qui sont principalement liés à l’environnement, à la structure, à la dynamique du groupe et à l’efficacité du partenariat
    • …
    corecore