36 research outputs found

    Herders and Wetland Degradation in Northern Cameroon

    Get PDF
    Livestock rearing in Northern Cameroon is carried out under two majors systems: the nomadic and the transhumance production systems (Pamo & Pamo, 1991). Nomadism is the practice of wandering from place to place, while transhumance involves seasonal displacement of flocks from one area to another by herders. These production systems involved large grazing areas, which may encompass different ecosystems. The Yaére, the only wetland of the northern Cameroon, is the major dry season grazing lands for livestock and wildlife. The main characteristic of this wetland is that the whole area is excluded from grazing during the growing season as a result of large scale flooding. Thus the major forage species (i.e. Echinochloa pyramidalis, Oryza longistaminata, Hyparrhenia rufa, Echinochloa stagnina) can set seed thereby ensuring their continued dispersal, establishment, and survival during the subsequent rainy season. In 1979, an upstream dam of 28 km with an additional 20 km embankment along the Logone river was build to store water for a rice irrigation project. This suppressed flooding over some 60 000 ha, and seriously affected the hydrological regime over another 200 000 ha. Major perennial forage species were gradually replaced by less palatable annual species such as Sorghum arundinaceum. This paper investigates how herders coped with the induced degradation of this dry season grazing land

    Herders and Wetland Degradation in Northern Cameroon

    Get PDF
    Livestock rearing in Northern Cameroon is carried out under two majors systems: the nomadic and the transhumance production systems (Pamo & Pamo, 1991). Nomadism is the practice of wandering from place to place, while transhumance involves seasonal displacement of flocks from one area to another by herders. These production systems involved large grazing areas, which may encompass different ecosystems. The Yaére, the only wetland of the northern Cameroon, is the major dry season grazing lands for livestock and wildlife. The main characteristic of this wetland is that the whole area is excluded from grazing during the growing season as a result of large scale flooding. Thus the major forage species (i.e. Echinochloa pyramidalis, Oryza longistaminata, Hyparrhenia rufa, Echinochloa stagnina) can set seed thereby ensuring their continued dispersal, establishment, and survival during the subsequent rainy season. In 1979, an upstream dam of 28 km with an additional 20 km embankment along the Logone river was build to store water for a rice irrigation project. This suppressed flooding over some 60 000 ha, and seriously affected the hydrological regime over another 200 000 ha. Major perennial forage species were gradually replaced by less palatable annual species such as Sorghum arundinaceum. This paper investigates how herders coped with the induced degradation of this dry season grazing land

    West African Dwarf Goat Response to Supplementary Feeding in Cameroon

    Get PDF
    The production of the West African Dwarf goat (WADG) in Cameroon is very low, because of lack of proper nutrition. Nitrogen content is generally very low and fibre content is high, both in the grass and the crop residues which form the basis of their diet particularly during the dry season. Supplementation of these roughages is a promising way of alleviating nutrient deficiencies. Different types of supplementary feeding have been advocated to boost goat production (Leng, 2003), of which supplementary feeding with leguminous tree leaves is of high merit. The present study was undertaken to evaluate the effects of supplementary feeding of Calliandra calothyrsus and Leucaena leucocephala leaves on growth and reproduction of WADG

    Effet de la fertilisation au molybdène sur la biomasse et le nombre de nodules de Desmodium intortum à différentes périodes de fauche dans l’Ouest Cameroun

    Get PDF
    L’effet de la fertilisation au molybdène sur les biomasses et le nombre des nodules de Desmodium intortum a été évalué à différentes périodes de fauche à la Ferme d’Application et de Recherche de l’Université de Dschang en 2011. Un dispositif factoriel comparant quatre doses de molybdène sous forme de molybdate d’ammonium (0 ; 0,75 ; 1,5 et 2,25 kg Mo/ha) et six périodes de fauches dans des pots de 0,0346 m2 de surface en trois répétitions, soit un total de 72 pots expérimentaux, a été utilisé. A chacune des 6 périodes de collecte des données, les plantes fauchées étaient séparées en deux parties : la partie aérienne et les racines nodulées. Ensuite, les nodules étaient séparés des racines, collectés et comptés. Les nodules des trois pots par niveau de fertilisation et les parties aériennes étaient pesés puis placés dans une étuve ventilée à 60 °C jusqu’à poids constant pour la détermination des biomasses en kg MS/ha et t MS/ha respectivement pour les nodules et les parties aériennes. La fertilisation au molybdène a influencé de manière variable la biomasse foliaire. La valeur la plus élevée (25,1 t MS/ha) a été obtenues avec la dose de 0 kg Mo/ha à la 90e période de fauche ; alors que la plus faible (1,07 t MS/ha) avec celle de 1,5 kg Mo/ha. Une relation significative (p<0,01) a été établie entre les biomasses foliaires et les périodes de fauche comme le montre le coefficient de régression R2 = 0,51. La fertilisation au molybdène n’a pas influencé de manière significative (p<0,05) la biomasse nodulaire de Desmodium intortum quelles que soient les périodes de fauche. La valeur la plus élevée (280 kg MS/ha) a été obtenue avec la dose de 2,25 kg Mo/ha au 90e jour et la plus faible (9,73 kg MS/ha) avec celle de 1,5 kg Mo/ha au 30e jour. Des relations entre les biomasses nodulaires et les périodes de fauche (R2=0,76) d’une part et entre les biomasses nodulaires et les biomasses foliaires (R2 =0,29ns) d’autre part ont été observées. La fertilisation au molybdène n’a pas également influencé de manière significative le nombre des nodules de Desmodium intortum quelle que soit la période. De même, les nombres de nodules n’ont pas connu une évolution régulière en fonction des doses de molybdène. Le nombre le plus élevé (338) des nodules a été enregistré au 90e jour avec la dose de 0,75 kg Mo/ha, alors que le plus faible (45,3) a été obtenu avec la dose de 0,75 kg Mo/ha au 180e jour. Aucune relation n’a pu être établie entre le nombre de nodules et les périodes de fauche.Mots clés : biomasse foliaire, nodules, légumineuse, nodulation, Rhizobium

    Effet comparé de l’enfouissement de deux légumineuses fertilisées au molybdène sur la croissance et le rendement de Brachiaria ruziziensis à différentes périodes de fauche dans l’Ouest Cameroun

    Get PDF
    Un essai sur l’effet comparé de l’enfouissement d’Arachis glabrata et de Desmodium intortum fertilisés au molybdène sur la croissance et le rendement de Brachiaria ruziziensis a été conduit à la Ferme d’Application et de Recherche de l’Université de Dschang. Un dispositif factoriel 4x2 (4 niveaux de fertilisation au molybdène, 0; 0,75; 1,5 2,25 kg/ha et 2 légumineuses) en 2 répétitions/blocs et disposé en 3 blocs de16 parcelles élémentaires chacun a été utilisé sur des parcelles de 6 m². Neuf mois après la mise en place des légumineuses, elles ont été fauchées et enfouies entièrement. Des éclats de souche de Brachiaria ruziziensis ont été ensuite cultivés à une densité de 11 plants /m2 sur toutes les parcelles. Tous les 45 jours, la biomasse et la taille des plantes étaient évaluées sur une surface utile de 2 m2 par niveau de fertilisation. Les résultats ont montré que : l’enfouissement des légumineuses a influencé de manière variable la taille du fourrage. La taille la plus élevée (83,4 cm) a été obtenue avec le précédent Desmodium intortum fertilisé aux doses de 0 et de 0,75 kg de Mo/ha, à la première fréquence de fauche. La biomasse sèche de Brachiaria ruziziensis a été peu influencée par l’enfouissement des légumineuses. La biomasse la plus élevée (25 t MS/ha) a été obtenue avec le précédent Desmodium intortum fertilisé à 0,75 kg de Mo/ha. En somme, l’enfouissement de Desmodium intortum fertilisé avec la dose de 0,75 kg de Mo/ha, a permis d’obtenir la taille et la biomasse sèche les plus élevées à la première période de fauche, sans qu’aucune différence significative (p>0,05) n’ait été observé entre les traitements.Mots clés: Arachis glabrata, biomasse, Desmodium intortum, taill
    corecore