782 research outputs found

    Agricultural Self Sufficiency in Latin America

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    Agricultural self sufficiency in Latin America experienced a decline in cereal products from the early 19705 onwards despite cereal self sufficiency policies in many countries. The growth in per capita income leading to an increase in the demand for livestock products largely explains this since feed grains (com) had to be imported to service the livestock sectors meeting this demand. Food grains (wheat) were also imported to service the growth in cereal demand in urban centers. These two factors overwhelmed the rising per capita production of cereal products in many countries to produce a decline in cereal self sufficiency

    Contamination des Laits Importés au Mali par l’Aflatoxine M1

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    Au Mali l’insuffisance de données scientifiques sur la contamination du lait par les aflatoxines a motivé la conduite de la présente étude. Les aflatoxines sont des métabolites secondaires synthétisés par des souches d'As. flavus, Asp. Parasiticus et Asp. Nomius. Aspergillus flavus produit principalement l’Aflatoxine B1 et B2.  AFM1 est retrouvée dans le lait des mammifères lorsque ceux-ci ont ingéré des aliments contaminés par l’Aflatoxine B1. L’hépatotoxité est la caractéristique majeure de l’aflatoxine B1.  AFM1 est reclassée par l'Agence Internationale pour la Recherche sur le Cancer de l'Organisation Mondiale de la Santé pour être dans le groupe 1 au lieu du groupe 2 considéré moins toxique. Contribuer à la connaissance de la qualité sanitaire du lait importé au Mali et conduire une évaluation des risques liés à l’Aflatoxine M1. Etude transversale et descriptive par sondage aléatoire simple. Un total de 150 échantillons de laits a été récolté dans le District de Bamako en 2015.La détermination des teneurs du lait en Aflatoxine M1 a été effectuée par Immunoafinité /HPLC INF selon la norme ISO 14501au CARSO-Laboratoire Santé Environnement Hygiène de Lyon en 2016.Les résultats ont montré que tous les 150 échantillons analysés sont contaminés par l’Aflatoxine M1 avec des taux allant de 30 à100 ng/Kg.Cepandant les taux de contamination étaient inférieures à la norme requise par le Codex Alimentarius qui est de l’ordre de 500ng/Kg. Les acteurs impliqués dans la sécurité sanitaire des aliments aux Mali sont interpellés pour prise de disposition

    Traitements ethno-vétérinaires des parasitoses digestives des petits ruminants dans le plateau central du Burkina Faso

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    La présente étude visait d\'une part, à mieux comprendre les motivations des éleveurs à recourir aux méthodes traditionnelles de soins pour leurs animaux, et d\'autre part, à recenser les remèdes utilisés dans la région du plateau central du Burkina Faso. Elle s\'est déroulée de juin à octobre 2006 en deux étapes : i) une phase de groupe (focus-group screening) avec un formulaire-guide d\'entretien comme support d\'interview semi-structurées (ISS) auprès de 101 éleveurs et ii) une phase individuelle sous la forme d\'enquêtes formelles avec un formulaire administré successivement à 21 tradipraticiens vétérinaires reconnus compétents dans le traitement des parasitoses digestives des petits ruminants par la communauté des éleveurs. Les résultats ont montré que 50.5% des éleveurs utilisaient concomitamment la médecine vétérinaire moderne et celle traditionnelle pour soigner les animaux malades. Les tradipraticiens vétérinaires qui prestent pour ces éleveurs sont âgés en moyenne de 57,6 ans et sont analphabètes. Les remèdes traditionnels proposés pour lutter contre les parasites digestifs des petits ruminants de la région sont essentiellement à base de plantes locales (88,8%) composées de douze (12) espèces appartenant à neuf (9) familles botaniques. Leurs modes de préparation et d\'administration aux animaux sont décrits selon les dires des tradipraticiens enquêtés. Keywords: Pharmacopée vétérinaire; parasites digestifs; petits ruminants; région centrale, Burkina Faso. International Journal of Biological and Chemical Sciences Vol. 1 (3) 2007: pp. 397-30

    Impact of Jatropha plantation on soil chemical and biological properties in the South Sudanian region in Burkina Faso

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    In Burkina Faso, about 100,000 ha of Jatropha were planted during the past 10 years. Despite this enthusiasm, few results exist on the impact of the plant on soil properties. This study contributes to better knowledge of Jatropha farming and was carried out in 2013 with Jatropha farmers in Torokoro and Tin villages in the south Sudanian zone of Burkina Faso (rainfall 900-1200 mm). Data collection plots of 400 m2 repeated 3 times were installed in 3 farmers’ fields in each village. Soil samples were collected at 3 distances (D0= under the crown, D1= 1m and D2= 2m) from the Jatropha trees lines and in a fallow as a control sample for each field. The results showed significant differences between distances for soil pH. Soil nutrients increase with distance from the crown (from 9.33% to 12.20%) for available phosphorus in Torokoro-6 years and decrease from 22.45% to 23.71% in Torokoro-2 years). Soil respiration and microbial biomass decreases also with distance. The density of spores of mycorrhizal fungi is higher for the control soils (14.64%) and it decreases from crown to 2m (from 2.22% to 9.53% in Tin-2 years). The study showed the contribution of Jatropha trees on soil fertility improvement.© 2015 International Formulae Group. All rights reserved.Keywords: Jatropha, soil biology, microbial biomass, carbon, nitrogen, Burkina Fas

    Caractérisation des systèmes de production de Jatropha dans les exploitations agricoles de la zone Ouest du Burkina Faso

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    La production agricole est la principale source de développement socio-économique au Burkina Faso. Depuis les années 2000, la promotion du Biocarburant suscite un regain d’intérêt pour la plantation de Pourghère (Jatropha curcas L.). Dans 14 villages de la zone Ouest du Burkina Faso, une enquête semistructurée basée sur un questionnaire a été appliquée auprès de 210 producteurs de Jatropha. Les résultats des enquêtes indiquent que la production de Jatropha est récente. La superficie des plantations de Jatropha varie entre 7,5 et 30 ha par village. L’écartement le plus adopté pour la plantation de Jatropha est de 5 m entre les lignes et 2 m entre les plants (5 m × 2 m), soit une densité de 1071 plants/ha. Une proportion de 80,4% des producteurs enquêtés indique avoir 4 à 7 ans d’expérience dans la culture de Jatropha. Les rendements varient entre 300 et 700 kg/ha. Pour 78,5% des exploitants, leur engagement dans la culture de Jatropha a été motivé par les structures de promotion de Jatropha. Plus de 90% des producteurs pratiquent la technique de la pépinière-transplantation et 70% pratiquent la culture associée au Jatropha. Les enquêtes révèlent que 70% des producteurs associent les légumineuses au Jatropha et que 22% des producteurs pratiquent la fertilisation de Jatropha. L’application des traitements phytosanitaires au Jatropha peu pratiquée, ne concerne que 11% des producteurs.© 2015 International Formulae Group. All rights reserved.Mots clés: Biocarburant, pourghère (Jatropha curcas L.), enquêtes, exploitants, Burkina FasoEnglish Title:  Characterization of the systems of production of Jatropha in the agricultural exploitations of the West zone of Burkina FosoEnglish AbstractThe agricultural production is the main source of socioeconomic development of Burkina Faso. Since the years 2000, the promotion of biofuel causes a renewal of interest toward Jatropha curcas L. In 14 villages of the West zone of Burkina Faso, a semi-structured investigation based on a questionnaire has been applied on 210 farmers of Jatropha. The results of the investigations indicate that the production of Jatropha is recent. The surfaces of plantations of Jatropha vary between 7.5 and 30 ha per village. The more adopted spacing for the plantation of Jatropha is of 5 m between the lines and 2 m between the plantations (5 m × 2 m), thus a density of 1071 plants/ha. A proportion of 80.4% of producers investigated have 4 to 7 years of experience in the culture of Jatropha. The yields vary between 300 and 700 kg/ha. For 78.5% of farmers, their commitment in the production of Jatropha has been motivated by the structures of promotion of Jatropha. More than 90% of the producers practice the technique of the nursery-transplantation and 70% grow cereal associated with Jatropha. The investigations reveal that 70% of producers associate vegetables with Jatropha and that 22% of producers fertilize Jatropha fields. The rate of the application of pesticides in the field of Jatropha is little, it concerns only 11% of producers.© 2015 International Formulae Group. All rights reserved.Keywords: Biofuel, Jatropha curcas L., investigations, producers, Burkina Fas

    Influence des haies de Jatropha sur le rendement d’une culture de sorgho (Sorghum vulgare) dans la zone Ouest du Burkina Faso: cas du terroir de Torokoro

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    Dans un contexte de désertification et avec la crise énergétique, un bon nombre d’acteurs de développement au Burkina Faso s’est intéressé au Jatropha curcas L. comme source d’énergie et de durabilité des productions. Afin d’évaluer l’influence de Jatropha sur les propriétés chimiques du sol et la productivité du sorgho associée, des essais ont été suivis pendant trois ans dans le terroir de Torokoro en zone Sud soudanienne de pluviométrie d’environ 1200 mm. Les plants de Jatropha, âgés de 6 ans, sont plantés aux écartements de 5 m entre les lignes et 2 m entre les plants. Le dispositif expérimental comporte trois blocs composés chacun de deux parcelles de 400 m2 correspondants aux 2 traitements: une par celle avec l’association sorgho-Jatropha et une parcelle en culture pure de sorgho (témoin). Les prélèvements de sol ont été effectués sous houppier, à 1 m et2m de la haie. Les résultats indiquent que Jatropha améliore la teneur du sol en carbone de 10% et de 8% en matière organique par rapport au témoin. Jatropha est aussi source de phosphore et de potassium et influence positivement la productivité du sorgho. Jatropha améliore donc les propriétés chimiques du sol et la productivité du sorgho.© 2015 International Formulae Group. All rights reserved.Mots clés: Jatropha curcas L., sol, Sorgho, Rendements, propriétés chimiques, Burkina FasoEnglish Title: Influence of Jatropha hedges on the yield of a sorghum crop (Sorghum vulgare) in the western region of Burkina Faso: case of Torokoro localityEnglish AbstractIn a context of desertification and with the energy crisis, a number of development actors in Burkina Faso became interested in Jatropha curcas L. as a source of energy and sustainability of production. To assess the influence of Jatropha on soil chemical properties and on the productivity of associated sorghum, experiments were followed for three years in the village of Torokoro in south sudanian region, with a rainfall of about 1200 mm. Jatropha plants, aged 6, are planted at 5 m between rows and 2 m between plants. The experiment consisted of three blocks each consisting of two plots of 400 m2 corresponding to two treatments: a plot with sorghum and Jatropha in association and a plot with sorghum only (control). Soil samples were taken under crown, at 1m and 2 m from the hedge. The results indicate that Jatropha improves the carbon content in the soil of 10%, and the organic matter content of 8% compared to the control. Jatropha is also a source of phosphorus and potassium and positively influences the productivity of sorghum. Therefore, Jatropha improves the chemical properties of soil and productivity of sorghum.© 2015 International Formulae Group. All rights reserved.Keywords: Jatropha curcas L., soil, Sorghum, yields, chemical properties, Burkina Fas

    Potential for agronomical enhancement of millet yield via Jatropha curcas oilcake fertilizer amendment using placed application technique

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    This study carried out at the ICRISAT research station of Sadoré in Niger aimed at determining the impact of placed application technique of Jatropha oilcake on millet agronomic parameters. The experimental design was a randomised blocs including five treatments and four replicates. Control was plots without fertilizer while J_100 g, J_200 g, and J_300 gwere plots receiving 100 g , 200 g and 300 g of Jatropha oilcake respectively per seed hole and the plots NPK_6 g were receiving 6 g of NPK (15, 15, 15) per seed hole. ANOVA test was used for data analyses. Only the Control had significantly low number of tillers. At the end of the vegetative period J_300 g has the highest plants. J_300 g induced 196% increase of grain yield compared to the Control. The substitution of NPK (15,15,15) by 100 g, 200 g and 300 g of Jatropha oilcake per seed hole induced 79 - 52.93%, 92 – 72.23% and 152 – 100.65% increase of grain yield respectively compared to the Control in 2009 and 2010. With regard to the grain yield in 2009 and 2010, 100 g of Jatropha cake per seed hole can replace the current 6 g (NPK) per seed hole.Keywords: Jatropha oilcake, NPK (15, 15, 15), millet (H.K.P), placed application, fertilizer, Sadoré –Nige

    Aspects épidémiologiques et étiologiques des affections pulmonaires d’origine parasitaire et fongique en milieu hospitalier à Ouagadougou (Burkina Faso)

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    Dans le souci de déterminer l’aspect épidémiologique et étiologique des affections pulmonaires d’origines parasitaire et fongique, une étude prospective transversale a été réalisée en milieu hospitalier à Ouagadougou de novembre 2012 en mai 2013, sur 103 patients suspectés avoir la maladie. Les examens parasitologiques, mycologiques et immunologiques ont été effectués selon les indications des prescripteurs, sur des prélèvements du liquide de lavage broncho-alvéolaire, du liquide pleural, des expectorations et du sang. A l’issue de ces examens, 59,2% des patients confirmés porteurs de parasites et/ou de mycètes dans leur appareil pulmonaire avec une prédominance des cultivateurs (26,2%) ont été détectés. Les hommes étaient les plus touchés avec un sex-ratio de 1,9. Parmi les antécédents médicaux, il y a eu une fréquence élevée des sujets à sérologie VIH positive. Trois parasites et 71 souches de champignons ont été isolés dont 4 types de coinfections fongiques. Ces données de bases montrent que les parasites et les champignons provoquent une pathologie pulmonaire non spécifique sur le plan clinique, radiologique et endoscopique. Le contexte épidémiologique et biologique permet d’orienter le diagnostic. La confirmation est apportée par la mise en évidence directe ou par des arguments indirects sérologiques. Ce qui permet d’obtenir une guérison par un traitement adapté au germe en cause.Mots clés : Affection pulmonaire, parasites, champignons, Burkina Faso
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