105 research outputs found
Haberfield
Walking around Haberfield’s wide, leafy streets, just five kilometres west of Sydney’s CBD, and enjoying its intertwining gardens, one might think this is how suburbia has always been. But look east, across the Hawthorne Canal into Leichhardt, and one sees the mish-mash of buildings associated with the appalling living conditions and blight of the nineteenth-century industrial city
Valeur diagnostique et pronostique de la mesure du rehaussement tardif par IRM dans une cohorte de patients porteurs d insuffisance cardiaque à fraction d éjection préservée (cohorte collag4)
L insuffisance cardiaque à fraction d éjection préservée (ICFEP) est une pathologie fréquente dont le pronostic est sévère. La caractérisation de sa population est imprécise et son mécanisme physiopathologique est discuté. La fibrose myocardique pourrait jouer un rôle dans cette maladie. Nous avons supposé que le rehaussement tardif en IRM, marqueur de fibrose, pourrait être corrélé au pronostic des patients porteurs d ICFEP. Méthodes : Nous avons inclus prospectivement 68 patients entre février 2009 et juillet 2012, admis dans notre service de cardiologie pour une insuffisance cardiaque. Les critères d inclusion étaient la présence des critères cliniques d insuffisance cardiaque de Framingham, associés à un dosage de NT-ProBNP > 300 ng/ml et une fraction d éjection du ventricule gauche échographique > 50%. Une exploration complète comprenant un examen clinique, une échographie cardiaque standard, une IRM cardiaque avec séquences de rehaussement tardif (Gadolinium), a été réalisée à l état stable, 2 mois après l inclusion. Le rehaussement tardif était décrit de manière qualitative (localisation), semi-quantitative (score), et quantitative (masse de rehaussement). Le critère de jugement était le décès ou l hospitalisation pour insuffisance cardiaque. Le suivi a été de 12 mois. Résultats : L échantillon était principalement composé de femmes, âgées de 73 ans en moyenne, symptomatiques d insuffisance cardiaque, hypertendus, diabétiques et en surpoids. La moitié de l échantillon présentait une fibrillation auriculaire et 25% des patients ont une cardiopathie ischémique. Au total 63 IRM de rehaussement tardif ont pu être interprétées. Un patient sur deux présente du rehaussement tardif. Le rehaussement se concentre principalement dans les segments médio-basaux de la paroi inférieure, avec une localisation intra-murale ou sous-endocardique. Il existe une corrélation significative entre la masse de rehaussement et la dysfonction diastolique. Le taux d évènements est de 25%. Il existe une tendance entre la masse de rehaussement et la survenue d évènement mais sans lien significatif. Conclusion : Le rehaussement tardif est localisé aux parois inférieures du coeur. Sa masse est corrélée à la dysfonction diastolique et tend à être liée à la survenue de décès ou d insuffisance cardiaque.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF
124 Peak systolic 2D strain may help to characterize arrhytmogenic right ventricular cardiomyopathy
BackgroundArrythmogenic right ventricular cardiomyopathy (ARVC) is an inherited disease characterized by progressive fibrofatty replacement of the right ventricle (RV). The diagnosis of ARVC remains a challenge for clinicians. We hypothesized that 2D strain imaging helps to differentiate ARVC from normals.Material and Methods20 patients meeting both the Task Force and cardiac MRI criteria for ARVC were compared to 10 age-matched controls. From the apical-4 chamber view, we measured the end-diastolic RV area, the peak systolic S tissue velocity at the tricuspid level. A 2D strain region of interest including the RV free wall and the septum (occasionally diseased in ARVC) was manually traced, from which the averaged peak systolic 2D strain along 6 segments was calculated. Pulmonary systolic pressure as well as the systolic right atrial area were measured as surrogate for RV loading conditions. Overall, patients with ARVC had both larger right atrial and ventricular area (p<0.03 and p<0.02, respectively), compared to controls while pulmonary systolic pressure were similar in both groups (p=0.40). Peak systolic 2D strain was statistically deteriorated in ARCV patients (13±6 vs. 23±4% in normals, p<0.001) so as peak systolic S tissue velocity (8±3 vs. 12±4 in normals, p<0.005). From the ROC analysis, a peak systolic 2D strain of 19.7% had a sensitivity and specificity of 82% and 86% (AUC=90) while the peak systolic tissue velocity of 12 cm/s gave a sensitivity of 83% and a specificity of 71% (AUC=79).ConclusionPeak systolic 2D strain is deteriorated in ARVC patients and may help to characterize arrythmogenic right ventricular cardiomyopathy
Laser-induced saturated fluorescence as a method for the determination of radical concentrations in flames
Kohse-Höinghaus K, Perc W, Just T. Laser-induced saturated fluorescence as a method for the determination of radical concentrations in flames. Berichte der Bunsen-Gesellschaft. 1983;87:1052-1057
Valeur diagnostique et pronostique de la mesure du rehaussement tardif par IRM dans une cohorte de patients porteurs d'insuffisance cardiaque à fraction d'éjection préservée : cohorte collaG4
L'insuffisance cardiaque à fraction d'éjection préservée (ICFEP) est une pathologie fréquente dont le pronostic est sévère. La caractérisation de sa population est imprécise et son mécanisme physiopathologique est discuté. La fibrose myocardique pourrait jouer un rôle dans cette maladie. Nous avons supposé que le rehaussement tardif en IRM, marqueur de fibrose, pourrait être corrélé au pronostic des patients porteurs d'ICFEP. Méthodes : Nous avons inclus prospectivement 68 patients entre février 2009 et juillet 2012, admis dans notre service de cardiologie pour une insuffisance cardiaque. Les critères d'inclusion étaient la présence des critères cliniques d'insuffisance cardiaque de Framingham, associés à un dosage de NT-ProBNP > 300 ng/ml et une fraction d'éjection du ventricule gauche échographique > 50%. Une exploration complète comprenant un examen clinique, une échographie cardiaque standard, une IRM cardiaque avec séquences de rehaussement tardif (Gadolinium), a été réalisée à l'état stable, 2 mois après l'inclusion. Le rehaussement tardif était décrit de manière qualitative (localisation), semi-quantitative (score), et quantitative (masse de rehaussement). Le critère de jugement était le décès ou l'hospitalisation pour insuffisance cardiaque. Le suivi a été de 12 mois. Résultats : L'échantillon était principalement composé de femmes, âgées de 73 ans en moyenne, symptomatiques d'insuffisance cardiaque, hypertendus, diabétiques et en surpoids. La moitié de l'échantillon présentait une fibrillation auriculaire et 25% des patients ont une cardiopathie ischémique. Au total, 63 IRM de rehaussement tardif ont pu être interprétées. Un patient sur deux présente du rehaussement tardif. Le rehaussement se concentre principalement dans les segments médio-basaux de la paroi inférieure, avec une localisation intra-murale ou sous-endocardique. Il existe une corrélation significative entre la masse de rehaussement et la dysfonction diastolique. Le taux d'évènements est de 25%. Il existe une tendance entre la masse de rehaussement et la survenue d'évènement mais sans lien significatif. Conclusion : Le rehaussement tardif est localisé aux parois inférieures du coeur. Sa masse est corrélée à la dysfonction diastolique et tend à être liée à la survenue de décès ou d'insuffisance cardiaque
L'auto-prescription médicamenteuse des médecins généralistes et ses déterminants en Haute-Normandie
L'auto-prescription médicamenteuse est accessible à tous les praticiens, et c'est aussi une specialité du médecin-patient . L'oblectlf de cette étude est de déterminer les spécificités de l'auto-prescription en fonction des profils sociaux, professionnels et médicaux des médecins généralistes. Méthode. - Un questionnaire anonyme, divisé en plusieurs parties, a été envoyé à 1500 médecins généralistes de Haute Normandie, tirés au sort. Les deux premières parties portaient sur le profil social et professionnel des médecins ; la troisième permettait de faire un état des lieux sur leur santé et leur recours aux soins ; la quatrième partie traitait de l'auto-prescription proprement dite: les étiologies, les risques potentiels comme l'addiction, l'avis sur une possible législation. Résultats. - Au total, 484 questionnaires ont été renvoyés, soit un taux de réponse de 32,3 %; moins de 1% des médecins ne s'auto-prescrit jamais de traitements occasionnels. Les médecins de plus de 50 ans ont plus recours à l'auto prescription prolongée (50%) que les moins de 50 ans (28,3%). Les médecins de moins de 50 ans (50,3%) s'auto-prescrivent plus d'antalgiques de palier Il que les médecins de plus de 50 ans (37,7%). Parmi les médecins qui s'auto-prescrivent un traitement concernant des troubles de la santé mentale, 85,2 % déclarent s'auto-prescrire par crainte d'être jugés par un confrère. Dans 49,5 % des cas, les médecins pensent que l'auto-prescription peut entraîner une addiction et 30 % des médecins souhaiteraient un encadrement de leur auto prescription. Conclusion.- L'âge, la charge de travail, les antécédents médicaux et le type de médicaments influent sur l'usage de l'auto-prescription. Près d'un tiers des médecins souhaiteraient un encadrement de leur auto-prescription ; en revanche, la mise en place d'une interdiction de l'auto-prescription serait perçue comme une remise en cause de leur capacité de diagnostic et de traitement des médecins.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF
Laser Mie scattering measurement of mean mixture fraction density and temperature by conditional seeding in a turbulent diffusion flame
International audienc
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