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    Effet d’un programme d’activitĂ© physique intermittent de haute intensitĂ© sur la perte de masse grasse abdominale chez la femme DT2 mĂ©nopausĂ©e

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    Contexte : A la mĂ©nopause, la diminution des taux d’estrogĂšnes favorise un dĂ©pĂŽt de masse grasse (MG) abdominal (sous-cutanĂ© et viscĂ©ral). La MG viscĂ©rale est corrĂ©lĂ©e aux maladies cardio-vasculaires (MCV). Ce risque est accentuĂ© chez les sujets prĂ©sentant un diabĂšte de type 2 (DT2).Objectif : Comparer deux modalitĂ©s d’entraĂźnement, continu de moyenne intensitĂ© (SSE) vs. intermittent de haute intensitĂ© (HIIE), sur la perte de MG abdominale (dont viscĂ©rale) chez des femmes DT2 mĂ©nopausĂ©es.MatĂ©riels et mĂ©thode : Seize femmes DT2 mĂ©nopausĂ©es (69±1ans; IMC : 31±1 kg/mÂČ) ont Ă©tĂ© rĂ©parties alĂ©atoirement en deux groupes. Pendant quatre mois, deux fois par semaine, 8 d’entre elles ont rĂ©alisĂ© un entraĂźnement SSE (40 min de pĂ©dalage Ă  50% de la FCmax de rĂ©serve), et 8 ont rĂ©alisĂ© un entraĂźnement HIIE (8s de sprint suivies de 12s de rĂ©cupĂ©ration active, pendant 20 min). PrĂ© (T0) et post entraĂźnement (T4), la composition corporelle et la MG abdominale totale ont Ă©tĂ© mesurĂ©es par DXA (Dual Energy X-ray Absorptiometry). La MG viscĂ©rale a Ă©tĂ© estimĂ©e Ă  partir de la mĂ©thode de Martin et Jensen1. A T0 et T4, les apports Ă©nergĂ©tiques et le niveau d’activitĂ© physique ont Ă©tĂ© dĂ©terminĂ©s (questionnaires et accĂ©lĂ©romĂštrie validĂ©e2 intĂ©grĂ©e sur smartphone).RĂ©sultats : AprĂšs 16 semaines d’intervention, sans modification des apports Ă©nergĂ©tiques et du niveau d’activitĂ© physique total, une perte de MG totale et un gain de masse maigre est observĂ© (effet temps, p<0.05). La diminution de MG abdominale est supĂ©rieure dans le groupe HIIE (0.32% ± 2.07 vs 8.32 % ± 2.19, p<0.05) et la perte de MG viscĂ©rale n’est observĂ©e que dans le groupe HIIE (p<0.05).Conclusion : L’entraĂźnement de type HIIE apparait comme un programme alternatif intĂ©ressant chez la femme DT2 mĂ©nopausĂ©e en diminuant significativement la MG abdominale totale et viscĂ©rale

    Herpes viruses in equine pathology: current knowledges and perspectives

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    In horses, several herpesviruses are responsible for more or less serious conditions, a large number being subclinical. Two distinct viruses (EHV1 and EHV4) account for the majority of observable disorders in this species, and are associated with serious economic repercussions. The virus of coital exanthema is common and occurs in small foci generally self-regulating with simple control methods. EHV2, with a predominantly respiratory tropism, is not yet recognised as a major pathogen as it is rarely responsible on its own for serious signs in horses. Its role as a co-factor in respiratory infections is currently being investigated, and its involvement in triggering inflammatory reactions in the lungs has been suggested in recent studies. The impact of EHV 1 and EHV 4 in equine health is very different, as these viruses are present worldwide and all year round. They are involved in abortions, respiratory conditions, whether acute or subclinical (when they are associated with poor performance), neonatal diseases, and nervous disorders. In severe equine viral rhinopneumonitis, they can be fatal. Over the past 15 years, the semiology and epidemiology approach to these herpes diseases has changed considerably. The development of diagnostic methods, such as genic amplification (PCR), cryo-cutting or improved serological tests, has helped practitioners dealing with these infections, which are a real calamity for horse breeders and trainers alike. Progress has yet to be achieved, particularly in the genetic field, to get a clearer understanding of the variations in field strains, the development of nervous forms, as well as the mechanisms of viral reactivation and their consequences on abortion or respiratory infections. Finally, medical prophylaxis is expected to bring enormous improvement, with the development of vaccines against these three or four types of virus, protecting horses against their different forms of expression.Plusieurs HerpĂšsvirus sont capables de provoquer chez le cheval des maladies plus ou moins graves avec une grande part d’entre elles sĂ©vissant de façon sub-clinique. Deux virus distincts (EHV1 et EHV4), sont Ă  eux seuls responsables d’une majoritĂ© de troubles observables chez les Ă©quidĂ©s et ayant de graves rĂ©percutions Ă©conomiques. Le virus de l’exanthĂšme coĂŻtal est courant et sĂ©vit par petits foyers qui s’autorĂ©gulent la plupart du temps avec des mĂ©thodes de lutte simples. Le virus EHV2, Ă  tropisme principalement respiratoire, n’est pas encore reconnu comme un agent pathogĂšne majeur dans la mesure ou il induit rarement seul, des manifestations graves chez le cheval. Ses rĂŽles, en tant que co-facteur d’infections de l’appareil respiratoire, reste en cours d’étude mais sa place dans le dĂ©clenchement de phĂ©nomĂšnes inflammatoires pulmonaires est parfois Ă©voquĂ©e et suggĂ©rĂ©e par certains travaux rĂ©cents. La situation de la santĂ© Ă©quine vis Ă  vis des deux premiers virus citĂ©s est trĂšs diffĂ©rente puisque nous pourrons les retrouver sur l’ensemble de la planĂšte et toute l’annĂ©e, impliquĂ©s dans les avortements, les maladies respiratoires aiguĂ«s ou sub-cliniques (synonyme chez l’adulte de contre-performance), de maladies nĂ©onatales ou de formes nerveuses et parfois mortelles dans les foyers sĂ©vĂšres de rhinopneumonie. Ces 15 derniĂšres annĂ©es, l’approche sĂ©miologique et Ă©pidĂ©miologique des ces maladies herpĂ©tiques ont beaucoup Ă©voluĂ© et la mise au point de mĂ©thodes de diagnostic telles que l’amplification gĂ©nique (PCR), les coupes sur organes ou l’amĂ©lioration des mĂ©thodes sĂ©rologiques aura permis aux praticiens de mieux apprĂ©hender les foyers en Ă©levage ou Ă  l’entraĂźnement, qui sont de vĂ©ritables flĂ©aux pour les Ă©leveurs ou entraĂźneurs. De nombreux progrĂšs restent Ă  accomplir dans le domaine gĂ©nĂ©tique notamment, afin de mieux comprendre les variations de souches sur le terrain et l’apparition de formes nerveuses de ces maladies ainsi que les mĂ©canismes de rĂ©activation virale et les consĂ©quences qu’ils entraĂźnent sur les avortements ou les maladies inflammatoires de l’appareil respiratoire. Enfin, il reste d’énormes avancĂ©es Ă  attendre des progrĂšs de la prophylaxie mĂ©dicale, qui devra proposer des vaccins protecteurs vis Ă  vis de ces trois ou quatre types de virus circulant et de leurs diffĂ©rentes formes d’expression chez l’animal

    Bovine neosporosis: from life cycle to prophylaxis

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    Neospora caninum is an apicomplexan parasite, identified about twenty years ago. Although it can cause neurological symptoms in newborn cattle, its main economic and health repercussion in breeding is due to abortions. The life cycle of N. caninum is not yet fully understood. Its currently identified final hosts are dogs and coyotes, but foxes are also strongly suspected. To be effective, treatment and prophylaxis must be based on sound knowledge of the life cycle and pathophysiology of this protozoosis. There is no treatment currently available. Many vaccine studies are being performed using various strategies, but only disease control methods are possible for the moment, alongside the crucial advisory role of veterinary practitioners.Le parasite N. caninum est un protozoaires identifiĂ© il y a une vingtaine d'annĂ©es.Bien que l'infection par Neospora caninum puisse se manifester par des symptĂŽmes neurologiques en pathologie bovine nĂ©onatale, sa principale rĂ©percussion Ă©conomique et sanitaire en Ă©levage est due aux avortements. Son cycle parasitaire est encore imparfaitement connu. Ses hĂŽtes dĂ©finitifs actuellement identifiĂ©s avec certitude sont le chien, le coyote et le dingo, mais le renard est aussi fortement suspectĂ©. Une bonne connaissance du cycle Ă©volutif du parasite et de la physiopathologie de la nĂ©osporose est indispensable pour dĂ©finir des mĂ©thodes de lutte efficaces. À ce jour, il n'existe pas de traitement. De nombreux essais vaccinaux sont rĂ©alisĂ©s avec diffĂ©rentes stratĂ©gies. Seules des mĂ©thodes de lutte sanitaire sont envisageables avec un rĂŽle essentiel de conseil pour le vĂ©tĂ©rinaire sanitaire

    Idiosyncratic features in tRNAs participating in bacterial cell wall synthesis

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    The FemXWv aminoacyl transferase of Weissella viridescens initiates the synthesis of the side chain of peptidoglycan precursors by transferring l-Ala from Ala-tRNAAla to UDP-MurNAc-pentadepsipeptide. FemXWv is an attractive target for the development of novel antibiotics, since the side chain is essential for the last cross-linking step of peptidoglycan synthesis. Here, we show that FemXWv is highly specific for incorporation of l-Ala in vivo based on extensive analysis of the structure of peptidoglycan. Comparison of various natural and in vitro-transcribed tRNAs indicated that the specificity of FemXWv depends mainly upon the sequence of the tRNA although additional specificity determinants may include post-transcriptional modifications and recognition of the esterified amino acid. Site-directed mutagenesis identified cytosines in the G1–C72 and G2–C71 base pairs of the acceptor stem as critical for FemXWv activity in agreement with modeling of tRNAAla in the catalytic cavity of the enzyme. In contrast, semi-synthesis of Ala-tRNAAla harboring nucleotide substitutions in the G3–U70 wobble base pair showed that this main identity determinant of alanyl-tRNA synthetase is non-essential for FemXWv. The different modes of recognition of the acceptor stem indicate that specific inhibition of FemXWv could be achieved by targeting the distal portion of tRNAAla for the design of substrate analogues
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