130 research outputs found
Opérations géodésiques sur Wallis et Futuna : calculs de positions absolues des sites de référence
Effet dâun programme dâactivitĂ© physique intermittent de haute intensitĂ© sur la perte de masse grasse abdominale chez la femme DT2 mĂ©nopausĂ©e
Contexte : A la mĂ©nopause, la diminution des taux dâestrogĂšnes favorise un dĂ©pĂŽt de masse grasse (MG) abdominal (sous-cutanĂ© et viscĂ©ral). La MG viscĂ©rale est corrĂ©lĂ©e aux maladies cardio-vasculaires (MCV). Ce risque est accentuĂ© chez les sujets prĂ©sentant un diabĂšte de type 2 (DT2).Objectif : Comparer deux modalitĂ©s dâentraĂźnement, continu de moyenne intensitĂ© (SSE) vs. intermittent de haute intensitĂ© (HIIE), sur la perte de MG abdominale (dont viscĂ©rale) chez des femmes DT2 mĂ©nopausĂ©es.MatĂ©riels et mĂ©thode : Seize femmes DT2 mĂ©nopausĂ©es (69±1ans; IMC : 31±1 kg/mÂČ) ont Ă©tĂ© rĂ©parties alĂ©atoirement en deux groupes. Pendant quatre mois, deux fois par semaine, 8 dâentre elles ont rĂ©alisĂ© un entraĂźnement SSE (40 min de pĂ©dalage Ă 50% de la FCmax de rĂ©serve), et 8 ont rĂ©alisĂ© un entraĂźnement HIIE (8s de sprint suivies de 12s de rĂ©cupĂ©ration active, pendant 20 min). PrĂ© (T0) et post entraĂźnement (T4), la composition corporelle et la MG abdominale totale ont Ă©tĂ© mesurĂ©es par DXA (Dual Energy X-ray Absorptiometry). La MG viscĂ©rale a Ă©tĂ© estimĂ©e Ă partir de la mĂ©thode de Martin et Jensen1. A T0 et T4, les apports Ă©nergĂ©tiques et le niveau dâactivitĂ© physique ont Ă©tĂ© dĂ©terminĂ©s (questionnaires et accĂ©lĂ©romĂštrie validĂ©e2 intĂ©grĂ©e sur smartphone).RĂ©sultats : AprĂšs 16 semaines dâintervention, sans modification des apports Ă©nergĂ©tiques et du niveau dâactivitĂ© physique total, une perte de MG totale et un gain de masse maigre est observĂ© (effet temps, p<0.05). La diminution de MG abdominale est supĂ©rieure dans le groupe HIIE (0.32% ± 2.07 vs 8.32 % ± 2.19, p<0.05) et la perte de MG viscĂ©rale nâest observĂ©e que dans le groupe HIIE (p<0.05).Conclusion : LâentraĂźnement de type HIIE apparait comme un programme alternatif intĂ©ressant chez la femme DT2 mĂ©nopausĂ©e en diminuant significativement la MG abdominale totale et viscĂ©rale
Herpes viruses in equine pathology: current knowledges and perspectives
In horses, several herpesviruses are responsible for more or less serious conditions, a large number
being subclinical. Two distinct viruses (EHV1 and EHV4) account for the majority of observable disorders
in this species, and are associated with serious economic repercussions. The virus of coital
exanthema is common and occurs in small foci generally self-regulating with simple control
methods. EHV2, with a predominantly respiratory tropism, is not yet recognised as a major pathogen
as it is rarely responsible on its own for serious signs in horses. Its role as a co-factor in respiratory
infections is currently being investigated, and its involvement in triggering inflammatory
reactions in the lungs has been suggested in recent studies. The impact of EHV 1 and EHV 4 in
equine health is very different, as these viruses are present worldwide and all year round. They are
involved in abortions, respiratory conditions, whether acute or subclinical (when they are associated
with poor performance), neonatal diseases, and nervous disorders. In severe equine viral rhinopneumonitis,
they can be fatal. Over the past 15 years, the semiology and epidemiology
approach to these herpes diseases has changed considerably. The development of diagnostic
methods, such as genic amplification (PCR), cryo-cutting or improved serological tests, has helped
practitioners dealing with these infections, which are a real calamity for horse breeders and trainers
alike. Progress has yet to be achieved, particularly in the genetic field, to get a clearer understanding
of the variations in field strains, the development of nervous forms, as well as the mechanisms
of viral reactivation and their consequences on abortion or respiratory infections. Finally,
medical prophylaxis is expected to bring enormous improvement, with the development of vaccines
against these three or four types of virus, protecting horses against their different forms of
expression.Plusieurs HerpĂšsvirus sont capables de provoquer chez le cheval des maladies plus ou moins graves avec
une grande part dâentre elles sĂ©vissant de façon sub-clinique. Deux virus distincts (EHV1 et EHV4), sont Ă
eux seuls responsables dâune majoritĂ© de troubles observables chez les Ă©quidĂ©s et ayant de graves rĂ©percutions
Ă©conomiques. Le virus de lâexanthĂšme coĂŻtal est courant et sĂ©vit par petits foyers qui sâautorĂ©gulent
la plupart du temps avec des méthodes de lutte simples. Le virus EHV2, à tropisme principalement
respiratoire, nâest pas encore reconnu comme un agent pathogĂšne majeur dans la mesure ou il induit
rarement seul, des manifestations graves chez le cheval. Ses rĂŽles, en tant que co-facteur dâinfections de
lâappareil respiratoire, reste en cours dâĂ©tude mais sa place dans le dĂ©clenchement de phĂ©nomĂšnes
inflammatoires pulmonaires est parfois évoquée et suggérée par certains travaux récents. La situation de
la santé équine vis à vis des deux premiers virus cités est trÚs différente puisque nous pourrons les retrouver
sur lâensemble de la planĂšte et toute lâannĂ©e, impliquĂ©s dans les avortements, les maladies respiratoires
aiguĂ«s ou sub-cliniques (synonyme chez lâadulte de contre-performance), de maladies nĂ©onatales
ou de formes nerveuses et parfois mortelles dans les foyers sévÚres de rhinopneumonie. Ces 15 derniÚres
annĂ©es, lâapproche sĂ©miologique et Ă©pidĂ©miologique des ces maladies herpĂ©tiques ont beaucoup Ă©voluĂ©
et la mise au point de mĂ©thodes de diagnostic telles que lâamplification gĂ©nique (PCR), les coupes sur
organes ou lâamĂ©lioration des mĂ©thodes sĂ©rologiques aura permis aux praticiens de mieux apprĂ©hender
les foyers en Ă©levage ou Ă lâentraĂźnement, qui sont de vĂ©ritables flĂ©aux pour les Ă©leveurs ou entraĂźneurs.
De nombreux progrÚs restent à accomplir dans le domaine génétique notamment, afin de mieux comprendre
les variations de souches sur le terrain et lâapparition de formes nerveuses de ces maladies ainsi
que les mĂ©canismes de rĂ©activation virale et les consĂ©quences quâils entraĂźnent sur les avortements ou les
maladies inflammatoires de lâappareil respiratoire. Enfin, il reste dâĂ©normes avancĂ©es Ă attendre des progrĂšs
de la prophylaxie médicale, qui devra proposer des vaccins protecteurs vis à vis de ces trois ou quatre
types de virus circulant et de leurs diffĂ©rentes formes dâexpression chez lâanimal
Bovine neosporosis: from life cycle to prophylaxis
Neospora caninum is an apicomplexan parasite, identified about twenty years ago. Although it can
cause neurological symptoms in newborn cattle, its main economic and health repercussion in breeding
is due to abortions. The life cycle of N. caninum is not yet fully understood. Its currently identified
final hosts are dogs and coyotes, but foxes are also strongly suspected. To be effective, treatment
and prophylaxis must be based on sound knowledge of the life cycle and pathophysiology of this protozoosis.
There is no treatment currently available. Many vaccine studies are being performed using
various strategies, but only disease control methods are possible for the moment, alongside the crucial
advisory role of veterinary practitioners.Le parasite N. caninum est un
protozoaires identifié il y a une vingtaine d'années.Bien que l'infection par Neospora
caninum puisse se manifester par des symptÎmes neurologiques en pathologie bovine néonatale,
sa principale répercussion économique et sanitaire en élevage est due aux avortements. Son
cycle parasitaire est encore imparfaitement connu. Ses hÎtes définitifs actuellement
identifiés avec certitude sont le chien, le coyote et le dingo, mais le renard est aussi
fortement suspecté. Une bonne connaissance du cycle évolutif du parasite et de la
physiopathologie de la néosporose est indispensable pour définir des méthodes de lutte
efficaces. Ă ce jour, il n'existe pas de traitement. De nombreux essais vaccinaux sont
réalisés avec différentes stratégies. Seules des méthodes de lutte sanitaire sont
envisageables avec un rÎle essentiel de conseil pour le vétérinaire sanitaire
Idiosyncratic features in tRNAs participating in bacterial cell wall synthesis
The FemXWv aminoacyl transferase of Weissella viridescens initiates the synthesis of the side chain of peptidoglycan precursors by transferring l-Ala from Ala-tRNAAla to UDP-MurNAc-pentadepsipeptide. FemXWv is an attractive target for the development of novel antibiotics, since the side chain is essential for the last cross-linking step of peptidoglycan synthesis. Here, we show that FemXWv is highly specific for incorporation of l-Ala in vivo based on extensive analysis of the structure of peptidoglycan. Comparison of various natural and in vitro-transcribed tRNAs indicated that the specificity of FemXWv depends mainly upon the sequence of the tRNA although additional specificity determinants may include post-transcriptional modifications and recognition of the esterified amino acid. Site-directed mutagenesis identified cytosines in the G1âC72 and G2âC71 base pairs of the acceptor stem as critical for FemXWv activity in agreement with modeling of tRNAAla in the catalytic cavity of the enzyme. In contrast, semi-synthesis of Ala-tRNAAla harboring nucleotide substitutions in the G3âU70 wobble base pair showed that this main identity determinant of alanyl-tRNA synthetase is non-essential for FemXWv. The different modes of recognition of the acceptor stem indicate that specific inhibition of FemXWv could be achieved by targeting the distal portion of tRNAAla for the design of substrate analogues
- âŠ