Arpi. Formes et modes de vie d’une cité italiote (IVe‑IIe siècle av. n. è.). Campagnes 2017-2018

International audienceDans le cadre du programme sur « Arpi. Formes et vie d’une cité italiote » que conduit depuis 2014 le Centre Jean Bérard en collaboration avec l’université de Salerne et la SABAP de Foggia, les recherches ont porté en 2017 et 2018 sur l’ensemble des fouilles réalisées à l’occasion des grands travaux effectués sur le site de 1969 à 1992. Il s’agit, d’une part, de la construction du tronçon Bologne-Canosa de l’autoroute Adriatica A14, d’autre part, de l’implantation, à partir des années 80, d’un réseau d’irrigation pour le compte du Consorzio per la bonifica della Capitanata. Cette dernière a abouti à la découverte, le 19 mars 1992, de la mosaïque « des Lions et des Panthères ». Un des enjeux de ces deux dernières années était de procéder à la cartographie encore jamais réalisée des vestiges mis au jour par le creusement des tranchées SAFAB et d’évaluer le type d’informations que la distribution des tombes pouvait fournir sur l’organisation de la ville, tant du point de vue topographique que chronologique. Avec celle des domus, la topographie des nécropoles constitue en effet, comme le soulignait E. Greco en 1996, un des phénomènes les plus significatifs de la structuration de cette grande agglomération. Le croisement des informations fournies par l’emplacement des tombes, leur chronologie, leur typologie et leur mobilier complète les connaissances sur les transformations urbaines et sociales. À défaut de nouvelles fouilles, ces données précisent l’organisation de l’espace urbain en aidant à replacer le quartier d’habitation de Montarozzi dans l’histoire du site

Arpi. Formes et modes de vie d'une cité italiote (IVe – IIe siècle av. n.é.). Rapport d'activité 2018

Dans le cadre du programme sur « Arpi. Formes et vie d’une cité italiote » que conduit depuis 2014 le Centre Jean Bérard en collaboration avec l’Université de Salerne et la SABAP de Foggia, les recherches ont porté en 2017 et 2018 sur l’ensemble des fouilles réalisées à l’occasion des grands travaux effectués sur le site de 1969 à 1992. Il s’agit, d’une part, de la construction du tronçon Bologne-Canosa de l’Autoroute Adriatica A14, d’autre part, de l’implantation, à partir des années 80, d’un réseau d’irrigation pour le compte du Consorzio per la bonifica della Capitanata. Cette dernière a abouti à la découverte, le 19 mars 1992, de la mosaïque « des Lions et des Panthères ». Un des enjeux de ces deux dernières années était de procéder à la cartographie encore jamais réalisée des vestiges mis au jour par le creusement des tranchées SAFAB et d’évaluer le type d’informations que la distribution des tombes pouvait fournir, comme à Gioia del Colle par exemple, sur l’organisation de la ville, tant du point de vue topographique que chronologique. Avec celle des domus, la topographie des nécropoles constitue en effet, comme le soulignait E. Greco en 1996, un des phénomènes les plus significatifs de la structuration de cette grande agglomération. Le croisement des informations fournies par l’emplacement des tombes, leur chronologie, leur typologie et leur mobilier complète les connaissances sur les transformations urbaines et sociales. À défaut de nouvelles fouilles, ces données précisent l’organisation de l’espace urbain en aidant à replacer le quartier d’habitation de Montarozzi dans l’histoire du site. Deux missions, en décembre 2017 et en juillet 2018, ont permis de traiter la documentation d’archive et le mobilier afin de mettre à jour la base de données sur les découvertes réalisées à Arpi

Archeologia della morte in Daunia: nuovi dati dalle necropoli di Arpi tra topografia, tipologia e pratiche funerarie

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Arpi. Formes et modes de vie d’une cité italiote (IVe-IIe siècle av. n. è.)

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Arpi. Formes et modes de vie d'une cité italiote (IVe – IIe siècle av. n.é.). Rapport d'activité 2017

Le programme triennal conduit par le Centre Jean Bérard et l’Université de Salerne, en collaboration avec la Surintendance des Pouilles, sur la ville d’Arpi (prov. Foggia), est entré en 2017 dans une phase conclusive. Pour le volet de l’étude topographique, stratigraphique et matérielle confié au Centre Jean Bérard, la préparation de la rédaction de la monographie a nécessité des vérifications et des études complémentaires sur l’aire de l’ONC 28 avec une attention particulière à la stratigraphie et au matériel mis au jour en 1997, lors de la quatrième et dernière campagne de fouilles qui portait sur l’extension sud de la domus. La reprise de ce dossier a permis de préciser les phases d’aménagement, d’occupation et d’abandon du secteur méridional et de les rattacher à celles du reste de la maison des « Lions et des Panthères », depuis la seconde moitié du IIIe siècle jusqu’à la fin du IIe siècle av. n. è., d’achever l’inventaire et l’étude de la céramique et de compléter l’analyse du système décoratif de l’habitat (ONC28 et 29).Le Centre Jean Bérard a été également associé au second volet du programme pour l’étude du matériel provenant des prospections. L’enquête d’archéologie des paysages confiée à l’Université de Salerne en collaboration avec l’Université du Molise et du laboratoire IMAA du CNR a, quant à elle, été étendue sur le terrain grâce à une approche archéomorphologique, géomorphologique et géophysique et à des prospections pédestres, avec la collaboration de l’Université de Foggia. L’objectif était non seulement d’acquérir de nouvelles données dans la continuité du programme lancé l’année précédente, en particulier autour de la masseria Menga, mais aussi de vérifier sur le terrain les traces identifiées sur les photos aériennes. Ces quatre types de prospections conduites à l’échelle du territoire, du site, des quartiers et des maisons visaient à mieux définir les contraintes, les ressources et l’évolution du paysage au sein duquel s’est développé ce phénomène urbain de très grande envergure et encore difficile à cerner sur l’ensemble de l’espace limité par l’agger. Elles ouvrent en outre de nouvelles perspectives sur l’impact d’une telle évolution sur l’environnement. Ces recherches ont donné lieu à plusieurs contributions dans des séminaires et des colloques internationaux. Deux synthèses d’étape sur l’ensemble du projet ont été présentées dans un séminaire à Paris (Paris 1/INHA, Olivier De Cazanove et Alain Duplouy 20/04/17) et au colloque international de l’Università di Macerata Dalla ricerca archeologica alla pianificazione del territorio 20/05/17), tandis que les nouvelles données sur la production de vases à figures rouges d’Arpi ont fait l’objet d’une contribution au colloque du Corpus Vasorum Antiquorum organisé à Berlin, Inszenierung von Identitäten. Unteritalische Vasen zwischen Griechen und Indigenen (27/10/16) et qu’un projet de partenariat avec le Musée national de la Céramique de Sèvres sur les savoir-faire antiques et modernes autour de la céramique italiote été proposé lors de la Journée d’étude sur l’archéologie funéraire en Italie méridionale (Paris, INHA, 24-25/03/17).Ces résultats n’ont pu être atteints que grâce à la complémentarité des expériences et des compétences réunies par la Surintendance des Pouilles, puis de Foggia, du Centre Jean Bérard et de l’Université de Salerne. Nous remercions chaleureusement le Surintendant archéologique de la Soprintendenza Archeologia, Belle Arti e Paesaggio per le Province di Barletta, Andria, Trani e Foggia, Simonetta Bonomi, d’avoir accueilli favorablement notre projet de recherches et de nous accorder son soutien. Les missions d’études de la documentation de fouilles et du mobilier ont été conduites à Foggia sous la responsabilité de Priscilla Munzi et de Claude Pouzadoux avec la collaboration de Florence Monier, Luca Basile, Marcella Leone, Macarena Enriquez de Salamanca Alcon et Giusi Stelo pour le Centre Jean Bérard, de Jessica Elia pour l’Université de Salerne, et sous la responsabilité d’Italo M. Muntoni, avec la collaboration du personnel du Centro Operativo per l’Archeologia della Daunia, Massimo Marchesino, Salvatore Patete, Alfredo Pilone, Franco Racano, Agata Santoro, Vito Soldani et Giuseppe Vigliano.Les missions de prospections pédestres et géophysiques ont été conduites sous la responsabilité d’Alfonso Santoriello du Dipartimento di Scienze del Patrimonio Culturale de l’Università degli Studi di Salerno, en collaboration avec Vincenzo Amato du Dipartimento di Bioscienze e Territorio de l’Università del Molise et d’Enzo Rizzo, de l’Istituto di Metodologie per l’Analisi Ambientale (CNR-IMAA, Tito Scalo, Potenza). Pour les prospections pédestres, aux activités sur le terrain ont participé : A. Santoriello, V. Amato, A. Terribile, J. Elia, T. Marino, P. Locascio (DISPAC, Università di Salerno), G. Savino (Università di Foggia) en collaboration avec le Dipartimento di Topografia antica dell’Università di Foggia, sous la responsabilité de M.L. Marchi ; pour les prospections géophysiques aux activités sur le terrain ont participé : E. Rizzo, L. Capozzoli, G. De Martino, F. Perciante (CNR-IMAA, Tito Scalo, Potenza). Les activités de télédetection ont été dirigées par Salvatore Barba (DICIV - Università di Salerno). Les missions à Foggia et sur le terrain à Arpi ont été conduites grâce à l’aide financière du Ministère de l’Europe et des Affaires Étrangères, de l’École française de Rome et de la Fondazione Banca del Monte de Foggia

Arpi. Formes et modes de vie d'une cité italiote (IVe – IIe siècle av. n.é.). Rapport d'activité 2017

Le programme triennal conduit par le Centre Jean Bérard et l’Université de Salerne, en collaboration avec la Surintendance des Pouilles, sur la ville d’Arpi (prov. Foggia), est entré en 2017 dans une phase conclusive. Pour le volet de l’étude topographique, stratigraphique et matérielle confié au Centre Jean Bérard, la préparation de la rédaction de la monographie a nécessité des vérifications et des études complémentaires sur l’aire de l’ONC 28 avec une attention particulière à la stratigraphie et au matériel mis au jour en 1997, lors de la quatrième et dernière campagne de fouilles qui portait sur l’extension sud de la domus. La reprise de ce dossier a permis de préciser les phases d’aménagement, d’occupation et d’abandon du secteur méridional et de les rattacher à celles du reste de la maison des « Lions et des Panthères », depuis la seconde moitié du IIIe siècle jusqu’à la fin du IIe siècle av. n. è., d’achever l’inventaire et l’étude de la céramique et de compléter l’analyse du système décoratif de l’habitat (ONC28 et 29).Le Centre Jean Bérard a été également associé au second volet du programme pour l’étude du matériel provenant des prospections. L’enquête d’archéologie des paysages confiée à l’Université de Salerne en collaboration avec l’Université du Molise et du laboratoire IMAA du CNR a, quant à elle, été étendue sur le terrain grâce à une approche archéomorphologique, géomorphologique et géophysique et à des prospections pédestres, avec la collaboration de l’Université de Foggia. L’objectif était non seulement d’acquérir de nouvelles données dans la continuité du programme lancé l’année précédente, en particulier autour de la masseria Menga, mais aussi de vérifier sur le terrain les traces identifiées sur les photos aériennes. Ces quatre types de prospections conduites à l’échelle du territoire, du site, des quartiers et des maisons visaient à mieux définir les contraintes, les ressources et l’évolution du paysage au sein duquel s’est développé ce phénomène urbain de très grande envergure et encore difficile à cerner sur l’ensemble de l’espace limité par l’agger. Elles ouvrent en outre de nouvelles perspectives sur l’impact d’une telle évolution sur l’environnement. Ces recherches ont donné lieu à plusieurs contributions dans des séminaires et des colloques internationaux. Deux synthèses d’étape sur l’ensemble du projet ont été présentées dans un séminaire à Paris (Paris 1/INHA, Olivier De Cazanove et Alain Duplouy 20/04/17) et au colloque international de l’Università di Macerata Dalla ricerca archeologica alla pianificazione del territorio 20/05/17), tandis que les nouvelles données sur la production de vases à figures rouges d’Arpi ont fait l’objet d’une contribution au colloque du Corpus Vasorum Antiquorum organisé à Berlin, Inszenierung von Identitäten. Unteritalische Vasen zwischen Griechen und Indigenen (27/10/16) et qu’un projet de partenariat avec le Musée national de la Céramique de Sèvres sur les savoir-faire antiques et modernes autour de la céramique italiote été proposé lors de la Journée d’étude sur l’archéologie funéraire en Italie méridionale (Paris, INHA, 24-25/03/17).Ces résultats n’ont pu être atteints que grâce à la complémentarité des expériences et des compétences réunies par la Surintendance des Pouilles, puis de Foggia, du Centre Jean Bérard et de l’Université de Salerne. Nous remercions chaleureusement le Surintendant archéologique de la Soprintendenza Archeologia, Belle Arti e Paesaggio per le Province di Barletta, Andria, Trani e Foggia, Simonetta Bonomi, d’avoir accueilli favorablement notre projet de recherches et de nous accorder son soutien. Les missions d’études de la documentation de fouilles et du mobilier ont été conduites à Foggia sous la responsabilité de Priscilla Munzi et de Claude Pouzadoux avec la collaboration de Florence Monier, Luca Basile, Marcella Leone, Macarena Enriquez de Salamanca Alcon et Giusi Stelo pour le Centre Jean Bérard, de Jessica Elia pour l’Université de Salerne, et sous la responsabilité d’Italo M. Muntoni, avec la collaboration du personnel du Centro Operativo per l’Archeologia della Daunia, Massimo Marchesino, Salvatore Patete, Alfredo Pilone, Franco Racano, Agata Santoro, Vito Soldani et Giuseppe Vigliano.Les missions de prospections pédestres et géophysiques ont été conduites sous la responsabilité d’Alfonso Santoriello du Dipartimento di Scienze del Patrimonio Culturale de l’Università degli Studi di Salerno, en collaboration avec Vincenzo Amato du Dipartimento di Bioscienze e Territorio de l’Università del Molise et d’Enzo Rizzo, de l’Istituto di Metodologie per l’Analisi Ambientale (CNR-IMAA, Tito Scalo, Potenza). Pour les prospections pédestres, aux activités sur le terrain ont participé : A. Santoriello, V. Amato, A. Terribile, J. Elia, T. Marino, P. Locascio (DISPAC, Università di Salerno), G. Savino (Università di Foggia) en collaboration avec le Dipartimento di Topografia antica dell’Università di Foggia, sous la responsabilité de M.L. Marchi ; pour les prospections géophysiques aux activités sur le terrain ont participé : E. Rizzo, L. Capozzoli, G. De Martino, F. Perciante (CNR-IMAA, Tito Scalo, Potenza). Les activités de télédetection ont été dirigées par Salvatore Barba (DICIV - Università di Salerno). Les missions à Foggia et sur le terrain à Arpi ont été conduites grâce à l’aide financière du Ministère de l’Europe et des Affaires Étrangères, de l’École française de Rome et de la Fondazione Banca del Monte de Foggia

One-step silver coating of polypropylene surgical mask with antibacterial and antiviral properties

Face masks can filter droplets containing viruses and bacteria minimizing the transmission and spread of respiratory pathogens but are also an indirect source of microbes transmission. A novel antibacterial and antiviral Ag-coated polypropylene surgical mask obtained through the in situ and one-step deposition of metallic silver nanoparticles, synthesized by silver mirror reaction combined with sonication or agitation methods, is proposed in this study. SEM analysis shows Ag nanoparticles fused together in a continuous and dense layer for the coating obtained by sonication, whereas individual Ag nanoparticles around 150 nm were obtained combining the silver mirror reaction with agitation. EDX, XRD and XPS confirm the presence of metallic Ag in both coatings and also oxidized Ag in samples by agitation. A higher amount of Ag nanoparticles is deposited on samples by sonication, as calculated by TGA. Further, both coatings are biocompatible and show antibacterial properties: coating by sonication caused 24% and 40% of bacterial reduction while coating by agitation 48% and 96% against S. aureus and E. coli, respectively. At 1 minute of contact with SARS-CoV-2, the coating by agitation has an antiviral capacity of 75% against 24% of the one by sonication. At 1 h, both coatings achieve 100% of viral inhibition. Nonetheless, larger samples could be produced only through the silver mirror reaction combined with agitation, preserving the integrity of the mask. In conclusion, the silver-coated mask produced by silver mirror reaction combined with agitation is scalable, has excellent physico-chemical characteristics as well as significant biological properties, with higher antimicrobial activities, providing additional protection and preventing the indirect transmission of pathogens

One-step silver coating of polypropylene surgical mask with antibacterial and antiviral properties

Face masks can filter droplets containing viruses and bacteria minimizing the transmission and spread of respiratory pathogens but are also an indirect source of microbes transmission.A novel antibacterial and antiviral Ag-coated polypropylene surgical mask obtained through the in situ and one-step deposition of metallic silver nanoparticles, synthesized by silver mirror reaction combined with sonication or agitation methods, is proposed in this study.SEM analysis shows Ag nanoparticles fused together in a continuous and dense layer for the coating obtained by sonication, whereas individual Ag nanoparticles around 150 nm were obtained combining the silver mirror reaction with agitation. EDX, XRD and XPS confirm the presence of metallic Ag in both coatings and also oxidized Ag in samples by agitation. A higher amount of Ag nanoparticles is deposited on samples by sonication, as calculated by TGA. Further, both coatings are biocompatible and show antibacterial properties: coating by sonication caused 24 % and 40 % of bacterial reduction while coating by agitation 48 % and 96 % against S. aureus and E. coli, respectively. At 1 min of contact with SARS-CoV-2, the coating by agitation has an antiviral capacity of 75 % against 24 % of the one by sonication. At 1 h, both coatings achieve 100 % of viral inhibition. Nonetheless, larger samples could be produced only through the silver mirror reaction combined with agitation, preserving the integrity of the mask.In conclusion, the silver-coated mask produced by silver mirror reaction combined with agitation is scalable, has excellent physico-chemical characteristics as well as significant biological properties, with higher antimicrobial activities, providing additional protection and preventing the indirect transmission of pathogens

Methamphetamine produces neuronal inclusions in the nigrostriatal system and in PC12 cells

Mice treated with the psychostimulant methamphetamine (MA) showed the appearance of intracellular inclusions in the nucleus of medium sized striatal neurones and cytoplasm of neurones of the substantia nigra pars compacta but not in the frontal cortex. All inclusions contained ubiquitin, the ubiquitin activating enzyme (E1), the ubiquitin protein ligase (E3-like, parkin), low and high molecular weight heat shock proteins (HSP 40 and HSP 70). Inclusions found in nigral neurones stained for alpha-synuclein, a proteic hallmark of Lewy bodies that are frequently observed in Parkinson's disease and other degenerative disorders. However, differing from classic Lewy bodies, MA-induced neuronal inclusions appeared as multilamellar bodies resembling autophagic granules. Methamphetamine reproduced this effect in cultured PC12 cells, which offered the advantage of a simple cellular model for the study of the molecular determinants of neuronal inclusions. PC12 inclusions, similar to those observed in nigral neurones, were exclusively localized in the cytoplasm and stained for alpha-synuclein. Time-dependent experiments showed that inclusions underwent a progressive fusion of the external membranes and developed an electrodense core. Inhibition of dopamine synthesis by alpha-methyl-p-tyrosine (alphaMpT), or administering the antioxidant S-apomorphine largely attenuated the formation of inclusions in PC12 cells exposed to MA. Inclusions were again observed when alphaMpT-treated cells were loaded with L-DOPA, which restored intracellular dopamine levels