21 research outputs found

    Neuropathies périphériques chimio-induites : études cliniques (épidémiologie et prise en charge) et précliniques (nouvelles pistes pharmacologiques)

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    Résumé indisponible.Certains agents anticancéreux peuvent être responsables de neuropathies périphériques chimio-induites (CIPN), et entrainant une altération de la HRQOL des patients pendant et après la chimiothérapie. Pour les patients ayant guéri du cancer, cela représente une séquelle des traitements. Aujourd'hui, aucun traitement ne reste univoque pour prévenir/traiter ces CIPN, hormis la duloxétine pour le traitement des douleurs(recommandations internationales). Nous avons réalisé l’étude PREVOX et PREVIB qui ont montré qu’environ un tiers des patients traités par oxaliplatine ou bortézomib conservent une CIPN sensitive à distance de la chimiothérapie et altérant leur HRQOL. Ces études ont également mis en évidence un défaut de prise en charge de ces CIPN. L’étude EVANEURO a permis de montrer en 2019 en France, que les oncologues sont attentifs au dépistage des CIPN mais manquent de moyens pour les diagnostiquer et les traiter. Enfin, nous avons proposé une nouvelle piste thérapeutique déjà prometteuse sur l’oxaliplatine, le donépézil. Celui-ci a montré son efficacité analgésique sur des modèles animaux de CIPN (paclitaxel, bortézomibet vincristine). Néanmoins, l’effet préventif du donépézil est plus nuancé et se limite à la CIPN associée au paclitaxel

    Neuropathies périphériques chimio-induites : études cliniques (épidémiologie et prise en charge) et précliniques (nouvelles pistes pharmacologiques)

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    Résumé indisponible.Certains agents anticancéreux peuvent être responsables de neuropathies périphériques chimio-induites (CIPN), et entrainant une altération de la HRQOL des patients pendant et après la chimiothérapie. Pour les patients ayant guéri du cancer, cela représente une séquelle des traitements. Aujourd'hui, aucun traitement ne reste univoque pour prévenir/traiter ces CIPN, hormis la duloxétine pour le traitement des douleurs(recommandations internationales). Nous avons réalisé l’étude PREVOX et PREVIB qui ont montré qu’environ un tiers des patients traités par oxaliplatine ou bortézomib conservent une CIPN sensitive à distance de la chimiothérapie et altérant leur HRQOL. Ces études ont également mis en évidence un défaut de prise en charge de ces CIPN. L’étude EVANEURO a permis de montrer en 2019 en France, que les oncologues sont attentifs au dépistage des CIPN mais manquent de moyens pour les diagnostiquer et les traiter. Enfin, nous avons proposé une nouvelle piste thérapeutique déjà prometteuse sur l’oxaliplatine, le donépézil. Celui-ci a montré son efficacité analgésique sur des modèles animaux de CIPN (paclitaxel, bortézomibet vincristine). Néanmoins, l’effet préventif du donépézil est plus nuancé et se limite à la CIPN associée au paclitaxel

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    Résumé indisponible.Certains agents anticancéreux peuvent être responsables de neuropathies périphériques chimio-induites (CIPN), et entrainant une altération de la HRQOL des patients pendant et après la chimiothérapie. Pour les patients ayant guéri du cancer, cela représente une séquelle des traitements. Aujourd'hui, aucun traitement ne reste univoque pour prévenir/traiter ces CIPN, hormis la duloxétine pour le traitement des douleurs(recommandations internationales). Nous avons réalisé l’étude PREVOX et PREVIB qui ont montré qu’environ un tiers des patients traités par oxaliplatine ou bortézomib conservent une CIPN sensitive à distance de la chimiothérapie et altérant leur HRQOL. Ces études ont également mis en évidence un défaut de prise en charge de ces CIPN. L’étude EVANEURO a permis de montrer en 2019 en France, que les oncologues sont attentifs au dépistage des CIPN mais manquent de moyens pour les diagnostiquer et les traiter. Enfin, nous avons proposé une nouvelle piste thérapeutique déjà prometteuse sur l’oxaliplatine, le donépézil. Celui-ci a montré son efficacité analgésique sur des modèles animaux de CIPN (paclitaxel, bortézomibet vincristine). Néanmoins, l’effet préventif du donépézil est plus nuancé et se limite à la CIPN associée au paclitaxel

    Chemotherapy-induced peripheral neuropathy : clinical studies (epidemiology and management) and preclinical studies (new pharmacological avenues)

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    Certains agents anticancéreux peuvent être responsables de neuropathies périphériques chimio-induites (CIPN), et entrainant une altération de la HRQOL des patients pendant et après la chimiothérapie. Pour les patients ayant guéri du cancer, cela représente une séquelle des traitements. Aujourd'hui, aucun traitement ne reste univoque pour prévenir/traiter ces CIPN, hormis la duloxétine pour le traitement des douleurs(recommandations internationales). Nous avons réalisé l’étude PREVOX et PREVIB qui ont montré qu’environ un tiers des patients traités par oxaliplatine ou bortézomib conservent une CIPN sensitive à distance de la chimiothérapie et altérant leur HRQOL. Ces études ont également mis en évidence un défaut de prise en charge de ces CIPN. L’étude EVANEURO a permis de montrer en 2019 en France, que les oncologues sont attentifs au dépistage des CIPN mais manquent de moyens pour les diagnostiquer et les traiter. Enfin, nous avons proposé une nouvelle piste thérapeutique déjà prometteuse sur l’oxaliplatine, le donépézil. Celui-ci a montré son efficacité analgésique sur des modèles animaux de CIPN (paclitaxel, bortézomibet vincristine). Néanmoins, l’effet préventif du donépézil est plus nuancé et se limite à la CIPN associée au paclitaxel.Résumé indisponible

    Prevention, diagnosis and management of chemotherapy-induced peripheral neuropathy: a cross-sectional study of French oncologists’ professional practices

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    International audiencePurposeChemotherapy-induced peripheral neuropathy (CIPN) is challenging for oncologists. Many publications mention the high incidence of CIPN and the lack of effective preventive/management strategies and robust diagnostic tools. This cross-sectional study was aimed at assessing the practice of French oncologists for CIPN prevention, diagnosis and management.MethodsThis web-based survey was sent to French oncologists by the regional cancer networks. Incidence and impact of CIPN were assessed using visual analogue scales (VAS) and diagnostic strategies were recorded. Also recorded were the drugs used to prevent or manage CIPN and their perceived efficacy and safety (VAS).ResultsAmong the 210 oncologists included, the perceived incidence of CIPN was about 36.2 ± 22.1% of patients. About 99.5% of oncologists declared that they assess CIPN during medical follow-up. The use of drugs to prevent CIPN was reported by 9.6% of oncologists (group B vitamins (35.0%) and calcium and magnesium infusion (25.0%)). In the case of CIPN, the therapeutic adjustment of neurotoxic anticancer drugs is performed by 99.0% of oncologists (chemotherapy change (49.8%), dose reduction (30.9%) or interruption (19.3%)). The pharmacological management of CIPN was declared by 72.9% of oncologists. The main drugs used are pregabalin (75.8%), amitriptyline (32.7%) and gabapentin (25.5%). Duloxetine (ASCO recommendation) is used by only 11.8% of oncologists.ConclusionOncologists were clearly aware of CIPN risks, but its incidence tended to be underestimated and the ASCO recommendations for the management of CIPN were not followed. The prevention, diagnosis and management of CIPN remain problematic in clinical practice in France

    Feasibility and Effectiveness of an Enhanced Recovery Program after Early Cholecystectomy for Acute Calculous Cholecystitis: A 2-Step Study

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    International audienceBACKGROUND: Enhanced recovery programs (ERPs) are associated with a lower morbidity rate and a shorter length of stay. The present study's objective was to determine whether an ERP is feasible and effective for patients undergoing early cholecystectomy for grade I or II acute calculous cholecystitis. STUDY DESIGN: A 2-step multicenter study was performed. In the first step (the feasibility study), patients were consecutively included in a dedicated, prospective database from March 2019 until January 2020. The primary endpoint was the ERP's feasibility, evaluated in terms of the number and nature of the ERP components applied. During the second step, the ERP's effectiveness in acute calculous cholecystitis was evaluated in a case-control study. The ERP+ group comprised consecutive patients who were prospectively included from March 2019 to November 2020 and compared with a control (ERP-) group of patients extracted from the ABCAL randomized controlled trial treated between May 2010 and August 2012 and who had not participated in a dedicated ERP. RESULTS: During the feasibility study, 101 consecutive patients entered the ERP with 17 of the 20 ERP components applied. During the effectiveness study, 209 patients (ERP+ group) were compared with 414 patients (ERP- group). The median length of stay was significantly shorter in the ERP+ group (3.1 vs 5 days; p < 0.001). There were no intergroup differences in the severe morbidity rate, mortality rate, readmission rate, and reoperation rate. CONCLUSIONS: Implementation of an ERP after early cholecystectomy for acute calculous cholecystitis appeared to be feasible, effective, and safe for patients. The ERP significantly decreased the length of stay and did not increase the morbidity rate. (C) 2022 by the American College of Surgeons. Published by Wolters Kluwer Health, Inc. All rights reserved
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