30 research outputs found

    Lolita Rousseau (2015) — Des dernières sociétés néolithiques aux premières sociétés métallurgiques. Productions lithiques du quart nord-ouest de la France (IIIe-IIe millénaires av. notre ère), Thèse de doctorat soutenue le 30 octobre 2015 à l’université de Nantes

    No full text
    Rousseau Lolita. Lolita Rousseau (2015) — Des dernières sociétés néolithiques aux premières sociétés métallurgiques. Productions lithiques du quart nord-ouest de la France (IIIe-IIe millénaires av. notre ère), Thèse de doctorat soutenue le 30 octobre 2015 à l’université de Nantes. In: Bulletin de la Société préhistorique française, tome 114, n°2, 2017. pp. 380-381

    Des dernières sociétés néolithiques aux premières sociétés métallurgiques: Productions lithiques du quart nord-ouest de la France (III<sup>e</sup>-II<sup>e</sup>- millénaires avant notre ère)

    No full text
    International audienceThis book is the result of a doctoral thesis defended in 2015 at the University of Nantes. It deals with the study of all the lithic industries (knapped flint, polished axes, ornaments and ground stone tools) known for a pivotal period which corresponds to the theoretical transition from a ‘Stone Age’ to a ‘Metal Age’, in the North-western part of France. If such a subdivision of ages may suggest that stone was not any longer in use beyond the Neolithic period, our work shows the existence of such a production throughout the whole Bronze Age (including the Bell Beaker Culture). Indeed, we drew up an inventory of more than 570 archaeological entities; all contexts combine. We based this research on the analysis of raw materials, on the typo-technological study of some twenty lithic series, as well as on the collecting of the bibliographic data resulting from this important corpus. We have achieved three main goals. The first one was to understand the acquisition modes and management of resources with taking into account the impact of geological and geomorphological environment on techno-economic choices of different human groups. The second objective was to characterise manufacturing and consumption economies of artefacts. This made it possible to identify some of the activities undertaken on the settlements, thus enhancing our knowledge regarding the lifestyles of these populations. Finally, the last objective helped understanding the progressive marginalisation of lithic productions during the second millennium BC while proposing some answers to this phenomenon. Although these productions gradually lose their major place within the overall scheme of Bronze Age societies, this component can no longer be ignored given its informative and complementary nature in the understanding of the latter.Cet ouvrage est le résultat d’un travail doctoral soutenu en 2015 à l’Université de Nantes. Il porte sur l’étude de l’ensemble des assemblages lithiques (taillés, polies et macrolithiques) d’une période charnière correspondant au passage théorique d’un « âge de la Pierre » à un « âge des Métaux », dans le quart nord-ouest de la France. Si cette subdivision des âges pouvait laisser penser que la pierre a cessé d’être utilisée au-delà du Néolithique, entrainant un manque d’intérêt pour ces artefacts, notre travail a permis de montrer l’existence d’une telle production durant tout l’âge du Bronze (culture campaniforme comprise), puisque ce sont plus de 570 entités archéologiques, tous contextes confondus, qui ont été inventoriées. Cette recherche est fondée sur une analyse des matières premières et des gisements associés, sur les études typo-technologiques d’une vingtaine de séries lithiques, ainsi que sur les données bibliographiques issues de cet important corpus. Cela a permis d’atteindre trois objectifs principaux. Le premier a consisté à saisir les modalités d’acquisition et de gestion des ressources, tout en prenant en compte l’impact de l’environnement géologique et géomorphologique sur les choix techno-économiques des différents groupes humains. Le deuxième était de caractériser les économies de fabrication et de consommation des objets, afin de cerner une partie des activités pratiquées sur les sites, et ainsi compléter nos connaissances sur les modes de vie de ces populations. Enfin, le troisième a permis d’aborder la marginalisation progressive du mobilier lithique au cours du IIe millénaire tout en proposant des éléments de réponse quant à ce phénomène. Bien que ces productions perdent progressivement leur place majeure au sein du schème global des sociétés de l’âge de Bronze, cette composante matérielle ne peut plus, aujourd’hui, être ignorée en raison de son caractère informatif et complémentaire pour la compréhension de ces dernières

    Des dernières sociétés néolithiques aux premières sociétés métallurgiques: Productions lithiques du quart nord-ouest de la France (III<sup>e</sup>-II<sup>e</sup>- millénaires avant notre ère)

    No full text
    International audienceThis book is the result of a doctoral thesis defended in 2015 at the University of Nantes. It deals with the study of all the lithic industries (knapped flint, polished axes, ornaments and ground stone tools) known for a pivotal period which corresponds to the theoretical transition from a ‘Stone Age’ to a ‘Metal Age’, in the North-western part of France. If such a subdivision of ages may suggest that stone was not any longer in use beyond the Neolithic period, our work shows the existence of such a production throughout the whole Bronze Age (including the Bell Beaker Culture). Indeed, we drew up an inventory of more than 570 archaeological entities; all contexts combine. We based this research on the analysis of raw materials, on the typo-technological study of some twenty lithic series, as well as on the collecting of the bibliographic data resulting from this important corpus. We have achieved three main goals. The first one was to understand the acquisition modes and management of resources with taking into account the impact of geological and geomorphological environment on techno-economic choices of different human groups. The second objective was to characterise manufacturing and consumption economies of artefacts. This made it possible to identify some of the activities undertaken on the settlements, thus enhancing our knowledge regarding the lifestyles of these populations. Finally, the last objective helped understanding the progressive marginalisation of lithic productions during the second millennium BC while proposing some answers to this phenomenon. Although these productions gradually lose their major place within the overall scheme of Bronze Age societies, this component can no longer be ignored given its informative and complementary nature in the understanding of the latter.Cet ouvrage est le résultat d’un travail doctoral soutenu en 2015 à l’Université de Nantes. Il porte sur l’étude de l’ensemble des assemblages lithiques (taillés, polies et macrolithiques) d’une période charnière correspondant au passage théorique d’un « âge de la Pierre » à un « âge des Métaux », dans le quart nord-ouest de la France. Si cette subdivision des âges pouvait laisser penser que la pierre a cessé d’être utilisée au-delà du Néolithique, entrainant un manque d’intérêt pour ces artefacts, notre travail a permis de montrer l’existence d’une telle production durant tout l’âge du Bronze (culture campaniforme comprise), puisque ce sont plus de 570 entités archéologiques, tous contextes confondus, qui ont été inventoriées. Cette recherche est fondée sur une analyse des matières premières et des gisements associés, sur les études typo-technologiques d’une vingtaine de séries lithiques, ainsi que sur les données bibliographiques issues de cet important corpus. Cela a permis d’atteindre trois objectifs principaux. Le premier a consisté à saisir les modalités d’acquisition et de gestion des ressources, tout en prenant en compte l’impact de l’environnement géologique et géomorphologique sur les choix techno-économiques des différents groupes humains. Le deuxième était de caractériser les économies de fabrication et de consommation des objets, afin de cerner une partie des activités pratiquées sur les sites, et ainsi compléter nos connaissances sur les modes de vie de ces populations. Enfin, le troisième a permis d’aborder la marginalisation progressive du mobilier lithique au cours du IIe millénaire tout en proposant des éléments de réponse quant à ce phénomène. Bien que ces productions perdent progressivement leur place majeure au sein du schème global des sociétés de l’âge de Bronze, cette composante matérielle ne peut plus, aujourd’hui, être ignorée en raison de son caractère informatif et complémentaire pour la compréhension de ces dernières

    Evolution, place et rôle(s) des productions en pierre taillées au sein des sociétés de l'âge du Bronze en Grèce

    No full text
    Session XXXIV-6. Double Session Stone in Metal Ages/La pierre à l’âge des métaux. 6a - Late stone talks: Lithic Industries in Metal Ages : 6b - Let there be Rock and Metal : l'outillage en pierre des métallurgistes préhistoriques de la mine à l'atelierInternational audienceL'Âge du Bronze en Grèce se caractérise, entre autres, par un maintien des industries lithiques taillées, et ce jusqu'à la toute fin de la période. Toutefois, la majorité des travaux menés depuis le milieu des années 1970 se sont essentiellement focalisés sur les séries issues de contextes du Néolithique et du début de l'Âge du Bronze.Le but de cette communication sera donc de faire un état des lieux des travaux menés sur les productions en pierre taillée durant l'Âge du Bronze en Grèce, tout en apportant des données inédites provenant de l'étude de deux sites fouillés récemment. Il sera ainsi possible de mettre en évidence l'évolution de ces industries face aux différents bouleversements socio-économiques qui surviennent à cette période, en particulier sur le continent grec. Pour mener à bien cette approche comparative, la pluridisciplinarité a été favorisée dans l'étude de nos sites. En effet, il s'agissait de mêler une détermination des matières premières utilisées et des gisements associés, des études typologiques, technologiques et des analyses tracéologiques, tout en s'appuyant aussi sur des résultats issus de l'archéologie expérimentale. Enfin, les phénomènes de concurrence ou de complémentarité de rupture ou de continuité, de désinvestissement ou de spécialisation, de substitution ou de maintien de certains assemblages en pierre taillée pourront être abordés, afin de pouvoir discuter de la place et du rôle de ces productions face à la présence et à la montée progressive des outils en métal au sein de ces sociétés

    Recherches sur l’âge du Bronze. Nouvelles approches et perspectives. Actes de la journée d’étude de l’APRAB

    No full text
    International audienceLa journée d’étude intitulée « Recherches sur l’âge du Bronze : nouvelles approches et perspectives », à l’origine de cette publication, s’est tenue le 28 février 2014 au Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye. Son ambition était de permettre à de «  jeunes  » chercheurs (doctorants et post-doctorants spécialement) de présenter un ou plusieurs aspects novateurs de leur travail, tout en laissant la possibilité à des chercheurs plus confirmés de mettre en lumière de nouvelles perspectives de recherche.La thématique de la journée était donc volontairement très ouverte, en vue de réunir un panel représentatif de chercheurs, en devenir ou déjà confirmés. Comme l’indiquait l’appel à communication, nous souhaitions favoriser aussi les présentations regroupant plusieurs chercheurs, afin qu’ils confrontent leurs résultats et proposent ainsi un regard croisé et une vision synthétique sur les aspects communs de leurs recherches. Plusieurs interventions collaboratives ont d’ailleurs, à notre grande satisfaction, animé cette journée.Un premier axe était consacré aux nouveaux supports et méthodologies, liés entre autres au développement des techniques informatiques. L’objectif était ici de favoriser les approches originales, proposant l’exploitation d’outils résultant de l’interdisciplinarité (SIG, photogrammétrie, etc.) et applicables à l’étude de l’âge du Bronze.Notre volonté était également de proposer des analyses et interprétations novatrices, ainsi que d’autres plus classiques mais abordées selon un angle innovant, portant aussi bien sur les dimensions technologiques, anthropologiques, sociologiques que culturelles. Le second axe réunissait les présentations portées sur des considérations anthropologiques et funéraires, concernant l’âge du Bronze français et étranger. L’intégration detravaux tournés vers d’autres zones géographiques que la France tout au long de cette journée était, par ailleurs, l’une de nos priorités. Le troisième et dernier axe concernait les études de mobiliers archéologiques, qu’ils soient lithiques, métalliques ou des témoins du paléoenvironnement. Ces thématiques paraissent, de primes abords, plutôt communes en archéologie protohistorique, mais les différents travaux présentés ont prouvé, une fois de plus, qu’elles étaient incontournables et en perpétuel renouvellement.Lors de la préparation de cette journée d’étude, nous avons très vite constaté que les recherches en cours sur l’âge du Bronze étaient beaucoup plus nombreuses que nous ne le soupçonnions initialement, et trop souvent méconnues. L’idée de proposer une publication construite en deux parties s’est donc progressivement imposée : la première rassemble les communications délivrées le 28 février dernier, et la seconde veut fournir un « panorama des recherches en cours sur l’âge du Bronze ». En efet, nous avons été frappées par le nombre et la variété des études consacrées à cette période, dont les travaux universitaires constituent généralement un bon indicateur, et dont la reconnaissance et la diffusion nous sont apparues insuffisantes. Un appel à contribution a donc été diffusé, invitant toute personne qui le souhaitait à nous faire parvenir un résumé d’une à deux pages, synthétisant son projet de recherche, quels qu’en soient le type ou les modalités (master, doctorat, post-doctorat, monographie, programme collectif de recherche, etc.). Le nombre conséquent de participants et les réactions positives face à cette initiative nous ont convaincus qu’il était nécessaire de poursuivre cette démarche de valorisation. C’est pourquoi cette seconde partie donnera lieu prochainement à la création d’une base de données et d’un annuaire en ligne, auxquels nous espérons que vous participerez massivement. Les finalités de cette journée d’étude et de cette publication étaient donc de promouvoir les nouvelles dynamiques animant la recherche protohistorique actuelle, ainsi que de favoriser les échanges entre chercheurs et les rencontres interdisciplinaires

    La pierre à l'aube de la métallurgie, de la sphère domestique au monde funéraire : l'exemple du quart nord-ouest de la France

    No full text
    International audienceDès le XIXe siècle, le découpage technologique et historique de C. Jürgensen homsen en trois âges (1837), ceux de la Pierre, du Bronze et du Fer, pouvait laisser penser que chaque matériau était remplacé par le suivant. Ce n’est que depuis une vingtaine d’années qu’un réel intérêt s’est fait jour pour le travail de la pierre aux âges des Métaux, sous l’impulsion des études technologiques menées sur les périodes plus anciennes. Dans le nord-ouest de la France, plusieurs études récentes ou en cours ont porté sur un large spectre d’artefacts lithiques du Campaniforme et de l’âge du Bronze : silex taillés (dont les armatures de flèches), objets en pierre polie, macro-outils et outils de métallurgistes, provenant de sites aussi bien domestiques que funéraires.Sans prétendre dresser un tableau de l’ensemble des productions lithiques des âges des Métaux, cette communication souhaite interroger les liens entre les diférentes productions lithiques au travers de synthèses ou d’études de cas exemplaires. On cherchera les indices de spécialisation artisanale, d’originalité technique, les marques de concurrence, de complémentarité ou de désinvestissement face à la montée en puissance progressive des outils en métal. Enin, le jeu de présence/absence de ces armes ou outils entre sphère domestique et monde funéraire (viatique, réutilisation dans l’architecture des tombes) permettra d’appréhender leurs valeurs sociales et symboliques

    La pierre à l'aube de la métallurgie, de la sphère domestique au monde funéraire : l'exemple du quart nord-ouest de la France

    No full text
    International audienceDès le XIXe siècle, le découpage technologique et historique de C. Jürgensen homsen en trois âges (1837), ceux de la Pierre, du Bronze et du Fer, pouvait laisser penser que chaque matériau était remplacé par le suivant. Ce n’est que depuis une vingtaine d’années qu’un réel intérêt s’est fait jour pour le travail de la pierre aux âges des Métaux, sous l’impulsion des études technologiques menées sur les périodes plus anciennes. Dans le nord-ouest de la France, plusieurs études récentes ou en cours ont porté sur un large spectre d’artefacts lithiques du Campaniforme et de l’âge du Bronze : silex taillés (dont les armatures de flèches), objets en pierre polie, macro-outils et outils de métallurgistes, provenant de sites aussi bien domestiques que funéraires.Sans prétendre dresser un tableau de l’ensemble des productions lithiques des âges des Métaux, cette communication souhaite interroger les liens entre les diférentes productions lithiques au travers de synthèses ou d’études de cas exemplaires. On cherchera les indices de spécialisation artisanale, d’originalité technique, les marques de concurrence, de complémentarité ou de désinvestissement face à la montée en puissance progressive des outils en métal. Enin, le jeu de présence/absence de ces armes ou outils entre sphère domestique et monde funéraire (viatique, réutilisation dans l’architecture des tombes) permettra d’appréhender leurs valeurs sociales et symboliques
    corecore