61 research outputs found

    The global bio-events at the Cenomanian-Turonian transition in the reduced Bahloul Formation of Bou Ghanem (central Tunisia)

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    In central Tunisia, the thickness of the Bahloul Formation varies generally between 20 to 40 m such as for example, respectively, at wadi Smara near Kalaat Senan and at wadi Bahloul near Maktar. The thickness is also of several tens metres at Koudiat el Azreg near Jerissa and at Tajerouine. In these sites where the thickness of the Bahloul Formation is dilated, in addition to five geochemical events (δ¹³C), nine bio-events were defined near the Cenomanian-Turonian transition, successively in ascending order: 1. LO Rotalipora cushmani, 2. Heterohelix bio-event, 3. FO Pseudaspidoceras pseudonodosoides, 4. LO P. pseudonodosoides, 5. LO Thalmanninella multiloculata, 6. “filaments” bio-event, Cenomanian-Turonian transition, 7. FO Watinoceras sp., 8. FO Pseudaspidoceras flexuosum, 9. FO Helvetoglobotruncana helvetica. Even though the Bahloul Formation in the Bou Ghanem site is only 7.7 m thick (from which only 2.4 m of laminated black limestones), all nine marker bio-events were recorded, almost in the same order except some small differences. A good number of these bio-events are global as they are also present at Pueblo (Colorado, USA), the stratotype for the base of the Turonian stage. Consequently, at a global scale, it is possible to place the Cenomanian-Turonian boundary with one or several of these bio-events, with a good level of confidence

    Zones d'ammonites et de foraminifères du Vraconnien au Turonien : Une comparasion entre les domaines boréal et téthysien (NW Europe / Tunisie centrale)

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    Depuis la fin du 19ème siècle, l'intervalle comprenant l'Albien supérieur élevé, le Cénomanien, le Turonien et le Coniacien basal a été subdivisé d'abord en zones d'ammonites puis, à partir du milieu du 20ème siècle, en zones de foraminifères planctoniques, deux groupes de macro- et de microfossiles particulièrement efficaces en bio-chronostratigraphie grâce à leur taux d'évolution rapide. Toutefois, des différences de compositions fauniques entre le domaine boréal (Europe du Nord-Ouest) et le domaine téthysien (Méditerranée) ont longtemps empêché des corrélations précises entre ces deux domaines. Aujour-d'hui, dans un intervalle de temps couvrant environ 16 millions d'années, on dénombre 29 zones d'am-monites en domaine téthysien contre 24 en domaine boréal parmi lesquelles 16 sont communes aux deux domaines. Pour les foraminifères planctoniques, on compte 11 zones en domaine téthysien et 10 en domaine boréal, dont 7 communes.Since the end of the 19th century the interval comprising the uppermost Upper Albian, the Cenomamian, the Turonian and the basal Coniacian has been subdivided, first into ammonite zones, then, beginning in the middle of the 20th century, into zones of planktonic foraminifera. These two groups, one macrofossil, the other microfossil, are particularly effective for bio-chronostratigraphy thanks to their rapid rates of evolution. But differences in the faunal makeup between the Boreal domain (northwestern Europe) and the Tethyan domain (Mediterranean) have for a long time hindered precise correlation of the two domains. Today, in a time interval covering about 16 million years, there are 29 ammonite zones in the Tethyan domain versus 24 in the Boreal one, of which 16 are common to both domains. For the planktonic foraminifera the Tethyan domain has 11 zones, the Boreal domain 10, with 7 in common

    Zonation by ammonites and foraminifers of the Vraconnian-Turonian interval: A comparison of the Boreal and Tethyan domains (NW Europe / Central Tunisia)

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    Since the end of the 19th century the interval comprising the uppermost Upper Albian, the Cenomamian, the Turonian and the basal Coniacian has been subdivided, first into ammonite zones, then, beginning in the middle of the 20th century, into zones of planktonic foraminifera. These two groups, one macrofos-sil, the other microfossil, are particularly effective for bio-chronostratigraphy thanks to their rapid rates of evolution. But differences in the faunal makeup between the Boreal domain (northwestern Europe) and the Tethyan domain (Mediterranean) have for a long time hindered precise correlation of the two domains. Today, in a time interval covering about 16 million years, there are 29 ammonite zones in the Tethyan domain versus 24 in the Boreal one, of which 16 are common to both domains. For the planktonic foraminifera the Tethyan domain has 11 zones, the Boreal domain 10, with 7 in common.Depuis la fin du 19ème siècle, l'intervalle comprenant l'Albien supérieur élevé, le Cénomanien, le Turonien et le Coniacien basal a été subdivisé d'abord en zones d'ammonites puis, à partir du milieu du 20ème siècle, en zones de foraminifères planctoniques, deux groupes de macro- et de microfossiles particulièrement efficaces en bio-chronostratigraphie grâce à leur taux d'évolution rapide. Toutefois, des différences de compositions fauniques entre le domaine boréal (Europe du Nord-Ouest) et le domaine téthysien (Méditerranée) ont longtemps empêché des corrélations précises entre ces deux domaines. Aujourd'hui, dans un intervalle de temps couvrant environ 16 millions d'années, on dénom-bre 29 zones d'ammonites en domaine téthysien contre 24 en domaine boréal parmi lesquelles 16 sont communes aux deux domaines. Pour les foraminifères planctoniques, on compte 11 zones en domaine téthysien et 10 en domaine boréal, dont 7 communes

    Définition des unités chronostratigraphiques mondiales et échelle des temps : pour des conventions simples et limitées favorisant la mise en oeuvre des connaissances disponibles

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    Ce travail discute quatre aspects de la terminologie stratigraphique considérés comme inappropriés et propose des améliorations concernant : (1) le système de double terminologie avec des termes propres pour chacun des aspects temporel et géométrique des corps de roche ; (2) l’assertion selon laquelle le Point Stratotypique Mondial (PSM) définit la base d’un étage qui coïncide avec le sommet de l’étage précédent au lieu de tout simplement : la limite d’étage ; (3) la répugnance devant la désignation de sections additionnelles (auxiliaires) qui accroîtraient la connaissance d’un PSM et pourraient ainsi élargir le domaine de corrélation immédiate ; (4) le système actuel de subdivision différent pour le Précambrien (limites définies par des âges) et pour le Phanérozoïque (limites définies par des PSM) est accepté mais un troisième système (des limites propres à chaque outil de corrélation) est proposé pour les dépôts âgés de 3 à 5 Ma. Par ailleurs, si le travail encourage l’utilisation universelle d’un nombre restreint de conventions, il met en garde contre une prolifération de celles-ci pour des unités qui, en devenant plus courtes, deviennent plus malaisées à reconnaître. On souligne enfin que la distinction doit rester très claire entre ces conventions qui sont une affaire d’administration et de consensus et la connaissance, un domaine où la libre expression des opinions est indispensable

    Les craies du cap Blanc-Nez : une coupe de référence naturelle et continue dans le Crétacé du nord-ouest de l'Europe.

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    La formation des argiles silteuses de Marcoule dans les sondages ANDRA du Gard rhodanien (SE France) : La limite Albien terminal ("Vraconnien")- CĂ©nomanien au moyen des ammonites et comparaison avec les affleurements de Salazac

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    The Marcoule silty shales Formation of the ANDRA borings In the rhodanian Gard (SE France) : the uppermost Albian ("Vraconnian")-Cenomanian boundary by means of ammonites. Comparison with the Salazac outcrops. In the rhodanian part of the Gard department (France SE), the National Agency for radioactive waste bored in 1994-1996 several core-drills which crossed the Marcoule silty shales Formation, several hundred meters thick. The age of the Formation was fortuistously given thanks to several ammonites reported during the general description of the cores. More attention allowed the collection of several tens of ammonites which gave a metric precision for the position of the uppermost Albian f'Vraconnian")-Cenomanian boundary. This work gave an opportunity to restudy the Vraconnian, a chronostrati graphic subdivision which may be reconsidered as a true stage as Renevier pro¬ posed in 1868. For that, a comparison is made between the borings MAR 203-402 and the Salazac site. An ammonite zonation is proposed and a sequence stratigraphy interpretation is attempted.Dans le Gard rhodanien, l'Agence Nationale pour la gestion des Déchets Radioactifs (ANDRA) a fait réaliser en 1994-1996 plusieurs sondages qui ont traversé la cible de la Formation des argiles silteuses de Marcoule sur plusieurs centaines de mètres. Assez fortuitement, l'âge de la Formation a été déterminé grâce à quelques ammonites signalées lors de la phase de description générale des sondages. Un débitage plus systématique a permis de collecter plusieurs dizaines d'ammonites qui ont précisé à quelques mètres près la limite Albien terminal ("Vraconnien")-Cénomanien. Cette intervention pour l'ANDRA a été l'occasion de reprendre l'historique et la biostratigraphie du Vraconnien, subdivision chronostratigraphique de l' Albien qui pourrait retrouver le statut d'étage que Renevier lui avait donné en 1868. Dans ce sens, une comparaison est établie entre les sondages MAR 203 et MAR 402 avec le gisement de Salazac et une zonation par ammonites est proposée pour le Vraconnien, de même qu'une interprétation est tentée en termes de stratigraphie séquentielle.Amédro Francis, Robaszynski Francis. La formation des argiles silteuses de Marcoule dans les sondages ANDRA du Gard rhodanien (SE France) : La limite Albien terminal ("Vraconnien")- Cénomanien au moyen des ammonites et comparaison avec les affleurements de Salazac. In: Géologie Méditerranéenne. Tome 27, numéro 3-4, 2000. pp. 175-201

    Le coteau du château de Saumur - Annexes.

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    7 pagesNational audienc

    Les affleurements du Saumurois (partie occidentale du stratotype).

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    24 pagesNational audienc

    Craies et secrets

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    Robaszynski Francis. Craies et secrets. In: Bulletin de la Classe des sciences, tome 12, n°7-12, 2001. pp. 271-279
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