89 research outputs found
Coupling Metric-Affine Gravity to the Standard Model and Dark Matter Fermions
General Relativity (GR) exists in different formulations, which are
equivalent in pure gravity. Once matter is included, however, observable
predictions generically depend on the version of GR. In order to quantify the
resulting ambiguity, we employ metric-affine gravity, which encompasses as
special cases the metric, Palatini, Einstein-Cartan and Weyl formulations. We
first discuss the interaction of fermions with torsion and non-metricity, also
commenting on projective symmetry. With a view towards the Standard Model, we
then construct a generic model of (complex) scalar, fermionic and gauge fields
coupled to GR and derive an equivalent metric theory, which features numerous
new interaction terms. As a first observable consequence, we point out that a
gravitational mechanism for producing dark matter in the form of singlet
fermions can be used to distinguish between metric gravity and other
formulations of GR.Comment: 52 pages, 2 figures, 2 appendice
L’accès du plus grand nombre aux services essentiels ne se fera pas sans une implication du secteur privé et sans une tarification adéquate de ces services
La couverture, via le secteur privé, des besoins en services de base (eau, énergie, services financiers, logement,..) des populations des pays en développement est une nécessité si l’on veut essayer de faire reculer la pauvreté.  Toutefois les financements privés « classiques » ne s’orientent pas spontanément vers ces secteurs notamment en raison du refus de faire  « payer » un service essentiel à des populations pauvres, sujet qui a fait souvent l’objet de campagnes de rejets de la part d’acteurs de la société civile. De très nombreux exemples montrent pourtant que, compte tenu de l’impact de ces services sur leur qualité de vie, les consommateurs  de ces pays, notamment du « bas de la pyramide » sont disposés à les payer pourvus qu’ils aient accès à un service de qualité. Dans ces secteurs, le coût nominal du service  importe beaucoup moins que son coût d’opportunité et l’impact qu’aura ce service sur la vie des bénéficiaires.  Bien souvent ce service peut même être  payé ex ante ce qui peut permettre aux familles de mieux contrôler les dépenses qu’elles peuvent y consacrer. Il faut toutefois distinguer la fourniture de services essentiels de celles de bien de consommation courante et bien entendu éviter les dérives. En tout état de cause la possibilité de construire des modèles équilibrés financièrement conditionne  la mobilisation de financement en quantité suffisante de la part des  acteurs financiers locaux et internationaux. Dans ce domaine comme dans d’autres, la voie est donc probablement la voie du juste milieu,  en évitant les excès d’une sur-tarification, mais en acceptant de conserver des modèles économiques rentables. Ceux-ci doivent  permettre aux investisseurs d’avoir des résultats qui les conduisent à accroitre et poursuivre leurs investissements, et  d’augmenter le plus rapidement possible le nombre de bénéficiaires. Prétendre construire des modèles sociaux refusant la recherche d’un profit raisonnable et ne permettant aucune distribution de dividendes à leurs actionnaires revient à condamner durablement les plus pauvres à dépendre de la charité ou d’excédents budgétaires hypothétiques et à limiter fortement leur accès à des services pourtant essentiels
L’accès du plus grand nombre aux services essentiels ne se fera pas sans une implication du secteur privé et sans une tarification adéquate de ces services
La couverture, via le secteur privé, des besoins en services de base (eau, énergie, services financiers, logement,..) des populations des pays en développement est une nécessité si l’on veut essayer de faire reculer la pauvreté.  Toutefois les financements privés « classiques » ne s’orientent pas spontanément vers ces secteurs notamment en raison du refus de faire  « payer » un service essentiel à des populations pauvres, sujet qui a fait souvent l’objet de campagnes de rejets de la part d’acteurs de la société civile. De très nombreux exemples montrent pourtant que, compte tenu de l’impact de ces services sur leur qualité de vie, les consommateurs  de ces pays, notamment du « bas de la pyramide » sont disposés à les payer pourvus qu’ils aient accès à un service de qualité. Dans ces secteurs, le coût nominal du service  importe beaucoup moins que son coût d’opportunité et l’impact qu’aura ce service sur la vie des bénéficiaires.  Bien souvent ce service peut même être  payé ex ante ce qui peut permettre aux familles de mieux contrôler les dépenses qu’elles peuvent y consacrer. Il faut toutefois distinguer la fourniture de services essentiels de celles de bien de consommation courante et bien entendu éviter les dérives. En tout état de cause la possibilité de construire des modèles équilibrés financièrement conditionne  la mobilisation de financement en quantité suffisante de la part des  acteurs financiers locaux et internationaux. Dans ce domaine comme dans d’autres, la voie est donc probablement la voie du juste milieu,  en évitant les excès d’une sur-tarification, mais en acceptant de conserver des modèles économiques rentables. Ceux-ci doivent  permettre aux investisseurs d’avoir des résultats qui les conduisent à accroitre et poursuivre leurs investissements, et  d’augmenter le plus rapidement possible le nombre de bénéficiaires. Prétendre construire des modèles sociaux refusant la recherche d’un profit raisonnable et ne permettant aucune distribution de dividendes à leurs actionnaires revient à condamner durablement les plus pauvres à dépendre de la charité ou d’excédents budgétaires hypothétiques et à limiter fortement leur accès à des services pourtant essentiels
Genetic diversity and alkaloid production in Catharanthus roseus, C. trichophyllus and their hybrids
Binational confidential enquiry of maternal deaths due to postpartum hemorrhage in France and the Netherlands: Lessons learned through the perspective of a different context of care
OBJECTIVE: To learn lessons for maternity care by scrutinizing postpartum hemorrhage management (PPH) in cases of PPH-related maternal deaths in France and the Netherlands. METHODS: In this binational Confidential Enquiry into Maternal Deaths (CEMD), 14 PPH-related maternal deaths were reviewed by six experts from the French and Dutch national maternal death review committees regarding cause and preventability of death, clinical care and healthcare organization. Improvable care factors and lessons learned were identified. CEMD practices and PPH guidelines in France and the Netherlands were compared in the process. RESULTS: For France, new insights were primarily related to organization of healthcare, with lessons learned focusing on medical leadership and implementation of (surgical) checklists. For the Netherlands, insights were mainly related to clinical care, emphasizing hemostatic surgery earlier in the course of PPH and reducing the third stage of labor by prompter manual removal of the placenta. Experts recommended extending PPH guidelines with specific guidance for women refusing blood products and systematic evaluation of risk factors. The quality of CEMD was presumed to benefit from enhanced case finding, also through non-obstetric sources, and electronic reporting of maternal deaths to reduce the administrative burden. CONCLUSION: A binational CEMD revealed opportunities for improvement of care beyond lessons learned at the national level
Analysis of 339 pregnancies in 181 women with 13 different forms of inherited thrombocytopenia
65Pregnancy in women with inherited thrombocytopenias is a major matter of concern as both the mothers and the newborns are potentially at risk of bleeding. However, medical management of this condition cannot be based on evidence because of the lack of consistent information in the literature. To advance knowledge on this matter, we performed a multicentric, retrospective study evaluating 339 pregnancies in 181 women with 13 different forms of inherited thrombocytopenia. Neither the degree of thrombocytopenia nor the severity of bleeding tendency worsened during pregnancy and the course of pregnancy did not differ from that of healthy subjects in terms of miscarriages, fetal bleeding and pre-term births. The degree of thrombocytopenia in the babies was similar to that in the mother. Only 7 of 156 affected newborns had delivery-related bleeding, but 2 of them died of cerebral hemorrhage. The frequency of delivery-related maternal bleeding ranged from 6.8% to 14.2% depending on the definition of abnormal blood loss, suggesting that the risk of abnormal blood loss was increased with respect to the general population. However, no mother died or had to undergo hysterectomy to arrest bleeding. The search for parameters predicting delivery-related bleeding in the mother suggested that hemorrhages requiring blood transfusion were more frequent in women with history of severe bleedings before pregnancy and with platelet count at delivery below 50 × 10(9)/L.openopenPatrizia Noris; Nicole Schlegel; Catherine Klersy; Paula G. Heller; Elisa Civaschi; Nuria Pujol-Moix; Fabrizio Fabris; Remi Favier; Paolo Gresele; Véronique Latger-Cannard; Adam Cuker; Paquita Nurden; Andreas Greinacher; Marco Cattaneo; Erica De Candia; Alessandro Pecci; Marie-Françoise Hurtaud-Roux; Ana C. Glembotsky; Eduardo Muñiz-Diaz; Maria Luigia Randi; Nathalie Trillot; Loredana Bury; Thomas Lecompte; Caterina Marconi; Anna Savoia; Carlo L. Balduini; Sophie Bayart; Anne Bauters; Schéhérazade Benabdallah-Guedira; Françoise Boehlen; Jeanne-Yvonne Borg; Roberta Bottega; James Bussel; Daniela De Rocco; Emmanuel de Maistre; Michela Faleschini; Emanuela Falcinelli; Silvia Ferrari; Alina Ferster; Tiziana Fierro; Dominique Fleury; Pierre Fontana; Chloé James; Francois Lanza; Véronique Le Cam Duchez; Giuseppe Loffredo; Pamela Magini; Dominique Martin-Coignard; Fanny Menard; Sandra Mercier; Annamaria Mezzasoma; Pietro Minuz; Ilaria Nichele; Lucia D. Notarangelo; Tommaso Pippucci; Gian Marco Podda; Catherine Pouymayou; Agnes Rigouzzo; Bruno Royer; Pierre Sie; Virginie Siguret; Catherine Trichet; Alessandra Tucci; Béatrice Saposnik; Dino VeneriPatrizia, Noris; Nicole, Schlegel; Catherine, Klersy; Paula G., Heller; Elisa, Civaschi; Nuria Pujol, Moix; Fabrizio, Fabris; Remi, Favier; Paolo, Gresele; Véronique Latger, Cannard; Adam, Cuker; Paquita, Nurden; Andreas, Greinacher; Marco, Cattaneo; Erica De, Candia; Alessandro, Pecci; Marie Françoise Hurtaud, Roux; Ana C., Glembotsky; Eduardo Muñiz, Diaz; Maria Luigia, Randi; Nathalie, Trillot; Loredana, Bury; Thomas, Lecompte; Caterina, Marconi; Savoia, Anna; Carlo L., Balduini; Sophie, Bayart; Anne, Bauters; Schéhérazade Benabdallah, Guedira; Françoise, Boehlen; Jeanne Yvonne, Borg; Bottega, Roberta; James, Bussel; DE ROCCO, Daniela; Emmanuel de, Maistre; Faleschini, Michela; Emanuela, Falcinelli; Silvia, Ferrari; Alina, Ferster; Tiziana, Fierro; Dominique, Fleury; Pierre, Fontana; Chloé, James; Francois, Lanza; Véronique Le Cam, Duchez; Giuseppe, Loffredo; Pamela, Magini; Dominique Martin, Coignard; Fanny, Menard; Sandra, Mercier; Annamaria, Mezzasoma; Pietro, Minuz; Ilaria, Nichele; Lucia D., Notarangelo; Tommaso, Pippucci; Gian Marco, Podda; Catherine, Pouymayou; Agnes, Rigouzzo; Bruno, Royer; Pierre, Sie; Virginie, Siguret; Catherine, Trichet; Alessandra, Tucci; Béatrice, Saposnik; Dino, Vener
L’accès du plus grand nombre aux services essentiels ne se fera pas sans une implication du secteur privé et sans une tarification adéquate de ces services
La couverture, via le secteur privé, des besoins en services de base (eau, énergie, services financiers, logement,..) des populations des pays en développement est une nécessité si l’on veut essayer de faire reculer la pauvreté.  Toutefois les financements privés « classiques » ne s’orientent pas spontanément vers ces secteurs notamment en raison du refus de faire  « payer » un service essentiel à des populations pauvres, sujet qui a fait souvent l’objet de campagnes de rejets de la part d’acteurs de la société civile. De très nombreux exemples montrent pourtant que, compte tenu de l’impact de ces services sur leur qualité de vie, les consommateurs  de ces pays, notamment du « bas de la pyramide » sont disposés à les payer pourvus qu’ils aient accès à un service de qualité. Dans ces secteurs, le coût nominal du service  importe beaucoup moins que son coût d’opportunité et l’impact qu’aura ce service sur la vie des bénéficiaires.  Bien souvent ce service peut même être  payé ex ante ce qui peut permettre aux familles de mieux contrôler les dépenses qu’elles peuvent y consacrer. Il faut toutefois distinguer la fourniture de services essentiels de celles de bien de consommation courante et bien entendu éviter les dérives. En tout état de cause la possibilité de construire des modèles équilibrés financièrement conditionne  la mobilisation de financement en quantité suffisante de la part des  acteurs financiers locaux et internationaux. Dans ce domaine comme dans d’autres, la voie est donc probablement la voie du juste milieu,  en évitant les excès d’une sur-tarification, mais en acceptant de conserver des modèles économiques rentables. Ceux-ci doivent  permettre aux investisseurs d’avoir des résultats qui les conduisent à accroitre et poursuivre leurs investissements, et  d’augmenter le plus rapidement possible le nombre de bénéficiaires. Prétendre construire des modèles sociaux refusant la recherche d’un profit raisonnable et ne permettant aucune distribution de dividendes à leurs actionnaires revient à condamner durablement les plus pauvres à dépendre de la charité ou d’excédents budgétaires hypothétiques et à limiter fortement leur accès à des services pourtant essentiels
Enabling the maximum number of people to access essential services will not be possible without private sector involvement and appropriate pricing of the services concerned
Private sector provision of basic services (water, energy, financial services and housing) for people in developing countries is a necessity if we really want to try to curb poverty. However, ‘traditional’ private funding is not spontaneously directed towards these sectors, largely as a result of rejecting the idea that poor population groups should ‘pay’ for essential services; an issue that has often been the subject of opposition campaigns mounted by social stakeholders. Nevertheless, there are many, many examples to show that given the impact of these services on their quality of life, consumers in these countries - and especially those at the ‘bottom of the pyramid’ - are prepared to pay for them as long as they have access to a high-quality service. In these sectors, the nominal cost of the service concerned matters much less than its opportunity cost and the impact it will have on the lives of those who benefit from it. Very often, this service may even be paid for in advance as a way of enabling families to gain greater control over the expenditure they can devote to obtaining it.It is, however, important to distinguish between the supply of essential services and those of consumer goods, and - of course - to avoid abuses. In any event, the possibility of building financially-balanced models is what governs the process of securing sufficient funding from local and international financial institutions. In this area, as in others, the way forward is probably the happy medium: avoiding the excesses of overpricing, but accepting the need to maintain profitable economic models. These should enable investors to receive a level of profit that encourages them to continue and increase their investment, thereby increasing the number of recipients as quickly as possible. Aspiring to build social models that reject the ambition to achieve a reasonable profit and rule out any distribution of dividends to shareholders is to condemn the poorest populations to long-term dependency on charity or hypothetical budget surpluses, and seriously restrict their access to essential services
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