13 research outputs found

    Antibodies to full-length and the DBL5 domain of VAR2CSA in pregnant women after long-term implementation of intermittent preventive treatment in Etoudi, Cameroon

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    In high malaria transmission settings, the use of sulfadoxine-pyrimethamine-based intermittent preventive treatment during pregnancy (IPTp-SP) has resulted in decreased antibody (Ab) levels to VAR2CSA. However, information of Ab levels in areas of low or intermediate malaria transmission after long-term implementation of IPTp-SP is still lacking. The present study sought to evaluate antibody prevalence and levels in women at delivery in Etoudi, a peri-urban area in the capital of Yaoundé, Cameroon, that is a relatively low-malaria transmission area. Peripheral plasma samples from 130 pregnant women were collected at delivery and tested for IgG to the full-length recombinant VAR2CSA (FV2) and its most immunogenic subdomain, DBL5. The study was conducted between 2013 and 2015, approximately ten years after implementation of IPTp-SP in Cameroon. About 8.6% of the women attending the clinic had placental malaria (PM). One, two or 3 doses of SP did not impact significantly on either the percentage of women with Ab to FV2 and DBL5 or Ab levels in Ab-positive women compared to women not taking SP. The prevalence of Ab to FV2 and DBL5 was only 36.9% and 36.1%, respectively. Surprisingly, among women who had PM at delivery, only 61.5% and 57.7% had Ab to FV2 and DBL5, respectively, with only 52.9% and 47.1% in PM-positive paucigravidae and 77.7% of multigravidae having Ab to both antigens. These results suggest that long-term implementation of IPTp-SP in a low-malaria transmission area results in few women having Ab to VAR2CSA

    Preliminary studies of acute and sub-chronic toxicity of the aqueous extract of Guibourtia tessmannii (Harms) J. Leonard stem barks (Caesalpiniaceae) in mice and rats

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    AbstractObjectiveTo investigate the toxicity of aqueous extract of Guibourtia tessmannii (Harms) J. Leonard (G. tessmannii) and evaluate its safety.MethodsNMRI mice were used to determine the acute toxicity of G. tessmannii. Increasing concentrations of the plant extracts were administered intraperitoneally or by force-feeding. General behavior and death were monitored and recorded daily for 7 days. In order to determine the sub-acute toxicity of the extract, several doses were administered by oral gavage daily for 28 days in adult Wistar rats. Different parameters were assessed including body weight, food and water intake, biochemical parameters and several vital organ weights.ResultsLD50 of 328.78 mg/kg was obtained by i.p. route and more than 5000 mg/kg was obtained in acute toxicity by oral route. In sub-acute toxicity, no significant alteration was observed in body weight or vital organs, food and water intake, and biochemical parameters.ConclusionsThe results showed that the aqueous extract of G. tessmannii has low toxicity intraperitoneally and no sub-acute toxicity via oral intake

    GESTION DES HELMINTHES DIGESTIVES BOVINES PAR METHODE LASER, DANS LA REGION BONGOLAVA, MADAGASCAR

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    International audienceLes infestations parasitaires internes freinent les techniques de production à avoir une performance satisfaisante en élevage des bovins. L’objectif de cette étude a été de déterminer les facteurs de dynamisme de l’infestation parasitaire et de comprendre ses gravités pathologiques chez les jeunes bovins afin de proposer des gestions stratégiques raisonnées aux éleveurs. Le Logiciel d’Aide aux Suivis d’Elevage des Ruminants a été utilisé pour une gestion des données collectées à l'échelle de l'animal. Des prélèvements de fèces couplés à un pesage mensuel de l'animal et des analyses coproscopiques au laboratoire ont été réalisés. Une enquête a été menée auprès des éleveurs pour l’audit des conduites d’élevage. Le logiciel R et épi infos version 7.1.5 ont été utilisés pour l’analyse des données. Ils révèlent une moyenne de 50 à 200 œufs de parasite par gramme de fèces et 85,52 %de prévalence d’infestation. Les jeunes de plus d’un an sont moins infestés que les autres grâce à leurs immunités acquises. Larace frisonne a montré une résistance que les Zébus malagasy et Renitelo, mais cette différence a été non significative (p>0,05). Le sexe n’influe pas sur l’infestation mais une variation saisonnière a été évoquée. Le poids vif moyen des sujets concernés tend à diminuer au mois d’octobre mais le facteur saison, faible pâturage pendant cette période peut être la cause. Un taux de mortalité a été marqué chez les sujets de moins d’un an. La négligence des bonnes conduites zootechniques et sanitaires affecte nettement le taux d’infestation. Les interventions de tous les alliés : éleveurs,vétérinaire ou technicien d’élevage et l’Etat sont primordiaux

    GESTION DES HELMINTHES DIGESTIVES BOVINES PAR METHODE LASER, DANS LA REGION BONGOLAVA, MADAGASCAR

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    International audienceLes infestations parasitaires internes freinent les techniques de production à avoir une performance satisfaisante en élevage des bovins. L’objectif de cette étude a été de déterminer les facteurs de dynamisme de l’infestation parasitaire et de comprendre ses gravités pathologiques chez les jeunes bovins afin de proposer des gestions stratégiques raisonnées aux éleveurs. Le Logiciel d’Aide aux Suivis d’Elevage des Ruminants a été utilisé pour une gestion des données collectées à l'échelle de l'animal. Des prélèvements de fèces couplés à un pesage mensuel de l'animal et des analyses coproscopiques au laboratoire ont été réalisés. Une enquête a été menée auprès des éleveurs pour l’audit des conduites d’élevage. Le logiciel R et épi infos version 7.1.5 ont été utilisés pour l’analyse des données. Ils révèlent une moyenne de 50 à 200 œufs de parasite par gramme de fèces et 85,52 %de prévalence d’infestation. Les jeunes de plus d’un an sont moins infestés que les autres grâce à leurs immunités acquises. Larace frisonne a montré une résistance que les Zébus malagasy et Renitelo, mais cette différence a été non significative (p>0,05). Le sexe n’influe pas sur l’infestation mais une variation saisonnière a été évoquée. Le poids vif moyen des sujets concernés tend à diminuer au mois d’octobre mais le facteur saison, faible pâturage pendant cette période peut être la cause. Un taux de mortalité a été marqué chez les sujets de moins d’un an. La négligence des bonnes conduites zootechniques et sanitaires affecte nettement le taux d’infestation. Les interventions de tous les alliés : éleveurs,vétérinaire ou technicien d’élevage et l’Etat sont primordiaux

    Gestion des Helminthes digestives bovines par méthode laser, dans la région BONGOLAVA, MADAGASCAR

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    International audienceLes infestations parasitaires internes freinent les techniques de production à avoir une performance satisfaisante en élevage des bovins. L’objectif de cette étude a été de déterminer les facteurs de dynamisme de l’infestation parasitaire et de comprendre ses gravités pathologiques chez les jeunes bovins afin de proposer des gestions stratégiques raisonnées aux éleveurs. Le Logiciel d’Aide aux Suivis d’Elevage des Ruminants a été utilisé pour une gestion des données collectées à l'échelle de l'animal. Des prélèvements de fèces couplés à un pesage mensuel de l'animal et des analyses coproscopiques au laboratoire ont été réalisés. Une enquête a été menée auprès des éleveurs pour l’audit des conduites d’élevage. Le logiciel R et épi infos version 7.1.5 ont été utilisés pour l’analyse des données. Ils révèlent une moyenne de 50 à 200 œufs de parasite par gramme de fèces et 85,52 %de prévalence d’infestation. Les jeunes de plus d’un an sont moins infestés que les autres grâce à leurs immunités acquises. La race frisonne a montré une résistance que les Zébus malagasy et Renitelo, mais cette différence a été non significative (p>0,05). Le sexe n’influe pas sur l’infestation mais une variation saisonnière a été évoquée. Le poids vif moyen des sujets concernés tend à diminuer au mois d’octobre mais le facteur saison, faible pâturage pendant cette période peut être la cause. Un taux de mortalité a été marqué chez les sujets de moins d’un an. La négligence des bonnes conduites zootechniques et sanitaires affecte nettement le taux d’infestation. Les interventions de tous les alliés : éleveurs, vétérinaire ou technicien d’élevage et l’Etat sont primordiaux

    Performances démographiques et zootechniques du cheptel bovin local de Madagascar par la méthode LASER

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    International audienceIn Madagascar, 60% of households are food insecure. To remedy this situation, the availability of protein-rich foods is essential. For the Malagasy, zebu meat remains the primary source of animal protein. But can the current cattle population meet the needs of the growing Malagasy population? To answer this question, FOFIFA-DRZVP and CIRAD, as part of the ECLIPSE project, carried out cattle breeding monitoring from 2017 to 2021 using LASER software. The aim is to determine the demographic performance of cattle in order to ensure the health and food security of the Malagasy population. Monitoring took place in the Bongolava region, on 900 head of cattle. The average herd size obtained was 8.7 head, 67% of which were females; the reproduction rate was 65%; the calving interval was 16 months, with an age at first calving of 3.5 years. The mortality rate averaged 3%. An operating rate of 20% was recorded. The annual growth rate was 6.6%. According to these results, the national policy of increasing beef consumption by 5kg/pers/year will have no significant effect on cattle growth. These results will help the country's decision-makers. A study of the genetics of the Malagasy cattle herd is currently underway, to see how well the breeds adapt to environmental stresses in order to ensure their sustainable use.A Madagascar 60% des ménages sont en situation d’insécurité alimentaire. Pour y remédier, la disponibilité des aliments riches en protéines sont nécessaire. Pour les malagasy, la viande de zébu reste la première source de protéines animales. Mais, est-ce que l’effectif de bovins actuel peut-il subvenir aux besoins de la population malagasy croissante ? Pour y répondre, le FOFIFA-DRZVP et le CIRAD dans le cadre du projet ECLIPSE, a effectué de 2017 à 2021 un suivi de l’élevage de bovins utilisant le logiciel LASER. L’objectif vise à déterminer les performances démographiques des bovins afin d’assurer la santé et la sécurité alimentaire de la population malagasy. Les suivis se sont déroulés dans la région de Bongolava, sur 900 têtes de bovins. La taille moyenne des troupeaux obtenue était de 8,7 têtes dont 67% femelles ; le taux de reproduction a été de 65% ; l’intervalle entre deux vêlages était de 16 mois avec un âge à la première mise bas de 3 ans et demi. Le taux de mortalité a été en moyenne 3%. Un taux d’exploitation de 20% a été enregistré. Le taux de croissance annuel a été 6,6%. D’après ces résultats, la politique nationale d'augmentation de la consommation en viande de bovin de 5kg/pers/an n'aura pas d'effet significatif sur la croissance des bovins. Ces résultats aident à la prise de décision des décideurs du pays. Actuellement, l’étude sur la génétique du cheptel bovin malagasy est en cours, pour voir les performances d’adaptation des races aux stress environnementaux afin d’assurer son utilisation durable

    (276–279) Proposals to provide for registration of new names and nomenclatural acts

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    The Melbourne Congress of 2011 authorized a Special Committee on Registration of Algal and Plant Names (including fossils), which was established the following year (Wilson in Taxon 61: 878–879. 2012). Its explicit mandate was “to consider what would be involved in registering algal and plant names (including fossils), using a procedure analogous to that for fungal names agreed upon in Melbourne and included in the Code as Art. 42”, but expectations at the Nomenclature Section in Melbourne went farther than that. There was the hope that registration systems for at least some of the main groups would soon be set up, to be used and tested on a voluntary basis and, if found to be generally accepted, would persuade the subsequent Congress in Shenzhen, in 2017, to declare registration of new names an additional requirement for valid publication. The Melbourne Congress also approved mandatory registration of nomenclatural novelties in fungi, starting on 1 Jan 2013. The new Art. 42 of the Code (McNeill & al. in Regnum Veg. 154. 2012) requires authors to register any fungal nomenclatural novelty, prior to publication, with a recognized repository, whereupon they are provided with a unique identifier for each name, to be included in the protologue along with other Code-mandated information. Years before registration became mandatory, mycologists had been encouraged, often prompted by journal editors, to register their nomenclatural novelties prior to publication. Most complied. Consequently, when mandatory registration was proposed, it had strong support from the mycological community. There are currently three recognized repositories for fungal names. They vary somewhat in how they operate, but they share records of their registered novelties as soon as publication has been effected. One consequence of implementing mandatory registration is that locating new fungal names and combinations and associated protologue information is much simpler now than it was before. This makes it easier to incorporate the information into taxonomic studies and to update taxonomic treatments, inventories, and indices. A corollary is that, no matter what publication outlet an author chooses, the name cannot fail to be noticed. The positive experience in mycology makes extension of the registration concept to plants and algae a compelling idea. That experience shows that the best way to make mandatory registration of nomenclatural novelties palatable to botanists and phycologists is the establishment of trial registration at repositories with a history of involvement in and commitment to the indexing of names. Trial registration enables users to acquaint themselves with registration procedures, make suggestions on how they might be improved, and appreciate, by personal experience, the benefits of registration. Unfortunately, the task of establishing such repositories proved to be more complex and time-consuming than had been foreseen. Substantial progress has been made in the establishment of such centres (Barkworth & al., in this issue, pp. 670–672) but the Committee is not in a position to make firm proposals to regulate registration procedures, even less to make registration mandatory from a concrete future date. Nevertheless, the Committee sees it as imperative that the Shenzhen Congress be offered the opportunity to move forward with registration without having to wait six more years. In this spirit, we offer the proposals below. Proposal (276) would declare registration an ongoing concern of the botanical, mycological, and phycological community and provide the basic structure for making it possible. Proposal (277) and Prop. (278) would, in addition, define a flexible framework within which a system of voluntary registration could be developed for various categories of organisms. Proposal (279) would provide for future mandatory registration in a way that does not depend on the six-year intervals between International Botanical Congresses. Presentation of each proposal is followed by a summary of the support received from members of the Committee.Fil: Barkworth, Mary E.. State University of Utah; Estados UnidosFil: Watson, Mark. Royal Botanic Gardens; Reino UnidoFil: Barrie, Fred R.. Missouri Botanical Garden; Estados Unidos. Field Museum Of Natural History; Estados UnidosFil: Belyaeva, Irina V.. Royal Botanic Gardens; Reino UnidoFil: Chung, Richard C. K.. Forest Research Institute ; MalasiaFil: Dasková, Jirina. Národní Muzeum; República ChecaFil: Davidse, Gerrit. Missouri Botanical Garden; Estados UnidosFil: Dönmez, Ali A.. Hacettepe Üniversitesi; TurquíaFil: Doweld, Alexander B.. National Institute Of Carpology; RusiaFil: Dressler, Stefan. Senckenberg Forschungsinstitut Und Naturmuseum; AlemaniaFil: Flann, Christina. Naturalis Biodiversity Center; Países BajosFil: Gandhi, Kanchi. Harvard University; Estados UnidosFil: Geltman, Dmitry. Russian Academy of Science; RusiaFil: Glen, Hugh F.. Forest Hills; SudáfricaFil: Greuter, Werner. Freie Universität Berlin; AlemaniaFil: Head, Martin J.. Brock University; CanadáFil: Jahn, Regine. Freie Universität Berlin; AlemaniaFil: Janarthanam, Malapati K.. Goa University; IndiaFil: Katinas, Liliana. Universidad Nacional de La Plata. Facultad de Ciencias Naturales y Museo. División de Plantas Vasculares; Argentina. Consejo Nacional de Investigaciones Científicas y Técnicas. Centro Científico Tecnológico Conicet - La Plata; ArgentinaFil: Kirk, Paul M.. Royal Botanic Gardens; Reino UnidoFil: Klazenga, Niels. Royal Botanic Gardens Victoria; AustraliaFil: Kusber, Wolf-Henning. Freie Universität Berlin; AlemaniaFil: Kvacek, Jirí. Národní Muzeum; República ChecaFil: Malécot, Valéry. Universite D'angers; FranciaFil: Mann, David G.. Royal Botanic Gardens; Reino UnidoFil: Marhold, Karol. Charles University; República ChecaFil: Nagamasu, Hidetoshi. Kyoto University; JapónFil: Nicolson, Nicky. Royal Botanic Gardens; Reino UnidoFil: Paton, Alan. Royal Botanic Gardens; Reino UnidoFil: Patterson, David J.. The University Of Sydney; AustraliaFil: Price, Michelle J.. Conservatoire et Jardin botaniques de la Ville de Genève; SuizaFil: van Reine, Willem F Prud' Homme. Naturalis Biodiversity Center; Países BajosFil: Schneider, Craig W.. Trinity College Hartford; Estados UnidosFil: Sennikov, Alexander. Russian Academy Of Sciences; RusiaFil: Smith, Gideon F.. Nelson Mandela Metropolitan University; Sudáfrica. Universidad de Coimbra; PortugalFil: Stevens, Peter F.. Missouri Botanical Garden; Estados Unidos. University of Missouri; Estados UnidosFil: Yang, Zhu-Liang. Kunming Institute Of Botany Chinese Academy Of Sciences; ChinaFil: Zhang, Xian-Chun. Chinese Academy of Sciences; República de ChinaFil: Zuccarello, Giuseppe C.. Victoria University Of Wellington; Nueva Zeland

    Identification of a major QTL and associated molecular marker for high arabinoxylan fibre in white wheat flour

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    Dietary fibre (DF) has multiple health benefits and wheat grains are major sources of DF for human health. However, DF is depleted in white wheat flour which is more widely consumed than wholegrain. The major DF component in white flour is the cell wall polysaccharide arabinoxylan (AX). We have identified the Chinese wheat cultivar Yumai 34 as having unusually high contents of AX in both water-soluble and insoluble forms. We have therefore used populations generated from crosses between Yumai 34 and four other wheat cultivars, three with average contents of AX (Ukrainka, Altigo and Claire) and one also having unusually high AX (Valoris), in order to map QTLs for soluble AX (determined as relative viscosity of aqueous extracts of wholemeal flours) and total AX (determined by enzyme fingerprinting of white flour). A number of QTL were mapped, but most were only detected in one or two crosses. However, all four crosses showed strong QTLs for high RV/total AX on chromosome 1B, with Yumai 34 being the increasing parent, and a KASP marker for the Yumai 34 high AX allele was validated by analysis of high AX lines derived from Yumai 34 but selected by biochemical analysis. A QTL for RV was also mapped on chromosome 6B in Yumai 34 x Valoris, with Valoris being the increasing allele, which is consistent with the observation of transgressive segregation for this population. Association studies in an independent germplasm panel identified marker trait associations for relative viscosity in these same locations while direct selection for fibre content in breeding resulted in high levels of enrichment for the Yumai 34 1B allele. The data therefore indicate that marker-assisted breeding can be used to develop wheat with high AX fibre in white flour

    Report of the Special Committee on Registration of Algal and Plant Names (including fossils)

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    The Special Committee on Registration of Algal and Plant Names (including fossils) was established at the XVIII International Botanical Congress (IBC) in Melbourne in 2011, its mandate being to consider what would be involved in registering algal and plant names (including fossils), using a procedure analogous to that for fungal names agreed upon in Melbourne and included as Art. 42 in the International Code of Nomenclature for algae, fungi, and plants. Because experience with voluntary registration was key to persuading mycologists of the advantages of mandatory registration, we began by asking institutions with a history of nomenclatural indexing to develop mechanisms that would permit registration. The task proved more difficult than anticipated, but considerable progress has been made, as is described in this report. It also became evident that the Nomenclature Section needs a structure that will allow ongoing discussion of registration and associated issues. Simultaneously with this report we are submitting four proposals that would provide such a structure
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