Reactive oxygen species generation by bovine blood neutrophils with different CXCR1 (IL8RA) genotype following Interleukin-8 incubation

Background: Associations between polymorphisms in the bovine CXCR1 gene, encoding the chemokine (C-X-C motif) receptor 1 (IL8RA), and neutrophil traits and mastitis have been described. In the present study, blood neutrophils were isolated from 20 early lactating heifers with different CXCR1 genotype at position 735 or 980. The cells were incubated with different concentrations of recombinant bovine IL-8 (rbIL-8) for 2 or 6 h and stimulated with phorbol 12-myristate 13-acetate (PMA) or opsonized zymosan particles (OZP). Potential association between CXCR1 genotype and production of reactive oxygen species (ROS) was studied. Results: Although on single nucleotide polymorphisms (SNPs) may potentially affect CXCR1 function, SNPs c.735C > G and c.980A > G showed no association with ROS production with or without incubation of rbIL-8. Neutrophils incubated with rbIL-8 for 2 or 6 h showed higher PMA- and lower OZP-induced ROS production compared to control without rbIL-8. Conclusions: In the present study no association could be detected between superoxide production by isolated bovine neutrophils during early lactation and CXCR1 gene polymorphism. IL-8 showed to possess inhibitory effects on ROS generation in bovine neutrophils

Expression profile of genes associated with mastitis in dairy cattle

In order to characterize the expression of genes associated with immune response mechanisms to mastitis, we quantified the relative expression of the IL-2, IL-4, IL-6, IL-8, IL-10, IFN-γ and TNF- α genes in milk cells of healthy cows and cows with clinical mastitis. Total RNA was extracted from milk cells of six Black and White Holstein (BW) cows and six Gyr cows, including three animals with and three without mastitis per breed. Gene expression was analyzed by real-time PCR. IL-10 gene expression was higher in the group of BW and Gyr cows with mastitis compared to animals free of infection from both breeds (p < 0.05). It was also higher in BW Holstein animals with clinical mastitis (p < 0.001), but it was not significant when Gyr cows with and without mastitis were compared (0.05 < p < 0.10). Among healthy cows, BW Holstein animals tended to present a higher expression of all genes studied, with a significant difference for the IL-2 and IFN- γ genes (p < 0.001). For animals with mastitis no significant difference in gene expression was observed between the two breeds. These findings suggest that animals with mastitis develop a preferentially cell-mediated immune response. Further studies including larger samples are necessary to better characterize the gene expression profile in cows with mastitis

Androgen Receptor Drives Cellular Senescence

The accepted androgen receptor (AR) role is to promote proliferation and survival of prostate epithelium and thus prostate cancer progression. While growth-inhibitory, tumor-suppressive AR effects have also been documented, the underlying mechanisms are poorly understood. Here, we for the first time link AR anti-cancer action with cell senescence in vitro and in vivo. First, AR-driven senescence was p53-independent. Instead, AR induced p21, which subsequently reduced ΔN isoform of p63. Second, AR activation increased reactive oxygen species (ROS) and thereby suppressed Rb phosphorylation. Both pathways were critical for senescence as was proven by p21 and Rb knock-down and by quenching ROS with N-Acetyl cysteine and p63 silencing also mimicked AR-induced senescence. The two pathways engaged in a cross-talk, likely via PML tumor suppressor, whose localization to senescence-associated chromatin foci was increased by AR activation. All these pathways contributed to growth arrest, which resolved in senescence due to concomitant lack of p53 and high mTOR activity. This is the first demonstration of senescence response caused by a nuclear hormone receptor

Cystoprotatectomie totale robot-assistée avec curage pelvien étendu mono-bloc

International audienceObjectifsLa cystoprostatectomie radicale avec néovessie iléale demeure un des traitements les plus lourds en chirurgie urologique. La voie mini-invasive robot-assistée, bien que techniquement complexe, pourrait permettre d’en alléger la morbidité. Nous présentons ici une cystoprostatectomie robot-assistée avec néovessie iléale entièrement intracorporelle.MéthodesLes uretères sont repérés, suivis puis sectionnés. L’incision péritonéale est réalisée du cul de sac de Douglas aux vaisseaux iliaques. Le curage pelvien est réalisé avec lymphostase par clips Hemolock. Les ailerons vésicaux sont sectionnés après électrocoagulation au vessel-sealer. Le plexus veineux de Santorini est électrocoagulé. Les recoupes urétrales et urétérales sont négatives en analyse extemporanée. La pièce est mise en attente dans un sac d’extraction.RésultatsLe patient avait 66ans et présentait un carcinome in situ (CIS) de vessie résistant à la BCGthérapie. La durée de la cystoprostatectomie était de 120min, sans complications peropératoires et des pertes sanguines à 200cc. Les suites ont été simples, avec reprise du transit à j4, ablation de la sonde vésicale j12 après d’une opécification attestant d’une bonne étanchéité de la néovessie. Les sondes JJ ont été retirées à 1mois L’histologie définitive retrouvait un pTisN0 (0/13) M0R0. Aucune récidive n’était notée à 6mois.ConclusionLa cystoprostatectomie radicale robot-assistée avec remplacement iléal intracorporel est une technique faisable en un temps opératoire modéré, permettant les mêmes résultats carcinologiques que la chirurgie ouverte, et des résultats fonctionnels satisfaisants

Néovessie iléale robot-assistée intracorporelle selon Studer

International audienceObjectifsLa cystoprostatectomie radicale avec néovessie iléale demeure un des traitements les plus lourds en chirurgie urologique. La voie mini-invasive robot-assistée, bien que techniquement complexe, pourrait permettre d’en alléger la morbidité. Nous présentons ici une cystoprostatectomie robot-assistée avec néovessie iléale entièrement intracorporelle.MéthodesAprès la cystoprostatectomie totale robotisée réalisée en mono-bloc avec curages ganglionnaires par voie trans-péritonéale, les uretères sont anastomosés selon la technique de Wallace. La dernière anse est prélevée, dont la section distale est réalisée par une pince endoGIA 60. L’anastomose urétro-iléale est réalisée à 24cm du bout de l’anse par 2 hémi-surjets de Quill3/0. La section proximale est effectuée à 32cm de l’anastomose. Le rétablissement de continuité digestive latéro-latéral est effectué en utilisant des endoGIA 60. L’anse est détubulisée et le plan postérieur suturé par un surjet de Quill3/0. L’anastomose urétéro-iléale est effectuée sur des sondes JJ. Le segment antérieur est modelé et refermé.RésultatsLe patient avait 66ans et présentait un carcinome in situ (CIS) de vessie résistant à lé BCGthérapie. La durée de la dérivation urinaire était de 180min, sans complications peropératoires. Les suites ont été simples, avec reprise du transit à j4, ablation de la sonde vésicale j12 après d’une opécification attestant d’une bonne étanchéité de la néovessie. Les sondes JJ ont été retirées à 1mois.ConclusionLa cystoprostatectomie radicale robot-assistée avec remplacement iléal intracorporel est une technique faisable en un temps opératoire modéré, permettant les mêmes résultats carcinologiques que la chirurgie ouverte, et des résultats fonctionnels satisfaisants

Néphrectomie partielle robotique zero-ischémia aidée par fluorescence au vert d’indocyanine : application aux tumeurs complexes

International audienceObjectifsLe clampage sura-sélectif dans la néphrectomie partielle robot-assistée, aidée par la fluorescence au vert dindocyanine, est une technique réalisable même en cas de tumeur complexe de score Rénal≥10.MéthodesDeux néphrectomies partielles pour tumeur complexes Rénal≥10 réalisées avec le robot chirurgical DaVinci (intuitive surgical) sont présentées. Les reconstructions 3D de l’angioscanner préopératoire permettent une étude de la vascularisation rénale et tumorale. Après dissection fine du pédicule rénal, seules les artères à destinée tumorale sont clampées à l’aide de bulldogs de 25mm à usage robotique. Une injection intraveineuse de 0,5 à 1cc de vert d’indocyanine est alors effectuée par l’anesthésiste. Le parenchyme rénal apparaît fluorescent alors que la tumeur reste éteinte, garantissant une exérèse dans de bonnes conditions d’hémostase.RésultatsLe premier patient, âgé de 63ans, aux antécédents de NP controlatérale, présente une tumeur de 60mm du rein droit, Rénal 10p et Padua 12p. Les branches tumorales sont disséquées et clampées. La fluorescence permet de confirmer l’extinction tumorale. La durée opératoire est de 150min, pertes sanguines 300cc, sans nécessiter de clamper l’artère rénale. Le 2e patient présente une tumeur intra-hilaire de 45mm, Rénal 11x et Padua 13x. Les artères à destinées tumorales sont clamper avant de débuter l’exérèse tumorale en arrière des calices moyens et inférieurs. La durée opératoire est de 120min, pertes sanguines 100cc. Toutes les tumeurs sont malignes et en marges saines.ConclusionLa NP robot-assistée zero-ischemia est une technique réalisable pour des tumeurs de haut score de complexité selon les classifications Rénal et Padua. Une planification préopératoire par imagerie est indispensable. La fluorescence au vert d’indocyanine permet de s’assurer du clampage tumoral et d’en réaliser l’exérèse dans de bonnes conditions d’hémostase

Morbidité et mortalité des pontages vasculaires préparatoires à la greffe rénale chez des patients asymptomatiques sur le plan vasculaire

International audienceObjectifsÉvaluer la morbidité et la mortalité des pontages vasculaire préparatoires à la greffe rénale chez des patients asymptomatiques.MéthodesÉtude monocentrique des patients ayant eu un pontage vasculaire préparatoire à la greffe entre janvier 2004 et mars 2016 à partir d’une base de donnée prospective. La mortalité et la morbidité de la chirurgie vasculaire ont été évaluées.RésultatsSur la période de l’étude, 1202 greffes rénales ont été réalisées. Vingt-sept patients ont eu un pontage préparatoire à la greffe parmi lesquels 6 ont été exclus car symptomatiques sur le plan vasculaire. Parmi les 21 patients asymptomatiques, 11 (52 %) ont été greffés. L’âge médian des patients au pontage était de 60ans (43–77). Dix patients ont présenté au moins une complication postopératoire de la chirurgie de pontage (48 %) dont deux décès, 3 transfusions et 3 complications Clavien III–IV (cf. Figure 1). Onze patients (52 %) ont pu être greffés, parmi lesquels 3 ont présenté une complication post-greffe en rapport avec le pontage. Seul un patient ayant présenté une complication du pontage Clavien ≥ III a pu être greffé.ConclusionLe pontage vasculaire préparatoire à la greffe expose à une mortalité (10 %) et une morbidité (presque 1 patient sur 2) importantes avec une accessibilité à la liste d’attente et à la greffe très incertaine. Une étude multicentrique est nécessaire pour dégager les facteurs discriminants permettant de sélectionner les bons candidats au pontage

The bovine CXCR1 gene is highly polymorphic

Several single nucleotide polymorphisms (SNP) in the bovine CXCR1 gene have been implicated in resistance to mastitis and milk somatic cell counts in several sample populations of Holstein dairy cows. As such, a more thorough understanding of SNP present in and near the bovine CXCR1 gene is needed. This study identified 36 SNP in the coding region and surrounding sequences of CXCR1 in 88 Holstein dairy cows. Four SNP induced amino acid changes and 1 SNP an early stop codon. Two amino acid changes occur in the third intracellular loop and C-terminus in locations tied to intracellular signaling. The 36 SNP could be subdivided into 4 separate linkage groups. Using representative or 'tag' SNP from each linkage group, haplotypes or the combination of SNP found on a single allele were generated to increase the specificity of an animal's genetic background. Four haplotypes were identified that represented 99% of the sample population. The haplotypes generated using tag SNP agreed with haplotypes generated from SNP causing amino acid changes. In conclusion, the CXCR1 gene is highly polymorphic and has potential implications towards genetic selection and understanding host factors that increase the risk of infection.Fil: Pighetti, Gina M.. University of Tennessee; Estados UnidosFil: Kojima, Cheryl J.. University of Tennessee; Estados UnidosFil: Wojakiewicz, Leszek. University of Tennessee; Estados UnidosFil: Rambeaud, Magdalena. Universidad Nacional de La Plata. Facultad de Ciencias Veterinarias. Departamento de Epizootiología y Salud Pública. Laboratorio de Inmunoparasitología; Argentina. Consejo Nacional de Investigaciones Científicas y Técnicas. Centro Científico Tecnológico Conicet - La Plata; Argentin