The hypomethylating agent Decitabine causes a paradoxical increase in 5-hydroxymethylcytosine in human leukemia cells

The USFDA approved "epigenetic drug", Decitabine, exerts its effect by hypomethylating DNA, demonstrating the pivotal role aberrant genome-wide DNA methylation patterns play in cancer ontology. Using sensitive technologies in a cellular model of Acute Myeloid Leukemia, we demonstrate that while Decitabine reduces the global levels of 5-methylcytosine (5mC), it results in paradoxical increase of 5-hydroxymethylcytosine (5hmC), 5-formylcytosine (5fC) and 5-carboxylcytosine (5caC) levels. Hitherto, the only biological mechanism known to generate 5hmC, 5fC and 5caC, involving oxidation of 5mC by members of Ten-Eleven-Translocation (TET) dioxygenase family, was not observed to undergo any alteration during DAC treatment. Using a multi-compartmental model of DNA methylation, we show that partial selectivity of TET enzymes for hemi-methylated CpG dinucleotides could lead to such alterations in 5hmC content. Furthermore, we investigated the binding of TET1-catalytic domain (CD)-GFP to DNA by Fluorescent Correlation Spectroscopy in live cells and detected the gradual increase of the DNA bound fraction of TET1-CD-GFP after treatment with Decitabine. Our study provides novel insights on the therapeutic activity of DAC in the backdrop of the newly discovered derivatives of 5mC and suggests that 5hmC has the potential to serve as a biomarker for monitoring the clinical success of patients receiving DAC

APPROCHE TYPOLOGIQUE DES PEUPLEMENTS PISCICOLES LACUSTRES FRANÇAIS. I. LES COMMUNAUTÉS DES PLANS D’EAU D’ALTITUDE SUPÉRIEURE À 1 500 M.

Les liens entre les facteurs environnementaux et l’organisation des assemblages piscicoles lacustres ont été essentiellement étudiés sur le continent nord-américain. Nous présentons ici une analyse des communautés piscicoles des plans d’eau français. Les abondances relatives des espèces déterminées sur 98 sites ont été étudiées par analyses factorielles. Une distinction entre les communautés de poissons des plans d’eau « d’altitude » (> 1 500 m) et celles des retenues et lacs naturels de « plaine » (< 1 500 m) a été mise en évidence, conduisant à une analyse distincte de ces deux types de milieux. Les communautés piscicoles des plans d’eau de montagne sont peu diversifiées (2 espèces en moyenne) et peuvent schématiquement se caractériser par 5 types en fonction de l’espèce de Salmonidé dominante. L’abondance de ces espèces est peu corrélée aux descripteurs de milieu étudiés et reflète plutôt les pratiques de gestion

APPROCHE TYPOLOGIQUE DES PEUPLEMENTS PISCICOLES LACUSTRES FRANÇAIS. II. STRUCTURATION DES COMMUNAUTÉS DANS LES PLANS D’EAU D’ALTITUDE INFÉRIEURE À 1 500 M.

En France, les communautés piscicoles lacustres ont fait l’objet de peu de travaux de recherche. Dans une première partie, nous avons présenté les résultats d’analyses des peuplements et des facteurs structurant ces peuplements dans les plans d’eau d’altitude supérieure à 1 500 m (ARGILLIER et al., 2002b). Les résultats d’une démarche analogue menée sur les réservoirs et les lacs naturels de plaine sont exposés ici. Que le milieu soit naturel ou artificiel, on observe une même succession des espèces caractéristiques des communautés le long d’un gradient amont-aval. Ainsi, aux truites et goujon succèdent vers l’aval le brochet et le gardon, puis la perche et enfin le sandre. La distinction entre les communautés des lacs naturels et des réservoirs se fait sur l’abondance de quelques espèces. Le corégone et l’omble chevalier sont plus abondants dans les lacs naturels que dans les retenues alors que l’inverse est observé pour le poisson-chat, le toxostome ou le barbeau fluviatile. Dans les lacs naturels, la nature des habitats littoraux semble expliquer certaines associations d’espèces. La prise en compte de nouveaux descripteurs des communautés et du milieu est envisagée pour la poursuite des analyses

APPROCHE TYPOLOGIQUE DES PEUPLEMENTS PISCICOLES LACUSTRES FRANÇAIS. II. STRUCTURATION DES COMMUNAUTÉS DANS LES PLANS D’EAU D’ALTITUDE INFÉRIEURE À 1 500 M.

En France, les communautés piscicoles lacustres ont fait l’objet de peu de travaux de recherche. Dans une première partie, nous avons présenté les résultats d’analyses des peuplements et des facteurs structurant ces peuplements dans les plans d’eau d’altitude supérieure à 1 500 m (ARGILLIER et al., 2002b). Les résultats d’une démarche analogue menée sur les réservoirs et les lacs naturels de plaine sont exposés ici. Que le milieu soit naturel ou artificiel, on observe une même succession des espèces caractéristiques des communautés le long d’un gradient amont-aval. Ainsi, aux truites et goujon succèdent vers l’aval le brochet et le gardon, puis la perche et enfin le sandre. La distinction entre les communautés des lacs naturels et des réservoirs se fait sur l’abondance de quelques espèces. Le corégone et l’omble chevalier sont plus abondants dans les lacs naturels que dans les retenues alors que l’inverse est observé pour le poisson-chat, le toxostome ou le barbeau fluviatile. Dans les lacs naturels, la nature des habitats littoraux semble expliquer certaines associations d’espèces. La prise en compte de nouveaux descripteurs des communautés et du milieu est envisagée pour la poursuite des analyses

New findings on CO electrooxidation at platinum nanoparticle surfaces

Different unsupported platinum nanoparticles are synthesized via water-in-oil microemulsion and colloidal methods (PAA). TEM, adatom adsorption and cyclic voltammetry measurements give very coherent results concerning the surface structure of the crystallites. The combination of these results with CO stripping experiments leads us to assign the oxidation peak multiplicity to surface structure rather than to pure size effect. Keywords: Oriented platinum nanoparticles, CO electrooxidation, Cyclic voltammetr

Potential contribution of more sensitive hepatitis B surface antigen assays to detect and monitor hepatitis B infection

International audienc

In vivo emergence of an HIV-1/MO recombinant revealed undiagnosed HIV-1/M+O co-infection

International audienc