19 research outputs found

    «L'exigence du temps» selon Kierkegaard

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    En este artículo, una nueva alternativa kierkegaardiana, o mejor dicho, una nueva dialéctica ética, se discute por partida doble. Por un lado, mediante un análisis de la noción y crítica kierkegaardianas a «las exigencias de los tiempos», i.e. la exigencia (no)ética de los tiempos basada en la «actualidad», en una noción histórica de la ética, que por tanto se rinde ante los hábitos y las costumbres y rechaza el deber stricto sensu, a saber, el deber de «permanecer fiel a uno mismo» sin desentenderse de las exigencias de la «idealidad». Por otro lado, la nueva dialéctica ética es ilustrada mediante un análisis de una pintura de los Heibergs realizada por W. Marstrard, que nos ayudará a mostrar de una manera ilustrativa en qué consiste la oposición crucial entre la exigencia no-ética de los tiempos y la exigencia propiamente ética.In this article, a new Kierkegaardian ethical alternative or, rather, a new ethical dialectic is twofold discussed. On the one hand, by means of an analysis of the Kierkegaardian notion and critique of «the demand of the times», i.e., the (un)ethical demand of the times founded on «actuality», on a historical notion of ethics, which there f o re bows before the habits or customs, and dismisses duty senso stricto, namely, the duty to «remain true to oneself» by remaining bound to the demands of «ideality». On the other hand, the new ethical dialectics are brought to sight by means of an analysis of a painting of the Heiberg's by W. Marstrand, in order to show in an illustative manner what the crucial opposition between the un-ethical demand of the times and the ethical demand consists of

    «L'exigence du temps» selon Kierkegaard

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    En este artículo, una nueva alternativa kierkegaardiana, o mejor dicho, una nueva dialéctica ética, se discute por partida doble. Por un lado, mediante un análisis de la noción y crítica kierkegaardianas a «las exigencias de los tiempos», i.e. la exigencia (no)ética de los tiempos basada en la «actualidad», en una noción histórica de la ética, que por tanto se rinde ante los hábitos y las costumbres y rechaza el deber stricto sensu, a saber, el deber de «permanecer fiel a uno mismo» sin desentenderse de las exigencias de la «idealidad». Por otro lado, la nueva dialéctica ética es ilustrada mediante un análisis de una pintura de los Heibergs realizada por W. Marstrard, que nos ayudará a mostrar de una manera ilustrativa en qué consiste la oposición crucial entre la exigencia no-ética de los tiempos y la exigencia propiamente ética.In this article, a new Kierkegaardian ethical alternative or, rather, a new ethical dialectic is twofold discussed. On the one hand, by means of an analysis of the Kierkegaardian notion and critique of «the demand of the times», i.e., the (un)ethical demand of the times founded on «actuality», on a historical notion of ethics, which there f o re bows before the habits or customs, and dismisses duty senso stricto, namely, the duty to «remain true to oneself» by remaining bound to the demands of «ideality». On the other hand, the new ethical dialectics are brought to sight by means of an analysis of a painting of the Heiberg's by W. Marstrand, in order to show in an illustative manner what the crucial opposition between the un-ethical demand of the times and the ethical demand consists of

    Télémaque en Arcadie ou l'âge d'or d'un pédagogue

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    Politis Hélène. Télémaque en Arcadie ou l'âge d'or d'un pédagogue. In: Raison présente, n°59, 3e trimestre 1981. Enfant antique et pédagogie classique. pp. 97-108

    Le mythe de Sisyphe d’Albert Camus, ou l’absurde comme outil de résistance

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    Hitler avait des ambitions de peintre, mais il n’avait pas assez d’intelligence pour être autre chose qu’un dictateur.Albert Camus, « Lettre à Yvonne Ducailar » (25 mai 1940). Depuis douze ans, beaucoup de pères Ubu se sont levés dont nous avons commencé par rire, mais qui ont mis au service de leurs médiocres folies d’irrésistibles mécaniques. Et ces pères Ubu ont été maîtres assez longtemps pour qu’à leur défaite les hommes se trouvent encore aveugles.Albert Camus, « Préface à L’Espagne lib..

    Kierkegaard philosophe : problèmes posés par les traductions françaises

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    Kierkegaard n’a jamais encore été inscrit au programme de l’agrégation de philosophie. La raison de cette omission, c’est qu’il n’est pas, en France, tenu pour un philosophe (voir par exemple H.-B. Vergote, « A propos de l’exclusion de Kierkegaard », Revue de l’enseignement philosophique, 20e année, no 5, juin-juillet 1970, pp. 18-20). Je n’examinerai ici ni les causes ni les origines historiques et philosophiques d’une telle absence, d’abord parce que je les ai rappelées ailleurs, mais ensui..

    La réception de Kierkegaard dans les pays anglo-saxons

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    Le présent travail vise à étudier selon une perspective philosophique l'influence de Kierkegaard (1813-1855) dans les pays anglo-saxons. nous avons travaillé à décrire et analyser les principales transformations par lesquelles passe une oeuvre en s'inscrivant dans des formes d'expression et des cultures étrangères à son contexte initial. L'examen des écarts entre les traditions kierkegaardiennes anglo-saxonnes d'une part, et françaises d'autre part - les deux étant rapportées à l'héritage danois et plus largement, à l'héritage scandinave - donne à mieux voir la teneur proprement philosophique de l'œuvre kierkegaardienne de référence. Notre démonstration s'articule en huit chapitres traitant chacun d'une époque décisive des études kierkegaardiennes. Un siècle et demi environ de recherches kierkegaardiennes est ainsi à la fois mis historiquement en perspective et éclaire conceptuellement.PARIS1-BU Pierre Mendès-France (751132102) / SudocSudocFranceF

    Kierkegaard et la décision

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    Qu'en est-il de ce pouvoir de dire ou bien/ou bien ? Autour du motif de la décision se déploie une réflexion philosophique d ordre éthico-religieux essentiellement consacrée à l'œuvre de Kierkegaard qui - répond à une exigence : repenser la question tombée dans l'oubli : l'Individu. La non-pbilosopbie de Kierkegaard répond à cette urgence d ordre éthique : retrouver la catégorie oubliée Den Enkelte mais ne vaut que dans la reprise de cette injonction : penser le singulier dans le sérieux de la décision et non, de manière traditionnelle, dans la vita contemplativa. Que n'a-t-on pas "fait" au nom de la seule pensée démoniaque ? - donne lieu à une confrontation avec Schelling et Heidegger. Autant pour l'un que pour l'autre, c'est essentiellement autour de cet impensé fondamental : la praxis humaine que se joue l'enjeu de ce débat. Notre tâche est de revenis du "Système" revisité, la dénégation de l'éthique kirkegaardienne par Heidegger. Pour cela. Hannah Arrendt ouvre la voie. - retrouve l'impensé de la temporalité humaine dans son surgissement événementiel. Une telle réflexion éthico-religieuse est ontologique. Elle est recherche de soi. Pseudonymie et autonymie sont les deux aspects paradoxaux de cette recherche d'une singuli_re/ universelle ipséité. - implique une "m"thode" qui s'est imposée à nous plutôt que nous l'avons choisie : une "phénoménologie de l'agir" dont le "principe des principes" es est la décision .PARIS1-BU Pierre Mendès-France (751132102) / SudocSudocFranceF

    Raison et absolu (histoire d'une triangulation (Kant, Hegel, Kierkegaard))

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    Notre thèse examine la manière dont Kierkegaard a su s'approprier les grandes interrogations de la tradition philosophique à partir d'un ensemble de problèmes constitués sur le sol de l'idéalisme allemand. II s'agit de savoir si l'achèvement hégélien de la métaphysique n'accomplit la philosophie que pour en faire un dogmatisme supérieur. En identifiant la raison et l'absolu, que Kant avait radicalement dissociés, Hegel surmonte toute dévaluation sceptique du discours philosophique. Mais à quel prix ? Réactivant certains arguments kantiens sans pourtant faire retour à Kant, la pensée paradoxale de Kierkegaard ressaisit les rapports dialectiques de la raison et de l'absolu pour conjurer l'hubris de la spéculation autant que l'insuffisance du formalisme transcendantal. Nous travaillons donc à défendre Kierkegaard en tant que philosophe, la destination authentiquement religieuse de l'oeuvre ne devant pas occulter sa portée philosophique, qui concerne notre époque.PARIS1-BU Pierre Mendès-France (751132102) / SudocSudocFranceF

    Le concept philosophique du gothique (une analyse du statut et du rôle de la pensée à partir du concept d'infini)

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    La pensée se sert de l'infini comme d'un concept stratégique. L'infini classique tient lieu d'au-delà du pensable, de méta- fini toujours inscrit dans la continuité du fini. Il constitue l'étalon métaphysique grâce auquel le pensable peut se développer comme une grandeur mesurée et dé-finie sur fond d'infini. L'infini ainsi compris assure une harmonie entre le pensable et l'impensable. Mais cette stratégie noétique visant à instituer un monde pratique requiert un sacrifice: celui de l'expérience sensible, singulière, irréductible, du réel vécu comme radicalement hostile à la représentation. Le réel, au sens rigoureux du terme, s'oppose à la finitude épistémologique et pratique voulue par la pensée. Il ne la dépasse pas : il l'invalide. Comprendre les modalités et les enjeux de cette invalidation suppose un concept adéquat, que notre thèse travaille résolument à établir. Or, depuis son invention à l'époque de la Renaissance, le gothique désigne justement ce qui répugne au besoin humain de saine finitude. Nous montrons comment ce que nous appelons l'épreuve du gothique ouvre à l'infinité du réel. Mais cette violente épreuve offre aussi l'opportunité de poser de manière neuve la question de la pensée. Le concept philosophique du gothique se fait alors entendre comme un appel pressant à philosopher.PARIS1-BU Pierre Mendès-France (751132102) / SudocSudocFranceF
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