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    ANDRÉ DE CÉSARÉE. commentaire sur l'Apocalypse (extr.)ARISTOTE. de animalibus historia, fragmBASILE DE CÉSARÉE, ou BASILE LE GRAND (s.). Lettres. ep. 38CONSTANTIN PSELLOS. dix vers de douze syllabes sur la parabole du levainJEAN MALALAS. chronographia, livre 7 (extr.)MANUEL PHILES (?). quatre versPROCOPE. historia arcana (à partir du ch. 6)Numérisation effectuée à partir d'un document de substitution.1 (ff. 1-62) PROCOPE, Historia arcana, à partir du début du chapitre 6 (inc. Οἵτινες δὲ ἀνθρώπων ; éd. J. Haury, Procopii Caesariensis opera omnia, t. III, 1, Leipzig 1906, p. 38, l. 2-p. 186 ; notre ms. a été utilisé pour la première fois par cet éditeur, qui le désigne du sigle Ρ et le décrit à la p. XII de ses prolégomènes, après avoir démontré, p. VIII, l'éminente importance de ce témoin pour l'établissement du texte ; cf. G. Moravcsik, Byzantinoturcica 2, Berlin 1958, t. I, p. 490). 2 Notes diverses ajoutées par plusieurs mains différentes. 1(f. 62v) dix lignes sur Romulus fondateur des Jeux du cirque en l'honneur des quatre éléments : extrait de JEAN MALALAS, Chronographia, lib. VII (M. 97, 281 A 6-C 1), dans une rédaction légèrement abrégée et remaniée (inc. Ὅτι Ῥωμύλος ἐτέλεσεν ἐν τῇ Ῥώμῃ πρῶτος ἀγῶνα ἱππικόν). 2(ibid.) note sur la Tétractys pythagoricienne (éd. A. Delatte, Études sur la littérature pythagoricienne, Paris 1915, p. 187). 3(f. 63) quatre vers [de MANUEL PHILES ?] (στίχοι ms.), édités fautivement par E. Miller comme vers 5-8 du poème LIX de l'Appendice (Manuelis Philae Carmina, t. II, Paris 1857, p. 420), alors que ce quatrain forme un tout indépendant (inc. Ἂν παρθένους ἔκλεισε τοῦ θείου γάμου — des. καί μαχλὰς οὖσα καὶ λύχνου στερουμένη) : v. Scriptorium V, 1951, 1, pp. 105-106 (où le quatrain est édité par nous d'après notre ms.). 4(ibid.) sur les deux catégories de Pythagoriciens, les « savants » et les « acousmatiques » : arrangement de deux passages de JAMBLIQUE, De vita Pythagorica liber (cf. chap. XVIII, § § 80 et 81, éd. A. Nauck, Saint-Pétersbourg 1884, p. 58, ll. 14-19 et p. 59, ll. 7-8 ; voir A. Delatte, op. cit., pp. 271 ss). 5(ibid.) trois lignes sur les trois sortes de bêtes sauvages, tirées d'ARISTOTE, De animalibus historia, 606 b 17-21 (éd. L. Dittmeyer, Leipzig 1907, p. 348). 6(ibid.) en deux lignes, liste de personnages légendaires personnifiant la sottise (inc. Ἡ Μακκὼ, ὁ Μαργίτης, ὁ Μελιτίδης, ὁ Κόροιϐος, ὁ Μαμμακούθος). 7 (ibid.) quatre lignes sur trois peuples de mauvaise réputation : les Cretois (Saint Paul [Tit. 1, 121] est cité) ; les habitants de Lemnos (proverbe, cf. Zenob. IV, 91, éd. Leutsch-Schneidewin, Parœmiographi graeci, I, Göttingen 1839, p. 110) ; les habitants de Chio (le texte invoque l'autorité de Philostrate, Vie d'Apollonius de Tyanc, et de Denys d'Halicarnasse). 8(ibid.) dix lignes (à l'encre rouge) de définitions et d'« étymologies » de plantes et de fleurs, allant de la rose à l'ivraie (inc. Ῥόδον ἐτυμολογεῖται ἀπὸ τοῦ ῥᾶον ὁδεύειν). 9(f. 63v) S. BASILE, extrait de la lettre I, 38, sur l'arc-en-ciel (M. 32, 333 B 2-336 A 8 ; éd. Y. Courtonne, I, Paris 1957, pp. 87-88, § 5, ll. 5-39 ; exemple destiné à illustrer la différence qui sépare essence et hypostase). 10(ibid.) cinq lignes en rouge, presque effacées : quelques synonymes et définitions de mots (inc. Ἀνίσχεται, ὑπομένει À παρίσχεται, δίδωσι). 11(f. 64) dix dodécasyllabes, στίχ(οι) ms., [de CONSTANTIN PSELLOS] (inc. Γυνὴ, ζύμη, βέλτιστε, καὶ σάτα τρία — des. ὅλην συνεζύμωσε τῆς ψυχῆς φύσιν) sur la parabole du levain [Matth. 13, 33] (éd. par E. Miller, Catalogue des manuscrits grecs... de l'Escurial, Paris 1848, p. 49, et repris par le même dans Manuelis Philae Carmina, II, p. 418, poème LIII de l'Appendice, vv. 1-10) ; cf. le Paris. Suppl. gr. 690, f. 73v (sur lequel repose l'attribution à Constantin Psellos), et la description de ce manuscrit par G. Rochefort dans Scriptorium, IV, 1950, p. 8 ; selon Chr. Baur, Initia PP graecorum, I, Vatican 1955, p. 136, une autre édition des mêmes vers existe dans le České museum filologické (Prague), VI, 1900, p. 318. 12(ibid.) liste de noms de monnaies (éd. F. Hultsch, Metrologicorum scriptorum reliquiae, I, Leipzig 1864, p. 276, ll. 1-12). 13(ibid.) liste de divers noms désignant le ver (inc. Σὴς λέγεται ἐπὶ τῶν ἱματίων ; éd. J.-Fr. Boissonade, dans son édition d'Hérodien, Londres 1819, p. 58, n. 2, deuxième extrait du Vaticanus cité). 14(ibid.) quatre lignes sur les différentes parties de la montagne (inc. Τοῦ ὄρους τὰ μὲν ἀκρότατα) : ce petit texte, différent de la notice habituelle des lexicographes et des scholiastes, distingue huit parties au lieu de trois. 15(ibid.) liste des arbres toujours verts (même contenu que dans Boissonade. Anecdota graeca, I, Paris 1829, p. 410, ll. 4-7, mais dans un ordre différent). 16(ibid.) sur le figuier, la vigne et l'olivier (éd. Boissonade, ibid., ll. 1-3). 17(ibid.) définition, en trois lignes, de la μεγαλοψυχία selon les philosophes paοens et selon la doctrine chrétienne (inc. Οἱ μὲν ἔξω σοφοὶ μεγαλοψυχίαν ὁρίζονται). 18(ibid.) définition du mot ἀποκάλυψις, tirée du Commentaire d'ANDRÉ DE CÉSARÉE sur l'Apocalypse (M. 106, 220 D 1-4). 19(f. 64v) essais de plume, imitant des signes alchimiques et cryptographiques. 20(ibid.) quinze lignes sur la Croix, sur ses rapports avec le Tau des Hébreux et la façon d'écrire σταυρός (en abrégé ou non) ; sont cités : Ézéchiel (?, il semble qu'il s'agisse plutôt de Deut. 6, 9), et Isaïe, 9, 6. Inc. Ἰστέον ὡς οὐδέν τῶν γραφομένων πραγμάτων ἐκ τοῦ τῶν γραμμάτων χαρακτῆρος. Cf. J. Gretser, Opera omnia de Sancta Cruce, Ingolstadt 1616, col. 20, 799-800, etc. 21(ibid.) énigme en trois vers de douze syllabes (inc. Τὸ ναυτικὸν πρόσρρημα τὸ πρὸς τήν χθόνα). 22(ibid.) autre énigme, en six vers de douze syllabes, dont la solution est Ἀδάμ (inc. Πατήρ με γεννᾶ, μητρικῆς ἐκ νηδύος : éd. Νέος Ἑλληνομνήμων, XVII, 1923, ρ. 210, n° 31, d'après les papiers de Sp. Lambros, qui avait copié cette pièce sur le ms. Athous 3881 [= Dionysiou 347], où elle est attribuée à Psellos). Par comparaison avec d'autres versions de la même énigme, en vers (cf. Parisinus gr. 2511, f. 69v) ou en prose (cf. Νέος Ἑλληνομνήμων, tom. cit., p. 213, n° 83, et p. 215, n° 39, ou Λαογραφία, VIII, 1921, p. 122, n° 4), il semble possible que les vers 4-6 forment en réalité une énigme distincte (qui commencerait par : Τῶν εἴκοσί με τεττάρων τε γραμμάτων)

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