96 research outputs found

    Using a Crop Model to Benchmark Miscanthus and Switchgrass

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    Crop yields are important items in the economic performance and the environmental impacts of second-generation biofuels. Since they strongly depend on crop management and pedoclimatic conditions, it is important to compare candidate feedstocks to select the most appropriate crops in a given context. Agro-ecosystem models offer a prime route to benchmark crops, but have been little tested from this perspective thus far. Here, we tested whether an agro-ecosystem model (CERES-EGC) was specific enough to capture the differences between miscanthus and switchgrass in northern Europe. The model was compared to field observations obtained in seven long-term trials in France and the UK, involving different fertilizer input rates and harvesting dates. At the calibration site (Estrées-Mons), the mean deviations between simulated and observed crop biomass yields for miscanthus varied between −0.3 t DM ha−1 and 4.2 t DM ha−1. For switchgrass, simulated yields were within 1.0 t DM ha−1 of the experimental data. Observed miscanthus yields were higher than switchgrass yields in most sites and for all treatments, with one exception. Overall, the model captured the differences between both crops adequately, with a mean deviation of 0.46 t DM ha−1, and could be used to guide feedstock selections over larger biomass supply areas

    Greenhouse gas abatement strategies and costs in French dairy production

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    The French dairy sector—like the rest of the economy—has to address the challenge of mitigating greenhouse gas (GHG) emissions to curb climate change. Deciding the economically optimal mitigation level and mix of abatement strategies requires knowledge on the cost of reducing GHG emissions. Agricultural bio-economic models can help identify which production-system changes are needed to reduce GHG emissions at different levels of incentives at minimal cost. The results reflect the model structure and parameter set, especially for GHG emissions accounting. Here abatement strategies and related costs for several levels of tax on GHG emissions in French dairy production are compared using four bio-economic models: the three supply models AROPAj, ORFEE and FARMDYN and the global partial equilibrium model GLOBIOM. It is found that between 1% and 6% GHG emissions abatement can be achieved at the current price of the EU allowances without substantially reducing milk production or outsourcing input production such as feed or herd renewal. Costs reflect the planning horizon: mitigation is more expensive when past investments are not amortized. Models that account for demand-side factors show a carbon tax has potential negative impacts on consumers through higher milk prices, but could nevertheless partly offset the reduction in income of farmers simulated by farm models. Model results suggest that promising on-farm GHG emissions abatement strategies include measures that let animals reach their full production potential and moderately intensive land management

    Review of mathematical programming applications in water resource management under uncertainty

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    Agriculture et effet de serre : régulation économique des impacts croisés et combinaison des politiques agricoles et environnementales, analyse pour la France et extension pour l'Union européenne

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    Diffusion du document : INRA Economie publique BP 01 78850 Thiverval-Grignon (FRA)L'agriculture et l'élevage participent aux émissions de gaz à effet de serre (GES) directement du fait de la consommation d'engrais azotés, responsable de l'émission de N2O, et du fait de l'alimentation des ruminants, responsable de l'émission de CH4. L'émission de méthane est aussi alimentée par les différents modes de gestion des déchets d'élevage (épandage...). L'émission de CO2 peut être imputée au secteur de production agricole, directement en fonction de l'utilisation du sol, et indirectement par les consommations intermédiaires (carburant...). Enfin, au même titre que la forêt, l'agriculture est un puits de carbone. Dans l'autre sens, l'agriculture est fortement dépendante des conditions climatiques (concentration de l'atmosphère en gaz carbonique, température, système hydrique, stabilité temporelle des conditions climatiques), qui pourraient alors modifier ou déplacer les systèmes de production. Partant d'expériences de modélisation intégrant éléments techniques et politiques économiques à différentes échelles (régionales et nationales), deux voies pourraient être approfondies ou explorées (i) l'évaluation des impacts d'une double relation climat-agriculture sur la production agricole et sur les émissions directes de GES, (ii) la compatibilité des politiques agricoles et des politiques de l'environnement affectant le secteur. On se propose de réaliser ces approfondissements ou explorations dans un premier temps pour la France, avec la perspective d'utiliser des modèles voisins en cours d'élaboration pour l'Union européenne

    Programmation mathématique pour l'évaluation d'équilibres multi-marchés : un essai de modélisation des marchés français des céréales et de l'alimentation pour bétail

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    International audienceLes modèles sectoriels basés sur la programmation linéaire sont fréquemment développés pour les secteurs de la production agricole et l'industrie de l'alimentation animale. Cette analyse présente l'interaction de deux modèles couvrant chacun de ces secteurs, l'un offrant ce que l'autre demande. Ce modèle multi-marché sert à déterminer l'équilibre des prix et des quantités échangées. L'accent est mis sur le caractère opérationnel du modèle, même si les limites inhérentes à cette approche sont soulignées

    Modélisation et politiques agricoles. Etat de l'art et enseignements tirés du 89e séminaire de l'EAAE

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    Diffusion du document : INRA UMR 210 Economie Publique Grignon F 78850 (FRA)International audienceLa présentation effectuée à la DG Agri à Bruxelles a pour but de restituer ce qui a été présenté lors du 89e séminaire de l'EAAE "Modelling agricultural policies. State of the art and new challenges", organisé à Parme en février 2005, et d'en tirer quelques enseignements et perspectives pour les travaux de recherche mettant en oeuvre la modélisation. Plus précisément, l'auteur propose une analyse personnelle des apports et limites des voies poursuivies en regard des attentes de décideurs publics tels que la Commission européenne

    L'exploitant agricole et l'aversion du risque : approximation MOTAD du modèle Espérance-Variance

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    National audienceSi l'intérêt d'introduire l'incertitude et le risque dans les modèles de comportement micro-économique a été largement démontré, les applications ne sont pas toujours aussi étoffées que les justifications théoriques. Après le choix de l'une des méthodes opérationnelles en la matière, à partir de l'estimateur MAD de la variance greffé sur un programme linéaire, les principales hypothèses théoriques sous-jacentes sont rappelées dans le cadre d'une écriture complète du modèle. Des illustrations sont présentées à partir des données concernant un panel d'exploitations agricoles, et une méthode simple d'estimation de l'indice absolu d'aversion au risque est proposée. On discute en particulier de l'effet de l'introduction de l'aversion au risque sur l'offre des produits fonction des marges espérées. Enfin, on suggère le principe d'une linéarisation directe du problème quadratique de maximisation du critère espérance-variance et on présente quelques unes des limites de la mise en oeuvre
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