82 research outputs found

    Comparative effects of Piprazine of citrateÂź and papaya seeds on Ascaridia galli in layers Harco

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    The present study has been realised in the farm ‘protein for all’ (PPT) located in Tori Sogbe in the Atlantique-Littoral province, from May to June 2011. A number of 300 layers Harco have been used for the test. They haven’t been detected before the experience which was to test the anti-parasitical efficiency of citrate of pipĂ©razineÂź and of papaya seeds on Ascaridia galli. The weights of the eggs have been taken into a count before and after the treatment of the layers. The 300 hens have been separated into 6 groups of 50 hens which have been differently treated: The group 0, group of witness receives no treatment. Treatment 1 (2.5g/L of citrate of pipĂ©razineÂź solution) for the group 1; treatment 2 (2.5g/L of papaya seeds solution) for the group 2 ; treatment 3 (2g/L of papaya seeds solution) for group 3 ; treatment 4 (3g/L of papaya seeds solution) for group 4 ; treatment 5 (4g/L of papaya seeds solution) for group 5. At state 1, it is to say before the treatment, the average quantity of the Eggs Per Gram (EPG) are statistically the same. In other words, the situation before the treatment is identical with the 6 groups. After the treatment, it is to say at state 2, we have noticed a difference highly significative between the treatments with an efficiency rate of -50% for the witness group ; 80% for the treatment 1 ; -14% for the treatment 2 ; 4% for the treatment 3 ; 16% for the treatment 4 and 65% for the treatment 5. In conclusion, we can retain that papaya seeds, no matter what is their dosage, have reduced significantly the number of EPG comparing to the witness group. But that reduction remains lower than the one of citrate of pipĂ©razineÂź (2.5g/L of the solution). More over, the more the dosage of papaya seed increases, the more the reduction of Ascaridia galli parasitical eggs is important. Key words: citrate of pipĂ©razineÂź, papaya seeds, Ascaridia galli, layers Harco

    Comparative effects of Piprazine of citrateÂź and papaya seeds on Ascaridia galli in layers Harco

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    The present study has been realised in the farm ‘protein for all’ (PPT) located in Tori Sogbe in the Atlantique-Littoral province, from May to June 2011. A number of 300 layers Harco have been used for the test. They haven’t been detected before the experience which was to test the anti-parasitical efficiency of citrate of pipĂ©razineÂź and of papaya seeds on Ascaridia galli. The weights of the eggs have been taken into a count before and after the treatment of the layers. The 300 hens have been separated into 6 groups of 50 hens which have been differently treated: The group 0, group of witness receives no treatment. Treatment 1 (2.5g/L of citrate of pipĂ©razineÂź solution) for the group 1; treatment 2 (2.5g/L of papaya seeds solution) for the group 2 ; treatment 3 (2g/L of papaya seeds solution) for group 3 ; treatment 4 (3g/L of papaya seeds solution) for group 4 ; treatment 5 (4g/L of papaya seeds solution) for group 5. At state 1, it is to say before the treatment, the average quantity of the Eggs Per Gram (EPG) are statistically the same. In other words, the situation before the treatment is identical with the 6 groups. After the treatment, it is to say at state 2, we have noticed a difference highly significative between the treatments with an efficiency rate of -50% for the witness group ; 80% for the treatment 1 ; -14% for the treatment 2 ; 4% for the treatment 3 ; 16% for the treatment 4 and 65% for the treatment 5. In conclusion, we can retain that papaya seeds, no matter what is their dosage, have reduced significantly the number of EPG comparing to the witness group. But that reduction remains lower than the one of citrate of pipĂ©razineÂź (2.5g/L of the solution). More over, the more the dosage of papaya seed increases, the more the reduction of Ascaridia galli parasitical eggs is important. Key words: citrate of pipĂ©razineÂź, papaya seeds, Ascaridia galli, layers Harco

    Caractérisation agromorphologique des variétés de niébé cultivées au Bénin

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    Le niĂ©bĂ© (Vigna unguiculata (L.) Walp.) est une lĂ©gumineuse trĂšs cultivĂ©e et consommĂ©e au BĂ©nin. Sa diversitĂ© reste encore peu connue et l’utilisation des variĂ©tĂ©s traditionnelles disponibles Ă  des fins de sĂ©lection exige une bonne connaissance de leurs caractĂ©ristiques agronomiques, technologiques et culinaires. Pour cette raison, 124 variĂ©tĂ©s traditionnelles collectĂ©es dans diffĂ©rentes localitĂ©s ont Ă©tĂ© Ă©valuĂ©es sur la base de 11 variables quantitatives et 12 variables qualitatives dans un dispositif de blocs complĂštement alĂ©atoire (BCA) Ă  trois rĂ©pĂ©titions. Parmi les caractĂšres qualitatifs, la collection analysĂ©e fait montre d’une importante  variabilitĂ© (42 morphotypes) pour le port de la tige, la pigmentation de la plante, la couleur des fleurs, la forme des folioles, la couleur des gousses, la taille, la  couleur et la formes des graines. L’analyse en composante principale (ACP) des variables  quantitatives a rĂ©vĂ©lĂ© 4 groupes au sein de la collection dont le groupe  (G1) rassemble la plupart des variĂ©tĂ©s trĂšs performantes (cycle court, nombre de gousses Ă©levĂ© par plante, grains gros et lourds, rendements supĂ©rieurs Ă  2  tonnes Ă  l’hectare) comme CatchĂ© godonou, Ewaoloy, GbolĂ©kpomin, Kaki et Yanbodo qu’on peut utiliser dans les programmes de sĂ©lection. Une corrĂ©lation positive significative est observĂ©e entre le rendement par plante de niĂ©bĂ© et le nombre de gousses par plant (Ngs), la longueur des gousses (LGs) et le poids de 100 graines (P100G). Ces donnĂ©es exploitables pour la sĂ©lection de variĂ©tĂ©s amĂ©liorĂ©es et la gestion des ressources gĂ©nĂ©tiques du niĂ©bĂ© doivent ĂȘtre encore complĂ©tĂ©es par lacaractĂ©risation molĂ©culaire.Mots clĂ©s : BĂ©nin, diversitĂ©, niĂ©bĂ©, rendement, variabilitĂ© morphologique

    Caractérisation des pesticides chimiques utilisés en production cotonniÚre et impact sur les indicateurs économiques dans la Commune de Banikoara au nord du Bénin

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    Cette étude vise à caractériser les pesticides chimiques réellement utilisés en production cotonnière et à évaluer leurs impacts sur le revenu des producteurs. Pour ce faire, des données ont été collectées auprès de 90 producteurs de coton conventionnel et 40 producteurs de coton biologique choisis de façon aléatoire dans la Commune de Banikoara au nord du Bénin. Une analyse comparée entre le système de production du coton conventionnel et celui du coton biologique à l’aide de test t de Student de comparaison de moyennes, a été faite. Des résultats obtenus, il ressort que l’endosulfan, une matière active interdite au Bénin est encore très utilisée (75,45%) à travers le Thionex 350 CE (50,81%) et le Cotofan 350 CE (24,62%) en lieu et place du Tihan 175 O-TEQ dont le taux d’adoption est encore très bas (1,70%). L’analyse des résultats économiques révèle que les coûts totaux de production du coton conventionnel (174648 Fcfa/ha) ainsi que les rendements (1518,2 kg/ha) sont plus élevés que ceux du coton biologique (respectivement 72930,2 Fcfa/ha et 513,9 kg/ha) (P< 0,01). Aussi, le produit brut, la marge nette et le revenu net du coton conventionnel à l’hectare sont meilleurs à ceux du coton biologique (P< 0,05). La valorisation de la main d’oeuvre familiale et le ratio bénéfice-coût, pour les deux types de coton amènent à conclure que la production du coton n’est pas rentable dans la localité. Toutefois, il convient de signaler que le ratio bénéfice-coût est plus élevé au niveau du coton conventionnel, lui donnant ainsi un avantage par rapport au coton biologique en termes de rentabilité hormis l’impact de l’utilisation des pesticides chimiques sur l’environnement.Mots clés: Pesticides, producteurs de coton, revenu, Banikoara, Béni

    Sélection de sites pour la conservation in situ des ignames sauvages apparentées aux ignames cultivées : cas de Dioscorea praehensilis au Bénin

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    Dioscorea praehensilis est une igname sauvage apparentĂ©e aux ignames cultivĂ©es du complexe D. cayenensis-D. rotundata qui Ă©volue en populations naturelles dans les forĂȘts du Sud et du Centre-BĂ©nin. Pour identifier les sites propices Ă  la prĂ©servation in situ de ses populations naturelles et de sa diversitĂ© gĂ©nĂ©tique, six forĂȘts du sud et du centre BĂ©nin (Agoua, Ahozon, EwĂš, KĂ©tou, Lama et Niaouli) ont Ă©tĂ© prospectĂ©es. Les forĂȘts de la Lama, d’EwĂš et de Niaouli sont les plus riches en D. praehensilis avec, respectivement, des densitĂ©s moyennes de 109, 63 et 59 pieds/ha. Type de vĂ©gĂ©tation, Ă©clairement, type de sol, pressions anthropiques et animales sont les facteurs qui influencent la densitĂ© de l’espĂšce dans les formations vĂ©gĂ©tales prospectĂ©es et ont permis de reprĂ©ciser son Ă©cologie. Sur la base de la densitĂ© de l’espĂšce et de son importance pour les populations riveraines, de l’importance de la pression anthropique et animale, du degrĂ© d’implication de la population dans la conservation des forĂȘts, de la richesse des forĂȘts en espĂšces de Dioscorea importantes ou rares, de l’état actuel de conservation de la forĂȘt et de l’existence d'un plan d'amĂ©nagement, les forĂȘts classĂ©es de la Lama et de Niaouli ont Ă©tĂ© identifiĂ©es comme les meilleurs sites pour la conservation in situ de D. praehensilis au Benin. Du fait de sa richesse secondaire en l’espĂšce D. burkilliana devenue trĂšs rare, la dotation de la forĂȘt d’Ahozon d’un plan d’amĂ©nagement et de gestion participative a Ă©tĂ© proposĂ©e. © 2013 International Formulae Group. All rights reserved.Mots clĂ©s : BĂ©nin, conservation, Dioscorea praehensilis, igname sauvage, forĂȘts classĂ©e

    Diversity of the Neglected and Underutilized Crop Species of Importance in Benin

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    Many of the plant species that are cultivated for food across the world are neglected and underutilized. To assess their diversity in Benin and identify the priority species and establish their research needs, a survey was conducted in 50 villages distributed throughout the country. The study revealed 41 neglected and underutilized crop species (NUCS) among which 19 were identified as of priority base on 10 criteria among which included their extent and degree of consumption. Reasons for neglect vary with the producers and the agricultural technicians. Market surveys revealed that NUCS are important source of household incomes and substantially contribute to poverty reduction. Review of the literature available revealed that most of the species are rich in nutrients and have some proven medicinal values and the promotion of their use would help in combating malnutrition and improving the health status of the local populations. The knowledge gaps and research needs are immense on most of the species identified as no concrete scientific data is nationally available. In terms of research, almost all has to be done starting from basic ethnobotanical investigation. The results will help the scientists and students willing to conduct research on NUCS in Benin to better orient their research programs

    Diversité et évaluation participative des cultivars du manioc (Manihot esculenta Crantz) au Centre Bénin

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    Le manioc est une plante alimentaire qui contribue fortement Ă  la sĂ©curitĂ© alimentaire au BĂ©nin. Pour Ă©valuer sa diversitĂ© variĂ©tale, les performances  agronomiques, technologiques et culinaires de ses cultivars dans la rĂ©gion centrale du BĂ©nin, 41 villages ont Ă©tĂ© prospectĂ©s. Sous rĂ©serve de  synonymie, 107  cultivars de manioc ont Ă©tĂ© recensĂ©s dont 59 Ă©lites. L’indice de diversitĂ© de Shannon est de 3,78 et traduit une importante diversitĂ© variĂ©tale. Le nombre de  cultivars recensĂ©s varie de 3 Ă  26 par village (10 en moyenne). Dans les villages oĂč une perte de diversitĂ© variĂ©tale est notĂ©e, son taux a variĂ© de 6,25 Ă  80% avec  un taux moyen de 42,22% par village. Les cultivars Ă  produire sont choisis sur la base de 21 critĂšres dont les plus importants sont la forte productivitĂ© (16,37% de reponses), la qualitĂ© et le rendement en gari (15,52% de reponses) et la prĂ©cocitĂ© (13,27% de reponses). Les contraintes de production (9 au total) perçues par les producteurs peuvent etre levĂ©es par l’utilisation des  cultivars performants. L’évaluation participative a rĂ©vĂ©lĂ© l’existence de trĂšs peu de cultivars performants par  rapport aux paramĂštres biotiques et abiotiques. La mise en place d’un programme d’amĂ©lioration et de crĂ©ation variĂ©tale est fortement recommandĂ©e pour la relance de la production du manioc au BĂ©nin.Mots clĂ©s : BĂ©nin, critĂšre de prĂ©fĂ©rence, cultivar Ă©lite, diversitĂ© variĂ©tale, Ă©valuation participative, manioc

    Perceptions paysannes et impacts des changements climatiques sur la production et la diversitĂ© variĂ©tale de l’igname dans la zone aride du nord-ouest du BĂ©nin

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    L’igname (Dioscorea spp.) est une culture vivriĂšre de grande importance pour la sĂ©curitĂ© alimentaire au BĂ©nin. Cependant, sa production dans le dĂ©partement de l’Atakora (extrĂȘme Nord-Ouest) est sĂ©rieusement affectĂ©e par les changements climatiques. Pour analyser les perceptions paysannes des changements climatiques, documenter les impacts de ceux-ci sur la production des ignames et les stratĂ©gies d'adaptation dĂ©veloppĂ©es pour y faire face, quinze (15) villages ont Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ©s au hasard et explorĂ©s. Les producteurs ont signalĂ© des fluctuations de tempĂ©rature et de pluviomĂ©trie, une augmentation de la tempĂ©rature et une diminution de la pluviomĂ©trie corroborĂ©es par l’analyse des donnĂ©es mĂ©tĂ©orologiques. L’ñge et le genre influencent significativement la perception paysanne des changements climatiques. Les impacts les plus importants sont la baisse de rendement, la pourriture des tubercules et des semences, l’appauvrissement et la dĂ©gradation des sols et la prolifĂ©ration des insectes et ravageurs. Les stratĂ©gies adoptĂ©es inclus entre autres le paillage des buttes, le dĂ©placement vers les zones humides et l’utilisation de bonnes pratiques culturales et de la diversitĂ© variĂ©tale. Cette capacitĂ© d’adaptation des producteurs pourrait ĂȘtre accompagnĂ©e par les politiques publiques mais ceux-ci devront tenir compte des diffĂ©rents facteurs influençant la capacitĂ© d’adaptation des producteurs dĂ©terminĂ©s au cours de cette Ă©tude.Mots clĂ©s : CritĂšres de prĂ©fĂ©rence, cultivars tolĂ©rants, sĂ©cheresse, stratĂ©gies d’adaptation, variabilitĂ© climatique

    Toxins and adhesion factors associated with Staphylococcus aureus strains isolated from diarrhoeal patients in Benin

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    Staphylococcus aureus is a causative agent of acute and infectious diarrhoea. In Africa, there is no sufficient information on the virulence and the degree of factors produced by its diarrhoea-isolated strains. Clinical features and virulence factors produced by S. aureus isolated from diarrhoeal-patients admitted at the Hospital Hubert Koutoukou Maga (HKM) in Cotonou was investigated. The virulence factors were screened by radial immunoprecipitation and multiplex polymerase chain reaction (PCR).Fifteen antibiotics were tested. Among independent 115 patients examined for diarrhoea, 32 had faeces positive for S. aureus isolated as pure culture. Most of these patients were hospitalized (21/32) and developed aqueous, bloody and painful diarrhoea, after antimicrobial therapy. About 62% were resistant to oxacillin. Genes encoding for clumping factor B and for laminin binding protein were detected in 62% of S. aureus isolates. About 94% of LukE-LukD producing strains have been isolated from patientsdeveloping post-antibiotic associated diarrhoea (PAAD). The Panton-Valentine Leucocidin (PVL) was produced by 19% of isolates, all from PAAD. This study points out new data concerning virulencefactors and adhesion factor produced by S. aureus strains isolated from diarrhoea in Benin. The culture of the faeces will not always allow the diagnosis. It is important to update a technique, which enablesresearchers to carry out the virulence factors produced by these bacteria

    Detection and quantitation of copy number variation in the voltage-gated sodium channel gene of the mosquito Culex quinquefasciatus

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    Insecticide resistance is typically associated with alterations to the insecticidal target-site or with gene expression variation at loci involved in insecticide detoxification. In some species copy number variation (CNV) of target site loci (e.g. the Ace-1 target site of carbamate insecticides) or detoxification genes has been implicated in the resistance phenotype. We show that field-collected Ugandan Culex quinquefasciatus display CNV for the voltage-gated sodium channel gene (Vgsc), target-site of pyrethroid and organochlorine insecticides. In order to develop field-applicable diagnostics for Vgsc CN, and as a prelude to investigating the possible association of CN with insecticide resistance, three assays were compared for their accuracy in CN estimation in this species. The gold standard method is droplet digital PCR (ddPCR), however, the hardware is prohibitively expensive for widespread utility. Here, ddPCR was compared to quantitative PCR (qPCR) and pyrosequencing. Across all platforms, CNV was detected in ≈10% of mosquitoes, corresponding to three or four copies (per diploid genome). ddPCR and qPCR-Std-curve yielded similar predictions for Vgsc CN, indicating that the qPCR protocol developed here can be applied as a diagnostic assay, facilitating monitoring of Vgsc CN in wild populations and the elucidation of association between the Vgsc CN and insecticide resistance
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