16 research outputs found

    Titanium miniscrews under continuous loading in a Pig jaw: a histological study

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    There is increasing interest in using titanium miniscrews for orthodontic anchorage. This experimental study aimed to evaluate the histological aspect of mandibular bone around miniscrews subjected to continuous forces in a pig. Three miniscrews were inserted on both sides of a pig mandible. Four weeks after implantation, a coil spring was fixed between two of the right miniscrews, while the left miniscrews remained unloaded. The pig was sacrificed nine weeks after implantation. Two right screws were lost during this period: one loaded screw and the unloaded one. Microradiographic and histological analysis revealed bone apposition in contact of about 1/3 of the unloaded screw surface, whereas the other 2/3 were surrounded by mesenchymal tissue. At distance of the implant, bone underwent important remodeling. No direct screw-bone contact was found around the loaded screw. Bone apposition and resorption were visible at distance of the screw, respectively on its traction and compression sides. In this preliminary study, osseointegration of the unloaded screw appeared more successful than that of the loaded ones. Further studies should be conducted during a longer follow-up period in order to define the degree of minimal osseointegration associated with an efficient anchorage

    Microradiographic and histological evaluation of the bone-screw and bone-plate interface of orthodontic miniplates in patients

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    SummaryObjectives: To describe the tissue reactions at the bone-titanium interface of orthodontic miniplates in humans. Materials and methods: Forty-two samples, consisting of tissue fragments attached or not to miniplates or their fixation screws, were collected from 24 orthodontic patients treated with miniplate anchorage, at the time of removal of their miniplates. The samples were embedded in methylmethacrylate and cut into undecalcified sections which were submitted to microradiographic analysis. The sections were also stained and examined under ordinary light. Results: Three types of reactions were observed both on the histological sections and on the microradiographs. 1. The majority of the stable miniplates were easy to remove (34/42). The tissue samples collected consisted mainly in mature lamellar bone with some medullary spaces containing blood vessels, 2. two screws were highly osseointegrated and required the surgeon to remove them by trephining (2/42). They were surrounded by bone tissue which extended to the miniplate. The histological features were similar to the previous group, though the bone-screw contact was higher, and 3. in six samples obtained after unstable miniplate removal during the treatment, we observed either some woven bone trabeculae or loose connective tissue, without any histological sign of inflammation. Limitations and Conclusion: For evident ethical reasons, our data were limited by the size of the tissue fragments and the limited number of patients and variety of clinical presentations. The healing reactions consisted mainly in mature lamellar bone tissue sparsely in contact with the screw or the miniplate, with signs of a moderate remodelling activit

    Root repair after damage due to screw insertion for orthodontic miniplate placement

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    The aim of this investigation was to describe the healing reactions following root damage caused by placement of a miniplate anchorage system. In 4 beagle dogs, 4 titanium miniplates (2 self-tapping screws per miniplate) were placed in each maxilla, after drilling of pilot-holes. Six fixation screws were unintentionally inserted damaging the root of maxillary canines. Two weeks later, half of the miniplates were loaded with a coil spring. Two dogs were euthanized 7 weeks after placement of the miniplates, while the remaining two after 29 weeks. Histological sections were prepared, microradiographed, observed under U.V. light, then stained and analysed under ordinary light. Four screws caused direct root damage; one was damaged during the drilling process; one caused damage to the periodontal ligament only. Among these 6 screws, 2 were mobile and 4 were stable at sacrifice. Limited root damage showed some repair after 29 weeks, consisting in a thick layer of mineralized cementum including anchoring periodontal fibres. Tissue repair was not related to screw stability or loading status. Limited root damage has shown potential to heal, while extensive root damage has not. Precise position of insertion of the miniplates is thus of utmost importance

    Altérations osseuses microstructurales dans le vieillissement du squelette

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    L’amélioration des conditions socio-économiques a considérablement accru l’espérance de vie tout en favorisant le développement de troubles dits dégénératifs. Le squelette est un des systèmes sur lesquels les années pèsent le plus lourdement. Ainsi, entre 20 et 80 ans, l’ostéopénie physiologique (Pommer, 1925 ; Amprino et Bairati, 1936) est estimée à 27% chez l’homme et à 40% chez la femme, la ménopause produisant une accélération de la raréfaction osseuse entre 55 et 65 ans (Courpon et coll., 1973 ; Meunier, 1986 ; Riggs et Melton, 1986). Quad l’ostéopénie s’aggrave au point d’entraîner un risque accru d fracture, même après un traumatisme mineur, elle est considérée comme une maladie, l’ostéoporose d’involution (Meuner, 1986 ; Riggs et Melton, 1986 ; Melton et coll., 1988). Ce syndrome se manifeste sous deux formes. Le type I, ou postménopausique (Riggs et coll., 1983 ; Riggs, 1987), est attribué au déficit en œstrogènes. Il est caractérisé par une destruction accélérée et disproportionnée de tissu osseux spongieux. Les tassements vertébraux en sont la conséquence clinique. Il en découle une réduction de la sécrétion d’hormone parathyroïdienne, de la production de dihydroxycholécalciférol et, de ce fiat, de l’absorption du calcium (Heaney et coll., 1982 ; Riggs et coll., 1983). L’ostéoporose de type II ou sénile, uniquement due à l’âge, mène à une déplétion équivalente de l’os spongieux et de l’os cortical et frappe particulièrement le col fémoral (Riggs, et coll., 1983 ; Riggs et Melton, 1986). Elle est attribuée non seulement à une réduction de l’activité ostéoblastique (Lips et coll., 1978) mais aussi une diminution de la disponibilité de la vitamine D (Gallagher et coll., 1979), ce qui contribue à une absorption moins efficace du calcium (Nordin, 1960 ; Bullamore et coll., 1970) et entraîne une riposte sécrétoire de parathormone (Wiske et coll., 1979 ; Gallagher et coll., 1980 ; Heaney et coll., 1982). La progression asymptomatique de l’ostéoporose d’involution et l’atteinte du nombre croissant d’individus lui ont valu le surnom d’épidémie silencieuse (Geusens, 1992). L’évolution clinique est émaillée d’épisodes de fractures, mais elle est aussi marquée, plus insidieusement, par une altération de la qualité de la vie dans ses dimensions physiques, psychologiques et sociales (Thévenon et coll., 1994 ; Riggs et Melton, 1995). la raréfaction osseuse est responsable d’un risque accru de fracture étant donné que la masse rend compte de la résistance mécanique dans une proportion de l’ordre de 75 à 85% (Smith et Smith, 1976 ; Mazess, 1982 ; Melton et coll., 1988 ; Moseklide, 1993). Cette association a été démontrée dans différents sites comme le col féroral (Dalén et coll., 1976 ; Delaere et coll., 1989 ; Houde et coll., 1995), les vertèbres lombales (Weaver et Chalmers, 1966 ; Bell et coll., 1967 ; Galante et coll., 1970 ; Hansson et coll., 1980 ; Moekilde et coll., 1987 ; Eriksson et coll., 1989 ; Vesterby et coll., 1991), el plateau tibial (Carter et Hayes, 1976) ou le calcanéus (Weaver et Chalmers, 1966). Le parallélisme entre l’importance de l’ostéopénie et la fragilité liée à la perte des propriétés mécaniques n’est pas absolu (Bell et coll., 19967 ; Wall et coll., 1979 ; Riggs et Melton, 1986 ; Geusens, 1992 ; Heaney, 1993). En effet, des fractures surviennent chez certains patients dont le capital osseux est normal pour l’âge (Wicks et coll., 1982 ; Cummings, 1985) tandis qu’elles en épargnent d’autres qui, sur base des mêmes critères seraient rangés parmi les personnes à haut risque (Hansson et coll., 1980 ; Mazess, 1990). D’autres facteurs, extra- et intra-osseux, interviennent donc dans la fragilisation du squelette. Les contingences extra-osseuses comprennent, notamment, une propension à tomber, une altération des réflexes posturaux lors d’une chute et une raréfaction des tissus mous au point d’impact (Cummings, 1985 ; Heaney, 1993). Des caractéristiques intra-osseuses, comme la qualité du remaniement, la structure tridimensionnelle de l’os et sa capacité d’adaptation à des charges spécifiques, sont également susceptibles d’influencer sa résistance mécanique (Bell et coll., 1967 ; Pugh et coll., 1973a ; Wagner et coll., 1991 ; Parfitt, 1984b ; Kleerekoper et coll., 1985 ; Delaere et coll., 1989 ; Vesterby et coll., 1991 ; Mosekilde, 1993 ; Compston, 1994). Avec l’âge, celle-ci peut être compromise par des perturbations de la qualité du tissu suite à une modification du réseau trabéculaire, à une réduction d’élasticité de la matrice collagénique, à des variations dans la géométrie de la phase minérale, à la fragilité accrue de l’os sénescent hyperminéralisé (Frost, 1985 ; Moseklide et coll., 1987) ou, enfin, à l’accumulation de microlésions, dont la réparation est moins efficace qu’au début de la vie adulte (Melton et coll., 1988). La définition actuelle de l’ostéoporose, qui intègre ce conet de perte de qualité, structurale ou mécanique (Frost, 1985 ; Geusens 1992 ; Johnston et Slemenda, 1995), témoigne d’une approche plus large que celle de la masse osseuse considérée isolément. L’intégrité squelettique est également essentielle dans la notion de longévité des systèmes de fixation, dont l’arthroplastie totale de la hanche (Stulberg et coll. 1989), d’autant plus que les prothèses sont, en majorité, placées chez des patients de plus de 50 ans. <BR La présence monographie vise à passer en revue les principales connaissance actuelles concernant la rôle des altérations microscopiques qualitatives dans la fragilisation du squelette liée à l’âge et à montrer comment nos données personnelles y ont contribué. Nous avons basé nos travaux sur l’os humain en lui appliquant les techniques d’étude morphologique appropriées, comme la microradiographie, l’histomorphométrie, la photodensitométrie et la microscopie électronique à balayage, dont les procédures sot résumées en annexesThèse d'agrégation de l'enseignement supérieur (Faculté de médecine) -- UCL, 199

    Increased resistance to artificial caries-like lesions in dentin treated with CO2 laser.

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    The crowns of 60 permanent human molars were sectioned transversally. The exposed dentin surface was divided into different parts: a first part was kept as control, a second part was immediately varnished, and a third part was irradiated with a CO2 laser using the same irradiation conditions as those applied for caries removal (10 impulses of the same energy; 0.2 s/impulse; energy density/impulse 280-715 J/cm2. After irradiation, a small portion of this area was varnished. The teeth were immersed for 4 weeks in a cariogenic gel (pH = 4.5) at 36 degrees C. Twenty teeth were studied by scanning electron microscopy, and longitudinal sections of the other teeth were prepared for microradiography and microdensitometry measurements. The lased dentin surface appeared smooth for energy densities lower than 425 J/cm2. Longitudinally fractured samples revealed a layer of dentin devoid of tubular structure (20-70 microns thick, depending on the energy density used), whereas below the sealed layer, the dentinal tubules retained their normal aspect. Although the sealed layer showed no demineralization when exposed to acid, demineralization of the underlying dentin occurred, but to a much lesser extent than in the unlased dentin.SCOPUS: ar.jinfo:eu-repo/semantics/publishe

    Un modèle cadavérique du syndrome de loge antérieure de jambe : fasciotomie sous-cutanée mini-invasive versus fasciotomie ouverte

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    Objectif. – En raison des séquelles invalidantes de la fasciotomie ouverte dans le syndrome des loges du compartiment antérieur (SDLA) de la jambe, nous voulions décrire et valider un modèle cadavérique de SDLA ; nous avons émis l’hypothèse que, premièrement, le SDLA pouvait être reproduit sur un modèlecadavérique et, que deuxièmement, la fasciotomie sans incision cutanée complète pouvait réduire la pression intramusculaire de manière équivalente à une dermatofasciotomie complète.Matériel et méthodes. – Le SDLA était reproduit par injection progressive de sérum physiologique dans la loge antérieure de 23 jambes cadavériques fraîches congelées sous contrôle de la pression intramusculaire(PIM), afin d’atteindre une PIM maximale stabilisée supérieure à 30 mmHg. La fasciotomie sous-cutanée mini-invasive était réalisée sur 14 jambes par 5 mini-incisions cutanées transversales (2 cm) le long del’axe reliant la tubérosité tibiale à la face postérieure de la malléole latérale. Une fasciotomie ouverte standard de la loge antérieure était pratiquée sur les 9 autres membres du groupe témoin. La PIM était mesurée après les incisions cutanées et après chaque fasciotomie étagée dans le premier groupe et après incision cutanée et fasciale dans le groupe témoin.Résultats. – Une PIM maximale de 43 ± 2 mmHg était obtenue par injection de 177 ± 9 mL de sérum physiologique dans la loge antérieure de la jambe. Dans le groupe témoin de fasciotomie ouverte, l’incision cutanée seule ne réduisait pas significativement la PIM, tandis que la fasciotomie réduisait la PIM à10 ± 1 mmHg (p < 0.001). Dans le groupe ayant subi une fasciotomie sous-cutanée, la fasciotomie complète a permis de réduire significativement la PMI à 11 ± 4 mmHg (p < 0,001), sans différence significative avec le groupe témoin.Discussion. – Ce modèle cadavérique est efficace pour reproduire l’hyperpression rencontrée dans les SDLA. Dans ce modèle, la réduction de PIM après fasciotomie est aussi efficace par une incision sous-cutanée mini-invasive qu’avec une fasciotomie ouverte. Cette technique, testée in vitro, apparaît comme une alternative intéressante dans le traitement du syndrome des loges de la jambe. Il doit être testé dans les autres loges de la jambe et sa faisabilité in vivo en aigu doit être clarifiée.Niveau de preuve. – III, étude expérimentale contrôlée
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