98 research outputs found

    Teaching Telecommunications Policy, Critically

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    Golding and Elliot: Making the News

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    Telecom 2000: Canada's Communication Future

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    Toward a Transnational World Information Order: The Canada-U.S. Free Trade Agreement

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    The Canada-U.S. Free Trade Agreement constitutes a U.S. vision for a transnational world information order. The goal is to integrate culture and communication into a global electronic services sector managed by transnational business. The m A vision contains significant implica-tions for Canadian and European communication policy. L'accord de libre-kchange canado-amkricain constitue une vision arnkricaine d'un ordre international de l'information transnational. L'objectif est d'intkgrer la culture et la communication en un secteur international des services Clectronique gkr6 par le commerce transna-tional. L'accord de libre-khange est lourd de cons6quences pour la rkglementation des communication au Canada et en Europe. A NEW ECONOMIC CONSTITUTION FOR NORTH AMERICA On 1 January 1989, the governments of Canada (1987a) and the United States put into practice North America's first free trade agreement F A). As Warnoc

    La Economía Política de la Comunicación: una actualización diez años después

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    The paper begins by defining the political economy approach, identifies its fundamental characteristics, and maps major schools of thought. From here, it proceeds to examine how communication scholars have drawn on the theoretical framework to carry out research on the mass media and information technologies. The text highlights differing emphases that distinguish research approaches in North America, Europe, and the Third World. The paper then describes the process of rethinking the political economy of communication by proposing the means to address its philosophical assumptions. Specifically, it calls for an approach to knowing that accepts the reality of both concepts and observations and rejects the view, prominent in some theories, that all explanations can be reduced to one essential cause, such as the economy or culture. Rethinking political economy also emphasizes social change, social processes and social relations over the traditional tendency in political economy to start from social structures and institutions.El artículo comienza definiendo el planteamiento de la economía política, identifica sus características fundamentales, y traza un mapa de las principales escuelas de pensamiento. A partir de ahí, procede a examinar cómo los investigadores en comunicación se han servido de este marco teórico para llevar a cabo la investigación sobre los medios masivos y las tecnologías de la información. El artículo resalta los diferentes énfasis que distinguen los planteamientos de investigación en América del Norte, Europa y el Tercer Mundo. El artículo describe luego el proceso de repensar la economía política de la comunicación, proponiendo los medios para dar cuenta de sus afirmaciones filosóficas. Específicamente, hace un llamamiento a un acercamiento al saber que acepte la realidad tanto de conceptos como de observaciones, y deseche la idea, preeminente en algunas teorías, de que todas las explicaciones pueden reducirse a una causa esencial, tal como la economía o la cultura. Repensar la economía política también enfatiza el cambio social, los procesos sociales y las relaciones sociales, por encima de la tendencia tradicional en la economía política a partir de las estructuras sociales y las instituciones

    From the myth of cyberspace to the political economy of computer communication

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    The development of computer communication in the 1980s and 90s gave a new impetus to the set of myths connecting information technologies to the end of space, the end of time, the end of politcs and the end of history. Based on the Political Economy perspective, this article challenges the foundations of this symbolic construct and explains its unsustainability. Along these lines, it will be argued that cyberspace results from the mutual constitution of digitalization and commodification. Due to its potential to combine universial language with customized products, digitalization expands the commodification of content by expanding opportunities to measure and monitor, package and repackage entertainment and information. Mythic cyberspace might therefore might be little more than an highly commercialized space with scarce room for diversity and debate

    Telephone Workers' Reaction to the New Technology

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    Le personnel du secteur des télécommunications fait présentement l'expérience d'une restructuration sans précédent. Les forces principales qui poussent ce développement tiennent à l'utilisation de plus en plus accélérée de la technologie des ordinateurs, au rôle croissant des télécommunications au travail et au foyer ainsi qu'aux tendances à la déréglementation et à la privatisation de l'industrie. Ce changement technologique est davantage apparent dans les entreprises de téléphonie, pierres d'angle du secteur des télécommunications.Le présent article cherche à combler le vide existant dans les études relatives à ce secteur où prolifèrent les analyses politiques et les exposés historiques, mais qui est dépourvu de recherches concrètes sur le déferlement de la nouvelle technologie dans les lieux du travail et dans les relations professionnelles. Le but précis de cet exposé est d'examiner les données touchant les réactions de trois catégories différentes d'employés des services de téléphonie à la suite de la mise en place de technologies qui reposent sur l'utilisation des ordinateurs : soit les communications (opératrices et services qui leur sont rattachés), les métiers (techniciens préposés aux installations et aux réparations), les cols blancs (employés de bureau et préposés aux ordinateurs).L'étude porte sur la relation entre le poste, qui constitue la variable indépendante, et une série de variables intervenantes comprenant la stratégie de la direction, les points de vue des syndicats, la formation du personnel et un certain nombre de variables dépendantes, principalement la motivation au travail, la surveillance par moniteur, les possibilités d'avancement et l'initiative. Une des constatations principales de cette enquête est que la stratégie de la direction lors de l'implantation des changements technologiques, influence considérablement l'intérêt au travail des employés, leur acceptation de la surveillance sur les lieux du travail, la perception qu'ils ont de leurs possibilités d'avancement ainsi que l'initiative dans l'exécution du travail. Plus un travailleur est satisfait de la façon dont la direction a établi la nouvelle technologie, de l'influence positive des changements technologiques dans les relations professionnelles, de la reconnaissance par l'employeur des réalisations des employés et de l'aide qu'il apporte aux personnes déplacées, plus le travailleur se sent intéressé à sa tâche, découvre qu'il maîtrise son milieu de travail et estime qu'il a des possibilités éventuelles de promotion dans l'entreprise. L'étude empirique s'ouvre par un débat sur ce qui s'est publié sur les relations du travail, traite ensuite de l'histoire sociale des relations professionnelles dans le secteur des télécommunications et de l'état de la recherche sur le rapport entre les innovations technologiques et la satisfaction au travail. La pierre de touche de la discussion théorique porte sur la controverse engendrée par les recherches de Braverman sur la manière de considérer le facteur travail, en particulier sur la conception des rapports dynamiques entre les méthodes patronales et les réactions des employés. La recherche en matière d'histoire sociale des télécommunications fait surtout état d'études portant sur les efforts de syndicalisation et les tentatives effectuées en vue d'élargir le champ des relations du travail de façon à y incorporer la question des changements technologiques. L'appréciation de la littérature traitant des changements technologiques et de la satisfaction au travail en ont conduit certains à mettre l'accent sur une définition au sens large de la qualité de vie au travail en insistant sur l'influence primordiale des employeurs et des syndicats dans la conception de la satisfaction au travail.La recherche empirique se fonde sur une enquête d'échantillonnage faite au hasard auprès de 1 911 travailleurs choisis d'une façon équilibrée, lesquels représentaient les 13 380 membres du Syndicat des travailleurs en communication, électronique, électricité, techniciens et salariés du Canada en Saskatchewan, en Ontario, au Québec et au Nouveau-Brunswick. Ces provinces comprennent des types différents de propriété et de réglementation ainsi qu'un vaste éventail de diversité de langues, de races et autres particularités. On a retourné aux enquêteurs, au total, 1 062 exemplaires d'un questionnaire comportant 83 points provenant des quatre provinces participantes.On a pondéré l'échantillon selon les catégories d'occupations, de niveau de compétence, d'ancienneté et de lieu du travail. Puisque presque toutes les personnes assignées aux échanges téléphoniques étaient des femmes et que les gens de métier étaient de sexe masculin, l'occupation permet d'identifier les différences entre hommes et femmes. Dans l'ensemble, l'étude porte sur les relations entre une variable indépendante, six variables intervenantes et six variables dépendantes. Le compte rendu des données obtenues repose sur une analyse corrélative à laquelle s'ajoute parfois une description des pourcentages. L'enquête indique que la variable indépendante, soit le service où travaille l'employé, est en corrélation d'une façon significative avec chacune des autres variables, sauf en ce qui a trait aux attitudes des employés touchant l'ancienneté de poste. En second lieu, la stratégie patronale reste aussi très fortement en corrélation avec chacune des variables dépendantes, sauf en ce qui concerne le comportement des préposés aux échanges téléphoniques au sujet des promotions et l'influence des changements technologiques sur les possibilités d'avancement selon l'ancienneté pour les cols blancs.On peut conclure de cette enquête que plus la participation des travailleurs et des syndicats est forte dans l'instauration de la technologie, lorsqu'elle s'accompagne de programmes positifs de la part des employeurs, plus il sera possible d'atténuer quelques-uns des problèmes que les travailleurs doivent affronter, en particulier la motivation au travail, le contrôle, la surveillance et les possibilités de promotion.The purpose of this study is to provide data that shed light on the reactions of workers to the introduction ofthe new technology in three différent occupational groups within a segment of the Canadian téléphone industr

    Erich Fromm and the Critical Theory of Communication

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    Erich Fromm (1900-1980) was a Marxist psychoanalyst, philosopher and socialist humanist. This paper asks: How can Fromm’s critical theory of communication be used and updated to provide a critical perspective in the age of digital and communicative capitalism? In order to provide an answer, the article discusses elements from Fromm’s work that allow us to better understand the human communication process. The focus is on communication (section 2), ideology (section 3), and technology (section 4). Fromm’s approach can inform a critical theory of communication in multiple respects: His notion of the social character allows to underpin such a theory with foundations from critical psychology. Fromm’s distinction between the authoritarian and the humanistic character can be used for discerning among authoritarian and humanistic communication. Fromm’s work can also inform ideology critique: The ideology of having shapes life, thought, language and social action in capitalism. In capitalism, technology (including computing) is fetishized and the logic of quantification shapes social relations. Fromm’s quest for humanist technology and participatory computing can inform contemporary debates about digital capitalism and its alternatives

    Poder, medios, cultura. Una mirada crítica desde la economía política de la comunicación

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    Desde hace unos años, analistas de prestigio internacional vienen desarrollando los estudios en economía política de la comunicación en el contexto de la llamada "sociedad de la información", al punto de que hoy tienen la plena vigencia y han cobrado una importancia fundamental para comprender la actualidad. En "Poder, medios, cultura", un nutrido conjunto de renombrados especialistas, nucleados en la Unión Latina de Economía Política de la Información, la Comunicación y la Cultura (ULEPICC) -con delegaciones muy activas en Brasil, España y México-, compagina una perspectiva de análisis hoy más necesaria que nunca antes para comprender el funcionamiento de nuestros complejos sistemas mediático-culturales, inmersos en procesos de profunda y constante transformación. En este sentido, la presente obra resulta fundamental para aquellos interesados en las problemáticas y debates que suscitan el funcionamiento de los medios (tradicionales y nuevos), la formulación de políticas públicas de comunicación y cultura, o las prácticas socioculturales en el nuevo escenario digital

    Money, (Co)Production and Power in Digital

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    This article discusses the contribution of critical political economy approaches to digital journalism studies and argues that these offer important correctives to celebratory perspectives. The first part offers a review and critique of influential claims arising from self-styled new studies of convergence culture, media and creative industries. The second part discusses the contribution of critical political economy in examining digital journalism and responding to celebrant claims. The final part reflects on problems of restrictive normativity and other limitations within media political economy perspectives and considers ways in which challenges might be addressed by more synthesising approaches. The paper proposes developing radical pluralist, media systems and comparative analysis, and advocates drawing on strengths in both political economy and culturalist traditions to map and evaluate practices across all sectors of digital journalism
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