47 research outputs found

    Latent variables and structural equation models for longitudinal relationships: an illustration in nutritional epidemiology

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    <p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>The use of structural equation modeling and latent variables remains uncommon in epidemiology despite its potential usefulness. The latter was illustrated by studying cross-sectional and longitudinal relationships between eating behavior and adiposity, using four different indicators of fat mass.</p> <p>Methods</p> <p>Using data from a longitudinal community-based study, we fitted structural equation models including two latent variables (respectively baseline adiposity and adiposity change after 2 years of follow-up), each being defined, by the four following anthropometric measurement (respectively by their changes): body mass index, waist circumference, skinfold thickness and percent body fat. Latent adiposity variables were hypothesized to depend on a cognitive restraint score, calculated from answers to an eating-behavior questionnaire (TFEQ-18), either cross-sectionally or longitudinally.</p> <p>Results</p> <p>We found that high baseline adiposity was associated with a 2-year increase of the cognitive restraint score and no convincing relationship between baseline cognitive restraint and 2-year adiposity change could be established.</p> <p>Conclusions</p> <p>The latent variable modeling approach enabled presentation of synthetic results rather than separate regression models and detailed analysis of the causal effects of interest. In the general population, restrained eating appears to be an adaptive response of subjects prone to gaining weight more than as a risk factor for fat-mass increase.</p

    3 years of liraglutide versus placebo for type 2 diabetes risk reduction and weight management in individuals with prediabetes: a randomised, double-blind trial

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    Background: Liraglutide 3·0 mg was shown to reduce bodyweight and improve glucose metabolism after the 56-week period of this trial, one of four trials in the SCALE programme. In the 3-year assessment of the SCALE Obesity and Prediabetes trial we aimed to evaluate the proportion of individuals with prediabetes who were diagnosed with type 2 diabetes. Methods: In this randomised, double-blind, placebo-controlled trial, adults with prediabetes and a body-mass index of at least 30 kg/m2, or at least 27 kg/m2 with comorbidities, were randomised 2:1, using a telephone or web-based system, to once-daily subcutaneous liraglutide 3·0 mg or matched placebo, as an adjunct to a reduced-calorie diet and increased physical activity. Time to diabetes onset by 160 weeks was the primary outcome, evaluated in all randomised treated individuals with at least one post-baseline assessment. The trial was conducted at 191 clinical research sites in 27 countries and is registered with ClinicalTrials.gov, number NCT01272219. Findings: The study ran between June 1, 2011, and March 2, 2015. We randomly assigned 2254 patients to receive liraglutide (n=1505) or placebo (n=749). 1128 (50%) participants completed the study up to week 160, after withdrawal of 714 (47%) participants in the liraglutide group and 412 (55%) participants in the placebo group. By week 160, 26 (2%) of 1472 individuals in the liraglutide group versus 46 (6%) of 738 in the placebo group were diagnosed with diabetes while on treatment. The mean time from randomisation to diagnosis was 99 (SD 47) weeks for the 26 individuals in the liraglutide group versus 87 (47) weeks for the 46 individuals in the placebo group. Taking the different diagnosis frequencies between the treatment groups into account, the time to onset of diabetes over 160 weeks among all randomised individuals was 2·7 times longer with liraglutide than with placebo (95% CI 1·9 to 3·9, p&lt;0·0001), corresponding with a hazard ratio of 0·21 (95% CI 0·13–0·34). Liraglutide induced greater weight loss than placebo at week 160 (–6·1 [SD 7·3] vs −1·9% [6·3]; estimated treatment difference −4·3%, 95% CI −4·9 to −3·7, p&lt;0·0001). Serious adverse events were reported by 227 (15%) of 1501 randomised treated individuals in the liraglutide group versus 96 (13%) of 747 individuals in the placebo group. Interpretation: In this trial, we provide results for 3 years of treatment, with the limitation that withdrawn individuals were not followed up after discontinuation. Liraglutide 3·0 mg might provide health benefits in terms of reduced risk of diabetes in individuals with obesity and prediabetes. Funding: Novo Nordisk, Denmark

    Etude des déterminants du comportement alimentaire (interaction gène-environnement dans l'obésité)

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    La prévalence de l'obésité a considérablement augmenté au cours des dernières décennies et est généralement expliquée par l'interaction entre les changements environnementaux et la prédisposition génétique. Le premier objectif était d examiner l'impact des changements socioprofessionnels et éducatifs sur la prévalence de l'obésité en France. Cette analyse a été effectuée dans la population MONICA (5423 hommes et 5271 femmes âgés de 35 à 64 ans) en 1986, 1996 et 2006 dans trois régions géographiques de la France. Un questionnaire et un examen clinique standardisé ont permis de recueillir les données. Une analyse contrefactuelle a évalué la contribution des changements socioprofessionnels et éducatifs sur la prévalence de l'obésité. Nous avons ainsi observé que la prévalence de l'obésité a augmenté pour chaque catégorie professionnelle, sauf pour les femmes au chômage, où elle est restée stable. La contribution des changements professionnels sur la prévalence de l'obésité a été estimée à -0,3% et -1,9% chez les hommes et les femmes, respectivement. La prévalence de l'obésité a augmenté également pour chaque niveau d éducation, cependant davantage pour le groupe moins instruit. La contribution des changements du niveau d'éducation sur la prévalence de l obésité a été estimée à - 1,8% pour les hommes et -4,7% pour les femmes. Ces tendances ont été partiellement masquées par la contribution défavorable des facteurs séculaires, estimés à +3,9% et +2,5% chez les hommes et les femmes, respectivement. En conséquence, la prévalence de l'obésité est passée de 15,0% à 18,4% chez les hommes et de 15,9% à 17,2% chez les femmes entre 1986 et 2006. Le second objectif était d étudier l'influence des comportements liés au poids sur l'indice de masse corporelle (IMC) en fonction du sexe et de la classe sociale, ainsi que la perception du poids, dans un échantillon représentatif de la population adulte française. L analyse a été effectuée dans l enquête transversale Nutrialis, comportant 1646 sujets adultes vivant en France. Les participants ont été pesés à la maison et ont ensuite répondu à un questionnaire standardisé. Nos résultats montrent que la classe sociale est liée à l'IMC chez les femmes, et non chez les hommes. La perception du poids diffère selon la classe sociale chez les femmes et non chez les hommes et contribuent aux différences observées entre les comportements visant à contrôler le poids. Dans la classe sociale la plus élevée, la restriction est plus élevée et le temps passé devant la télévision plus faible, pour les deux sexes ; l'externalité alimentaire est plus élevée chez les femmes et moins élevée chez les hommes, comparativement aux autres classes sociales. L'IMC est positivement corrélée avec le score de restriction alimentaire et négativement avec le score d externalité alimentaire dans les deux sexes. La proportion de sujets pratiquant une activité physique de loisirs augmente avec la classe sociale pour les deux sexes. La proportion de fumeurs est plus élevée chez les hommes de classe sociale inférieure. Enfin, la restriction alimentaire, le tabagisme, le temps passé devant la télévision et l'activité physique sont indépendamment corrélés à l'IMC dans les deux sexes, alors que le score d externalité alimentaire est corrélé à l'IMC que chez les femmes. Le troisième objectif était d étudier l interaction entre les polymorphismes d un gène impliqué dans le comportement alimentaire et les facteurs socio-économiques, sur le développement de l adiposité. Nous avons choisi le gène de la neuromedine B (NMB) pour lequel le polymorphisme P73T a été associé à l'obésité et aux anomalies du comportement alimentaire chez les adultes. Nous avons ainsi analysé l'association entre les 4 polymorphismes du gène NMB (rs1107179, rs17598561, rs3809508 et rs1051168 (P73T)) et les phénotypes liés à l'obésité dans la population HELENA (1144 adolescents européens âgés de 12 à 17 ans). L'obésité a été définie en fonction des critères de Cole et al.; les données ont été recueillies via un questionnaire standardisé. Nos données montrent que seul le polymorphisme rs3809508 est associé à l obésité, et le génotype TT est plus fréquent chez les adolescents obèses que chez les non obèses (ORajusté=2,85 [1,11-7,31], p=0,03). De plus, les sujets TT ont un IMC, un tour de taille, un rapport tour de taille/hanches et un rapport tour de taille/taille plus élevés que les porteurs de l allèle C. Par ailleurs, nous avons montré que les effets de ce polymorphisme sur toutes les valeurs anthropométriques ont été influencée par le statut socio-économique de la mère, en ce sens qu'un faible niveau d'éducation maternelle aggrave le phénotype des adolescents porteurs du génotype TT (interaction p<0,02). En conclusion, entre 1986 et 2006, l'obésité a augmenté en France dans toutes les catégories socioprofessionnelles et davantage chez les hommes que chez les femmes. Cette tendance séculaire a été partiellement contrée par l'amélioration du niveau socioprofessionnel et éducatif qui a eu lieu au cours de la même période. Notre étude confirme également qu ils existent des différences liées au sexe dans la relation entre l'IMC et la classe sociale, qui pourraient être dues à une perception du poids et des comportements visant à contrôler le poids différents. Enfin, un faible niveau d'éducation maternelle peut aggraver l expression phénotypique d un gène associé au comportement alimentaire, sur le développement de l obésité des adolescents.LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocSudocFranceF

    Le diabète gestationnel (rôle de l'alimentation ?)

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    LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Qui sont les patients obèses se présentant en consultation de nutrition au CHRU de Lille ?

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    LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Première phrase du patient en consultation d'obésité

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    Contexte : La motivation est un facteur clé de la prise en charge des patients obèses. Un entretien centré sur le patient et basé sur de simples questions ouvertes peut apporter des éléments permettant d évaluer cette motivation. Objectif : La première phrase du patient en consultation d obésité en réponse à la question Qu est-ce qui vous amène ? a été étudiée afin de déterminer si elle pouvait être un facteur discriminant dans le profil de ces patients et un facteur pronostic de prise en charge. Méthodes : Cette étude rétrospective non randomisée portait sur une cohorte de 220 patients du CHRU de Lille vus en consultation spécialisée d obésité entre 2006 et 2012. Les patients ont été répartis en 6 groupes selon leur première phrase : chirurgie , adressés , pathologie , positifs , négatifs et poids . Des questionnaires et un relevé du dossier médical informatisé ont permis de recueillir des données lors de la visite initiale et au cours du suivi. Ces données ont été analysées de manière comparative pour chaque groupe. Le critère principal de jugement était le pourcentage de perte de poids à la fin du suivi. Résultats : Les groupes différaient significativement à la visite initiale sur le plan du poids (p=0,0249), du niveau d étude (p=0,0045) et du nombre de régimes antérieurs (p=0,019). Le pourcentage de perte de poids en fin de suivi était significativement différent entre les groupes (p=0,0086). Les patients du groupe pathologie étaient 30% à avoir une perte de poids supérieure à 5% contre 14,29% pour les patients du groupe poids ; les patients des groupes chirurgie et adressés étaient respectivement 50% et 83,33% à avoir une prise de poids supérieure à 5% contre 10% et moins pour les groupes pathologie , positifs et négatifs . Conclusion : La comparaison des patients en fonction de leur première phrase en consultation montrait donc des différences entre les groupes, initialement et au cours suivi. Le médecin généraliste a une position privilégiée dans la prise en charge de l obésité mais ce dernier n est pas toujours formé aux nouvelles approches telles que l entretien motivationnel ; la première étape est l écoute du patient dès le début de la consultation.LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocSudocFranceF

    "Changer pour mieux être" (évaluation de l'éducation de patients obèses de milieu défavorisé en structure de proximité)

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    "Etre bien avec les autres" (action de prise en charge d'enfants obèses en milieux défavorisés)

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