45 research outputs found

    A quantitative approach of the morphological changes in the middle Garonne river (South-west France) during the last 150 years

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    International audienceThe aim of this study is to periodize the geomorphological evolution of the Middle Garonne river from Toulouse to the tarn junction from middle 19th century to Present, in order to highlight the respective role of climate vs anthropization as diving force

    Le gisement de méga-fossiles ligneux de Bourret (moyenne vallée de la Garonne) : processus de formation et signification climatique

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    International audienceLe gisement de mégafossiles ligneux de Bourret est le plus important identifié à ce jour en vallée de Garonne. La datation14C de 8 des 17 troncs subfossiles de Quercus extraits s’échelonne entre 8 300 et 4 200 ans cal. BP. Elles attestent du caractèrepartiellement remanié du gisement. Certains de ces bois ont subi une ou des phases de stockage temporaire d’une durée compriseentre 4 100 et 1 000 ans avant d’être incorporés définitivement dans la basse plaine. Les bois les plus anciens ont donc connu unehistoire complexe comportant une phase d’injection dans le chenal, de stockage dans des unités intermédiaires, puis une érosion etune nouvelle phase de dépôt avec la charge de fond. Les bois les plus jeunes résultent quant à eux d’une injection directe depuis laripisylve dans le système fluvial. L’agrégation des dates obtenues sur ce site et sur les sites découverts antérieurement s’organisent en3 agrégats (env. 8 200, 5 200 et 4 200 ans cal. BP). Ceci suggère que l’injection des bois dans le système fluvial est liée à des phasesde forte activité hydrosédimentaire. Le synchronisme avec les Rapid Climate Changes (RCC) suggère un contrôle climatique sur ceprocessus, ce qui nous amène à proposer un schéma conceptuel de formation des gisements de bois fossiles

    The subfossil tree deposits from the Garonne Valley and their implications on Holocene alluvial plain dynamics

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    International audienceSubfossil tree trunks deposits are common in large rivers, but their status as a source for dating alluvial sequences and palaeoenvironmental studies is still discussed. Particularly their origin and the process(es) of deposition as well as a possible remobilization were pointed as a limit to their use to document river alluvial changes. In this work we report the discovery of the largest subfossil trunks deposits in the Garonne valley. These new data are compared to the previous ones. A set of 17 tree trunks and more than 300 smaller wood fragments were collected. The xylologic study shows the prevalence of Quercus and a single occurrence of Ulmus. These two hardwood species are commonly associated with riparian forest. The 14C dating carried out on seven trunks and a single branch of Quercus on the outermost identified growth rings, indicates age ranging from 8400-8000 cal. BP for the oldest fragment (bough) to 4300-4000 cal. BP for the most recent tree trunk. Radiocarbon ages of the trunks are aggregated into two main periods: 5300-5600 cal. BP (four trunks) and 4300-4000 cal. BP (three trunks). The radiocarbon (charcoal) dating of the top of the alluvial sequence overlaying the trunks gives an age between 1965-1820 and 1570-1810 cal. BP, i.e. between the 2nd and the 5th c. AD. In addition, the discovery of two unpublished subfossil tree trunks deposits in Finhan are reported (six trunks). At the light of these results, we discuss previously proposed models for the Garonne floodplain building

    Les dépressions fermées du Languedoc central et du Roussillon : inventaire, caractérisation géomorphométrique et essai de typologie

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    International audienceLes dépressions fermées sont des formes topographiques en creux, partiellement ou totalement endoréiques, en eau ou hydromorphes.Ces formes ont été décrites de longue date dans la littérature géomorphologique du pourtour du golfe du Lion jusqu’au piémont de laMontagne Noire. Sur le secteur Languedoc central/Roussillon, elles constituent un ensemble d’objets aux morphologies particulièrement hétérogènes, ce qui semble contradictoire avec l’hypothèse d’un processus de morphogénèse unique. L’objectif de ce travail estdonc la caractérisation quantitative de ces formes par une approche géomorphométrique et la réalisation d’une typologie rendant compte de cette diversité. Dans un premier temps, un inventaire exhaustif des dépressions a été entrepris entre le Languedoc central et leRoussillon à partir d’un ensemble de sources cartographiques et toponymiques. 175 dépressions ont été identifiées dans les bassesplaines du Roussillon, de l’Aude et de l’Hérault, dont 61 sont inédites. Sur ce corpus, 83 formes ont une taille suffisante pour permettreune étude morphométrique. À partir de sept paramètres descriptifs mesurés sous SIG (lithologie, surface de la dépression sensu largo,surface de la cuvette hydromorphe, surface du bassin-versant drainé, incision de la forme, encaissement de la forme dans le paysage etindice de circularité), un premier essai de typologie est proposé par la réalisation d’une ACP. Il met en évidence l’existence de troisgrands groupes de modelés dont l’origine est discutée

    La restauration des services écosystémiques le long de la Garonne toulousaine : premier état des lieux

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    International audienceDans cette étude, nous proposons un inventaire des actions de restauration mises en œuvre le long de la Garonne toulousaine. À partir d'un système de requête via le moteur de recherche Google, 86 opérations sont ainsi recensées. Parmi ces actions, plus de la moitié (61 %) correspondent à des démarches accomplies ou en cours, ciblant principalement la préservation de la biodiversité et l'ouverture des sites au public. En opposition, les projets d'actions futures (39 %) sont plus souvent tournés vers une perspective de reconstitution du fonctionnement du milieu. Ces résultats sont mis en discussion au regard de la méthode employée, de la multiplicité des acteurs identifiés, des enjeux identifiés dans la littérature scientifique et de l' exemple du programme de restauration établi sur le Rhône

    Atlas géohistorique de la Garonne. Moyenne Garonne toulousaine (confluence de l’Ariège à la confluence du Tarn)

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    International audienceL’atlas géohistorique de la Garonne rend compte des résultats de différents travaux de recherche menés sur un linéaire fluvial de 90 km environ, entre les confluences de l’Ariège et du Tarn (moyenne Garonne toulousaine); La moyenne Garonne toulousaine s’étend de la confluence de l’Ariège jusqu’à la confluence avec le Tarn (tronçon d’environ 90 km). A l’aval de la confluence de l’Ariège, la Garonne change de direction et s’oriente vers le Nord-Ouest. C’est à Toulouse que s’amorce la grande courbure de la Garonne puisque cette ville correspond au territoire situé le plus à l’Est sur le cours du fleuve. Dans ce tronçon, le module de la Garonne atteint 240 m3/s à Verdun-sur-Garonne (Tarn-et-Garonne). Ce sont les apports des affluents pyrénéens qui amènent leurs eaux au fleuve (Neste, Salat, Arize, Ariège, cours d’eau issus du plateau de Lannemezan, Hers,...). Cette origine pyrénéenne du fleuve lui a valu le surnom de « torrent pyrénéen assagi », qualificatif que l’on retrouve fréquemment pour qualifier la moyenne Garonne toulousaine de la part des ingénieurs de Ponts et Chaussées dans les archives

    Atlas géohistorique de la Garonne. Moyenne Garonne toulousaine (confluence de l’Ariège à la confluence du Tarn)

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    International audienceL’atlas géohistorique de la Garonne rend compte des résultats de différents travaux de recherche menés sur un linéaire fluvial de 90 km environ, entre les confluences de l’Ariège et du Tarn (moyenne Garonne toulousaine); La moyenne Garonne toulousaine s’étend de la confluence de l’Ariège jusqu’à la confluence avec le Tarn (tronçon d’environ 90 km). A l’aval de la confluence de l’Ariège, la Garonne change de direction et s’oriente vers le Nord-Ouest. C’est à Toulouse que s’amorce la grande courbure de la Garonne puisque cette ville correspond au territoire situé le plus à l’Est sur le cours du fleuve. Dans ce tronçon, le module de la Garonne atteint 240 m3/s à Verdun-sur-Garonne (Tarn-et-Garonne). Ce sont les apports des affluents pyrénéens qui amènent leurs eaux au fleuve (Neste, Salat, Arize, Ariège, cours d’eau issus du plateau de Lannemezan, Hers,...). Cette origine pyrénéenne du fleuve lui a valu le surnom de « torrent pyrénéen assagi », qualificatif que l’on retrouve fréquemment pour qualifier la moyenne Garonne toulousaine de la part des ingénieurs de Ponts et Chaussées dans les archives
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