312 research outputs found

    Manifestations Orl du Rgo chez l’enfant quelle attitude observer ?

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    Si les manifestations digestives ou respiratoires du reflux gastro-oesophagien sont connues depuis longtemps, la notion de pathologies ORL chroniques ou rĂ©cidivantes liĂ©es au reflux est relativement rĂ©cente et reste sujette Ă  controverse. A travers une revue de la littĂ©rature rĂ©cente, nous avons tentĂ© de mettre en Ă©vidence un lien de causalitĂ© entre RGO et manifestations extra digestives, en particulier ORL, et d’en dĂ©duire une ligne de conduite thĂ©rapeutique.Mots ClĂ©s : RGO, Manifestations extra digestives, Pathologie ORL, Traitement mĂ©dicamenteux, Traitement chirurgical, Traitement coelioscopique

    Modélisation du rendement grain du pois chiche (Cicer arietinum L.) du type « kabuli » sous les conditions édapho-climatiques du semi-aride supérieur Tunisien

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    Un essai est conduit, in situ, en pots, sous des conditions Ă©dapho-climatiques contrĂŽlĂ©es du semi aride supĂ©rieur Tunisien. Le matĂ©riel vĂ©gĂ©tal est composĂ© de huit gĂ©notypes de pois chiche du type « kabuli ». Quatre doses d’irrigation ont Ă©tĂ© administrĂ©es, notamment, 100%, 75%, 50% et 25% de la rĂ©serve facilement utilisable (RFU). Les rĂ©sultats indiquent que seuls le poids des gousses/m2 et le nombre de graines/m2 ont des effets directs significatifs sur le rendement en graines. Le nombre de graines/m2, la biomasse aĂ©rienne, la dose d’irrigation et le poids de 100 graines ont prĂ©sentĂ© les effets indirects positifs les plus Ă©levĂ©s; alors que les dates de floraison prĂ©coce, de floraison et de maturitĂ© prĂ©coce et le poids des gousses/m2 ont prĂ©sentĂ© les effets indirects nĂ©gatifs les plus Ă©levĂ©s. La rĂ©gression linĂ©aire multiple « pas Ă  pas » a permis de rĂ©duire le nombre de covariables qui expliquent le rendement en graines. L’analyse sĂ©quentielle de piste, fondĂ©e sur le classement des covariables en premier et second ordre sur la base de leurs effets directs les plus Ă©levĂ©s et de leurs colinĂ©aritĂ©s minimales, a montrĂ© que le poids des gousses/m2 et le nombre de graines/m2 ont des effets directs hautement significatifs et que l’indice de rĂ©colte et la biomasse aĂ©rienne ont les effets indirects les plus Ă©levĂ©s sur le rendement en graines

    Polype antrochoanal de l’enfant

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    Le polype antrochoanal ou polype de killian est une nĂ©oformation bĂ©nigne dont l’origine est le sinus maxillaire et qui touche avec prĂ©dilection l’enfant et l’adulte jeune.Objectif : Le but de ce travail est de prĂ©ciser les caractĂ©ristiques du polype de killian chez l’enfant et d’évaluer les rĂ©sultats du traitement endoscopique.Patients et MĂ©thodes : Il s’agit d’une Ă©tude rĂ©trospective Ă  propos de 35 cas de polype antrochoanal opĂ©rĂ©s sur une pĂ©riode de 14 ans.RĂ©sultats : L’ñge moyen de nos malades Ă©tait de 13,2 ans. Il a Ă©tĂ© notĂ© une prĂ©dominance masculine. Tous nos patients n’avaient pas d’antĂ©cĂ©dants allergiques. L’obstruction nasale Ă©tait le maitre symptĂŽme. Six patients ont prĂ©sentĂ© une Ă©pistaxis. Le diagnostic du polype  antrochoanal Ă©tait Ă©voquĂ© sur des constatations endoscopiques et radiologiques. Tous nos patients ont bĂ©nĂ©ficiĂ© d’une mĂ©atotomie moyenne par voie endonasale associĂ©e Ă  une trĂ©panation de la fosse canine dans deux cas. Nous avons notĂ© 5 cas de rĂ©cidives dont la reprise Ă©tait par voie endoscopique associĂ©e Ă  une trĂ©panation de la fosse canine.Conclusion : Le taux de rĂ©cidive du polype de killian est plus important dans la population pĂ©diatrique. Le risque de rĂ©cidive dĂ©pend de deux facteurs essentiels : la technique chirurgicale qui doit ĂȘtre adaptĂ©e au cas par cas et le dĂ©lai diagnostique et thĂ©rapeutique qui doit ĂȘtre prĂ©coce avant l’apparition d’une rhino sinusite secondaire rendant la chirurgie difficile.Mots clĂ©s : polype antrochoanal, enfants, chirurgie endoscopique, rĂ©cidive

    Le kyste de la vallecule : a propos de 2 observations

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    Le kyste de la vallĂ©cule est une malformation laryngĂ©e rare pouvant parfois mettre en jeu le pronostic vital. DiagnostiquĂ© et traitĂ© Ă  temps, le risque de complications et de morbiditĂ© peut ĂȘtre Ă©cartĂ©. Les auteurs rapportent 2 cas de kystes de la vallĂ©cule. La tomodensitomĂ©trie a confirmĂ© la prĂ©sence d’une formation kystique prenant origine au niveau de la vallĂ©cule. Une laryngoscopie directe a Ă©tĂ© faite pour les 2 patients sous anesthĂ©sie gĂ©nĂ©rale. Le premier malade a eu une rĂ©section endoscopique complĂšte du kyste et le 2Ăšme une large marsupialisation au Laser. L’examen anatomopathologique a confirmĂ© la bĂ©nignitĂ© de la formation kystique dans les 2 cas.Mots-clĂ©s : Kyste de la vallĂ©cule, laryngoscopie directe, rĂ©section endoscopique, marsupialisation

    Prise en charge de l’hyperparathyroidie primaire : a propos de 25 cas et revue de la littĂ©rature

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    Objectif : Les auteurs rapportent leur expĂ©rience dans la prise en charge de l’hyperparathyroĂŻdie primaire (HPTP) et comparent leurs rĂ©sultats par rapport aux donnĂ©es de la littĂ©rature en discutant les avantages potentiels des diffĂ©rentes techniques chirurgicales. MatĂ©riel et mĂ©thodes : Il s’agit d’une Ă©tude rĂ©trospective Ă  propos de 25 patients colligĂ©s sur 8 ans (1998-2005). Tous les patients ont bĂ©nĂ©ficiĂ© d’une Ă©chographie cervicale, d’un bilan rĂ©nal et d’un dosage de la calcĂ©mie et de la parathormonĂ©mie (PTH). Une TDM cervicale a Ă©tĂ© pratiquĂ©e dans 8 cas et une IRM dans 3 cas. Une scintigraphie Ă  la tĂ©trofosmine a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e dans 10 cas, et Ă  double isotope (thallium 201-technĂ©tium 99) dans 2 cas. Une cervicotomie avec exploration bilatĂ©rale systĂ©matique des 2 loges thyroĂŻdiennes a Ă©tĂ© pratiquĂ©e dans tous les cas. En postopĂ©ratoire, la surveillance a Ă©tĂ© clinique et biologique avec un recul moyen de 22 mois. RĂ©sultats : La calcĂ©mie Ă©tait Ă©levĂ©e chez 23 patients et la PTH dans tous les cas. L’échographie a dĂ©tectĂ© une hypertrophie d’une glande parathyroĂŻde chez 14 patients (56%) et de 2 glandes chez 1 seul patient. La TDM cervicale a permis de localiser la lĂ©sion dans 5 cas. L’IRM Ă©tait normale dans les 3 cas oĂč elle a Ă©tĂ© pratiquĂ©e. La scintigraphie a montrĂ© une hyperfixation dans 8 cas. Une exĂ©rĂšse d’adĂ©nomes a Ă©tĂ© pratiquĂ©e dans 92% et une parathyroĂŻdectomie subtotale dans 8% des cas. Le taux de guĂ©rison Ă©tait de 88% aprĂšs premiĂšre intervention. Une reprise chirurgicale avec exĂ©rĂšse d’adĂ©nome a Ă©tĂ© pratiquĂ©e chez 2 patients (8%). Par ailleurs aucune complication n’a Ă©tĂ© notĂ©e en postopĂ©ratoire. Conclusion : La chirurgie parathyroĂŻdienne classique donne de bons rĂ©sultats avec des taux de guĂ©rison Ă©levĂ©s et un taux de morbiditĂ© global faible. Ces rĂ©sultats sont comparables avec ceux de la littĂ©rature. La chirurgie mini-invasive donne des rĂ©sultats semblables mais impose des impĂ©ratifs techniques, une imagerie performante et des patients rigoureusement sĂ©lectionnĂ©s.Mots-clĂ©s : hypercalcĂ©mie, hyperparathyroĂŻdie primaire,  hyperparathormonĂ©mie, chirurgie parathyroĂŻdienn

    Place et limites de la chirurgie endonasale dans le traitement des mucoceles sinusiennes

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    Objectif : PrĂ©ciser les indications et les limites de la chirurgie endonasale dans le traitement des mucocĂšles sinusiennes.MatĂ©riel et mĂ©thodes : Il s’agit d’une Ă©tude rĂ©trospective Ă  propos de 15 patients colligĂ©s sur 13 ans (1994-2006). Tous les patients ont bĂ©nĂ©ficiĂ© d’une endoscopie nasale et d’une TDM du massif facial. Une IRM a Ă©tĂ© pratiquĂ©e dans 10 cas. Le traitement chirurgical comportait une marsupialisation ou une exĂ©rĂšse de la mucocĂšle. Les voies d’abord Ă©taient endonasales, externes ou combinĂ©es, en fonction de l’extension ou de la topographie des lĂ©sions. La surveillance en postopĂ©ratoire a Ă©tĂ© clinique et radiologique. RĂ©sultats : La TDM a montrĂ© une atteinte ethmoĂŻdo-frontale (6 cas), maxillaire (5 cas), ethmoĂŻdale isolĂ©e (2 cas), frontale isolĂ©e (1 cas) et sphĂ©noĂŻdale (1 cas). L’IRM a montrĂ© une extension orbitaire dans 7 cas et endocrĂąnienne dans 3 cas. La voie d’abord chirurgicale Ă©tait endonasale exclusive dans 12 cas. Une voie combinĂ©e (endonasale et externe) a Ă©tĂ© nĂ©cessaire chez un patient ayant une atteinte frontale isolĂ©e et un autre ayant une atteinte ethmoĂŻdo-frontale. Un patient ayant une mucocĂšle maxillaire latĂ©rale a Ă©tĂ© opĂ©rĂ© par voie de Caldwell-Luc. Aucune rĂ©cidive n’a Ă©tĂ© notĂ©e avec un recul moyen de 14 mois. Conclusion : La chirurgie endonasale reprĂ©sente la technique de choix dans le traitement des mucocĂšles sinusiennes et donne de bons rĂ©sultats Ă  long terme. Le siĂšge et l’extension des mucocĂšles reprĂ©sentent les principaux facteurs dĂ©terminants dans le choix de la voie d’abord

    Multicohort analysis of the maternal age effect on recombination

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    Several studies have reported that the number of crossovers increases with maternal age in humans, but others have found the opposite. Resolving the true effect has implications for understanding the maternal age effect on aneuploidies. Here, we revisit this question in the largest sample to date using single nucleotide polymorphism (SNP)-chip data, comprising over 6,000 meioses from nine cohorts. We develop and fit a hierarchical model to allow for differences between cohorts and between mothers. We estimate that over 10 years, the expected number of maternal crossovers increases by 2.1% (95% credible interval (0.98%, 3.3%)). Our results are not consistent with the larger positive and negative effects previously reported in smaller cohorts. We see heterogeneity between cohorts that is likely due to chance effects in smaller samples, or possibly to confounders, emphasizing that care should be taken when interpreting results from any specific cohort about the effect of maternal age on recombination
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