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    DĂ©termination de la plus critique fenĂȘtre d'exposition d'une surnutrition lipidique maternelle pour le dĂ©veloppement foeto-placentaire: entre la pĂ©riode prĂ©conceptionnelle et la pĂ©riode gestationnelle

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    Introduction et but de l’étude : Nos Ă©tudes de l'effet d’un rĂ©gime hypergras chez la mĂšre sur le dĂ©veloppement fƓto-placentaire, ont montrĂ© que les fƓtus de lapines sous rĂ©gime hypergras (H) prĂ©sentaientun retard de croissance intra-utĂ©rin (RCIU) en fin de gestation, des anomalies placentaireset du mĂ©tabolisme lipidique [1]. Parce que l’exposition maternelles’étendait de la pubertĂ© Ă  la fin de la gestation, ces Ă©tudes n’avaient pas permis de dissocier l’effet d’une exposition prĂ©-conceptionnelle d’une exposition gestationnelle. Notre objectif est d’étudier l’impact de ces deux fenĂȘtres d’expositionsurle dĂ©veloppement fƓto-placentaire. Le placentaet la dĂ©cidueont Ă©tĂ© ciblĂ©s pour Ă©tudier les adaptations placentaires en rĂ©ponse Ă  l'environnement maternel et la flexibilitĂ© de la dĂ©cidue maternelle face Ă  l'origine embryologique du fƓtus.MatĂ©riel et mĂ©thodes : Des embryons de 1jpc (jour post-conception), issus de donneuses sous rĂ©gime tĂ©moin (T) ou H ont Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©s chirurgicalement dans l’utĂ©rus de receveuses synchronisĂ©es T (n=7) ou H (n=6) pour poursuivre leur dĂ©veloppement gestationnel jusqu'Ă  28jpc. Ces transferts ont permis d’obtenir 4 combinaisons: T/T (n=10), T/H (n=13), H/T (n=13) et H/H (n=6). Le dĂ©veloppement fƓto-placentaire a Ă©tĂ© Ă©valuĂ© par des analyses biomĂ©triques. Les profils en acides gras (AG)des membranes placentaires (placenta et dĂ©cidue) ontĂ©tĂ© Ă©valuĂ©s par CPG. Des analyses statistiques non paramĂ©triques (Kuskall et Wallis, test post hoc) etdes Analyses en Composantes Principales (ACP) pour les profils en AG ont Ă©tĂ© utilisĂ©es. RĂ©sultats et Analyse statistique :Les groupes T/T et H/H ont permis de valider l’hypotrophie fƓtale prĂ©cĂ©demment dĂ©crite [1], et d’exclure un effet des biotechnologies de la reproduction (transferts d’embryons). Les autres groupes, H/T et T/H, ont permis d’explorer les pĂ©riodes prĂ©-conceptionnelle et gestationnelle, respectivement. Lesfoetus H/T Ă©taient normaux tandis que les T/H prĂ©sentaient une baisse d’efficacitĂ© placentaire. Les ACP des profils en AG ont rĂ©vĂ©lĂ© un fort impact du rĂ©gime gestationnel sur les placentas T/H et H/H (fortes concentrations d'AG, plus polyinsaturĂ©s w6 et moins monoinsaturĂ©s), que les T/T et H/T. Les profils placentaires H/T diffĂ©raient des T/T (dĂ©ficit en AGPI w6 et plussaturĂ©s). Les placentas T/H Ă©taientplus altĂ©rĂ©sque les H/H (plus d'AGMI). Les profils des dĂ©cidues H/T et T/T Ă©taient similaires :origine embryonnaire moins importante si le rĂ©gime gestationnel est Ă©quilibrĂ©. Le profil des dĂ©cidues T/H Ă©tait plus proche des T/T que des H/H : la dĂ©cidue s’adapte au fƓtus quand il est sain. Par contre les dĂ©cidues H/H Ă©taient plus saturĂ©es et moins polyinsaturĂ©es. Conclusion : Un embryon issu d’une donneuse H va Ă©voluer de façon favorable quand il est transfĂ©rĂ© chez une receveuse T (groupe H/T), avec un dĂ©veloppement normal Ă  terme, toutefois leur profil placentaire en AG reste affectĂ©. Si le rĂ©gime maternel pendant la gestation joue un rĂŽle prĂ©pondĂ©rant, l’origine embryologique laisse toutefois des tracesau niveau du phĂ©notype membranaire, nĂ©cessaires Ă  Ă©valuer Ă  long terme. Introduction et but de l’étude : Nos Ă©tudes de l'effet d’un rĂ©gime hypergras chez la mĂšre sur le dĂ©veloppement fƓto-placentaire, ont montrĂ© que les fƓtus de lapines sous rĂ©gime hypergras (H) prĂ©sentaientun retard de croissance intra-utĂ©rin (RCIU) en fin de gestation, des anomalies placentaireset du mĂ©tabolisme lipidique [1]. Parce que l’exposition maternelles’étendait de la pubertĂ© Ă  la fin de la gestation, ces Ă©tudes n’avaient pas permis de dissocier l’effet d’une exposition prĂ©-conceptionnelle d’une exposition gestationnelle. Notre objectif est d’étudier l’impact de ces deux fenĂȘtres d’expositionsurle dĂ©veloppement fƓto-placentaire. Le placentaet la dĂ©cidueont Ă©tĂ© ciblĂ©s pour Ă©tudier les adaptations placentaires en rĂ©ponse Ă  l'environnement maternel et la flexibilitĂ© de la dĂ©cidue maternelle face Ă  l'origine embryologique du fƓtus.MatĂ©riel et mĂ©thodes : Des embryons de 1jpc (jour post-conception), issus de donneuses sous rĂ©gime tĂ©moin (T) ou H ont Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©s chirurgicalement dans l’utĂ©rus de receveuses synchronisĂ©es T (n=7) ou H (n=6) pour poursuivre leur dĂ©veloppement gestationnel jusqu'Ă  28jpc. Ces transferts ont permis d’obtenir 4 combinaisons: T/T (n=10), T/H (n=13), H/T (n=13) et H/H (n=6). Le dĂ©veloppement fƓto-placentaire a Ă©tĂ© Ă©valuĂ© par des analyses biomĂ©triques. Les profils en acides gras (AG)des membranes placentaires (placenta et dĂ©cidue) ontĂ©tĂ© Ă©valuĂ©s par CPG. Des analyses statistiques non paramĂ©triques (Kuskall et Wallis, test post hoc) etdes Analyses en Composantes Principales (ACP) pour les profils en AG ont Ă©tĂ© utilisĂ©es. RĂ©sultats et Analyse statistique :Les groupes T/T et H/H ont permis de valider l’hypotrophie fƓtale prĂ©cĂ©demment dĂ©crite [1], et d’exclure un effet des biotechnologies de la reproduction (transferts d’embryons). Les autres groupes, H/T et T/H, ont permis d’explorer les pĂ©riodes prĂ©-conceptionnelle et gestationnelle, respectivement. Lesfoetus H/T Ă©taient normaux tandis que les T/H prĂ©sentaient une baisse d’efficacitĂ© placentaire. Les ACP des profils en AG ont rĂ©vĂ©lĂ© un fort impact du rĂ©gime gestationnel sur les placentas T/H et H/H (fortes concentrations d'AG, plus polyinsaturĂ©s w6 et moins monoinsaturĂ©s), que les T/T et H/T. Les profils placentaires H/T diffĂ©raient des T/T (dĂ©ficit en AGPI w6 et plussaturĂ©s). Les placentas T/H Ă©taientplus altĂ©rĂ©sque les H/H (plus d'AGMI). Les profils des dĂ©cidues H/T et T/T Ă©taient similaires :origine embryonnaire moins importante si le rĂ©gime gestationnel est Ă©quilibrĂ©. Le profil des dĂ©cidues T/H Ă©tait plus proche des T/T que des H/H : la dĂ©cidue s’adapte au fƓtus quand il est sain. Par contre les dĂ©cidues H/H Ă©taient plus saturĂ©es et moins polyinsaturĂ©es. Conclusion : Un embryon issu d’une donneuse H va Ă©voluer de façon favorable quand il est transfĂ©rĂ© chez une receveuse T (groupe H/T), avec un dĂ©veloppement normal Ă  terme, toutefois leur profil placentaire en AG reste affectĂ©. Si le rĂ©gime maternel pendant la gestation joue un rĂŽle prĂ©pondĂ©rant, l’origine embryologique laisse toutefois des tracesau niveau du phĂ©notype membranaire, nĂ©cessaires Ă  Ă©valuer Ă  long terme

    DĂ©termination de la plus critique fenĂȘtre d'exposition d'une surnutrition lipidique maternelle pour le dĂ©veloppement foeto-placentaire: entre la pĂ©riode prĂ©conceptionnelle et la pĂ©riode gestationnelle

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    National audienceIntroduction et but de l’étude : Nos Ă©tudes de l'effet d’un rĂ©gime hypergras chez la mĂšre sur le dĂ©veloppement fƓto-placentaire, ont montrĂ© que les fƓtus de lapines sous rĂ©gime hypergras (H) prĂ©sentaientun retard de croissance intra-utĂ©rin (RCIU) en fin de gestation, des anomalies placentaireset du mĂ©tabolisme lipidique [1]. Parce que l’exposition maternelles’étendait de la pubertĂ© Ă  la fin de la gestation, ces Ă©tudes n’avaient pas permis de dissocier l’effet d’une exposition prĂ©-conceptionnelle d’une exposition gestationnelle. Notre objectif est d’étudier l’impact de ces deux fenĂȘtres d’expositionsurle dĂ©veloppement fƓto-placentaire. Le placentaet la dĂ©cidueont Ă©tĂ© ciblĂ©s pour Ă©tudier les adaptations placentaires en rĂ©ponse Ă  l'environnement maternel et la flexibilitĂ© de la dĂ©cidue maternelle face Ă  l'origine embryologique du fƓtus.MatĂ©riel et mĂ©thodes : Des embryons de 1jpc (jour post-conception), issus de donneuses sous rĂ©gime tĂ©moin (T) ou H ont Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©s chirurgicalement dans l’utĂ©rus de receveuses synchronisĂ©es T (n=7) ou H (n=6) pour poursuivre leur dĂ©veloppement gestationnel jusqu'Ă  28jpc. Ces transferts ont permis d’obtenir 4 combinaisons: T/T (n=10), T/H (n=13), H/T (n=13) et H/H (n=6). Le dĂ©veloppement fƓto-placentaire a Ă©tĂ© Ă©valuĂ© par des analyses biomĂ©triques. Les profils en acides gras (AG)des membranes placentaires (placenta et dĂ©cidue) ontĂ©tĂ© Ă©valuĂ©s par CPG. Des analyses statistiques non paramĂ©triques (Kuskall et Wallis, test post hoc) etdes Analyses en Composantes Principales (ACP) pour les profils en AG ont Ă©tĂ© utilisĂ©es. RĂ©sultats et Analyse statistique :Les groupes T/T et H/H ont permis de valider l’hypotrophie fƓtale prĂ©cĂ©demment dĂ©crite [1]. Parce que l’exposition maternelles’étendait de la pubertĂ© Ă  la fin de la gestation, ces Ă©tudes n’avaient pas permis de dissocier l’effet d’une exposition prĂ©-conceptionnelle d’une exposition gestationnelle. Notre objectif est d’étudier l’impact de ces deux fenĂȘtres d’expositionsurle dĂ©veloppement fƓto-placentaire. Le placentaet la dĂ©cidueont Ă©tĂ© ciblĂ©s pour Ă©tudier les adaptations placentaires en rĂ©ponse Ă  l'environnement maternel et la flexibilitĂ© de la dĂ©cidue maternelle face Ă  l'origine embryologique du fƓtus.MatĂ©riel et mĂ©thodes : Des embryons de 1jpc (jour post-conception), issus de donneuses sous rĂ©gime tĂ©moin (T) ou H ont Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©s chirurgicalement dans l’utĂ©rus de receveuses synchronisĂ©es T (n=7) ou H (n=6) pour poursuivre leur dĂ©veloppement gestationnel jusqu'Ă  28jpc. Ces transferts ont permis d’obtenir 4 combinaisons: T/T (n=10), T/H (n=13), H/T (n=13) et H/H (n=6). Le dĂ©veloppement fƓto-placentaire a Ă©tĂ© Ă©valuĂ© par des analyses biomĂ©triques. Les profils en acides gras (AG)des membranes placentaires (placenta et dĂ©cidue) ontĂ©tĂ© Ă©valuĂ©s par CPG. Des analyses statistiques non paramĂ©triques (Kuskall et Wallis, test post hoc) etdes Analyses en Composantes Principales (ACP) pour les profils en AG ont Ă©tĂ© utilisĂ©es. RĂ©sultats et Analyse statistique :Les groupes T/T et H/H ont permis de valider l’hypotrophie fƓtale prĂ©cĂ©demment dĂ©crite [1, et d’exclure un effet des biotechnologies de la reproduction (transferts d’embryons). Les autres groupes, H/T et T/H, ont permis d’explorer les pĂ©riodes prĂ©-conceptionnelle et gestationnelle, respectivement. Lesfoetus H/T Ă©taient normaux tandis que les T/H prĂ©sentaient une baisse d’efficacitĂ© placentaire. Les ACP des profils en AG ont rĂ©vĂ©lĂ© un fort impact du rĂ©gime gestationnel sur les placentas T/H et H/H (fortes concentrations d'AG, plus polyinsaturĂ©s w6 et moins monoinsaturĂ©s), que les T/T et H/T. Les profils placentaires H/T diffĂ©raient des T/T (dĂ©ficit en AGPI w6 et plussaturĂ©s). Les placentas T/H Ă©taientplus altĂ©rĂ©sque les H/H (plus d'AGMI). Les profils des dĂ©cidues H/T et T/T Ă©taient similaires :origine embryonnaire moins importante si le rĂ©gime gestationnel est Ă©quilibrĂ©. Le profil des dĂ©cidues T/H Ă©tait plus proche des T/T que des H/H : la dĂ©cidue s’adapte au fƓtus quand il est sain. Par contre les dĂ©cidues H/H Ă©taient plus saturĂ©es et moins polyinsaturĂ©es. Conclusion : Un embryon issu d’une donneuse H va Ă©voluer de façon favorable quand il est transfĂ©rĂ© chez une receveuse T (groupe H/T), avec un dĂ©veloppement normal Ă  terme, toutefois leur profil placentaire en AG reste affectĂ©. Si le rĂ©gime maternel pendant la gestation joue un rĂŽle prĂ©pondĂ©rant, l’origine embryologique laisse toutefois des tracesau niveau du phĂ©notype membranaire, nĂ©cessaires Ă  Ă©valuer Ă  long terme. Introduction et but de l’étude : Nos Ă©tudes de l'effet d’un rĂ©gime hypergras chez la mĂšre sur le dĂ©veloppement fƓto-placentaire, ont montrĂ© que les fƓtus de lapines sous rĂ©gime hypergras (H) prĂ©sentaientun retard de croissance intra-utĂ©rin (RCIU) en fin de gestation, des anomalies placentaireset du mĂ©tabolisme lipidique [1]. Parce que l’exposition maternelles’étendait de la pubertĂ© Ă  la fin de la gestation, ces Ă©tudes n’avaient pas permis de dissocier l’effet d’une exposition prĂ©-conceptionnelle d’une exposition gestationnelle. Notre objectif est d’étudier l’impact de ces deux fenĂȘtres d’expositionsurle dĂ©veloppement fƓto-placentaire. Le placentaet la dĂ©cidueont Ă©tĂ© ciblĂ©s pour Ă©tudier les adaptations placentaires en rĂ©ponse Ă  l'environnement maternel et la flexibilitĂ© de la dĂ©cidue maternelle face Ă  l'origine embryologique du fƓtus.MatĂ©riel et mĂ©thodes : Des embryons de 1jpc (jour post-conception), issus de donneuses sous rĂ©gime tĂ©moin (T) ou H ont Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©s chirurgicalement dans l’utĂ©rus de receveuses synchronisĂ©es T (n=7) ou H (n=6) pour poursuivre leur dĂ©veloppement gestationnel jusqu'Ă  28jpc. Ces transferts ont permis d’obtenir 4 combinaisons: T/T (n=10), T/H (n=13), H/T (n=13) et H/H (n=6). Le dĂ©veloppement fƓto-placentaire a Ă©tĂ© Ă©valuĂ© par des analyses biomĂ©triques. Les profils en acides gras (AG)des membranes placentaires (placenta et dĂ©cidue) ontĂ©tĂ© Ă©valuĂ©s par CPG. Des analyses statistiques non paramĂ©triques (Kuskall et Wallis, test post hoc) etdes Analyses en Composantes Principales (ACP) pour les profils en AG ont Ă©tĂ© utilisĂ©es. RĂ©sultats et Analyse statistique :Les groupes T/T et H/H ont permis de valider l’hypotrophie fƓtale prĂ©cĂ©demment dĂ©crite [1], et d’exclure un effet des biotechnologies de la reproduction (transferts d’embryons). Les autres groupes, H/T et T/H, ont permis d’explorer les pĂ©riodes prĂ©-conceptionnelle et gestationnelle, respectivement. Lesfoetus H/T Ă©taient normaux tandis que les T/H prĂ©sentaient une baisse d’efficacitĂ© placentaire. Les ACP des profils en AG ont rĂ©vĂ©lĂ© un fort impact du rĂ©gime gestationnel sur les placentas T/H et H/H (fortes concentrations d'AG, plus polyinsaturĂ©s w6 et moins monoinsaturĂ©s), que les T/T et H/T. Les profils placentaires H/T diffĂ©raient des T/T (dĂ©ficit en AGPI w6 et plussaturĂ©s). Les placentas T/H Ă©taientplus altĂ©rĂ©sque les H/H (plus d'AGMI). Les profils des dĂ©cidues H/T et T/T Ă©taient similaires :origine embryonnaire moins importante si le rĂ©gime gestationnel est Ă©quilibrĂ©. Le profil des dĂ©cidues T/H Ă©tait plus proche des T/T que des H/H : la dĂ©cidue s’adapte au fƓtus quand il est sain. Par contre les dĂ©cidues H/H Ă©taient plus saturĂ©es et moins polyinsaturĂ©es. Conclusion : Un embryon issu d’une donneuse H va Ă©voluer de façon favorable quand il est transfĂ©rĂ© chez une receveuse T (groupe H/T), avec un dĂ©veloppement normal Ă  terme, toutefois leur profil placentaire en AG reste affectĂ©. Si le rĂ©gime maternel pendant la gestation joue un rĂŽle prĂ©pondĂ©rant, l’origine embryologique laisse toutefois des tracesau niveau du phĂ©notype membranaire, nĂ©cessaires Ă  Ă©valuer Ă  long terme

    Guttiferone A Aggregates Modulate Silent Information Regulator 1 (SIRT1) Activity.

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    International audienceNatural products guttiferone A, hyperforin, and aristoforin were able to inhibit or increase SIRT1 catalytic activity, depending on protein concentration and presence of detergent. On the basis of NMR data for guttiferone A, we demonstrated that the aggregation state of the natural product played a crucial role for its interaction with the enzyme. These results are useful to interpret future in vitro structure-activity relationship studies on these natural products in the quest of their biological target(s)

    Effects of first-generation in utero exposure to diesel engine exhaust on second-generation placental function, fatty acid profiles and foetal metabolism in rabbits: preliminary results

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    Atmospheric pollution has major health effects on directly exposed subjects but intergenerational consequences are poorly characterized. We previously reported that diesel engine exhaust (DE) could lead to structural changes in the placenta of in utero exposed rabbits (first generation, F1). The effects of maternal exposure to DE were further studied on second-generation (F2) rabbits. Pregnant F0 females were exposed to filtered, diluted DE (1 mg/m3, median particle diameter: 69 nm) or clean filtered air (controls) for 2 h/day, 5 days/week by nose-only exposure during days 3-27 post-conception (dpc). Adult female offspring (F1) were mated to control males: F1 tissues and F2 foeto-placental units were collected at 28 dpc and placental structure and gene expression (microarray) analysed. Fatty acid profiles were determined in foetal and maternal plasma, maternal liver and placenta. In F1, compared to controls, hepatic neutral lipid contents were increased in exposed animals without change in the blood biochemistry. In F2, the placental lipid contents were higher, with higher monounsaturated fatty acids and reduced pro-inflammatory arachidonic acid (AA), without placental structural changes. Conversely, the proportion of anti-inflammatory n-3 polyunsaturated fatty acids in F2 plasma was increased while that of AA was decreased. Gene set enrichment analyses (GSEA) of F2 placenta transcriptomic data identified that the proteasome complex and ubiquitin pathways genes were over-represented and ion channel function and inflammation pathways genes were under-represented in exposed animals. These preliminary results demonstrate that diesel engine exhaust exposure and in utero indirect exposure should be considered as a programming factor within the context of the DOHaD (Developmental Origins of Health and Disease) with a probable intergenerational transmissio

    Long-chain n-3 fatty acid levels in baseline serum phospholipids do not predict later occurrence of depressive episodes: a nested case-control study within a cohort of middle-aged French men and women.

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    International audienceThe goal of this study was to seek the relations between baseline n-3 PUFA status and the later occurrence of depressive episodes in a French cohort of middle-aged men and women, the SU.VI.MAX study. A nested case-control study was designed within the cohort: cases with at least two depressive episodes during the 8-year follow-up were paired to non-depressed controls, antidepressant prescriptions being taken as markers of depressive episodes. The fatty acid proïŹles of baseline serum phospholipids have been determined. Results were analyzed using logistic regression and principal component analysis, taking into account depression history and demographic and lifestyle confounders. There was no consistent association of depression risk with any serum fatty acid, and in particular there was no association of depression risk with the long-chain n-3 PUFA eicosapentaenoic, docosapentaenoic and docosahexaenoic acids. This study does not support the hypothesis of a predictive value of n-3 PUFA status for depression in population settings
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