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    Etude des caractéristiques de croissance et de l’état sanitaire de six variétés améliorées de niébé [Vigna unguiculata (L.) Walp] en zone centre de Côte d’Ivoire

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    En vue de lever certaines contraintes au développement de la culture du niébé, une étude sur les caractéristiques de la croissance et de l’état sanitaire a été conduite selon un dispositif en blocs de Fisher avec 4 répétitions sur six variétés améliorées. Ce sont : IT86F-2014-1, IT96D-733, IT88DM-363, IT86D-400, IT83S- 889 et IT96D-666. Les observations et mesures ont porté sur les dates phénologiques, les caractères végétatifs et l’état sanitaire des plants. Aucun traitement phytosanitaire n’a été effectué pendant la durée de l’essai. Certaines données recueillies ont fait l’objet d’une analyse de variances à l’aide du logiciel SAS suivie de la séparation des moyennes par la méthode de la plus petite différence significative (PPDS) au seuil de 5%. D’autres, ont servi au tracé des courbes grâce au logiciel Excel. Les six variétés ont été classées en trois groupes de maturité. Ainsi, avec moins de 80 jours, les variétés IT88DM-363 et IT86D-400 ont été précoces, les variétés IT86F-2014-1, IT96-733 et IT96D-666 ont eu un cycle moyen variant entre 85 et 88 jours et la variété IT83S-889 a été la plus tardive avec 92 jours. La teneur en eau des plants a été élevée pendant les 30 premiers jours après le semis (JAS) puis, a décru régulièrement jusqu’à la fin du cycle chez toutes les variétés. Par contre, la croissance en hauteur et la production de biomasse ont été lentes pendant les 30 premiers JAS puis, accélérées entre le 30ème et le 60ème JAS. La variété IT86D-400, a eu la plus forte teneur en eau (90%). Tandis que la plus faible (88%) a été relevée chez la variété IT96D-733. Les dommages causés par les insectes, les maladies et ravageurs ont été observés à des degrés divers de gravité chez les variétés. Parmi les trois phases qui caractérisent la croissance chez le niébé, celle comprise après le 30ème et le 75ème JAS, semble la plus délicate. Ainsi, avec une bonne maîtrise des attaques parasitaires, les variétés IT86F-2014-1, IT86D-400 et IT96D-666 peuvent être prometteuses pour la production de graines et de fanes.Mots clés: Niébé, caractéristiques de croissance, état sanitaire, Côte d’Ivoire

    Evaluation finale du rendement et des paramètres phytosanitaires de lignées de soja [Glycine max (L.) Merrill] dans deux zones agro écologiques de savane de Côte d’Ivoire

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    L’engouement suscité par la culture du soja chez les producteurs dans les régions de savane de Côte d’Ivoire a fait place vers la fin des années 1990 à de nombreuses difficultés suite à une chute drastique des rendements de 2,3 t/ha à 1,2 t/ha. Pour faire face à cette situation, 17 lignées de soja issues d’évaluations préliminaire et avancée à partir d’un lot de 37 lignées ont été mises en évaluation finale dans des essais en blocs de Fisher avec 3 répétitions. Ces essais ont été conduits à Bouaké et à Touba : principales zones de production de soja en Côte d’Ivoire. A l’issue des travaux, dix (10) lignées que sont R8-271, 1878-12E, R2-231, 1740-2F, 1828-4E, 1440- 1E ,1843-29E, 1838-5E, 1838-12E et 1856-1F ont exprimé les meilleurs rendements moyens compris entre 2,5 t/ha et 3,16 t/ha. De plus, elles ont montré des caractéristiques phytosanitaires beaucoup plus adaptées aux conditions de cultures de ces deux localités. Quant aux lignées 1873-6E et 1878-5E, elles se sont mieux comportées seulement sur le site Bouaké. De même, la lignée 1845-10E qui n’a pas été sélectionnée à Bouaké, s’est distinguée par un rendement élevé et des niveaux d’attaques parasitaires faibles à Touba. Ces différences observées dans le comportement des lignées à Bouaké et à Touba ont démontré que chez le soja, le rendement et les paramètres phytosanitaires, sont des caractères quantitatifs et qualitatifs dont l’expression phénotypique est sous l’influence des facteurs environnementaux de la zone de culture. Aussi, une différence dans les conditions du milieu de production peut-elle altérer ou améliorer de façon significative ces caractères chez une variété donnée.Mots clés: Evaluation, rendement, paramètres phytosanitaires, lignées de soja

    RATES OF RETURN TO EDUCATION IN BOTSWANA: RESULTS FROM THE 2002/2003 HOUSEHOLD INCOME AND EXPENDITURE SURVEY DATA SET

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    Using the most recent Household Income and Expenditure Survey data (2002/2003), this paper presents current rates of return to education for Botswana. The results show that the rates of return have in general declined by one percentage point on average between the periods as shown in Table 2 . If we, however, look at the averages for the different school cycles, the fall in the average rates is quite significant at about six percentage points between the periods. The biggest fall is for secondary education, especially upper secondary education, which fell by 28 percentage points between the periods. The rates of return to tertiary education, however, rose by more than 50 percentage points. Ignoring upper secondary, the pattern of rates of return has remained similar to the results of the study based on the 1993/1994 data. Rates are higher for tertiary education and lower for secondary than for primary education. This results are still consistent with rates of return generally rising with level of education. At policy level, the results continue to support sharing of costs between Government and beneficiaries or their parents especially at tertiary education level. Second, the results indicate the need for the country to continue to vigorously pursue job creation and reorient the education system from emphasis on white collar jobs. Copyright (c) 2008 The Author. Journal compilation (c) 2008 Economic Society of South Africa.
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