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    Gender differentials in the impact of parental death: Adolescent's sexual behaviour and risk of HIV infection in rural South Africa

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    Using data from a longitudinal surveillance study from rural South Africa, we investigated the odds of sexual debut, pregnancy and HIV infection of 15- to 19-year-old adolescents by parental survival. Using descriptive statistics and logistic regressions, we examine the relative risk of orphans compared with non-orphans to have ever had sex, being pregnant and being HIV infected, adjusting for age, sex, socio-economic status, education, being employed and residency. Of 8274 adolescents, 42% were orphaned (one or both parents died). Over 80% of adolescents remained in school, but orphans were significantly more likely to lag behind in grade for age. Female adolescent maternal (aOR 1.32, 95% CI 1.071.62), paternal (aOR 1.26, 95% CI 1.061.49) and dual (aOR 1.37, 95% CI 1.051.78) orphans were significantly more likely than non-orphaned females to have ever had sex; among males it was only paternal (aOR 1.27, 95% CI 1.051.53) orphans. Maternal (aOR 1.49, 95% CI 1.032.15) and dual (aOR 1.74, 95% CI 1.112.73) female orphans relative to non-orphaned females were significantly more likely to be HIV infected; male paternal (aOR 3.41, 95% CI 1.378.46) and dual (aOR 3.54, 95% CI 1.0611.86) orphans had over three-fold the odds of being infected. There was strong evidence that death of mother for girls was associated with increased vulnerability to earlier sexual debut and HIV infection, while fathers appeared to play a significant role in both their son's and daughter's lives

    Suboptimal dosing of opioid agonist treatments - a literature review

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    Background: Opioid Agonist Treatments (OAT) are used to help with the treatment of patients with issues of dependence to opioid substances. These medications (methadone and buprenorphine) have therapeutic ranges which are commonly referenced and referred to in text and guidelines. Suboptimal dosing (i.e. dosing below the therapeutic level) has been recorded in a few texts. Suboptimal dosing can have an effect on the successive treatment, especially if there are no clear reasons for this (valid reasons can be up titration of dose and detoxification). Methods: This paper looks at the published literature to determine the common prevalence of sub optimal doses of OAT. Results: A limited number of texts were identified that looked at sub optimal dosing in population groups. The results varied between papers but showed a high degree of low dosing. The review also looked at differences between prescribing of methadone and buprenorphine to determine if the medications have a difference between suboptimal rates. Conclusions: Suboptimal dosing for OAT found in the papers is common place in substance misuse services within the UK

    Évaluation des risques liĂ©s Ă  la consommation de nitrates et nitrites: Avis rĂ©visĂ© de l’AnsesRapport d’expertise collective

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    Citation suggĂ©rĂ©e : Anses. (2022). Evaluation des risques liĂ©s Ă  la consommation de nitrates et nitrites. (Saisine 2020-SA-0106). Maisons-Alfort : Anses, 275 p.Le contexte de cette expertise est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs selon les termes de la saisine Ă©manant de la DGAL, la DGS et la DGCCRF .« La prĂ©sence de nitrites dans l’organisme peut conduire Ă  l’oxydation de l'hĂ©moglobine rĂ©duisant la capacitĂ© des globules rouges Ă  transporter l'oxygĂšne. Elle peut Ă©galement contribuer Ă  la formation d’autres composĂ©s, tels que les nitrosamines, dont certains sont cancĂ©rogĂšnes.Il existe diffĂ©rentes sources d’exposition des consommateurs aux nitrites et notamment :i) La conversion de nitrates prĂ©sents dans certaines denrĂ©es alimentaires, en nitrites.Les nitrates se retrouvent dans l'eau notamment en raison de leur utilisation en production primaire. Ils sont naturellement prĂ©sents dans certaines denrĂ©es alimentaires, en particulier dans les lĂ©gumes-feuilles comme les Ă©pinards ou la laitue. Chez l’Homme, une partie des nitrates consommĂ©s peut ĂȘtre convertie en nitrites par les bactĂ©ries prĂ©sentes dans la cavitĂ©buccale.ii) La prĂ©sence non intentionnelle de nitrites dans les denrĂ©es alimentaires.Les nitrites peuvent notamment ĂȘtre prĂ©sents dans les lĂ©gumes mais Ă  des teneurs gĂ©nĂ©ralement trĂšs infĂ©rieures aux nitrates.iii) L’utilisation de nitrites et de nitrates en tant qu’additifs dans les denrĂ©es alimentaires.Les nitrites de potassium et de sodium (E249, E250) et les nitrates de sodium et de potassium (E251, E252) sont couramment utilisĂ©s pour prĂ©server la viande et d'autres produits pĂ©rissables. Ils contribuent Ă©galement Ă  limiter la prolifĂ©ration de microorganismes nuisibles, en particulier Clostridium botulinum, responsable du botulisme. Il s’agit d’additifs alimentairesautorisĂ©s dans l’Union europĂ©enne. A ce titre, ils ont fait l’objet de travaux scientifiques d’évaluation pour caractĂ©riser les risques liĂ©s Ă  leur utilisation.Actuellement la rĂ©glementation europĂ©enne prĂ©voit une teneur maximale d’incorporation de 150 mg/kg pour les produits de viande transformĂ©s, hors produits traditionnels. Pour les produits traditionnels dont la production est moindre en volume que les produits fabriquĂ©s par les industriels et qui contribuent donc moins Ă  l’exposition des consommateurs, larĂ©glementation prĂ©voit une teneur de nitrites et nitrates rĂ©siduels pouvant aller jusqu’à 250 mg/kg. La teneur rĂ©siduelle varie selon diffĂ©rents facteurs liĂ©s au procĂ©dĂ© de transformation (tempĂ©rature de transformation, pH, prĂ©sence d’acide ascorbique, etc.) et ne dĂ©pend pas uniquement de la teneur initialement incorporĂ©e. Les autoritĂ©s danoises ont, pourleur part, souhaitĂ© maintenir un niveau d’emploi plus faible, Ă  60 mg/kg, qu’ils avaient fixĂ© avant l’harmonisation europĂ©enne.L’association du fer-hĂ©minique avec les nitrites ajoutĂ©s a notamment Ă©tĂ© envisagĂ©e comme une explication du risque accru observĂ© de dĂ©veloppement de cancers du cĂŽlon ou du rectum liĂ© Ă  la consommation de certains produits carnĂ©s (donnĂ©es CIRC-INCa 2018)[2]. Le ferhĂ©minique contenu dans la viande favoriserait la conversion des nitrites en nitrosamines, substances classĂ©es cancĂ©rogĂšne probable (groupe 2A).Pour rĂ©pondre Ă  la demande des consommateurs, l’industrie a dĂ©veloppĂ© des solutions qu’elle prĂ©sente comme alternatives Ă  l’utilisation de sels nitrĂ©s (raccourcissement des DLC, bouillons de lĂ©gumes, extraits de vĂ©gĂ©taux, etc.). En outre, des opĂ©rateurs s’engagent de maniĂšre plus globale Ă  diminuer l’utilisation des additifs conformĂ©ment aux objectifs dĂ©finis par leprogramme national de l’alimentation et de la nutrition (PNAN).Dans le cadre de la rĂ©Ă©valuation des additifs, l’AutoritĂ© europĂ©enne de sĂ©curitĂ© des aliments (EFSA) a rendu des avis en juin 2017[3] et conclu, sur la base des Ă©lĂ©ments de preuve disponibles, que les niveaux de sĂ©curitĂ© existants pour les nitrites et les nitrates ajoutĂ©s en tant qu’additifs Ă  la viande et Ă  d'autres aliments constituaient une protection adĂ©quate pour les consommateurs.Plus prĂ©cisĂ©ment :■ S’agissant des nitrates en tant qu’additif, et en ayant recours Ă  des donnĂ©es dites rĂ©alistes (c’est-Ă -dire, les niveaux de concentration effectivement observĂ©s dans les aliments), les experts ont estimĂ© que l'exposition des consommateurs aux nitrates utilisĂ©s comme additifs alimentaires Ă©tait infĂ©rieure Ă  5% de l'exposition globale aux nitrates dans les aliments et ne dĂ©passait pas la DJA ;■ S’agissant des nitrites en tant qu’additif, les experts ont estimĂ© que l'exposition se situait dans des limites sĂ»res pour tous les groupes de population, Ă  l'exception d'un lĂ©ger dĂ©passement chez les enfants dont le rĂ©gime alimentaire est riche en aliments contenant ces additifs.De plus, le panel de l’EFSA soulignait, lorsque l’ensemble des sources d’expositions alimentaires (prĂ©sence naturelle dans les aliments, contamination environnementale, utilisation en tant qu’additifs) Ă©taient prises en compte :1. pour les nitrates, des dĂ©passements de la DJA pour l’ensemble des groupes d’ñges (hypothĂšse d’exposition moyenne Ă  haute) ;2. pour les nitrites, des dĂ©passements de la DJA pour l’ensemble des groupes d’ñges sous l’hypothĂšse d’exposition haute, et pour des groupes d’ñges spĂ©cifiques (nourrissons, jeunes enfants et enfants) sous l’hypothĂšse d’une exposition moyenne.L’EFSA a Ă©galement Ă©mis des recommandations pour pallier certaines incertitudes. »En ce qui concerne les nitrates, des travaux ont Ă©tĂ© engagĂ©s Ă  l’Anses afin de caractĂ©riser les expositions par voie alimentaire (notamment lĂ©gumes et eau destinĂ©e Ă  la consommation humaine) propres Ă  la France dans le cadre de la saisine 2015-SA-0029. Ces travaux rĂ©sultent d’une saisie de l’Anses par l’association Eaux et riviĂšres de Bretagne (le 15/01/2015), par laCoordination rurale (le 19/01/2015) puis par la FNSEA (le 26/01/2015) sur les impacts sanitaires des nitrates prĂ©sents dans l’alimentation et dans l’environnement. En effet, les habitudes alimentaires, de mĂȘme que la prĂ©sence de nitrates dans les aliments (lĂ©gumes notamment) et l’eau, peuvent diffĂ©rer sensiblement des donnĂ©es europĂ©ennes utilisĂ©es par l’EFSA. Cela est particuliĂšrement vrai pour l’eau de consommation humaine distribuĂ©e dont les paramĂštres caractĂ©risant sa qualitĂ© physico-chimique varient en fonction des ressources exploitĂ©es et des traitements mis en Ɠuvre. Ces travaux avaient pour but d’apprĂ©cier, au plan national, la situation d’exposition de la population aux nitrates au regard des repĂšres toxicologiques. Les rĂ©sultats permettraient d’identifier les situations mĂ©ritant attention, de façon Ă  recommander des mesures, en particulier grĂące Ă  l’identification des aliments (y compris l’eau de boisson) les plus contributeurs Ă  l’exposition aux nitrates en France. Ces travaux sont complĂ©tĂ©s par la prĂ©sente expertise

    Avis de l'Anses relatif Ă  l’étude de l’exposition aux nitrates par les eaux destinĂ©es Ă  la consommation humaine (EDCH) des rĂ©seaux de distribution dans le cadre de la mise en demeure de la Commission europĂ©enne au regard de dĂ©passements chroniques de la limite de qualitĂ© du paramĂštre « nitrates » dans les EDCH en France

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    Citation suggĂ©rĂ©e : Anses. (2022). Avis de l’Anses relatif Ă  l’étude de l’exposition aux nitrates par les eaux destinĂ©es Ă  la consommation humaine (EDCH) des rĂ©seaux de distribution dans le cadre de la mise en demeure de la Commission europĂ©enne au regard de dĂ©passements chroniques de la limite de qualitĂ© du paramĂštre « nitrates » dans les EDCH en France (Saisine 2021-SA-0176). Anses (Maisons-Alfort), 58 p.La Directive 98/83/CE1, qui sera abrogĂ©e en 2023, et la Directive 2020/21842, relatives Ă  la qualitĂ© des eaux destinĂ©es Ă  la consommation humaine (EDCH) ont fixĂ©, pour le paramĂštre « nitrates », une limite de qualitĂ© (LQ) Ă  50 mg L-1 dans les EDCH, limite qui est complĂ©tĂ©e par la vĂ©rification que la somme de la concentration en nitrates (en mg L-1) divisĂ©e par 50 et de celle en nitrites (en mg L-1) divisĂ©e par trois soit infĂ©rieure Ă  un. L’arrĂȘtĂ© du 11 janvier 2007 modifiĂ©, relatif aux limites et rĂ©fĂ©rences de qualitĂ© des eaux brutes et des EDCH, transpose ces exigences en droit français. Cette limite de qualitĂ© est en accord avec les lignes directrices dĂ©finies par l’Organisation mondiale de la santĂ© (OMS) et est fondĂ©e sur des donnĂ©esĂ©pidĂ©miologiques mettant en avant des cas de mĂ©thĂ©moglobinĂ©mie chez le nourrisson (OMS 2017).La prĂ©sente saisine intervient dans le contexte d’une mise en demeure de la France par la Commission europĂ©enne sur le non-respect de la Directive 98/83/CE prĂ©-citĂ©e concernant le paramĂštre « nitrates ». La lettre de saisine prĂ©cise que « cette mise en demeure concerne en particulier sept rĂ©gions (Bourgogne Franche ComtĂ©, Centre Val de Loire, Grand Est, Hauts de France, Ile de France, Occitanie, Pays de la Loire) et 20 dĂ©partements de France, oĂč des dĂ©passements chroniques de la limite de qualitĂ© du paramĂštre « nitrates » dans les EDCH ont Ă©tĂ© observĂ©s sur 213 unitĂ©s de distribution (UDI) depuis plusieurs annĂ©es voire dizaines d’annĂ©es pour certaines [...].Dans le cadre des Ă©changes rĂ©guliers avec la Commission europĂ©enne, cette derniĂšre a demandĂ© aux autoritĂ©s françaises d’évaluer l’impact sanitaire, sur les populations concernĂ©es, de ces expositions chroniques Ă  des concentrations en nitrates dans l’eau dĂ©passant la limite de qualitĂ©, en particulier pour les populations desservies par des unitĂ©s de distribution pour lesquelles le calendrier de retour Ă  la conformitĂ© n’est pas encore Ă©tabli (soit 27 542 habitants alimentĂ©s par 116 UDI). »Par ailleurs, l’Anses a Ă©tĂ© saisie le 29 juin 2020 par la Direction gĂ©nĂ©rale de la santĂ© (DGS), la Direction gĂ©nĂ©rale de l’alimentation (DGAL) et la Direction gĂ©nĂ©rale de la concurrence, de la consommation et de la rĂ©pression des fraudes (DGCCRF), d’une demande d’avis relatif aux risques associĂ©s Ă  la consommation de nitrites et nitrates (saisine 2020-SA-0106). Dans le cadre de cette saisine, l’Anses doit, entre autres, rĂ©Ă©valuer la pertinence de la valeur toxicologique de rĂ©fĂ©rence de l’EFSA et al. (2017) et Ă©valuer les risques sanitaires liĂ©s Ă  l’exposition alimentaire aux nitrates, incluant la consommation d’EDCH. Ces travaux ont Ă©tĂ©finalisĂ©s dĂ©but juillet 2022. Le pĂ©rimĂštre de la prĂ©sente saisine recoupe donc partiellement celui de la saisine 2020-SA-0106 relative aux risques associĂ©s Ă  la consommation de nitrites et nitrates.[Saisine liĂ©e n° 2020-SA-0106
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